parfait!!!! prochain chapitre: barduck est là, il voit topo mourir, il est fou de rage, il tue tout le monde, doria arrive aussi, il le fracasse, et il repart en le laissant coyant qu´il est mort!!! je sais que c´est ça car tu ne veux pas changer le cours de l´histoire!! j´aimerais donc bien que tu aille plus vite jusqu´à la destruction de la planète végéta afin de découvrir de l´inédit!!!

looksj : Je vais y aller doucement! Ne t´inquiète pas, on arrivera bientôt à la destruction de la planète Végéta et de ce qui s´ensuit lol!

Voilà! Le chapitre récemment rédigé va être posté! Comme toujours, j´attends de votre part des commentaires!Bien entendu, il serait oiseux, voir superflu de vous dire que je vous incite à me dire comment vous envisagez la suite. Constatant que certains de mes fans ne se sont pas manifestés depuis longtemps; je pense plus particulièrement à demon_yusuke, Suriak...., je leur prierai de bien vouloir se manifester.

Le prochain chapitre est le plus long rédigé jusqu´à présent! Je vous souhaite donc une bonne lecture, mes très chers et fidels liseurs!

Chapitre 22 : Un beau combat !

<< Que vous arrive t-il Doria ? demanda le leste gaillard avec déférence en regardant son supérieur dans les yeux.
- Une puissance relativement élevée vient à l’instant de s’affilier sur mon dispositif ! Il s’agit sans atermoiement de Barduck, je ne vois pas qui d’autre cela pourrait être.
- Vous avez sans indécision raison Doria ! repartit alors son interlocuteur par affabilité, tout en étant un peu perplexe quant à ce qu’il répliquait.
- Nous retournons sur nos pas ! clama alors l’autre tout en fixant son correspondant dans les quinquets. S’il s’agit concrètement de Barduck, nous n’avons pas d’autre alternative que de le lyncher ! N’oublie pas ce que Freezer nous a dit, aucun Sayen ne doit survivre, hormis, Végéta et Nappa.

Le robuste et vaillant comparse de Doria qui avait auparavant envoyé ad patres tous les complices de Barduck ne répondit pas ; il demeurait en effet interdit, pantois. Quant aux deux autres associés de la boule rose, ils considéraient leur supérieur de la tête aux pieds, ne sachant que dire.

Soudain, le fidèle acolyte de Zarbon à la bouille rosée et boursouflée ordonna aux hommes de main de Freezer de le suivre à destination du lieu précédemment exploré. À leur arrivée, Barduck ne semblait pas être au rendez vous ; toutefois, il ne tarderait certainement pas à rejoindre ses compagnons décédés. Doria et ses complices attendirent alors patiemment la venue du père de Kakayotto et ils ne furent point interloqués de voir au loin un homme voler en leur direction. Celui-ci, de taille moyenne, possédait une longue queue de couleur cuivrée tout comme ses congénères ; il portait en outre une balafre sur la joue gauche, dont l’origine provenait sans doute d’un combat antérieur. Vêtu d’une cuirasse qui tirait sur une couleur olivâtre, il finit par se poser solennellement et posément sur la terre ferme, puis il talonna du pied le sol granuleux qui s’offrait à lui. Ne prêtant aucune attention à ceux qui le toisaient à distance, il s’avança près des cadavres qui gisaient sans aucune vie sur le sol et lorsqu’il s’aperçut que tous ses compagnons étaient morts, une rage foudroyante s’installa en lui. Etant très aiguillonné et agité, il se résolut à combattre les assassins qui avaient commis un tel crime, mais son désir s’effaça lorsqu’une voix voilée l’interpella. Il s’agissait de Topo, l’un de ses meilleurs amis qu’il avait connu quelques années auparavant sur sa planète de résidence. Celui-ci, plus âgé que lui, lui avait en effet enseigné l’art du combat lorsqu’il n’était encore qu’un simple adolescent et constatant que Barduck possédait des pouvoirs hors du commun, il s’était allié à sa cause. Puis lorsqu’ils avaient fait plus ample connaissance, il lui avait présenté ses camarades et l’avait incité à intégrer son escouade.

