Youpi 200ème message !
Je suis déçu que Galdeano ne sois pas au taquet aujourd'hui...
Il doit avoir un empechement...
je suis Toujours aussi bien , a quand le prochain ?
De temps en temps ( ce week end par exemple ) organise une course en live ça rammène du monde et c'est passionnant
Gold je retiens ton idée merci je vous préviendraisquand je le ferais mais il faut dabord que je rattrape ma carrière en Mars.
Peut-être le prochain ce qoir vers 22h max sinon ce sera demain je vous redirais quoi je l'ai déjà commencer mais de là à le terminer c'est pas gagner...
Je vous prie de m'excuser mais je n'arrive pas à finir l'épisode je fait ma rentrée demain et le stress m'empeche complétement d'écire j'ai les doigts engourdis.
Je vous publirais donc la suite demain promis ! Encore désolé.
Ouh pas c'est pas grave, ça m arrange, vu que j'avais repris les cours hier, j'avais 2 épisodes de retard donc...
Merci de nous faire vivre cette très belle histoire, et t'inquiète pas, beaucoup de monde suis mais avec la rentrée, c'est dur de se connecter la journée.
Oups je voulais dire: "Ouh bâs c'est pas grave" et pas " Ouh pas..." xD
Sa y est je suis rentrée j'ai philo de 16h à 17h et puis je rentre ! je devrai donc posté vers 19h a tout péter
fait vite, je sens que certain ne peuvent plus attendre, fais vite mais, bien, comme d'habitude!!
Épisode 16 : Mauvaise opération.
30 Janvier : J’étais le premier en bas ce matin et je prenais le petit déjeuner, lisant le journal du jour en silence. Mais ce silence était appelé à se perdre au fur et à mesure que les coureurs arrivaient. Puis Julian qui venait de descendre me demandait si j’avais bientôt fini de lire le journal. Regardant rapidement le profil…
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…je lui répondais que oui et lui rendais le journal.
Avant de lui rendre j’avais vu que Jos et Wladimir remontaient dans le classement général avec les cassures et les bonifications. En fin de compte on avait rattrapé notre retard du contre-la-montre par équipe !
Wladimir était 10ème tandis que Jos se classait 14ème mais avec des bonifications tout pouvais changer rapidement. Je sentais aussi le danger de la part de Saïd Haddou qui était bon sprinter et qui pouvais prendre le maillot vert, mais bon c’était Roberto qui faisait le briefing et pas moi, on verra ce qu ‘il en dit.
Puis Roberto descendait à son tour et il s ‘adressa immédiatement aux gars et leurs dit : «Désolé le président n’appellera pas ce matin il est trop occupé. Cependant il tient à vous féliciter et vous encourage à garder ce maillot. » Au même moment je recevais un SMS de Mr. Abu Yalla me remerciant d’avoir emmené son fils, il me souhaitais une bonne journée. Puis on prenait le bus dans lequel l’atmosphère était détendu, les gars devaient sans doute déjà savoir ce qu’ils avaient à faire.
Mon portable vibra soudainement…Je vis que je ne connaissais pas le numéro qui m’appelait mais je répondis tout de même. Il s’avère que c’était Marco l’éclaireur, qui m’appelé depuis la Hollande où il venait d’atterrir. Le président lui avais passé mon numéro et il m’appelait pour me dire qu’il ne commencerais à suivre Rolf que demain. La conversation m’avait suffit à comprendre que l’homme avait une cinquantaine d’années, sa voix était grave, posée, correspondait sans aucun doute à sa réputation et à l‘image que l‘on se faisait de lui. Il était clair dans chacune de ses phrases, tel un expert. Il raccrocha après avoir souhaitais bonne course à l’équipe.
