A l´heure pour faire la fiesta !!

JOYEUX ANNIVERSAIRE LA RESISTANCE !! !!!!!!!!!!!!!!!! 4 ans !! !!!!!!!!!!!!!!!

Marines!
Moi je sui la new recru
Jvien drenplir le formulaire dinscription
Vous le savé suremen pa encor
Mai jsui un Boss de linformatike
alor g infiltré le rézo
Pr me prézenté !
Nom: K1x
SurNom: K1x

Enfin bon
Apelé moi K1x
(prononcé Kay One eX)

Gh...SHHHHHff
GGhhrrrSSHHHHH

Déconnecté du rézo
Problème d´ékilibre d´alimentation
Défaillance survenu lore
d´une monté d´aflu d´énergi o bouclier nord

ALETRE
ALETRE
ALERTE

je pense que l´elu qui viendra a bout de GC n´est pas encore née...

tu me fais pitié K1x.

Joyeux Anniversaire ... Joyeux Annversaire Joyeux Anniversaire La Résistance Joyeux Annversssaaaaaaaiiiiirrrrrrreeeeeee!!!!! ^^

Jo : laisse tomber... surement un tit malin ^^

D,accord,bonne anniversaire à ***La Résistance*** pour ceux qui sont sur XBC et sur le topic.Je poste ma mission dans quelques heures, il me manque une petite partie que je n´avais plus le gout de continuer.

Hier soir sa a fragguer sec !! ! :d

bon anniv la resistance!

wouhou service musical, quel talent xD
je m´attele à mon ordre de mission.
A fait plaisir de voir que meme les morts se relevent, surtout les morts virtuels xD

K1x : on est pas des Marines, on est de la Navy :p et en temps normal, je te fraggerai la face comme un barbare parce que je suis responsable du service orthographique et tu viens de me crever les yeux ... heureusement j´ai une visière ^^

Mdr dark a survécu a cette ´´dictée non préparée!!´´

je remercie mon armure ^^
bon, ptet que jvais m´y mettre a ma mission. Donc en fait, je retourne au QG (youpla), je choppe les plans du prototype de bouclier, si je peux je choppe le bouclier lui-même (koike, ça doit etre vachement gros), et je fais ma spécialité a coups de Pg-V51

je suis sur les briefings la ^^

• • Transmission aux soldats de ***La Résistance*** **

Code de cryptage : Noir
Clé publique : Marronsuis / L / Anniversaire / Ka-boum
De : Lieutenant Dark
Nom de Code : Dark-Leader
A : Commandement de ***La Résistance*** *
Objet : Rapport de Mission
Classification : secrète (Etat Major de ***La Résistance***)

4 Mars 2557 8 janvier 2557 - Base Imbrium : Q.G. de ***la Résistance*** - 1029 CMS

« Rah bordel, pas moyen de regarder le dernier épisode de naruto tranquille… Une mission du colonel Jor tu dis G.C. ? Envoie sur l’écran. »
J’étais avachi sur mon lit, dans mes quartiers, quand l’ordre de mission était tombé. Une miniature de G.C. «La ressuscitée » comme on l’appelle, se tenait sur l’estrade holographique de mon bureau. Une visite au Q.G ? casser du Covenant ? Voler des trucs ? Parfait.
« Préviens l’armurerie, j’ai horreur d’attendre.
- Je vous reconnais bien là Lieutenant
- Content de te revoir aussi G.C. »
Je débranchais mon Pg-V51 et fermais la porte sans un bruit, montant à pied les 5 étages me séparant de la « salle d’armes » du Q.G. 5 étages plus haut, relativement fatigué (l’est lourd mon PG) je tombais nez-à-nez avec deux mastodontes en armure qui devait dater d’au moins 2520. Ils mesuraient facilement 10 cm de plus que moi, donc 2m10.
« Bah tu vois mon Popov que y’a pas que des tafioles chez les nouveaux ! L’a même pensé a
- Ah bah oui mon Jean-Louis, enfin un gars assez pas con pour se balader avec un gros flingue sur l’épaule. Bien ça !
Celui avec le bandeau m’asséna une tape sur l’épaule qui aurait fait s’écrouler une armoire Ikéa.
- Bon mon Popov, si on allait dans les avions ? parait que y’a des Covenants qui veulent se prendre des coups d’bitoku *gros rires dopés aux amphétamines*
Ils s’éloignèrent en me donnant chacun une tape sur l’épaule qui m’envoyèrent valser dans l’armurerie.
« Vous les avez vus mon Lieutenant ?
-J’ai absolument rien compris à ce qui s’est passé Mario, mais c‘est pas grave. Vous avez ce qui me faut ? » C’est alors que je m’en rendis compte. Des étagères. Des rayons. Des couloirs.
Vides.
« Apparemment ils sont aussi gourmands que vous en explosifs.
-Impossible ! Au moins mon armure est prête ?
-Oui, elle vous attend derrière.
-Essaie de me dénicher quelques grenades qu’ils n’auraient pas emmenées.
-Dites moi plutôt de vous donner tout ce qui reste.

