Bonnes vacances.
On attendra-même des années-pour connaitre toute une histoire de qualité,donc nostress.

Bonne vacance.

Merci !

Pour vous récompenser, voilà une suite !

Et non, c'est le 31 mars aux Bahamas. Donc ce n'est pas un poisson d'avril !

Mais chez vous, c'est le 1er.

Salopard. <: :hap:

J'y ai cru en voyant qu'il y avait de nouveaux posts, sérieusement... <: :-( 

C'est méchant.

Je n'y es pas cru alors je ne vais pas être en colère.

Juste les enfants,

Depuis un bail j'avais décidé de changer les dates de la fic, ne vous fier pas à celles que j'ai déjà posté et que je posterais. Imaginez juste que Drak, depuis le début de la fic (souvenirs de 2-3 ans en arrière ) était resté quelques jours inconscient quand Arerus lui a enlevé sa famille (coup à la tête violent) et des jours ont été ajouté pour décrire une battaile plus longue qu'un simple mois.

Bref, ne vous fiez pas aux dates.

PS: 1 petit chapitre de fait, reste le deuxième et je posterai la suite

J'attendrai le temps qu'il faut... Ce serait cool que tu préviennes par MP pour la prochaine suite, parce que ça faisait longtemps que j'étais pas passé ici et à force j'y pense plus.

Je passe tous les jours avec un fol espoir de voir la suite

Le truc c'est que je vais pas envoyer un MP à chaque lecteur. Je suis bientôt en exam, la suite viendra dès que possible, je souligne le mot.

Envoyer un mp ce serait chiant ça c'est sûr, perso' je ne trouve pas ça grave, je check tous les jours alors bon.

(J'ai déjà écrit 3/4 de la suite.) Avec un peu de chance et de volonté, je peux finir tout ça ce week-end.

Ça vous dit deux petits chapitres ? Et qui sait, malgré les exams, j'aurais peut-être le temps d'avancer la suite.

(Vous remarquerez que j'ai conclu l'avant dernière partie, oui j'ai rajouté cette dernière partie )

Chapitre XLV, Système inconnu, En Orbite autour d’une planète forerunner nommée «Prospect», plus connue sous le nom de «Monde Sacré», Position inconnue, Destroyer de Rtas ‘Vadumee, Passerelle.
Estimation: 20 Septembre 2571.

