Quand je dis que tu m'as donné une idée avec ton histoire de déflagration, c'était qu'en fait je savais pas comment me débarrasser de mes nouveaux alliés

pardon je parlais à Levail

3 post en solo tu ne sais vraiment pas quoi faire

Non

Je poste ma mission tant attendue dans 2 minutes ; le temps de faire le bilan

Mon récit manque de dialogue

mais arrête et post là a la fin flood en force là

Là j'avoue t'abuse un peu

Ma mission :

« Ahhhh… »
Larn s’affala dans les herbes hautes. Après près de trois heures de cheval sous une chaleur lourde de gros nuages menaçants, hommes comme bêtes méritaient un peu de repos. C’est que Santaruz n’était pas la porte à coté ! Et, le galop des bêtes ne sachant être régulier, les assaillis devraient attendre un petit moment de plus sous les coups des assaillants.
Pour l’instant, l’abreuvement général était prioritaire. Chacun vida de moitié sa gourde, ou son sac de peau pour les équins.

Mais une chaleur pareille ne laisse pas à désirer de se prélasser dans les champs et les prés. Aussi le groupe repartit-il quand ils n’entendèrent plus la respiration rapide et haletante des chevaux, signe d’épuisement encore présent.

Larn se releva lentement, ses moindres gestes ralentis par la mollesse de l’ambiance. Puis il marcha d’un pas lourd vers son cheval Rodey, une belle bête rousse à la crinière pâle. Trop fatigué pour monter d’un bond sur le dos de sa monture, il mit un pied dans un étrier… et tomba comme une masse dans la poussière.
« Putain de merde… » déclara-t-il avec mollesse extrême. Il se releva, et cette-fois ci, sauta sur l’animal dans un petit essor. Il flâta l’encolure de Rodey, puis fit claquer les rênes en signe de départ. Les chevaux commencèrent lentement.

Deux heures plus tard, la ville était en vue. Santaruz était une bien belle ville, bien construite sur le plan architectural, avec une jolie et grande église, et originale, car toit en ardoises vert d’eau.
La ville se trouvait dans un vallon, dans lequel elle s’étendais tout de même bien. Les sept cavaliers se trouvaient sur une grande colline qui surplombait l’ensemble de la petite vallée. Larn fit un calcul rapide. Ils seraient là-bas en environ un quart d’heure.

Un petit vent frais soufflait maintenant sur le paysage, rafraichissant et soulageant le groupe de faux chevaliers, leur apportant une énergie nouvelle, celle du soulagement.
Larn entama la descente en premier. La pente était douce, les herbes basses et grisâtres ; qui émettaient plus un bruit de craquement sec qu’un bruit doux et ondulant que produisent les herbes souples qui environnaient la tour d’Orion. L’humeur de Larn descendit d’un cran en voyant ce triste paysage. La ville était une fameuse touche de couleur dans le vallon, en dehors des quelques herbes rougâtres sayant très bien au paysage morne qui évoquait le tableau d’un peintre démoralisé. Aussi Larn, que ses compagnons imitèrent bientôt, préféra regarder la ville pour l’étudier, au fur et à mesure qu’ils en approchaient.

Bientôt, ils furent à l’orée de la ville. Sautèrent de leur monture d’un bond, les muscles à présent réveillés par la fraîcheur qui précédait la pluie. De jeunes et frêles arbres osant pousser dans ce paysage dénudé de couleur firent office d’accroche pour les chevaux, qui de toutes façons s’échapper était bien la dernière chose à laquelle ils pensaient.
Pendant que le ciel se couvrait de plus en plus, les hommes accrochaient leur casques et sortirent leurs épées pour ceux qui en possédaient.

Mais je n’ai pas encore présenté les compagnons de Larn:

Cykiro, un mage excellant dans sa matière, et aussi un ancien compagnon de fortune de Larn, accompagnait ; avec Labsinte, jeune épéiste vive comme l’éclair, aussi compagne de Cykiro, tous deux faisant un crochet par la tour d’Orion lors d’un voyage, tombèrent sur Larn, au bon moment.
Et en dernier, Isuh, combattant mystèrieux âgé de 38 ans s’étant proposé à l’expédition.

Enfin, après d’assez brefs préparatifs, les quatres personnages pénétrèrent la ville par un passage dissimulé, d’un seul pas.