Base Imbrium : Hangar de surface « Skywalker » 1100 CMS

Je passais en revue les soldats affectés à ma mission à travers ma visière réfléchissante. Quand soudain je les vis. Les deux géants. D’étranges protubérances sous leurs manteaux déchirés cachaient mal une impressionnante collection d’armes à feu.
« Ey mon Popov, c’est pas le gamin de tout à l’heure ? L’a le même fusil
-Quel sens de l’observation mon Jean-Louis, j’avais même pas vu
-T’as même pas vu que j’avais piqué ton couteau, tu deviens gâteux *gros rires*
‘Roh putain, me dites pas que jme coltine ces deux là…’ Ghost venait d’apparaître dans l’aire de décollage. Nous lui fîmes tous un salut impeccable, à part nos deux energumènes.
« Venez par là Lieutenant. Je m’approchais donc. Tiens, j’ai placé ces deux là sous ton commandement.
- Mais pourquoi ?
- Si tu arrives à les faire obéir, je te nomme Sky Marshal sur le champ ^^
- Crevard ^^
- Tu peux les considérer comme ton infanterie mécanisée. Deux scorpions pour toi, en temps normal tu aurais été super content.
- Arrête de rire Ghost
- Rien à foutre. Soldats ! Vous partez sur le champ ! »

1ère partie avec deux guests stars

XD trop bien
On saura se souvenir de ça mon darkounet

Office of Naval Intelligence - Secret File Classified [S3]

[Secret weapons and files recorded on principal data]
-Capital Vessels under development-

Super Capital Warship
-Super Dreadnought Ragnarok-

translation of English by Anthons Edwards
Mars 2551,
L’UNSC perd du terrain plus vite que prévus. Les rapports transmit par la NavSpecWep, FLEETCOM et la Colonial Military Administration par CENTCOM sont alarmant. La perte de deux nouvelles colonies dans la couronne des colonies intérieures pousse la Navy à regrouper ses flottes sur les principaux axes d’échanges commerciaux civils et de s’éloigner des colonies de moindre importance de seconde catégorie, pour renforcer les défenses planétaire des colonies de type-I.
Plusieurs constats ont été fait par nos agents sur place au cour des manœuvres de routines par les vaisseaux lourd de la septième flotte de l’UNSC, a bord des vaisseaux d’espionnages de type Prowler.
La décision fait par les hauts responsables de FLEETCOM et HIGHCOM de retirer les vaisseaux capitaux de type croiseur pour patrouiller le long de la bordure des colonies intérieures ainsi que dans les systèmes extérieurs proche handicape fortement la structure des flottes de combat déjà de moins en moins puissantes et nombreuses.
La perte des meilleurs vaisseaux de guerre de l’UNSC n’est pas envisageable actuellement, l’avancée des Covenants entre chaque systèmes est plus élevée que les premières prévisions le faisait croire, leurs attaques sont brutales, meurtrières et efficaces, leurs flottes, bien que coordonnées sur le plan des formations offensives, sont en réalité très désordonnées sur le plan tactique, et, plus particulièrement sur le plan stratégique. Le comportement de chaque unité ennemis laisse penser et fait place aux hypothèses que les commandants de vaisseaux ennemis agissent en solitaire, préférant combattrent chacun sur leur position, avec parfois une autre unités en soutien mais jamais une véritable coopération entre vaisseaux de même catégories ou de classe supérieure, sauf à la demande probable d’un supérieur hiérarchique de haut rang. La campagne pour la reconquête de Harvest par l’Amiral Cole en à été la preuve la plus directe.
Un tel comportement au combat prend nos propres unités de combat au dépourvus, habitués par un enseignement militaire de base et à des réactions similaire à celles que prendrait un commandant humain.
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Avril 2551,
Nos vaisseaux lourd de type frégate ou Destroyers sont totalement inefficaces en combat, non pas seulement à cause de notre technologie moins avancé que celle des Covenants, car notre armement à accélération magnétique leur inflige souvent de terrible dégâts, mais par leur système d’armement secondaire et tertiaire comme la technologie de missile ou cinétique ainsi et surtout par un blindage obsolète qui n’a vus aucune évolution au cours de ces trentes dernière années. La guerre à fortement fait évoluer notre économie mais cela n’est pas suffisant, loin de là.
Les vaisseaux ennemis sont principalement des unités capitales, leur flottes composés quasiment de croiseur léger, standard, lourd ou super lourd. Nos flottes actuelles sont composés à 85% d’unités lourde et légère (corvettes et corvettes de soutien) et ne sont qu’une brève menace pour les unités adverses, seule une tactique brutale et de front en plusieurs ou un seul groupe permet de freiner leur progression. Mais à quel prix.

