Merci
Félicite aussi loupsolitaire3

Veut dire quelles est pas prise. snif2:

Voilà le chapitre j'espere que vous changerair d'avis.

Une vive lueur me force à ouvrir les yeux. Face à une aveuglante luminosité, je remue dans mes draps afin de trouver une position où le soleil ne m'agresserait pas. Dès que c'est chose faite, je rouvre mes yeux et parcours ma chambre du regard.
Bien décorée, avec des coussins et des tentures d'étoffes les plus chères, c'est sans doute ma pièce préférée. D'autant plus qu'il n'y a que moi qui est le droit d'y pénétrer. Mon refuge, en quelque sorte.

Dans un discret soupir, je m'assoie dans mon lit et m'étire avant de poser pieds à terre et de m'habiller. Avec des gestes rapides, j'enfile ma tenue, pour le moins singulier pour un homme.
Un pantalon rentré dans des bottes, une veste avec par-dessus un habit, largement,maintenu à la taille par une ceinture.

Yoshi me reproche sans cesse cet accoutrement mais je veux être toujours prêt. Au cas où. Les beaux pantalon et autres toilettes de luxe ne sont pas pour moi. Je m'avance vers le fond de ma chambre et me baisse au niveau du coffre qui s'y trouve.
Sans la moindre hésitation, je l'ouvre et sélectionne mes armes habituelles. Un petit poignard dans chaque botte, et une dague plus longue bien dissimulée sous mon habit.
Puis je me relève et me dirige vers le meuble près de mon lit pour y saisir mon épée. L'épée de mon père. Une magnifique arme blanche au bout légèrement recourbé. D'un mouvement expert, je l'accroche à ma ceinture et quitte ma chambre sans plus attendre.

A peine ais-je descendu les escaliers qui mènent à la cour intérieur que Yoshi bondit sur moi :

- Daisy veut te voir.

Je rencontre ses fiers yeux bruns tandis que je réponds d'une voix ferme :

- Je viens à peine de me lever ! Il attendra !

- Je te le déconseille Mario. Il est de très mauvaise humeur.

Contrariée, je détourne ma tête vers la fontaine qui siège au centre de la cour et même son clapotis, pourtant si apaisant, ne parvient pas à stopper l'irritation qui monte à cet instant en moi.
Histoire de trouver la force en moi, j'inspire profondément et passe devant Yoshi pour me rendre dans la pièce destinée à la réception de nos invités. Avec plus de fureur que je ne l'aurais voulu, j'ouvre la porte et m'avance vers Daisy.

Cet femme, aussi imposantz que méchante, me fait face, les bras croisés sur sa large poitrine et me toise d'un air dédaigneux. De tous mes partenaires commerciaux, c'est celui que j'abhorre le plus. Derrière moi, Yoshi referme la porte mais reste en retrait.

- Qu'y a-t-il Daisy ? demandais-je, d'un ton sûrement un trop blasé.

- Ma commande est en retard. Ce que j'avais demandé n'a pas encore été livré et j'ai moi-même des délais à tenir, tu le sais.

- Bien sûr, mais si celui qui me fait parvenir les armes d'Arsouf à Jérusalem est retardé, je n'y peux strictement rien.

- Ton père respectait toujours ses délais, vocifère-t-il en décroisant ses bras pour pointer son index droit vers moi. Je me doutais que tôt ou tard, tu ferais une erreur. Un homme ne peut gérer une affaire de cette importance.

- Nous gérons cette affaire ensemble, intervient Yoshi, et jusqu'à preuve du contraire, je suis un homme. Nous irons voir ce qui prend autant de temps et nous vous tiendrons au courant Daisy, nous vous le promettons.

La femme fait un geste de mépris avec son bras et observe durant quelques secondes le décor qui l'entoure.

- Nous allons régler cette affaire et tu auras tes armes aujourd'hui, lançais-je.

Daisy reporta instantanément son attention sur moi et me dévisagea tandis que je poursuivis :

- Je m'en occupe tout de suite.