Puis le bus arrivait et une fois garé on prenais place pour le briefing. Roberto pris donc la parole :
« Bon les gars, aujourd’hui les jambes deviennent lourdes, mais on a plus que 2 étapes à faire…Il faudrait soigner le sprint final aujourd’hui pour éviter de mettre le maillot vert en danger. Je compte sur vous, vous savez ce que vous avez à faire. » Sur ces mots il nous laissa libre de sortir du bus. Je fermais la marche avec Roberto en lui tapant dans la main et en disant qu’il était très compétent. Il me pria alors de n’emmener personne aujourd’hui dans la voiture. J’acceptais en rigolant. En descendant je regardais le ciel, bleue comme à son habitude dans le pays mais toujours ce vent du désert qui pique les yeux. Je regardais à présent Roberto qui chargeait la glacière et Mario qui s’occupait des vélos. J’étais debout devant l’entrée du bus. Mon regard se tourna sur la gauche et je vis Wladimir qui me regardais calmement, appuyés sur son guidon, le regard serein et un sourire lorsque nous regard se croisèrent. Puis il poussa sur une pédale de son vélo et fis lentement demi-tour. Je ne sais pas pourquoi mais je compris qu’il voulait me parler et je le rattrapais donc. Une fois arrivé à sa droite il entama la discussion en Français : « Vous apprenez vite le métier, c’est une bonne chose pour nous de vous avoir comme coach. Tout se passe bien pour vous ? » Je lui répondais que cela se passais plus que bien, que j’étais bien intégré dans l’équipe et que les résultats le prouvaient. Il reprit alors : « Vous savez les gars ont confiance en vous et ils trouvent sa sympa que vous soyez venus jusqu’à nous alors que vous n’étiez pas obligé, c’est pour cela aussi qu’ils étaient contents de gagner. Vous êtes un homme bien pour eux. Cependant il faudra continuer à avoir des résultats pour plaire encore aux sponsors. » Je voyais ce qu’il voulait dire et lui confia de ne pas s’inquiéter pour moi, que la victoire d’étape n’était pas la plus grande récompense. Sur ces mots il me laissa et partit signer la feuille de course.
A mon retour on embarqua dans la voiture et on se plaça dans la file. Après le départ une échappée de deux coureurs pris la fuite et le peloton laissa partir. Puis il y eu plusieurs contre d’après ce que l’on voyait à la TV. Roberto dit alors aux gars de bien se placer. Une fois que les Bouygues Telecom prenait le contrôle de la course on ne vit plus personne dehors à part les deux hommes partit devant. A 30 km de l’arrivée les gars étaient repris est Roberto faisait le dernier ravitaillement. Il demanda ensuite à l’équipe de se placer à l’avant pour entourer Wladimir. A 20km de la fin ce dernier montrait des signes de fatigues, et plus inquiétant, d’anxiété. Roberto le motivait donc : « Wladimir te complique pas la vie, suis Saïd et tout ira bien. » C’est alors Hubert le polonais qui prenait la roue de Haddou bien suivi par Wladimir. Julian de son côté était chargé d’emmener Jos.
A 5km de l’arrivée le peloton lança le sprint et Jos accrocha parfaitement la roue de Muller le maillot jaune qui remontait vers l‘avant. Saïd lança son sprint de loin mais gicla avec une telle puissance qu’il décrocha Wladimir. Ce dernier passait la ligne en 15ème place, derrière Haddou qui s’était imposé…Nous étions bouche bée dans la voiture…Bien sur Wladimir aurait le maillot vert pour un 3ème jour, mais Haddou venait de montrer quelque chose de fort, il y aurait donc bagarre demain pour ce maillot. On alla applaudir Wladimir sur le podium, et il fut réconforté par les coureurs en remontant dans le bus. Mais le retour se fit en silence. Roberto et moi-même savions qu’il faudrait motiver les troupes demain. On ne regarda pas la rediffusion et on conseilla au coureurs d’aller se coucher plutôt. Puis on en faisait de même.