Le budget militaire, bien que triplé et même quadruplé depuis l’année 2539, ne s’est vus attribué que 41% pour les programmes de développement de la Navy ET pour la liste de commande de tout les nouveaux vaisseaux de guerre en attente dans les deux principaux chantiers navals orbitaux. Les fonds nécessaires débloqué par Fleet Command pour la recherche des nouvelles technologies militaire pour les unités spatiale de combat se sont encore restreints d’un tiers.
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[excerpts from fleet tactical debate 5.08.2551-military calendar-]
(Fleet Admiral Sir Terrance Hood, Fleet Admiral Washington Thomas and Admiral Carl Patterson)
(Sujet : composition de la flotte)
Adm. C.Patterson : Si l’on regarde les données historiques de combat, la réponse à la question que nous nous posons aujourd’hui devient évidente. Les flottes d’attaques et de défenses doivent être principalement composées d’unités lourdes, celles-ci étant exclusivement équipées d’unités d’escorte et de harcèlement. Seuls les unités lourdes possèdent le pouvoir et la portée nécessaires pour infliger des dégâts signifiants aux forces ennemies.
F. Adm W.Thomas : Alors que mon collègue détient le bon raisonnement, je persiste à croire que sa tactique est basée sur des situations idéalistes plutôt que sur de réelles pressions que les flottes pourraient subir. Nous aimerions tous être les commandants des meilleures flottes mais la vérité c’est que le temps et les ressources ne permettent pas toujours la création et l’entretien d’une armada d’unités lourdes capitales. Il n’est nul besoin de…

Adm. C.Patterson : Mais ne soyez pas…
F. Adm W.Thomas : Ne me couper pas, Patterson! Je…