La ville n’était pas déserte. Les « ennemis inconnus», suffisament nombreux, poursuivaient les habitants jusque dans les plus obscures ruelles pour les faire baigner dans leur sang. Larn, Cykiro, Labsinte et Isuh préférèrent se séparer en deux groupes, Larn et Isuh, et Cykiro avec Labsinte, évidemment.

Les quatres personnages se mirent donc à arpenter les ruelles en éventrant les ennemis qui approchaient. Mais détaillons un peu plus la situation.

A peine Larn franchit-il un tournant, qu’un brigant jaillit de nulle part. Ce crétin venait des toits et s’embrocha sur l’épée de Larn. Déséquilibré, il s’écrasa au sol avant qu’un ennemi maîtrisant mal la lourdeur de son épée ne rentre dans Isuh pour se faire oublier la gueule à coups de hache.

Larn se releva d’un bond, décapitant -sans faire exprès- un né de la dernière pluie venu au monde pour l’emmerder qui courait comme un possédé en croyant que des fantômes le poursuivaient.

Surpris pas la facilité avec laquelle ils pourfendaient les « assaillants », Larn et Isuh ne tardèrent pas à tomber sur un vrai coriace, mais stupide, enfin un peau-de-sac-à-main comme on les appelle. La brute bardée de fer lança un caillou qui cassa l’épée du bretteur, qui pris celle de rechange immédiatement en main.
Larn essaya de charger, mais son épée, bien qu’en acier, ne résussit qu’à perçer le cuir renforçé des vêtements du soudar. Ce dernier riposta violemment par un énorme coup de poing dans les jambes de Larn. Qui ne fit que précipiter la fin de l’imbécile. Larn avait l’épée pointée, qui s’enfonça dans le cerveau du monstre qui n’en possédait pas vraiment.

« Quelle bande de cons, on dirait des drogués… ??? » se demanda Larn. A vrai dire, les ennemis se comportaient vraiment plus comme des novices plus que des combattants expérimentés. Après avoir déblayé les ruelles, Larn , Isuh, Cykiro et Labsinte se retrpuvèrent avec la même consternation, sur le visage comme dans l’esprit. En se comprenant d’un regard, ils avançèrent vers la place.

Là, une grosse fontaine trônait au milieux de la grande place. Une belle, très belle fontaine en marbre rose… avec un prêtre en soutane rouge assis sur le poisson qui vomissait des litres et des litres d’eau.
Méfiants, Larn et compagnie s’approchèrent, les muscles tendus, les armes prètes.

Mais ils ne s’attendaient pas à ça. Sans prévenir, le prêtre poussa en cri de tous les diables tandis qu’une lueur de folie tenaçe s’allumait dans ses yeux. Tout en faisant, il jeta la pierre grise en forme d’heptagone sur le quatuor.

Les pavès explosèrent. Le rire tonitruant ponctua cette déflagration terrible.
S’écooula plusieurs instants. Puis surgirent de la fumée des milliers de corbeaux, qui griffèrent le visage des cadavres avant de s’envoler.

Puis...

Larn poussa un énorme soupir avant de s’élancer. L’homme avait disparu. En lançant cet heptagone. Simple distraction, pour jeter un sort mortel. Il ne devait sa chance qu’à son instinct de recul, qu’il avait appris par des années d’errance de contrée en contrée.

Mais ses amis n’avaient pas eu cette chance. Larn observa quelques secondes les membres éparpillés partout dans la place.

Puis il s’enfuit.

Bilan :fou :

- Je sais plus combien d’écus
- 3 camarades perdus
- Un Larn qui pige rien à la situation
- Euhhhh niveau 2 niveau 3 depuis bien longtemps déjà devrais-je dire
- Un nouveau magicien fou qui lançe des bombes à tout bout de champ qu’il va falloir espionner

Tadam

Quand je dis bombes c'est une façon de parler hein
c'est à dire des magies quoi

désolée triple post j'ai oublié de vous demander votre avis

bon une fois c'est marrant, deux fois sa l'est encore, mais 3 fois....sa l'est toujours
stp arrête de faire des triple/quadruple/quintuple post Le forum est un peux vieux donc on ne te répondra pas aussi rapidement que sur le forum d'un jeux qui vient de sortir

mais à chaque fois j'oublie de dire des trucs pourquoi on peut pas effacer les posts ?????
Du coup je suis obligée de remettre un post

Pas mal mais tétait obligé de tué Labsinte ?