Nous étions sur le point de contacter les Humains. Norito se trouvait près de Rtas du côté de la table holographique et Vasla était assise, les jambes et bras croisés sur le siège du poste de navigation. Avec elle, j’attendais que le moment de vérité commence. N’tho, lui, était retourné auprès d’Usze.
Il n’était pas impossible qu’il essayait encore de le convaincre de ne pas revenir se battre. Je respectais et honorais le choix d’Usze, et ne pouvais pas discuter son choix. Mais malgré cela, je me sentais mal à l’aise par sa volonté à vouloir se sacrifier pour ma famille. Il en a déjà beaucoup fait avec N’tho. Je préférais qu’il s’occupe du peu qu’il reste de la sienne, de Felresia et Rek.
Vasla inclina la tête vers le côté, je fis de même pour l’écouter.
-Crois-tu que Rtas persuadera les Humains ? Notre plan est loin d’être ingénieux.
-Je ne sais pas si les Humains sont en colère contre nous. Mais c’est fort probable. Attendons voir.
Rtas se retourna vers nous avec Norito.
-Tout est prêt, dit-il.
-Je vais ouvrir une liaison direct avec leur amiral, ajouta Norito.
Je me rapprochai avec Vasla de la table. Nous n’étions que les quatre sur la passerelle, cela aurait été assez inhabituel en temps normaux.
Rtas émit un long soupir avant de faire un signe de tête à Norito et de lui désigner avec sa main l’autorisation de contacter les Humains. Ce dernier appuya donc sur la touche.
-Ici le Commandant Rtas ‘Vadumee, à l’Amiral Von Petersburg.
Le silence était devenu maître.
Rtas s’était penché vers la table et avait les mains appuyées contre elle. Norito se tenait droit, prêt de lui, l’avant bras gauche levé, observant ses hologrammes.
Vasla échangea un regard inquiet avec moi.
Après plusieurs secondes, Rtas se repoussa de la table après avoir émit un grognement mécontent.
-Ici l’Amiral... dit l’Humain avec un accent plutôt étrange. Je vous écoute, Élite.
Rtas fut surpris. Mais ne perdit pas de temps.
-Amiral, avez-vous reçu mon rapport de notre bataille ?
-Oui, Commandant. J’ai appris que vous avez essayé de suivre le Prophète. Des informations ?
-En effet, le Prophète s’est barricadé derrière un bouclier. Nos éclaireurs ont découvert trois tours qui dressent ce bouclier. Or, elles sont protégées par de lourds canons terrestres anti aériens.
-Que cherchent-ils à faire ?
-Rien de bon en tout cas. Tout ceci est suspect.
-Et les Sentinelles ?
-Humain, vous devez comprendre que tout ceci est lié. Plusieurs de mes Élites ont été témoins d’activités plutôt...
-Écoutez-moi, plutôt. Nous commençons à nous demander pourquoi nous vous aidons, des choses étranges arrivent. Nous sommes confus, nous avons besoins d’explications, et je ne veux pas perdre d’avantage d’hommes sans une bonne raison.
Rtas grimaçai et cherchait les mots pour ne pas offenser d’avantage l’Humain.
J’avançai et pris la parole.
-Amiral, une IA forerunner s’est adressée à nous. Elle souhaite que votre Démon et... Moi même allions réveiller d’authentiques Forerunners. Les Covenants sont là pour les essayer de les réveiller, puis les servir. Personnellement, je n’aime pas cette idée. Mais les Sentinelles nous aident. Je propose donc que nous devons les utiliser pour l’instant pour éliminer la vraie menace: Le Covenant. Terminons cette secte une bonne fois pour toute, pour le bien de nos enfants. Puis, nous nous occuperons de ces Forerunners.
Rtas m’envoyai un regard noir, leur révéler la vérité aussi ouvertement était un gros risque. Mais il se sentait aussi vexé que je parle à sa place.
Quelques secondes passèrent après que l’Amiral expire.
-Depuis combien de temps me cachiez-vous ça ?
-Je l’ai appris il n’y a que quelques heures, Amiral, reprit Rtas. N’avez-vous pas demandé un rapport de vos hommes qui étaient avec les miens ?
-Je n’avais pas encore pris le temps de lire leur rapports, je m’y mettrai d’ici peu. Soit. Nous sommes venus ici pour arrêter définitivement le Covenant, ceci nous suffit.
Rtas ouvrit une note de la table.
-Je propose que nous formons des équipes de diversions qui lancerons un assaut par le sol sur les armes anti-aériennes. Même s’ils sauraient que ce serait une diversion, ces équipe maintiendront une forte pression. Cela permettra à trois équipes d’infiltration d’y pénétrer et de les faire sauter. Puis, même plan pour les trois tours pour désactiver le bouclier. Après cela, je ne sais pas ce que cache Volonté derrière ce bouclier. Nous resterons vigilants. Mais ce qui est sûr, ce que nous allons venir les déloger.
-Ce plan n’est pas original mais je sais qu’il marche. Très bien Commandant, je vous recontacterai d’ici peu pour les préparations. Amiral Von Petersburg, terminé.