Au fait Jos vint me parler avant d’aller dans sa chambre, il s’excusa d’avoir finit 25ème mais je lui dis que ce n’était pas grave il avais montré d’excellent réflexe pour prendre une bonne roue. Puis il me demanda des nouvelles de Rolf. Je lui dis alors qu’on allait le surveiller et qu’il n’avait pas à s’inquiéter. Sur cela j’entrais dans ma propre chambre et consulté mes nouveaux mails. J’avais reçu un rapport de Umberto : « J’ai découvert un autre coureur en Italie, il se nomme Gémelli, c’est un grimpeur que je vais surveiller avec Toniolo. Il n’a que 21 ans et serait à surveiller d’après moi. Je vous laisse en espérant que la course se soit bien passée. »
Cette nouvelle me remonter quelque peu le moral mais je n’oubliais pas qu’aujourd’hui l’équipe avait fait une mauvaise opération…
En pricipe je devrais publier vendredi dans la soirée ou samedi matin.
J'éspère que vous serez là.
Etant donné le boulot je publirais l'épisode 17 demain à 14h pétantes.
L'épisode 17 s'intitule : "Tenir coûte que coûte."
Bonne soirée, soyez là demain !
Super
Épisode 17 : Tenir coûte que coûte.
31 Janvier : Ma nuit n’était pas si tranquille et, manquant de sommeil, je restai dans mon lit me reposer quelques instants encore. J’étais allongé, regardant le plafond et pensant à la journée chargée qui nous attendait. Aujourd’hui nous devrions remporter un autre maillot, celui de sprinter. Oui mais à bien y réfléchir la logique voudrait que ce soit Saïd Haddou le sprinter des Bouygues qui gagne ce maillot. Il avait remporté les deux dernières étapes sans contestation. Je savais que Wladimir se battrait pour ce maillot jusqu’au bout, cela me faisais mal au cœur chaque fois que je pensai qu’il pourrait le perdre.
Je décidai de ne pas avouer mes craintes aux coureurs . Je me levai à présent et aller à l’autre bout de ma chambre consulter mes mails et demandai les dernières invitations à des courses continentales. En principe je devrais participer à 6 ou 8 courses et classiques, mais je communiquerai tout cela plus tard.
Puis je me dirigeai vers la sortie de la pièce quand je fus arrêter par la sonnerie de mon téléphone. C’était le président qui souhaitais me parler : « Bonjour -je rappellerais Roberto après pour parler aux coureurs- d’abord je dois m’entretenir avec vous. Comme vous le savez Marco va commencer à suivre Rolf et je me suis renseigner à son sujet, apparemment il serait à surveiller. Vous pouvez donc dores et déjà féliciter Jos en privée de nous avoir envoyer sur la piste de son compatriote et lui dire qu’il a rendu service à l’équipe. Maintenant que je vous ait apporté cette précision, je voudrais vous mettre au courant de la suite du programme de l ’équipe : Demain 1er Février vous allez rentré en avion. Vous le prendrais de Doha avec l’équipe à 9h là bas et vous serez en Italie à 11h avec le décalage horaire. Ensuite toute l’équipe sera invitée à déjeuner au restaurant puis dans l’après-midi nous ferons le bilan du mois de Janvier et nous jetterons un coup d’œil global au mois de Février. A ce propos je vous remercie de m’envoyais des copies de vos demandes d’invitations à chaque fois, j’avoue que c’est agréable d’être tenue informer fréquemment. Je vous rappelle également que vous avez le premier objectif important de la saison dans ce mois. Il sera donc bienvenue d’aligner l’équipe type au RDV, qu’en pensez-vous ? »
Enfin le président me laissais la parole et je puis répondre à sa question qu’en effet son hypothèse serait appliquer. Puis je lui racontais ma discussion avec Wladimir la veille et il me rassura que c’était une bonne chose. Puis il reprit : « Au fait je vous informe que Basileo prévoit bientôt le retour de Mykahilo ! Il faudra qu’il se remette immédiatement en forme, mais nous n’annoncerons la nouvelle que lorsqu’elle sera sûre. Du reste j’espère que tout se passe bien pour vous ? J’ai reçu deux candidatures pour les équipes nationales. Il faut croire que vos récentes performances ont poussées la France et l’Italie à vous proposer de s’occuper de leurs Équipes Nationales. J’ai lu attentivement le règlement quant au dates définitives des réponses aux candidatures et vous avez jusqu’au 2 Février pour vous décidez. Réfléchissez-y d’ici là. »