La voix assourdie et sans éclat continua à interpeller Barduck.

<< Barduck ! proféra alors Topo en prononçant des bribes de mots inintelligibles.>>

Barduck qui était jusqu’alors méditatif, accourut à grandes enjambées vers son compagnon qui était recouvert d’estafilades fétides au visage ainsi qu’à d’autres parties du corps, tels que les bras ou les jambes. Se trouvant en face de son compère, l’homme à la cicatrice constata avec stupeur que celui-ci agonisait ; il n’avait en effet plus longtemps à vivre. Il leva alors la tête lourde de Topo, puis tout en grommelant, il s’adressa à lui d’une manière violente et impétueuse :

<< Que t’es t-il arrivé ? Qui t’as mis dans un tel état ? Réponds Topo ! Ce ne sont tout de même pas les résidents de cette planète qui t’ont amoché pareillement !? >>

L’autre, le teint creux balbutia :

<< Non ! Nous les avons éliminé facilement ! C’est Freezer qui est responsable de cette tragédie qui s’abat sur notre sort ! Il veut supprimer tous les Sayens !

Puis, comme il haletait et qu’il manquait d’énergie, il s’arrêta promptement de parler. Barduck, consterné par ce qu’il venait d’entendre dit alors d’une voix forte :

<< Freezer !? Non ce n’est pas possible !? Je ne peux pas le croire ! Quel monstre !

Son camarade qui commençait à reprendre son souffle reprit :

<< Retourne sur la planète Végéta et mets les Sayens au courant ! Dis leur que Freezer a l’intention de tous nous éliminer ! Force les à s’unir contre le Tyran ! Montre à quel point notre race peut être puissante !> >

Sur ces mots, le moribond rendit l’âme. Son ami, morne, se retint de sangloter, malgré la tristesse qui le rongeait de l’intérieur et lorsqu’il vit un foulard de couleur pourpre tomber sur le sol et appartenant sans doute à Topo, il s’en empara et s’en servit pour arrêter les effusions de sang qui coulaient sur la bouille ronde de son ami ; puis il le noua autour de son coup lorsqu’il entendit tout à coup des quolibets. Il se retourna et constata, sans aucune surprise, que trois guerriers le toisaient à distance ; il resta tout d’abord immobile, puis d’un air serein, il les dévisagea de la tête aux pieds avant de finalement courir en leur direction à toute rapidité. Il parcourut chaque mètre à une vitesse ahurissante sans regarder aux alentours, puis lorsqu’il se trouva en face de ses ennemis, il disparut immédiatement sous les regards ébahis de ces derniers qui tentaient désespéramment de le localiser, mais en vain. Apparaissant subitement derrière un mercenaire, dont il ne connaissait pas le nom, il se mit à le saisir à la gorge et à l’étrangler froidement. Les deux soldats restants détectèrent alors la localisation d’un être et pensant qu’il devait s’agir de Barduck, ils se mirent à lui lancer une boule déferlante. Le sourire aux lèvres, ils pensèrent que leur cible était éliminée, mais malheureusement pour eux, leur joie fut de courte durée. En effet, ils se rendirent compte qu’ils venaient de se débarrasser de leur propre allié et pris d’une épouvante subite, ils se mirent à gesticuler dans tous les sens. Une fois de plus, ils revirent soudainement un zig apparaître devant eux et reconnaissant qu’il s’agissait cette fois de Barduck, ils se lancèrent à sa poursuite. Arrivés à proximité de celui-ci, les acolytes de Doria lui portèrent de multiples horions au visage ainsi qu’au plexus solaire que le Sayen encaissa sans broncher et sans réagir ; ils se mirent alors une fois de plus à rire à gorge déployée tout en continuant à le rosser et à l’injurier :

<< Alors !? Ça fait mal !? demanda un équipier de Doria en raillant. >>
<< Maintenant, je fais te donner le coup de grâce ! Cria le robuste gaillard qui s’était auparavant occupée des congénères de Barduck.