Elle hoche lentement la tête en abordant un air peu convaincu mais finit par quitter la pièce. Une fois qu'il est partit, je me tourne vers Slimane, prête à me faire sermonner. Chose qui ne tarde pas à venir :

- T'es folle de promettre de telles choses ? Si ça se trouve, la cargaison n'a même pas encore quitté Kouty !

- Dans ce cas, ce sera à nous de l'acheminer jusqu'à Guity. Et de punir ceux qui ont mal fait leur travail.

- Ça, c'est mon domaine, rectifie-t-il en me souriant en coin.

Je le dévisage un instant puis me décide à sourire avant de quitter la pièce dans le but de prendre mon petit-déjeuner. De taille moyenne, une carrure élancée, des cheveux verts courts, le teint basané, Yoshi est en quelque sorte mon lieutenant.
Il est là pour les actions que je ne peux réaliser et sa présence reste réconfortante même si je n'oublie pas qu'il a travaillé pour mon père et donc toutes les sales besognes qu'il lui a confiées. C'est lui qui m'a tout apprit dans ce domaine.

Avant la mort de mon père, je n'étais qu'un petit garçons sage, qui se contentait de répondre par oui ou par non et d'être beaux. Mon père avait même programmé mon mariage à une femme tout aussi crapuleux que lui, dans le seul but d'entretenir et de favoriser ses relations avec lui.
Evidemment, je n'avais aucun moyen de protester et personne ne pouvait le faire pour moi. Ma mère est morte lorsque j'avais six ans d'une grave maladie qui a également entraîné mon petit frère à peine âgé de trois ans.

Une vrai tragédie pour mon père qui se retrouvait sans femme,. Comme j'ai regretté leur disparition …

Pourtant, un jour, tout a de nouveau basculé. Mon père a été assassiné. Violemment et sans aucune mise en garde. J'avais quinze ans à l'époque. A l'époque. C'est idiot de dire cela puisque ça c'est passé il y a presque un an.
Etrangement, j'ai l'impression que durant l'année qui vient de s'écouler, j'ai pris dix ans d'âge tant que je suis devenue mature et froid. Cet événement m'a à jamais transformé.

Cela s'est déroulé un soir d'été. Je ruminais à mon futur mariage, seule dans ma chambre, lorsque j'ai entendu des bruits de lutte dans la cour. Même si je savais que j'allais me faire disputer, je suis descendue à toute trombe. Ces instants là sont définitivement gravés à jamais dans ma mémoire. Je me souviens avoir vu un homme vêtu de blanc penché sur le corps de mon père, au sol. Totalement inconsciente de la situation, j'ai crié et j'ai bondis en direction de mon père.
L'assassin s'est immédiatement écarté et j'ai saisis le cadavre de mon père dans mes bras. Lorsque j'ai relevé la tête, j'ai fixé cet homme, celui qui venait de m'ôter la dernière chose qui me restait sur cette terre.

Bien sûr, son visage était dissimulé par un capuchon blanc et je n'ai pas pu le regarder droit dans les yeux mais cela ne m'a pas empêcher de le dévisager pour que ce souvenir me reste pour toujours.
Puis, il est partit. Telle une ombre, il s'est fondu au cœur des plantes de la cour et a disparu. C'est à ce moment que je me suis jurée de tout faire pour venger mon père. Mais désormais, au bout d'un an, je doute que ma méthode soit si brillante que je l'avais supposé …

J'ai pas tout compris...
Mario serait donc le tueur et tu aurais... comment dire... humanisé tous les héros du Royaume Champignon ?

Et il n'y aurait pas eu un changement de point de vue vers la fin ? Si c'est le cas, il faut le montrer, de quelques manières que ce soit.

Ensuite, tu nous fais penser que le "je" est Mario, mais après tu dis qu'il est "contrariée".
En gros tu mets au féminin certains participe passé au féminin alors qu'on pense que c'est Mario qui parle.

J'ai pas plus compris.
Je crois que le gros problème, c'est que les rôles et les personnages sont mal définis. Et comme tu les as complètement changé par rapport à l'univers de Miyamoto, on arrive pas à se raccrocher à quelque chose.