En effet le choix n’était pas fait d’avance et sur ces mots on mettait fin à l’appel. Puis je reçu un SMS de Marco, en descendant prendre le petit déjeuner, qui me confirmait commencer sa mission dès aujourd’hui. Arrivé en bas je rejoignais les coureurs et vit qu Roberto commençait déjà à les motiver. Je décidais d’en faire autant. Enfin je m’asseyais et prenais mon petit-déjeuner, je méditai alors sur le choix de l’équipe nationale que je dirigerais. Ma réflexion fut interrompu par le coup de fil du président qui parla à tous les coureurs. Je décidai de reporter mon choix à plus tard.
Il ne perdit pas de temps et informa tous de suite les coureurs de leur programme. Une fois qu’il avait fini il laissa un blanc et repris la parole apparemment pour motiver les troupes : « Écoutez-moi tous, je ne suis pas votre DS ni un grand orateur, je ne suis pas un super président ni même un homme d’affaire important. Je suis ce que je suis : Un homme passionné de vélo à la tête d’une modeste équipe. Alors jusque là rien d’important à part que cette équipe fait parler d’elle récemment. Comme je l’ai déjà dit à vos collègues, toute la saison ne sera pas brillante. Mais il faut profiter de cette instant de gloire et le mettre à profit. Je vous encourage donc à donner le meilleur de vous-même, à être audacieux et courageux jusqu’à la ligne d’arrivée et faire tous votre possible pour que ce maillot reste dans l’équipe. Quoiqu’il arrive je resterais fier d’être président de cette équipe. Je vous fait confiance et en tant que père de cette petite famille je vous souhaite bonne course et vous soutiens de tout mon cœur. Sachez que nous regarderons avec le reste de l’équipe l’étape et que nous serons derrière vous à chaque instant. J’ai eu vent du soutien sans faille de vos amis qui vous appellent chaque soir. Mettez ce soutien à profit et battez vous pour chahuter les grandes équipes comme vous le faites si bien depuis le début de cette saison. Sur ce bonne course ! »
Le téléphone raccrocha dans la foulée mais tous le monde le regardait encore, immobile sur la table, silencieux. Tous les coureurs réfléchissaient encore à ce discours. Enfin les bavardages reprirent doucement et après avoir fini de prendre le petit déjeuner on montait dans le bus et aller vers la banlieue de Doha pour faire un circuit qui nous amènerais à Doha Corniche. Le podium final aurait la mer rouge comme arrière plan. Arrivé rapidement dans l’enceinte on se levait tous de nos places et on regardait les stands défilaient sous nos yeux. Nous étions concentrés et regardions les autres d’un air de défi. Le public nous pointait du doigt en nous voyant tous lever face à eux à travers les vitres. Puis le bus s’arrêta et pendant que les coureurs allaient vers les paperasses officielles je restai dans le bus avec Roberto et l’aidais à préparer le briefing. Il avait placer les sièges face à un petit tableau derrière le siège du chauffeur. Cela me faisait penser à une salle de classe. Enfin on motiva les coureurs qui remontaient un à un dans le bus. Puis Roberto commença le briefing une fois qu’ils étaient tous là et que je m’isolais au fond du bus pour observer. Il prit alors la parole en nous dévoilant le profil agrandi :
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« Aujourd’hui le plan est simple. Il n’y a que 120 km donc nous auront droit à une course rapide qui se jouera dans les 20 derniers Kms après avoir passer le dernier sprint intermédiaire. Il serait aviser pour Wladimir d’aller prendre les points du premier sprint intermédiaire situé à seulement 16kms du départ. Il faudra donc veiller à ce qu’il se glisse dans l’échappée car nous ne serons pas sûr de les avoir si le peloton passe en tête. Sinon personne ne sort après, pendant toute cette étape je veux que tous le monde soit avec Wladimir, car il nous faut ce maillot. Au sprint on appliquera donc le train habituel qui devra se placer devant sauf que si Wladimir voit la roue de Saïd, il doit l’attraper et à ce moment là Jos deviendra le sprinteur final du train et non plus le poisson pilote. Si Saïd se classe dans les trois premiers et que Wladimir est derrière lui il perd le maillot. Si Saïd se place après les trois premiers, Wladimir doit être classé juste derrière lui pour garder son maillot. Si il n’y a ne serait-ce qu’un seul coureur entre les deux ce sera fini, on aura plus le maillot. Mais sachez qu’avoir ce maillot était quelque chose d’inespéré avant de venir ici et par conséquent que nous avons réussi une bonne course. Je suis fier de vous les gars, alors bonne chance ! »