Le plus fort des deux hommes de Freezer leva alors son poing en l’air, mais au moment où il s’apprêta à taper de toutes ses forces sa cible, Barduck esquiva l’un des innombrables coups qui lui étaient assénés par l’autre combattant et le frappa en plein ventre, avant de finalement le soulever, le faire retourner sur lui-même. Le rude gaillard frappa alors son camarade et au moment où il allait tenter de lancer une boule déferlante sur barduck, il en vit une arriver sur lui à toute vitesse. N’ayant pas le temps de l’éluder, il disparut sur le coup sous les regards ébahis du Sayen qui remarqua qu’il avait fait d’énormes progrès depuis sa convalescence.

avant de finalement le soulever, le faire retourner sur lui-même.

erreur de ma part : et de le faire retourner sur lui même.

superbe!!!

300

Faudrait que je lise ta fic pour me faire une idée. J´te dirais quoi demain vers 6h ^^

Salut Tenkai-Man!Les derniers chapitres sont encore mieux que les premiers lol! Je ne tarderai pas non plus à commencer à lire ta fiction.

Yo! broly

Tout d´abord, je tiens à te dire que c´est du grand art. Une histoire en béton tout a fait possible et reprenant même quelques passages de l´histoire originale et bien sûr, une écriture soignée et soutenue. Il est clair que c´est très différent des fictions auquelles nous sommes habitués. Il y en a certes de très bonnes voire même d´excellentes mais la tienne est tout simplement remarquable. Ceci dit, je trouve tout de même qu´au niveau du style d´écriture que tu utilises, c´est trop. En tout cas, il faut l´admettre, c´est absolument bien écrit et c´est du français de haut niveau mais c´est ce point que me gêne. Il s´agit ici d´une fiction portée sur le manga Dragon Ball et dans ce genre de fiction, je veux bien sûr parler de tout ce qui est manga et autres histoires fantastiques, je pense qu´il n´est pas nécessaire de se servir d´un tel langage. Il y a certains mots et certaines expressions dont tu te sers qui, pour moi, ne vont pas du tout avec l´univers de ce manga. Mais surtout, je suis sûr que beaucoup de personnes ne comprennent pas fatalement certains mots que tu emploies, bien qu´en lisant la suite, on peut arriver à déchiffrer et à comprendre la phrase en imaginant nos propres mots. Et je pense que même si c´est très bien écrit, il faut pouvoir permettre la facilité de compréhension afin de mieux apprécier la lecture et ainsi toucher un public plus large, en tout cas pour ce genre de fictions. Après tout, ce n´est pas un concours pour remporter la palme du meilleur écrivain du forum.
Maintenant, c´est ton choix d´écriture et je le respecte. Il est même possible que dans la vie courante tu utilises ce langage soutenu et par conséquent, tu nous le transmet au travers de ta fiction, ou bien peut-être même que tu fais exprès d´écrire comme ça pour je ne sais quelle raison, mais tu peux toujours nous expliquer pourquoi.

Voilà, j´espère que tu ne prendras pas mal les critiques que je viens de faire, au contraire, c´est seulement pour t´aider. Après tout, je ne fais que ce que tu as fait pour moi et je te remercie encore pour les conseils que tu m´as donné, ils me seront très utiles pour la suite de ma fiction

Sinon, je n´ai plus qu´une chose à dire : Vive la suite

c´est toujours aussi bien continue!
mais pendant quelques semaines je ne serais pas la car j´ai final fantasy Xll et qu´il faut une cinquantaine voir toucher les 80 heures pour finir le jeu mais je viendrais de temps en temps!