Rtas soupira, puis s’écarta de la table pendant que Norito fermait la session.
-Cela s’est passé beaucoup mieux que je le pensais, nous confia-t-il.
-Désolé d’avoir intervenu, déclarai-je.
Rtas ne répondit pas. À la place, il décida de nous demander de disposer.
J’inclinai avec Vasla la tête et lui tendis la main pour l’aider à se lever de son siège, puis attendis Norito avant de passer la porte, qui se referma silencieusement derrière nous.
Je partis donc avec Vasla et Norito en direction de la chambre d’Usze, les couloirs restèrent froids, peu éclairés, comme toujours.
Mais ce vaisseau restait bien vide.
Sentant le poids de la situation, Norito ouvrit la parole.
-C’est donc... Bientôt la fin de nos malheurs.
-Je l’espère... fit Vasla d’un ton mélancolique.
Nous marchions lentement. Tout Sangheili devrait se réjouir de la nouvelle, mais nous avions déjà trop perdu pour pouvoir ressentir une telle réjouissance.
Soudainement, une ombre surgit et se présenta joyeusement devant nous. Il émit un glapissement de joie.
Vasla accueillit chaleureusement le Huragok, qui enroula à sa nouvelle habitude quelques unes de ses tentacules autour de ses bras. Vasla le laissait faire.
Ce Huragok allait et venait. Je me demandais bien ce qu’il pouvait faire à présent que sa «mission» qui consistait à me ramener moi, le «Convoyeur», sur ce monde, était terminé. Je chassai ces pensées et appréciai sa présence. Il avait toujours été notre ami.
Arrivés à la chambre d’Usze, et quand je le revis, je ne pus m’empêcher de me souvenir du bruit de l’explosion qui nous toucha.
Il se tenait à présent dans une position plus droite, dans son lit. Il nous salua.
Vasla se laissa s’assoir sur le bord de son lit tandis que j’attirais son attention avec mon regard.
Usze cessa de discuter avec Felresia, Rek et N’tho pour nous laisser apporter les nouvelles.
-Mes frères, mes amis, déclarai-je. Nous passerons bientôt à l’action. Bientôt, nous terminerons cette mascarade et bientôt, nous serons de retour chez les nôtres. Alors à présent, récupérons, réparons, oublions.
-Excellente nouvelle... fit Usze après avoir soupiré.
Je laissai ma tête pencher vers le côté assez furtivement, d’un air sceptique. Je n’aimais toujours pas l’idée qu’Usze nous accompagne, mais j’avais honte de le dire, je préfèrerais que ce soit lui plutôt que quelqu’un d’autre. Pour sa loyauté, ses talents et notre amitié. Nous étions une équipe.
Felresia s’écarta d’Usze pour se coller à Rek, le Huragok flottait vers un coin et N’tho claqua une mâchoire.
Personne ne savait quoi dire à présent.
Je me rappelai alors que le malheur qui était arrivé à Usze et toutes ces décisions m’avaient complètement fait oublier de le remercier pour ce qu’il avait fait.
-Usze, mon ami, lui dis-je. J’ai oublié de te remercier d’avoir sauvé mon amour.
Il inclina la tête, mais ne dit rien.
Vasla lui pris une de ses mains et lui offrit son sourire.
-Je n’ai pas eu le temps de te dire que je suis heureuse de t’avoir de nouveau parmi nous.
-Oui, ajouta N’tho, te revoir à nos côtés est vraiment...
Malheureusement, Felresia prit mal ces paroles. Elle se leva soudainement, les poings serrés.
-Arrêtez de l’encourager !
Puis, elle sortit brutalement de la chambre.
J’avais essayé de la retenir, mais elle m’ignora.
-Elle n’a toujours pas accepté ta décision ? demandai-je à Usze en le fixant à nouveau.
Il fit rouler ses yeux.
-Rek veut aussi participer à notre «bataille finale suicidaire», dit-il en secouant la tête.
Je pinçai le haut de mon museau.
-Bon, déclarai-je, je vais lui...
-Taisez-vous, mâles sans cervelles. Elle ne vous écoutera pas. Je vais lui parler, nous fit Vasla.
Les «mâles sans cervelles» s’échangèrent un regard d'incompréhension.
Puis, Rek soupira.
-Nous ferions mieux de commencer à nous mettre au travail, fit-il.
J’acquiesçai.
Usze esquissa un sourire.
-Oui, c’est cela, se lassa N’tho. Profite de tes vacances.

Fin de la Quatrième Partie.

Dernière Partie.

Chapitre XLVI, Système inconnu, En Orbite autour d’une planète forerunner nommée «Prospect», plus connue sous le nom de «Monde Sacré», Position inconnue, Destroyer de Rtas ‘Vadumee, Baie numéro 17.
Estimation: 25 Septembre 2571.

Plusieurs jours passèrent.
Usze se rétablit vite, et les réparations du Destroyer ainsi que de la seule frégate restante étaient terminés.
Felresia n’était toujours pas très convaincue qu’Usze et Rek reparte au combat. Mais nous le devions, pour notre sang, à tous.
Au fond d’elle, elle le savait. Mais comme beaucoup d’autres qui ne le montraient pas, elle n’en pouvait simplement plus.
Le plan était enfantin.
Trois équipes, deux races unies. Le doute pour l’une, la détermination pour l’autre. Une alliance contre une autre, le tout sur une planète remplie de mystères.
La première équipe, constituée d’une escouade hybride de Marines humains et de nos frères Sangheilis, menées par de grand guerriers et quelques leaders humains, s’occuperaient du premier canons planétaire. Le Démon, le Commandant Hagard, le Sergent Powley et le reste des Humains que nous avions rencontrés iraient prendre le second canon. Tandis qu’Usze, Norito, Rek, N’tho, Vasla, le Huragok et moi-même, se chargeraient du troisième et dernier engin.
Rtas et l’Amiral humain se chargeront du plus dur: Créer une diversion, faisant croire à une attaque générale venant de front vers les canons planétaires. J’avais entendus qu’ils étaient très impressionnants. Mais apparemment, ils ne le sont pas assez pour nous empêcher de venir les neutraliser.
Car, après avoir enlevés ces joujoux qui protégeait chacune des trois tours, nous irions les prendre d’assaut. Alors que les équipes de diversions continuerons de faire pression pour forcer la majorité des forces covenantes à les repousser des tours, chacune de nos trois et mêmes équipes s’introduiraient dans chacune des tours.
Puis, à nous de voir la tête du Prophète et d0Arerus quand le bouclier cèdera.
Une boule se forma dans ma gorge: Les équipes de diversions tiendraient-elle ? C’était à moi, mes frères et les Humains des équipes d’infiltration d’effectuer les opérations aussi vite que possible.