Sur ces mots il laissait les coureurs sortir du bus. Je restais avec lui pour lui dire qu’il avait bien fait. Puis on descendais juste à temps pour encourager les gars une dernière fois. Ensuite on montait dans les voitures et Roberto vérifia que tout fonctionné, c’était le cas et quelques minutes après le départ fut donné.
Épisode 17 : (Suite et fin)
Nous étions tous angoissés dans la voiture. Puis Radio Tour annonça que plusieurs échappées attaquaient. On vit à la TV que pour l’instant Wladimir n’était pas en compagnie des deux hommes de têtes mais qu’il était en contre juste derrière avec 5 autres coureurs. Ils se réunirent donc à 8 alors qu’il ne restait que 6 km avant le sprint et que le peloton revenait. Alors que le peloton reprenait les hommes de têtes Wladimir partit en contre seul. Derrière Roberto prenait l’émetteur et commençait à crier en regardant l’écran : « Vas-y c’est ta chance allez tiens le coup ! » Puis on vit devant que Davide et Julian essayaient de distraire l’avant du peloton et de le ralentir. Mais il se firent rejetés, Roberto leur dit alors en rigolant légèrement que c’était bien essayé. Puis on vit Wladimir passait en tête, l’Ukrainien avait donc repris quelque points d’avance mais ce ne serait pas suffisant pour garder ce maillot. Il mouliné à présent et se faisait reprendre par le peloton.
Du reste de la course il n’y eu pas grand-chose à signaler à part plusieurs coureurs qui tentaient de partir mais Roberto se mordait à chaque fois les doigts que le peloton revienne. Puis le 2ème sprint intermédiaire arrivait et on vit alors une attaque de Saïd Haddou accompagnait d’un de ses coéquipier. Les deux étaient partis seuls et Wladimir qui n’avait pas suivi parla immédiatement à la radio : « Dépêchez vous de venir rouler SVP ! Saïd est parti devant avec un de ses potes vite faut rouler. Roberto qui ravitailler alors l’équipe par l’intermédiaire de Christiano jeta alors un coup d’œil sur l’écran et vis avec stupeur que Haddou était devant. Il disait donc à Christiano de faire vite et on le vit repartir en effet au plus pressé. On voyait le peloton menait par les gars tous devant, bien aidé par quelques équipes qui ne voulaient pas prendre le risque de laisser ces deux là devant. On voyait que les gars se parlaient énormément comme pour se donner des conseils. Puis heureusement les échappées étaient reprises et derrière un contre parti avec des coureurs moins dangereux. Wladimir et Jos avaient surveillés les attaques de près. Le peloton laissait donc un peu de temps aux échappées avant d’aller les rechercher après le sprint intermédiaire. Au sprint final le train était en place et Roberto finissait de donner ses consignes. Puis on vit un bon début de sprint et d’un coup Saïd commençait à dépasser Wladimir. Jos qui était devant lui cria alors quelque chose puis il fit son effort quelques secondes après, Wladimir dans sa roue. Ils étaient à présent à hauteur de la roue arrière de Haddou qui continué son effort alors que 2 coureurs lui passait devant dont un Serramenti. Wladimir fit son effort et commençait à remonter réellement à hauteur du sprinter des Bouygues. Ce dernier s’arracha sur la ligne et doubla le Serramenti qui s’était relâcher trop tôt. Dans la voiture Mario criait de tristesse, Haddou venait d’arracher le maillot en mettant le Serramenti entre Wladimir et lui. C’était impensable, incroyable, inimaginable. Wladimir venait de perdre ce maillot qu’il aimait tant. Tout cela parce que un gamin n’était pas capable d’emmener son sprint jusqu’au bout. Même moi qui d’habitude accepte ce genre de situation là accusais le coup.