Adm. C.Patterson : Mais vos idées sont datées et datent de plusieurs décennies, Thomas ! Ouvrez donc un peux vos yeux et lisez les rapports !
F. Adm Sir T. Hood : Amiral Patterson, rasseyez-vous je vous prie, Amiral Thomas, continuez.
F. Adm W.Thomas : Merci. Je disais donc qu’il n’était nul besoin de mesurer ce que coûterait la perte économiquement parlant et en vie humaine, d’un grand vaisseau comparé à la simple usure d’une frégate. Non, pour autant que je trouve attrayant l’idée de commander une flotte de Destroyers lourds ou de croiseurs de bataille, je dois admettre que la stratégie inverse est plus plausible. Elle consiste à utiliser des escadres portées en avant par seulement une poignée d’unités lourdes de type transporteur.
Adm. C.Patterson : Ah non, ce n’est pas vrai Thomas, je vous ai vu démolir nos arguments à coups de généralités depuis que nous sommes à la crèche en train d’apprendre à naviguer des petits bateaux ! Et je ne parle pas de nos vagues projets et nos batailles mythiques ! Je parle d’un plan de déploiement précis, avec des unités lourdes et capitales escortés par six frégates ou corvettes lourde. Une fois que chaque unités possède ses propres escadres, l’organisation doit se faire par des divisions d’attaques basées sur les tactiques militaires combinées. Les divisions de Frégates et Destroyers devraient contenir deux ou trois vaisseaux de type Croiseur dans une formation serrée en V, avec une Frégate lourde positionnée à la base et une autre placée en pointe. Cette tactique crée une position de combat avantageuse pour la puissance de tir, tout en formant une sphère mortelle contre les tirs ennemis grâce à la colonne de Frégates et de Destroyers d’attaque et les escadres qui les entourent. Aucune unités ennemies ne pourra à son premier passage résister à un tel escadron, alors que la puissance de tir en première ligne pourrait facilement forcer le passage entre les colonnes d’unités d’appui ennemies. En utilisant des unités d’appui du type Destroyer lourd ou Croiseur, ma tactique de formation place ces vaisseaux très coûteux et précieux au centre de toute formation. Entourés d’une escorte de quatre à huit Corvettes/ Frégates qui fourniront le tir défensif de précision. La clef de ce type de formation est le commandement ennemi toujours occupé à attaquer les unités les plus menaçantes de l’adversaire, ce qui veut dire que leurs vaisseaux de valeur se trouvant au centre le leur formation occupent un double emplois, tantôt comme force centrale de tir, tantôt comme un leurre pour attirer les unités légères ennemies vers les tirs croisés mortels de leur tourelles de défense.
F. Adm W.Thomas : Une fois encore, je ne mets pas en doute le pouvoir de ces fantastiques flottes d’unités lourdes, mais mon raisonnement de rentabilité tient toujours. Rendez-vous compte du nombre de Frégates que l’on peut construire au prix d’un seul croiseur ? Bon admettons qu’une Frégate ne possède qu’une petite force de frappe comparée à celle d’un Croiseur Marathon et qu’il peut rarement résister à plus de deux tirs de torpille à plasma. Mais je vous le demande : Quels dégâts peuvent infliger quinze Frégates avant que l’une d’entre elles ne se fasse descendre ?
Dans ma flotte d’attaque, un groupe d’assaut est constitué de trois vagues bien distinctes d’unités légères. La première vague attaque un groupe de 3 ou 4 unités lourdes ennemies en formation X, ayant reçus l’ordre de naviguer en mode évasif, Leur travail consite à mettre ses unités lourdes en position défensive en les entraînant dans de long combats singuliers. La vitesse et la maniabilité des unités légère vont annihiler le tir des tourelles ennemies. Près de dix secondes plus tard, quatre escadrons d’unités type Corvette/ Frégate composés de cinq à huit unités chacun entrent en scène et attaquent toutes les unités ennemies qui sont occupées à chasser nos unités légère. Les Corvettes doivent être l’autre cible prioritaire des escadrons ennemis. Et enfin, lorsque toutes les défenses ennemies sont amoindrie et occupées à chasser les petites cibles, les Destroyers arrivent en formation V par cinq à huit, ayant reçus l’ordre d’attaquer à volonté les unités lourdes qui se trouvent sur les flancs de la flotte ennemie, avec nos unités d’appui lourd en soutien rapproché.
Cet ensemble est flanqué de deux Transporteurs en soutien protégées par cinq à dix Frégates. Les unités légères doivent repartir à leur bases sur les portes-vaisseaux pour toute réparation et le réarmement dès lors que les dommages atteignent de 60 à 70% afin de ne pas subir des pertes humaines. Cette tactique à l’avantage supplémentaire d’attirer les unités d’attaque ennemies vers un groupe de soutien depuis lequel les tirs défensifs des Croiseurs / Destroyers peuvent les anéantir. Les forces de rafle doivent être composées d’un ou deux Croiseurs, escortées par de simple Frégates lourde et doivent concentrer leur tirs sur les puissantes unités lourdes de l’ennemis
Adm. C.Patterson : Bah ! Vous trouvez que mes tactiques de déploiement ne sont pas réalistes ? Vous aurez besoin des performances d’un appareil multitâches pour orchestrer la bataille. Vos groupes de combats seront réduits en morceaux pendant que vous serez occupé à ordonner à d’autres unités d’entrer dans la bataille. C’est impraticable ! Mon système de déploiement dépend davantage des stratégies de tir des commandants locaux qui ne subiront pas le commandement des flottes.
F. Adm W.Thomas : Si mon estimable collègue dit qu’il ne possède plus les talents et les nerfs pour ce genre d’attaque, je peux le comprendre, étant donné son age, mais…
Adm. C.Patterson : Trop âgé ?
F. Adm Sir T. Hood : Très bien messieurs, nous reprendrons cette discussion demain à la même heure si vous le voulez bien. Nous devons encore partager nos idées sur l’estimation budgétaire des sous programmes de la section 1. Nous…
(Les débats tactiques sont temporairement ajournés pour des besoins de consultation.)