Je sortis de mes méditations quand Vasla me secoua l’épaule pour me faire savoir que Rtas allait commencer son annonce.
Je relevai la tête, et observai les alentours.
Dans cette baie, on pouvait compter un millier de Sangheilis et un Huragok. Les autres étaient soient dans l’autre frégate, soient déjà en place. Sur la grande Station Covenante récemment capturée, nous avions choisi de renvoyer la plupart de nos frère sur Sanghelios, pour assurer un repeuplement et une défense respectable... Si nous ne revenions pas.
Toutes les couleurs de grades étaient présentes, il y avait énormément d’Ultras, mais peu de Zélotes. Je repensais à Huru ‘Inzatsee, qui avait combattu avec nous sur Doisac. Il serait fier de voir où nous étions arrivés, et avions accompli.
Des dizaines, de Phantoms volés à l’ennemi était prêts à décoller dans cette baie, et des centaines d’autres dans les autres baies du Destroyer et de la frégate.
Des Séraphins étaient suspendus au haut plafond de la baie, les Phantoms étaient surchargés d’approvisionnement et de Sangheilis, et chaque frère possédaient une puissance de feu remarquable. De brave Sangheilis qui donneront tout pour survivre et tuer les Covenants dans une attaque de front.
Je m’élevai quelque peu, pour voir Rtas sortir de son trou et monter sur une petite estrade.
Tout le monde se tut. Le silence était remarquable avec tant de frères. J’étais même sûr qu’à quelques centaines de mètres, nos frères pouvaient même entendre les vessies du Huragok se vider, puis se remplir d’air.
Rtas plaça ses mains dans son dos et regarda chacun d’entre nous.
-Mince alors, je me sens tout petit face à vous sans ses hologrammes qui grandissent de plusieurs dizaine de mètres ma déformation faciale.
Des rires résonnèrent dans la salle, Rtas sourit légèrement. Mais il reprit avec un ton plus fort et sérieux, mais resta fier de nous voir ici.
-En effet, pas d’hologramme agrandissant mon image de plusieurs dizaines de mètres, rien de toutes ces intimidations que les Loyalistes employaient. Ici, nous sommes une famille, nous ne cherchons pas à dépasser notre prochain. Nous nous sommes aidés, nous ne discutons plus de grades... Nous sommes tous de vrais frères, et unis jusqu’à la mort. Je suis fier de nous. Mes frères, aujourd’hui, comme tous les autres jours jusqu’à présent, nous nous battons pour notre Mère, Sanghelios. Pour nos femmes, nos enfants et notre avenir. Les Covenants sont opprimés par les Jiralhanaes et les San’Shyuums. Ils ne sont donc pas une famille. Et nous nous battrons une nouvelle fois, et nous triompherons pour honorer le salut de tous nos défunts ! Nous nous battrons pour Thel, nous nous battrons pour l’avenir de nos enfants ! Nous nous battrons jusqu’à ce que le dernier Jiralhanae se noie dans le sang de ses frères ! Idem pour les San’Shyuums !
Nous poussâmes des cris de guerre.
-Que la gloire nous emporte, qu’elle soit dans la mort ou dans la victoire ! Allez mes frères, montrons à ces macaques aussi laids que cons ce qu’est, un Sangheili !
Rtas serra les poings sous les cris et acclamations que nous nous offrons. Il sourit, puis hurla lui aussi.
Puis, il quitta rapidement les lieux pour monter dans le premier Phantom. Ensuite, tout le monde se mit à faire de même.
J’allai suivre quand je ne retrouvais plus Vasla. J’activai mon ATH et vis le signal de son armure bouger à l’opposer de la direction du flux de guerriers.
Je prévins mes frères que je revenais d’ici peu.
-Une envie pressente ? me déclara N’tho en se raillant de moi avec Usze.
Il faisait référence au jour où nous étions partis en mission contre les Hérétiques, il y a vingt ans. Rtas m’avait ordonné d’aller aux toilettes. Mais Vasla y était pour me dire au revoir.
-Ouais, ouais c’est ça, répondis-je. Ne me fais pas regretter de t’avoir épargner à cette époque, N’tho. Allez, je reviens vite.
Rek ne comprenait pas les vannes.
-Dailleurs, va aux toilettes toi aussi. C’est un ordre, fit Usze.
-Mais Rtas n’avait justement pas mentionné que nous étions de vrais frères ? Je n’ai d’ordre à...
-Je serai ton vrai frère quand tu marieras Felresia et tu me feras plein de neveux. Allez, va je te dis.
Je me mis à rire. Plagiats.