Je grondais de colère et sortais de la voiture pour me défouler, je ne supportais plus rien. Après m’être calmer je remontais dans le bus plus triste que jamais. Au bout de 10 minutes tous les gars nous avaient rejoint et ils se changeaient dans le silence le plus total. Ce fut l’ukrainien qui remontait en dernier dans ce bus, mais qui nous remonta tout de même le moral : « Faites pas cette tête là les gars, oubliez pas qu’on a gardait le maillot 3 jours. Je ne suis pas sprinter mais baroudeur, il était logique que je laisse ce maillot au profit de Haddou. Mais regardais on a remporté ici nos 2 premières victoires de la saison.
Et regardais le palmarès Jos finit 5ème du classement général et moi 6ème. Et je finis 2ème aux points. Ce n’est pas si mal. » A présent il nous passait le palmarès et je me dis que c’était lui qui venait de faire le bilan de la course et de belle façon. Au fur et à mesure que les minutes passaient mon moral grimper de nouveau. Et je devais avouer qu’on s’en étais bien sortis en voyant ce palmarès :
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Mais l’équipe était encore abasourdis de perdre le maillot au dernier jour et arrivé à l’hôtel on ne regardait pas la rediffusion, on allait se coucher et finir de préparer nos bagages. On aurait toute la journée de demain pour apprécier nos performances. Pour l’instant on réagissais comme des enfants gâter qui ne comprenaient pas ce qu’ils avaient réalisés !
Et ces malheureusement avec cette impression que je m’endormais…
Hey Casper ça va ??
j'ai pas pu trop suivre cette semaine vu que j'avais pas internet et que la ça bug
Mais t'inquiète si tout va bien je vais tout rattraper et je serais de nouveau au taqué
Oui bon laisse moi tranquille avec mon taquet on fait tous des erreurs
Bon je suis on ne peut plus content de te revoir sur le forum j'ai lu ton message dans le topic "blabla" donc je ne faisais pas de soucis mais sa me fait bizarre de ne plus avoir de coms à ma story ! Et puis je suis content aussi que tu ailles voir ma story dès ton retour
Bonne journée content de te revoir encore !
Vu le succès de ton récit je vais rattraper mon retard et commencer à suivre.
Je te remercie énormément de to,n soutien Vino et je sais à quel point il compte car je suis moi aussi ta story et j'avoue m'en inspirait quelque peu. Pour moi comme pour les autres ta story est un exemple !
Et puis ton post correspond à ma réaction sur le topic "antre des modérateurs" que j'ai posté il y a moins d'une minute ! mdr
De rien Casper. ^^
C'est normal, quand on fait une histoire, d'aller voir à coté ce que font les autres. En tout cas je suis content que tu t'inspires un peu de ma story.
La tienne aussi est un exemple.