Mais c'est le seul défaut, vraiment, à part quelques fautes, tout est génial ou presque.

Le "oui" est un peu plus proche, mais pas encore donné pour ma part.
C'est encore un petit non... (Et ça m'emmerde un peu parce que ça semble être une bonne fic et tu écris bien)

"- Daisy veut te voir.

Je rencontre ses fiers yeux bruns tandis que je réponds d'une voix ferme :

- Je viens à peine de me lever ! Il attendra !

- Je te le déconseille Mario. Il est de très mauvaise humeur."
tu t'es trompé, tu as mis "il" à la place ce "elle"

Sinon, comme loupsolitaire, on ne sait pa vraiment qui parle.
Je te demande pas de poster un autre chapitre, mais d'améliorer le premier.

Tu est à 1mm du "oui"

Je pas la crée ma fic.

Pas mal du tout

Et oui je suis de retour avec vous pour 24h sur 24 (n'exagérons pas ), je suis déçu que l'auberge du forum est fermé.

• Une vive lueur me force à ouvrir les yeux. Face à une aveuglante luminosité, Mario remua dans ces draps afin de trouver une position où le soleil ne l'agresserait pas. Dès que c'est chose faite, Mario ouvre ses yeux et parcourra sa chambre du regard.

Bien décorée, avec des coussins et des tentures d'étoffes les plus chères, c'est sans doute ma pièce préférée. D'autant plus qu'il n'y a que moi qui est le droit d'y pénétrer. Mon refuge, en quelque sorte.

Dans un discret soupir, Mario s'assoie dans sont lit et s'étire avant de poser pieds à terre et de s'habiller. Avec des gestes rapides, Mario enfila sa tenue, pour le moins singulier pour un homme.
Un pantalon rentré dans des bottes, une veste avec par-dessus un habit, largement,maintenu à la taille par une ceinture.

Yoshi me reproche sans cesse cet accoutrement mais Mario veut être toujours prêt. Au cas où. Les beaux pantalon et autres toilettes de luxe ne sont pas pour moi. Mario s'avanca vers le fond de sa chambre et se baisse au niveau du coffre qui s'y trouve.
Sans la moindre hésitation, Mario l'ouvra et sélectionna ces armes habituelles. Un petit poignard dans chaque botte, et une dague plus longue bien dissimulée sous mon habit.
Mario se releva et se dirige vers le meuble près de sont lit pour y saisir sont épée. L'épée de son père. Une magnifique arme blanche au bout légèrement recourbé. D'un mouvement expert, Mario l'accrocha à sa ceinture et quitta sa chambre sans plus attendre.

A peine Mario descendu les escaliers qui mènent à la cour intérieur que Yoshi bondit :

- Daisy veut te voir.

Mario rencontra ses couettes brune tandis qu'il réponda d'une voix ferme :

- Je viens à peine de me lever ! Elle attendra !

- Je te le déconseille Mario. Elle est de très mauvaise humeur.

Contrariée, Mario détourne sa tête vers la fontaine qui siège au centre de la cour et même son clapotis, pourtant si apaisant, ne parvient pas à stopper l'irritation qui monte à cet instant en moi.
Histoire de trouver la force , Mario inspire profondément et passe devant Yoshi pour me rendre dans la pièce destinée à la réception de nos invités. Avec plus de fureur que Mario ne l'aurais voulu, ilouvra la porte et il avança vers Daisy.

Cet femme, aussi imposante que méchante, me fait face, les bras croisés sur sa large poitrine et me toise d'un air dédaigneux. De tous mes partenaires commerciaux, c'est celui que j'abhorre le plus. Derrière moi, Yoshi referme la porte mais reste en retrait.

- Qu'y a-t-il Daisy ? demanda Mario , d'un ton sûrement un trop blasé.

- Ma commande est en retard. Ce que j'avais demandé n'a pas encore été livré et j'ai moi-même des délais à tenir, tu le sais.

- Bien sûr, mais si celui qui me fait parvenir les armes d'Arsouf à Jérusalem est retardé, je n'y peux strictement rien.