Je retrouvai Vasla vers la baie d’observation tribord. Elle observait le cosmos, avec Prospect en vue. Les nuages de la nébuleuse autour de la planète forerunner dansaient à vitesse nulle.
Nous étions les seuls ici présent, dans ce grand espace.
Mes pas résonnèrent dans la salle tendis que je me rapprochais de Vasla. L’un de ses bras tenait l’autre, son corps penchait légèrement de ce côté.
Arrivés près d’elle, je me mis à observer à ses côtés, l’univers.
-Tu sais ce qui me manque le plus ? me dit-elle en continuant d’observer les étoiles.
J’allais dire Rino, mais je savais qu’elle voulait parler d’autre chose.
-D’innombrables choses, lui dis-je en faisant de même.
Elle baissa la tête un instant.
-Notre routine quotidienne à Sanghelios, m’avoua-t-elle. Mes deux hommes, m’exaspérant jour et nuit. Toi rentrant le soir, et affamé tu t’agenouillait devant moi, pour me supplier de dire d’avoir pensé à faire le repas. Puis après, tu te jetais dans mes bras. Rino, tout petit, qui détruisait tout, puis plus mûr, il courait partout, enfin... «Vous», couriez partout. Et depuis, il est près à tout. Mais, vous êtes mes deux hommes, que je n’échangerais rien au monde. Avec qui, j’ai eu tant de sourires, tant de rires. Que je vous aime. Vous êtes ceux qui m’ont donné le plus beau cadeau que l’univers puisse m’offrir...
Ma gorge s’était contractée sous ces mots. Je la regardais, tout comme elle. Elle me prit alors les mains et je me laissai faire. Mes yeux admiraient les siens. Ils tremblaient sous les larmes qu’elle contenait.
-Ce cadeau... C’est... Une vie heureuse.
Mon coeur se fit lourd, et je la laissai me prendre dans ses bras.
-Nous le ramènerons, ne t’inquiète pas, lui dis-je d’une voix affectée. Et nous continuerons à te rendre folle, folle de nous.
Elle gémissait, sans arrêt. Son corps contre le mien me faisait toujours ce bien indispensable. Tout comme elle. Je la laissai m’embrasser et m’étreindre, ce besoin de que nous nous partagions, cette compassion, ces malheurs.
Une fois plus détendus, elle me regarda avec ses yeux vert, nébuleuses infinies qui vibraient sous la tristesse.
-Alors... dit-elle calmement. Nous y sommes, n’est-ce pas ?
Je regardai avec elle à travers la vitre pour voir Prospect. Nous étions fins prêts à arrêter cette guerre, et rentrer chez nous avec Rino.
Mon regard se reposa sur elle.
-Oui, mon amour. Nous y sommes enfin.

Owi!!!

On s'approche de la fin.
J'ai bien envie de voir tout ça en pratique.

Oui, le dénouement approche, il se fait désormais plus pressant que jamais.
Toutes les questions, bientôt balayées.

Sentez-vous libre de porter plainte sur ce plagieur de nom et d'image. https://www.facebook.com/Convenant117

bonjour, SignoreTS je n'ai qu'une seule chose à dire: en 5 jour ou j'ai lu ta fic du tome 1 au tome 2 je ne peut pas trouvé d'adjectifs dans toutes les langues que je connaissent (pas beaucoup) pour qualifier ton histoire tellement quelle est magnifique vivement la suite