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Fin Avril 2551,
Une partie colossale du budget militaire est envoyé au Fleet Command, ENGCORP et le LC pour un projet visant à créer de nouvelles classes de vaisseaux de guerre pour la Navy.
Le Projet nom de code : SCS-Colonial Vessels Defense 999-045 est alors soumis par le bureau d’étude secret de l’UNSC.
La nouvelle génération de bâtiments militaires de cinquième génération est alors engagé. Les vaisseaux de type Frégate et Destroyers seront mis à l’écart pour se concentrer principalement par les vaisseaux de classe capital de type Croiseur de bataille NG- Croiseur furtif.
Un seul fut construit, il s’agit du « Point of No Return ».
Mais il y a une autre classe, dont le développement, resté secret, n’était connus que par les haut dirigeant militaire de la société. Une classe dite « Super lourde » ou « Super Capital Ship ».
Celle-ci aurait pour but de rivaliser avec les puissants Croiseurs et hypothétiques Super-Croiseurs Covenant. Une classe regroupant les toutes dernières technologies misent au point ces deux dernières années ainsi que tout le savoir-faire des plus brillants ingénieurs et concepteurs en matière de vaisseaux civil ou militaire .
Juin 2551,
Les plans du premier vaisseau de cette nouvelle catégorie pris sa forme finale et entra dans les critères demandé par l’UNSC soit :
-Un vaisseau dont la longueur hors tout faisant entre 3000 et 5000 mètres ; d’un poids compris entre 9.000.000 et 11.000.000 tonnes ; pouvoir fonctionner intégralement en étant totalement opérationnel avec le minimum d’équipage requis ; pouvoir repousser n’importe quelle force de frappe ennemis et contenir le maximum de dommage grâce à seul blindage.
Le base lunaire et son chantier naval devait s’occuper de produire un vaisseaux de très grande taille, une maquette à l’échelle 1 a cause du manque d’expérience de conception d’un tel navire, afin lui faire subir des tests pour la qualification des nouvelles armes et matériaux composite. Un immense vaisseau-test ayant pour signalisation TS36-WK.
Fin Août 2551, la vaisseau- test TS36-WK est terminé, et est beaucoup plus grand que le futur Super Capital Ship qui lui, sera bien plus compact, les ingénieurs ayant minimisé au maximum la place nécessaire disponible à bord.
Le TS36-WK fait approximativement 7800 mètres de long par 900 mètres de large et environ 2500 mètres de haut. De simple réacteurs joints les uns à côté des autres forment le groupe de propulsion.
Le poids total du navire-géant fait un peu moins de 7.490.000 tonnes, un exploit compte tenue de la taille imposante du navire. La coque est en réalité trois châssis entier de Transporteur d’ancienne génération assemblé, des ponts et d’immenses zones de vide ayant été ajoutés. Sa structure externe étant fragile et dépourvue de véritables protections, lui donnant ce profil particulier. Mais plusieurs erreurs de construction l’ont forcé à être modifié et même, pour l’intégralité des ponts avant, à subir une refonte totale. Un armement primaire ayant été installé en toute hâte à bord, les ingénieurs jugeant qu’il ne fallait pas s’attarder là dessus étant donner que ce vaisseau allait être démonté puis recycler à la fin du programme de recherche et de développement. Malgré tout, un Super canon à accélération magnétique fut tout de même installé, mais le vaisseau réagissait mal à sa chute de gravité sur le flanc bâbord avant, là ou le canon fut installer. Après plusieurs semaines à expérimenter cette unité-maquette au performances jugés médiocres et aux tests finaux sur les systèmes de blindage, la construction du véritable super-vaisseau de guerre allait pouvoir débuter.
Celui-ci serait construit en secret à l’ombre de la planète Mercure, dans une zone jugé extrêmement dangereuse à cause des radiations solaire toutes proche, mais aussi car dans la face caché se trouve une station de recherche secrète positionné en orbite basse, toujours dans l’ombre dans un secteur à l’abris et entouré par un champs de radiation très élevé.
Cette station fut transformé en chantier naval orbital, très vite rejoint par un chantier naval mobile pour augmenter la cadence de construction. Septembre 2551, la construction commença.
Le super capital ship à été officiellement baptisé Ragnarok par son concepteur, le premier de sa classe ; et sera du type « Super Dreadnought ». Quatre seront en tout produits. Ces unités seront administré aux flottes de défenses de la Terre et de Reach ainsi que la Troisème et Sixième flotte en cas d’une contre-attaque sur les lignes covenants.