- Ton père respectait toujours ses délais, vocifère-t-il en décroisant ses bras pour pointer son index droit vers Mario. Je me doutais que tôt ou tard, tu ferais une erreur. Un homme ne peut gérer une affaire de cette importance.

- Nous gérons cette affaire ensemble, intervient Yoshi, et jusqu'à preuve du contraire, je suis un homme. Nous irons voir ce qui prend autant de temps et nous vous tiendrons au courant Daisy, nous vous le promettons.

La femme fait un geste de mépris avec son bras et observe durant quelques secondes le décor qui l'entoure.

- Nous allons régler cette affaire et tu auras tes armes aujourd'hui, lança Mario.

Daisy reporta instantanément son attention sur Mario et se dévisagea tandis qu'il poursuivis :

- Je m'en occupe tout de suite.

Elle hoche lentement la tête en abordant un air peu convaincu mais finit par quitter la pièce. Une fois qu'elle est partit,Mario se retourna vers Yoshi prêt à me faire sermonner. Chose qui ne tarde pas à venir :

- T'es foux Mario de promettre de telles choses ? Si ça se trouve, la cargaison n'a même pas encore quitté Kouty !

- Dans ce cas, ce sera à nous de l'acheminer jusqu'à Guity. Et de punir ceux qui ont mal fait leur travail.

- Ça, c'est mon domaine, rectifie-t-il en me souriant en coin.

Mario dévisaga un instant puis décida à sourire avant de quitter la pièce dans le but de prendre mon petit-déjeuner. De taille moyenne, une carrure élancée, des cheveux verts courts, le teint basané, Yoshi est en quelque sorte mon lieutenant.
Il est là pour les actions que je ne peux réaliser et sa présence reste réconfortante même si Mario l'oublie pas qu'il a travaillé pour mon père et donc toutes les sales besognes qu'il lui a confiées. C'est lui qui m'a tout apprit dans ce domaine.

Avant la mort de son père, il n'étais qu'un petit garçons sage, qui se contentait de répondre par oui ou par non et d'être beaux. Son père avait même programmé son mariage à une femme tout aussi crapuleux que lui, dans le seul but d'entretenir et de favoriser ses relations avec lui.
Evidemment, Mario n'avais aucun moyen de protester et personne ne pouvait le faire pour moi. Sa mère est morte lorsque il avais six ans d'une grave maladie qui a également entraîné mon petit frère à peine âgé de trois ans.

Une vrai tragédie pour son père qui se retrouvait sans femme,. Comme il a regretté leur disparition …

Pourtant, un jour, tout a de nouveau basculé. Son père a été assassiné. Violemment et sans aucune mise en garde. Il avait quinze ans à l'époque.
Etrangement, il avait l'impression que durant l'année qui vient de s'écouler,il as pris dix ans d'âge et devenue mature et froid.

Cela s'est déroulé un soir d'été. Il ruminais à sont futur mariage, seule dans sa chambre. Il entendu des bruits de lutte dans la cour. Mario descendue à toute trombe. Ces instants là sont définitivement gravés à jamais dans sa mémoi re. Il se souviens avoir vu un homme vêtu de blanc penché sur le corps de son père, au sol. Totalement inconsciente de la situation, Mario cria et bondis en direction de sonpère.
L'assassin s'est immédiatement écarté et il saisis le cadavre de son père dans ses bras. Lorsque il releva la tête, mario fixa cet homme, celui qui venait de m'ôter la dernière chose qui me restait sur cette terre.

Bien sûr, son visage était dissimulé par un capuchon blanc et Mario n'a pas pu le regarder droit dans les yeux mais cela ne l'a pas empêcher de le dévisager pour que ce souvenir lui reste pour toujours.
Puis, il est partit. Telle une ombre, il s'est fondu au cœur des plantes de la cour et a disparu. C'est à ce moment qu'il à jurée de tout faire pour venger son père. Mais désormais, au bout d'un an, il douta que sa méthode soit si brillante qu'il l'avais supposé …

Énormément de fautes et de répétitions.
Sinon, le chapitre est plus clair.

Si tu veux, je te corrige ton chapitre. Tu veux ?

Oui je veux bien.