A la prochaine!

´´ou bien peut-être même que tu fais exprès d´écrire comme ça pour je ne sais quelle raison, mais tu peux toujours nous expliquer pourquoi.´´

gokuangel Alors là, je n´ai pas saisi! J´avoue être consterné par cette phrase! Pour te dire la strice et pure vérité, je ne fais pas exprès d´écrire de cette manière. Le langage que j´utilise est certes assez soutenu, mais je doute qu´il ne soit compréhensible. Après, tout dépend des facultés intellectuelles de chacun! Pour ma part, je lis beaucoup! Par conséquent, j´emmagasine des mots ou expressions qui restent par la suite gravés dans ma mémoire! Enfin, j´utilise certaines fois des termes qui sont, il est vrai, peu courant, afin de ne pas répéter certains termes utilisés auparavant. Je vais te donner un exemple quant au chapitre posté auparavant, je cite :

Barduck a une cicatrice sur la joue! Afin de ne pas répéter le mot ´´ cicatrice´´, j´emploie d´autres termes comme ´´ balafre´´. Il en existe d´autres comme ´´ entaille´´, ´´stigmate´´. Ceux ci n´ont pas été trouvés dans un dico, je les connais!

Pour te citer un autre exemple, quelqu´un qui communique avec une autre personne, le coudoie, lui engage la conversation, lui adresse la parole, l´accoste, l´aborde....Il y en a d´autres bien sûr!

Pour parler du vocabulaire utilisé dans mes fictions, il se doit d´employer ces termes! Il est tout à fait logique que ceux ci n´apparaissent point dans un manga, car un manga étant une bande dessinée, le vocabulaire ne peut être soutenu! Il est en effet basique et je dirais même, relativement puéril!

Une fiction est comme la rédaction de plusieurs pages d´un roman. Elle se doit d´être bien écrite...

Pour clore le sujet, je te remercie beaucoup pour le commentaire que tu as posté sur ma fiction. Tu attends vivement la suite, comme d´autres d´ailleurs! Sache aussi, que je t´estime beaucoup! En effet, en lisant ta fiction, j´ai remarqué que tu étais loin d´être un abruti de service ou autre! Certes, tu ne l´as pas écrite extrêmement bien, car je pense que tu ne t´es pas foulé! En disant cette dernière phrase, je voulais insinuer qu´étant donné la façon dont tu t´exprimes lorsque tu m´as posté ton message, tu dois, à mon avis, bien écrire! Sache que si tu nécessites de l´aide à l´avenir, je serai là pour t´aider!Au moment même ou j´écris, je ne sais pas si tu as posté ton premier chapitre! Je vais donc aller le lire et te dire à nouveau ce que j´en pense!

pour ton commentaire!

Tiens je te donne mon adresse email :

ced11875@hotmail.com

sangohan à toi aussi pour ton commentaire! Ce n´est pas grave, pour la fiction! Finis ton jeu et reviens me voir.

En ce qui concerne la suite de ma fiction, elle ne sera postée durant cette semaine! En tout cas pas aujourd´hui!

ok
Et est-ce que je peux pr"ndre ton adresse e-mail ?: ange:

sangohan76 Oui, bien sûr!

merci broly de ne pas t´être emporté car il est vrai qu´en relisant cette phrase, on s´aperçoit qu´elle un peu agressive et pour ça je m´en excuse cela prouve que j´ai encore des progrès à faire au niveau de l´expression
Cependant, je maintiens ce que j´ai dit avant car c´est ce que je pense, mais il est clair que nous avons deux avis différents et cela je le respecte
Je t´accorde le fait que j´ai en quelque sorte bâclé mes premiers chapitres et je vais y remédier, par contre tu ne pourras les découvrir que quand j´aurais bien avancé l´histoire. En effet, je vais faire comme Cachalo m´a dit, je vais donc d´abord bien la paufiner ainsi je pourrais créer le topic officiel de ma fic et je posterais les chapitres sans bavure

On pourra peut-être mieux en parler sur msn, je vais donc de ce pas t´inscrire dans mes contacts

Bonjour tout le monde! Etant un peu las en ce moment, je suis tout de même parvenu à rédiger le chapitre que je vais vous poster de suite. Comme à l´accoutumance, j´attends de votre part des commentaire et une suite envisageable.