Caractéristiques basique :

http://img252.imageshack.us/img252/5012/onis3secretsupershipiv5.jpg

UNSC Ragnarok – Super Dreadnought class Ragnarok.
Longueur totale : 4895 mètres
Masse : 1.047.000 tonnes
Générators : 9 générateurs/ réacteurs de fusion Hélios
Hyperdrive :1
Subspace drive : 2 auxiliaires.
Equipage : 9.520 hommes (min) /21.600 hommes (max) complémentaire 968
Baies complémentaires : 72 (4 + )
Armement :
48 tubes lance-missiles Archer ; 32 nacelles lance-missiles Archer-EII à hyper vélocité.
12 Tubes lance torpille lourde à fusion longue portée. (24 + )
10 tubes blindés sécurisés lance-missile nucléaires. (+ 4 silos en positions renforcés)
8 Heavy Laser Ion System ( Système laser ionique lourd )
8 Canon à Accélération Magnétique monté sur tourelles
6 tourelles mobiles ( rail cinetic canon ).
36 50mm Gatling rail canon
ECCM basic : 6
Contre mesure électronique SCM (9) contre-contre mesure électronique (5)
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-Systèmes, technologie et armement du SD Ragnarok – class-
Propulsion avancé : Le Ragnarok est le premier à contenir dans sa partie moteur neuf réacteurs à noyaux de fusion thermonucléaire au deutérium/hydrogène-isotope à super refroidissement Syrus 2800 MiK II avec le modèle de sur-compresseur de fusion 2x1200 bhp, soutenus par trois de 3x660 bhp en mode auxiliaire, utilisant le flux optique par ionisation de l’air.
Modèle : A.R. FC 2700 model B « Hélios »
Le potentiel des huit premiers réacteurs sont utilisés pour la propulsion, le neuvième servant de générateur auxiliaire en cas de surchauffe général et coupure du système, un générateur de secours secondaire, mais sa principale fonction est l’armement. Les différents armements à énergies du vaisseaux se fournissent en puissance grâce au neuvième réacteurs, cette configuration permet de ne pas à avoir un système d’attaque qui soit totalement indépendant de tout le bloc moteur.
En cas de coupure, le système S.R.B.S (système d’arrêt moteur rapide) permet d’éviter la surchauffe des bobines supraconductrice bipolaire régulant la densité du laser de refroidissement ionique.
Par le simple procédé de groupe de noyaux de fusion, le vaisseau peut entièrement « jouer » avec sa propulsion et la puissance des réacteurs, pouvant exploiter leur noyaux à 300 % de leur puissance chacun. Les noyaux sont interconnecté les uns aux autres, mais ils peuvent être aussi inter-indépendant, formant des groupes à volonté avec chacun des noyaux (ex : NC*1 avec NC2 et NC4 pour le 1er groupe et NC3, NC5 et NC6 pour le second et ainsi de suite).
NC : Nuclear Core*
Leur connections standard à été optimisé pour un rendement maximum : NC1 – 2 ; NC2 –S1 ; NC3 –3 ; NC4-2 ; NC5-2 ; NC6-S1 ; NC7-3 ; NC8-2
NC9 - **
(les cellules d’énergie sont inspiré directement des cellules d’énergie moteur récupéré sur les carcasses de navires Covenant) – la clé de ce système de propulsion géant est de coordonner les torches des multiples moteurs de fusion en vue d’une poussée suffisamment puissante et stable pour fournir une accélération à un vaisseau de grande taille tout en évitant que les oscillations instables endommagent sa structure. Ce système de propulsion permet non seulement la conception de vaisseaux de combat extrêmement puissants, mais la poussée incroyable qu’il génère rend également possible la conception de nouveaux armements.
Armement : L’armement du Ragnarok se doit être le plus moderne et le plus efficace de tout les vaisseaux de la flotte actuellement en service. Pour cela il est équipé du système de suivit FEISA4 Armacall Computer et de la conduite de tir Krakken 1 Weapons Development System. Ses leurres électronique et ses systèmes de contre mesure et de contre-contre mesure sont quand à eux, développé par Xevious 4 Control Sytems.