Voilà la correction, peut-être pas parfaire hein, j'ai mis le texte intégralement au passé. ^^"

• Une vive lueur le forcait à ouvrir les yeux. Face à une aveuglante luminosité, Mario remua dans ces draps afin de trouver une position où le soleil ne l'agresserait pas. Dès que c'est chose faite, Mario ouvrit ses yeux et parcourra sa chambre du regard.

Bien décorée, avec des coussins et des tentures d'étoffes les plus chères, c'est sans doute sa pièce préférée. D'autant plus qu'il n'y a que lui qui ait le droit d'y pénétrer. Son refuge, en quelque sorte.

Dans un discret soupir, Mario s'assit dans son lit et s'étira avant de poser pieds à terre et de s'habiller. Avec des gestes rapides, Mario enfila sa tenue, pour le moins singulier pour un homme.
Un pantalon rentré dans des bottes, une veste avec par-dessus un habit, largement,maintenu à la taille par une ceinture.

Yoshi lui reprochait sans cesse cet accoutrement mais Mario voulait être toujours prêt. Au cas où. Les beaux pantalons et autres toilettes de luxe ne sont pas pour moi. Mario s'avança vers le fond de sa chambre et se baissa au niveau du coffre qui s'y trouvait.
Sans la moindre hésitation, Mario l'ouvrit et sélectionna ces armes habituelles. Un petit poignard dans chaque botte, et une dague plus longue bien dissimulée sous son habit.
Mario se releva et se diriga vers le meuble près de son lit pour y saisir son épée. L'épée de son père. Une magnifique arme blanche au bout légèrement recourbé. D'un mouvement expert, Mario l'accrocha à sa ceinture et quitta sa chambre sans plus attendre.

A peine Mario avait descendu les escaliers qui menaient à la cour intérieur que Yoshi bondit :

- Daisy veut te voir.

Mario rencontra ses couettes brune tandis qu'il répondit d'une voix ferme :

- Je viens à peine de me lever ! Elle attendra !

- Je te le déconseille Mario. Elle est de très mauvaise humeur.

Contrarié, Mario détourna la tête vers la fontaine qui siège au centre de la cour et même son clapotis, pourtant si apaisant, ne parvint pas à stopper l'irritation qui monta à cet instant en lui.
Histoire de trouver la force , Mario inspira profondément et passa devant Yoshi pour se rendre dans la pièce destinée à la réception de nos invités. Avec plus de fureur que Mario ne l'aurais voulu, il ouvrit la porte et avança vers Daisy.

Cet femme, aussi imposante que méchante, lui fit face, les bras croisés sur sa large poitrine et le toisa d'un air dédaigneux. De tous ses partenaires commerciaux, c'est celui qu'il abhorrait le plus. Derrière moi, Yoshi referma la porte mais resta en retrait.

- Qu'y a-t-il Daisy ? demanda Mario , d'un ton sûrement un trop blasé.

- Ma commande est en retard. Ce que j'avais demandé n'a pas encore été livré et j'ai moi-même des délais à tenir, tu le sais.

- Bien sûr, mais si celui qui me fait parvenir les armes d'Arsouf à Jérusalem est retardé, je n'y peux strictement rien.

- Ton père respectait toujours ses délais, vocifèra-t-elle en décroisant ses bras pour pointer son index droit vers Mario. Je me doutais que tôt ou tard, tu ferais une erreur. Un homme ne peut gérer une affaire de cette importance.

- Nous gérons cette affaire ensemble, intervint Yoshi, et jusqu'à preuve du contraire, je suis un homme. Nous irons voir ce qui prend autant de temps et nous vous tiendrons au courant Daisy, nous vous le promettons.

La femme fit un geste de mépris avec son bras et observa durant quelques secondes le décor qui l'entourait.

- Nous allons régler cette affaire et tu auras tes armes aujourd'hui, lança Mario.

Daisy reporta instantanément son attention sur Mario et le dévisagea tandis qu'il poursuivit :

- Je m'en occupe tout de suite.