Moi je dit vangeance Ike me comprendra

Levail aime les vengeances! Et moi aussi!

Araphen, c'est ça? Parfait, prochaine mission, je vais en profiter Tu vas aimé Lutialoe

Bon, je vais reprendre quelques éléments de mon ancien personne d'Emblem mais je lui ai inventé une histoire complètement différente.

Nom : Erwin
Âge : 33 ans
Classe : Héros (ou mercenaire si première classe)
Arme : Épée de fer
Rôle : Il est entièrement dévoué à la compagnie et ses membres.

Le parcours d’Erwin commença le jour où il s’engagea dans l’armée de son royaume. À cette époque il n’était encore qu’une verte recrue qui avait le feu dans les yeux et tout à prouver. Ce n’était certes pas le plus talentueux mais il attira tout de même très vite l’attention de ses supérieurs. Ceux-ci, après avoir pu admirer son courage et son leadership, ont décidé de lui confier plus de responsabilités en le promouvant commandant et en soumettant une poignée d’hommes sous ses ordres. Pendant les années qui suivirent, il ne cessa d’amasser les victoires et ses prouesses firent le tour du continent. Sa renommée le propulsa au sommet le jour où le roi, en guise de remerciement pour tous ses efforts et sacrifices faits au nom de la cité, le nomma général.

Cependant, une terrible guerre qui changea à jamais le visage du continent faisait son apparition. Erwin fut appelé à combattre au front avec ses hommes pour défendre ce qu’il avait toujours protégé. La bataille dans laquelle il s’était engagé dura des jours. Des dizaines d’hommes tombèrent au combat chaque jour. Il ne pouvait plus rien face à l’inévitable, le royaume allait être envahit. Dans un dernier effort, il rassembla ses derniers hommes et fonça droit vers l’ennemi dans une dernière tentative pour freiner l’ennemi. Il savait que c’était peine perdue mais il se devait de les ralentir pour donner le temps aux habitants de se mettre à l’abri. C’était la fin, ses braves soldats qui avaient donné leur vie pour sauver leur famille et leurs amis étaient tombés. Laissé pour mort, il se réveilla au milieu du champ de bataille, désormais désert. Il utilisa ses dernières forces pour se relever et se rendre péniblement vers la cité dans l’espoir de voir les siens victorieux. Ce qu’il constata à son arrivée l’horrifia. La ville avait été brûlée, les maisons pillées. Ces barbares avaient même égorgé les femmes et les enfants. Erwin avait échoué.

Cette expérience le rendit amer. Il sombra dans l’alcool pour tenter d’oublier. N’ayant plus aucun but et espoir en la vie, il se mit à vagabonder dans diverses villes à la recherche de l’introuvable. C’est alors qu’il était dans une taverne en train de boire sa dixième bière qu’un homme s’approcha de lui et lui fit une proposition qui allait changer sa vie. Orion venait de l’inviter à rejoindre ses rangs. Erwin accepta et rejoignit les mercenaires. Il avait désormais un but, une raison de vivre. C’est pourquoi depuis ce jour, il a une confiance aveugle en Orion et serait prêt à tout pour la compagnie ainsi que ses membres.

J'espère que ça le fera et j'ai hâte à ma première mission

Donc c'est un homme amer au passé sombre qui est assez dérangé puisqu'il n'a plus rien à perdre

Excellent ca promet pour la suite et tu semble sympa avec les mercenaires: pour les soutients powa

je dois faire un deuxième post parce que j'ai eu un "votre message est trop long" et que je devais le racourcir pour poster

donc

-je suis BloodSword

J'ai mentionné Fargus mais je n'ai pas préciser si il était encore vivant ou mort donc sa ira je pense.

Je n'ai pas le temps de lires vos mission ni de voir vos commentaire sur la mienne je verrai tout sa demain

Maintenant je vais avoir ma mission X alors Zihark tu va me donner quoi ? une mission sur la dracopierre, sur la resurection ? où les deux

sinon j'achete un Gespent
-7000 sa fait mal