Les armes inclus la technologie de missile utilisée depuis des décennies par l’UNSC comme les missiles longue portée de type Archer, mais également son évolution à hyper vélocité Archer EII dont la puissance reste la même, avec une charge en uranium appauvris identique, mais avec une vitesse cinq fois plus rapide. Principal inconvénient : ces missiles sont tirés quasiment en ligne droite et ne peuvent pratiquement pas dévier de leur trajectoire initiale. 24 double nacelles tri-tubes lance-missiles sont installés sur chaque flancs en position renforcé le long de la coque au bout de son extremité, là ou l’axe et le profil particulier du vaisseau ne permet pas au tirs adverses d’atteindre les nacelles. Les missiles Archer EII sont de catégories Missile Capitaux, de la taille d’une voiture chacun.
Mais aussi la technologie de torpille lourde à fusion : Des torpilles standard sont éjectés de leur tubes, et libèrent trois à cinq charges d’explosif de plasma injecté sur les défenses et le blindage ennemis, rongeant leur coque. Le système de propulsion des torpilles se compose en multiples étapes : tout d’abord la rangée de propulseurs chimiques LREA ou de longue portée se libère après une poussé nominale suffisante pour se glisser sur la trajectoire de la cible et dépasser sa vitesse de croisière, puis les moteurs de poussés chimiques secondaire, composé d’un petit groupe de tuyères s’allume, permettant de suivre la cible jusqu’à l’atteindre avant de libérer ses charges avec suffisamment de vitesse pour ne pas perdre sa cible.
La toute nouvelle et technologie secrète laser, développé en masse pour l’armement des troupes aux sols, s’est vus décliné en une arme capitale pour les vaisseaux de guerre de l’UNSC. La taille doit être augmenter pour faire face au bouclier très puissants des vaisseaux Covenant, et plus la taille du rayon augmente, plus sa consommation en énergie est importante. C’est l’une des raisons pour laquelle le Ragnarok est le premier vaisseau à avoir un réacteur de fusion exclusivement utilisé pour l’armement laser primaire. Mis au point par PowerStation4, son modèle 1700 PFRL est aussi grand qu’une frégate légère, et à été installé sur plusieurs point sur la coque : 2 de chaque côté et 4 à l’avant. Ceux-ci sont inséré dans un logement spécifiquement créé pour, les maintenant en place par un champs magnétique intense et, en cas de défaillance, le système d’éjection de la rampe laser éjecte l’arme de son logement avec plus ou moins de force et plus ou moins loin ( 900-1700 mètres) selon la trajectoire du vaisseau, loin de la coque afin que ce dernier se décharge de son énergie avant de s’effondrer sur lui même. Les piles à hydrogènes de ces armes laser sont donc extrêmement instable. Bien que l’arme soit statique, le rayon peu se mouvoir d’un angle de 50° en position circulaire, capable donc de faire feu sur une cible situé juste en dessous du vaisseau. Les rangées d’armes ioniques sont des armes à énergie travaillant sur le principe de focaliser et de « refleter » les particules d’ions chargés. La fonction primaire est que les ions sont censés se lier avec les atomes de la cible, changeant leur polarité et les faisant repousser de la cible. Tandis que ceux-ci parviennent à « contourner » le champs de bouclier en « écartant » directement les particules d’atomes du bouclier Covenant dans l’espace pour permettre aux ions chargées de s’infiltrer et de toucher la coque de la cible, voir même la transpercer sans même être arrêté par le bouclier d’énergie Covenant, ils sont employés comme un supplément aux armes primaires des vaisseaux capitaux et sont employé sur une large surface pour une meilleure efficacité. La portée de ces rayons est estimé entre 11 et 14 km, selon la puissance employé (100% – 400% )