Elle hocha lentement la tête en abordant un air peu convaincu mais finit par quitter la pièce. Une fois partie,Mario se retourna vers Yoshi prêt à se faire sermonner. Chose qui ne tarda pas à venir :

- T'es fou Mario de promettre de telles choses ? Si ça se trouve, la cargaison n'a même pas encore quitté Kouty !

- Dans ce cas, ce sera à nous de l'acheminer jusqu'à Guity. Et de punir ceux qui ont mal fait leur travail.

- Ça, c'est mon domaine, rectifia-t-il en me souriant en coin.

Mario dévisagea un instant puis décida à sourire avant de quitter la pièce dans le but de prendre son petit-déjeuner. De taille moyenne, une carrure élancée, des cheveux verts courts, le teint basané, Yoshi est en quelque sorte son lieutenant.
Il est là pour les actions que Mario ne peut réaliser et sa présence restait réconfortante même si Mario n'oubliait pas qu'il avait travaillé pour son père et donc toutes les sales besognes qu'il lui a confiées. C'est lui qui a tout appris à Mario dans ce domaine.

Avant la mort de son père, il n'était qu'un petit garçon sage, qui se contentait de répondre par oui ou par non et d'être beau. Son père avait même programmé son mariage à une femme tout aussi crapuleux que lui, dans le seul but d'entretenir et de favoriser ses relations avec lui.
Évidemment, Mario n'avait aucun moyen de protester et personne ne pouvait le faire pour lui. Sa mère est morte lorsqu'il avait six ans d'une grave maladie qui a également entraîné mon petit frère à peine âgé de trois ans.

Une vrai tragédie pour son père qui se retrouvait sans femme,. Comme il a regretté leur disparition …

Pourtant, un jour, tout avait de nouveau basculé. Son père a été assassiné. Violemment et sans aucune mise en garde. Il avait quinze ans à l'époque.
Étrangement, il avait l'impression que durant l'année qui venait de s'écouler, il avait pris dix ans d'âge et devenu mature et froid.

Cela s'était déroulé un soir d'été. Il ruminait quant à son futur mariage, seul dans sa chambre. Il entendit des bruits de lutte dans la cour. Mario descendit à toute trombe. Ces instants là étaient définitivement gravés à jamais dans sa mémoire. Il se souvenait avoir vu un homme vêtu de blanc penché sur le corps de son père, au sol. Totalement inconscient de la situation, Mario cria et bondit en direction de son père.
L'assassin s'est immédiatement écarté et il saisis le cadavre de son père dans ses bras. Lorsqu'il releva la tête, Mario fixa cet homme, celui qui venait de lui ôter la dernière chose qui lui restait sur cette terre.

Bien sûr, son visage était dissimulé par un capuchon blanc et Mario n'avait pas pu le regarder droit dans les yeux mais cela ne l'avait pas empêché de le dévisager pour que ce souvenir lui restait pour toujours.
Puis, il était parti. Telle une ombre, il s'était fondu au cœur des plantes de la cour et avait disparu. C'est à ce moment qu'il avait juré de tout faire pour venger son père. Mais désormais, au bout d'un an, il douta que sa méthode soit si brillante qu'il l'avait supposé …

Il y avait vraiment beaucoup de fautes, essaye de les voir en comparant ma correction à ton chap.

Merci beaucoup mon j'att mainteant kirby.

Je n'aime pas trop le style théatrâle.

Pourtant c'est ce style que tu as utilisé pour ta fic !

Mais beaucoup moins.

KirbyBrawl, je te dis juste que je vais bientôt faire une fic.

Moi comme tu peux le voir ma fic est toujours au style théâtral !
Si tu as le temps tu pourrais venir la lire et la commenter ? J'en suis au chapitre 34 !

Je te dit oui maintenant, car le texte est plus clair. Mais évite les répétitions et fais moins de fautes. Et donne plus d'informations sur le scénario.

.·´Oui`·. c'est un beau "oui"

Oh j'ai pas dit, mais je suis d'accord aussi, mais veille beaucoup à l'orthographe WoOahou, je te raterais pas si les fautes d'ortho sont trop nombreuses dans les prochains chaps.

Fiction de loupsolitaire lockée...