J´espère que cette suite vous plaira et que vous aurez du plaisir à la lire! Je le souhaite en tout cas! Je vous souhaite donc une bonne lecture!

Chapitre 23 : avertir les autres Sayens !

La cuirasse brisée et la binette en sang, Barduck amorça paisiblement sa descente sur la terre ferme qui s’offrait à lui. Les arpions emplis d’entailles, les deltoïdes et les jambes Contusionnés, il commença à scruter les moindres alentours qui grouillaient d’arbustes verdâtres et dont les rameaux nous faisaient excentriquement songer à un couteau bien affûté, affilé, lorsqu’un zig apparût à brûle-pourpoint dans son champs de vision. Au premier abord, Barduck se souvint l’avoir déjà entrevu quelque part, mais l’esprit quelque peu éreinté, harassé, la mémoire ne lui revint point de suite. L’autre, la bouille bouffie et rosée comme un arbre d’acajou, toisait d’un air farouche et railleur son antagoniste qui continuait à méditer durant quelques minutes afin de se rappeler où il avait vu cette tête. Soudain, ce dernier se remémora que son adversaire était le fidèle acolyte de zarbon et le très dévoué, zélé homme de main de Freezer. Par contre, il lui fallut encore quelques secondes de rêveries afin qu’il se souvienne également de son prénom :

<<Doria>>

Epiant alors son ennemi du regard, il cria au loin, de sa voix puissante et criarde :

<< Doria !? Tu obtempères également aux ordres du tyran Freezer ? Tu n’es qu’un couard ! Approche si tu oses, je vais me débarrasser de toi !

L’être empâté, râblé et ventru se mit inopinément à se gausser de son opposant, puis les éclats de rire terminés, il ouvrit brutalement sa bouche à la fois nauséabonde et informe sous les regards hagards de Barduck qui resta figé sur place, puis il fit sortir de son bec une boule déferlante de couleur jaunâtre qui fonça à toute allure sur sa proie. Celle-ci tenta vainement de se protéger ; en effet, elle se prit l’attaque de plein fouet au visage et fut propulsée à une vingtaine de mètres plus loin. Comme le Sayen ne se relevait pas et qu’il était enfoui dans des décombres dont il n’essayait même pas de se dépêtrer, Doria en déduisit qu’il devait sans doute être mort. Considérant la mission accomplie, il retourna à son vaisseau d’un air radieux et réjoui en pensant à la tête que ferait son maître, lorsqu’il lui annoncerait que Barduck et ses compères sont morts.

La pérégrination à destination de la planète Freezer ne dura que deux jours ; le vaisseau se profila dans le firmament orangé et vint frapper rudement le sol, qui ne s’affaissa ni s’écroula pour autant. Une porte relativement grande s’ouvrit alors et Doria en sortit ; il posa sa main gauche sur son front et commença à sonder les moindres abords cette planète qu’il n’avait plus revue depuis qu’il était parti sur l’autre. L’exploration terminée, il pénétra à l’intérieur d’une colossale citadelle et gagna en courant à toute allure, sans même se reposer une seule seconde ni même s’arrêter, la salle de son maître. Lorsqu’il se retrouva en face de la porte, il se demanda si Freezer lui demanderait des échos de sa bataille fulgurante sur la planète Yardrat, puis il se résolut finalement à entrer dans la menue salle du tyran. Il y entra alors d’une impétuosité si inouïe que Zarbon crut avoir affaire sur le moment à des Sayens. Se comportant d’une manière jobarde et singulière, il s’adressa à son supérieur qui était assis de dos, comme d’habitude, sur son large fauteuil volant qui présentait des avaries dont on ne sait pour quel motif.

<< Majesté ! euh euh !> >

Constatant que Freezer ne bougeait pas d’un poil, il fut tout à coup pris d’une épouvante qu’il ne parvint point à maîtriser et qui le mis hors de lui. Pris de panique car trahi par des mouvements convulsifs, agités, mais surtout chevrotants, il fixa son fidèle allié, Zarbon, dans les yeux, qui fit de même d’ailleurs. Constatant l’état enfiévré, exalté de son acolyte, l’adonis lui engagea la conversation :

<< Tu n’as pas réussi ta mission ! Lança Zarbon, compatissant, en s’exprimant d’une voix claire, mais très assourdie.
- Comment ? Qu’est ce que tu veux dire ? continua Doria, en papillotant des yeux.>>

Comme l’apollon constata que son complice ne saisissait point ce qu’il insinuait, il lui pria de bien vouloir regarder le paravent qui se trouvait en face de lui. Le considérant alors, Doria vit une capsule voler et sillonner l’espace. Navré et désolé par l’échec qu’il avait commis, il voulut réparer ses erreurs en partant de nouveau à la rencontre de Barduck et l’éliminer pour de bon cette fois, mais au moment où il s’apprêta à quitter les lieux, la voix stridente de son maître l’interrompit dans ses faits et gestes :

<< C’est inutile Doria ! dit alors Freezer en faisant pivoter son fauteuil d’un ton gouailleur et la mine réjouie. Ce stupide singe a l’air de se rendre sur la planète Végéta ! Il subira le même sort que ses congénères !
- Vous avez raison Seigneur ! proféra de suite Zarbon en souriant.>>

Parallèlement, après deux jours de voyage à travers l’espace, l’exiguë capsule spatiale de Barduck atterrit sur la planète Végéta. Une menue porte s’ouvrit, Barduck se leva de son siège et sortit péniblement en boitant sous les regards médusés de deux soldats qui attendaient sa venue avec impatience. Ces derniers, ravis de le revoir, lui adressèrent alors la parole :

<< Alors comment s’est passé la conquête de la planète Yardrat ? demanda l’un des soldats, le sourire aux lèvres.
- Je suppose que tu n’as pas eu de mal à la conquérir ! affirma l’autre, qui le fixait comme une bête curieuse, de son regard étincelant et perçant.>>

Le Sayen ne répondit pas car il paraissait méditer, réfléchir à certaines choses qui avaient l’air de tracasser son esprit. Soudain, haletant, il pénétra à l’intérieur d’une petite forteresse en courant à vive allure et s’empressa de gagner une espèce de taverne, où tous les Sayens avaient l’habitude de se rendre, lorsqu’ils désiraient se soûler la gueule. Lorsqu’il pénétra à l’intérieur, il ne fut point interloqué de constater que certains des membres de sa race étaient grisés et qu’ils gesticulaient dans tous les sens. Il ne fut pas non plus consterné de voir certains de ses amis se pocharder en encaissant bocks sur bocks. Se tenant au pas de la porte sans rien dire et en ayant du mal à tenir sur ses jambes, il attira l’attention de tout le monde, soit une vingtaine d’individus, qui le contemplaient de la tête aux pieds, l’air de se demander la raison de présence ici.

looksj J´ai remarqué que tu avais posté un nouveau chapitre récemment! Etant las en ce moment, car ayant écrit ce chapitre, je ne sais pas si j´aurai le courage de lire ton dernier et tout frais chapitre! Cependant, ne t´inquiète pas, lorsque les forces me reviendront et que la fatigue sera apaisée, je m´empresserai d´aller le lire.

bah c´est comme d´habitude,très
bien,soigné,magnifique,fantastique,super,génial,co
ntinu!