Le vaisseau possède également huit tourelles lourde à accélération magnétique, utilisant le même principe que les CAM des autres unités de la flotte. Les bobines supraconductrices agissant toujours de la même manière sur la gravité et le champs magnétique du vaisseau. La différence est que ces canons, légèrement moins puissant mais avec une mobilité et un rayon d’action accrus, permet de cribler entièrement sa cible d’obus composé d’un alliage en céramique et ferrique ou de viser indépendamment chacun huit cibles à la fois, neutralisant les boucliers adverses. Ces canons sont l’armement primaire du vaisseau et une fois combiné au système de rayon ionique, leur efficacité s’en retrouve terriblement augmenté.
Les canons capitaux de classe CCRC sont des armes impressionnantes si grandes que leur projectiles, des ogives de matière / antimatière sont projetés sur de longues distance. Etant donné que le CCRC est une arme cinétique, il amoindrira tout de même le plus fort des boucliers plasma jusqu’à lui infliger d’énormes dommages au moment de l’impact. Cette classification contient certaines des plus grandes armes montées, et exige des montants élevés en énergie ( et est rarement monté à plus de 2 à 3 sur n’importe quel navire plus petit que la classe Super Dreadnought. Le CCRC à la plus longue portée utile de toutes les armes cinétiques à l’exception du système CAM. Le Ragnarok utilise le modèle War-AM FB 90 monté sur six tourelles , trois sur chaque bords.
L’armement nucléaire du Ragnarok se caractérise par dix tubes sécurisés lance –missiles Shiva. Ainsi que quatre autres tubes destinés à un armement secret plus puissant actuellement en développement au département de recherche basé sur Reach.
Champs de protection magnétique : Le bouclier employé sur ce vaisseau est le tout premier créé par des mains humaines. Bien que largement moins évolué que le modèle des Covenant, il à été optimisé pour offrir les meilleurs capacités dans ce domaine que nous connaissons peu. Ce bouclier est un transmetteur électromagnétique extrêmement faible (« ondes intenses » étant le nom commun pour désigner les radiations électromagnétiques de grande amplitude à fréquence extrêmement basse). Pour émettre des ondes suffisamment puissantes capable de stopper le tir d’une arme énergétique rapide, tout en conservant une fréquence suffisamment basse pour s’adapter aux ondes des gros vaisseaux, des recherches et des tests importants furent entrepris par les scientifiques de l’UNSC. Le résultats de ces recherches est un système ne pouvant être installé que autour de la coque et sur le châssis principal en raison des interférences avec les autres systèmes du vaisseaux de grande taille. D’autres modifications furent réalisés sur les systèmes de propulsion du châssis des unités super lourdes pour transporter l’équipement blanc distinctif de l’antenne de transmission par le ENGCORP.
Groupe de détecteurs : Au cours d’une étude sur les champs, les scientifiques travaillant sur le détecteur de proximité imaginèrent la conception d’un réseau de détecteurs localisés qui pourrait accroître mille fois la résolution de détection passive. Ce réseau intégré dans une coque spécialisée permet d’optimiser les systèmes de détection du vaisseau, ainsi que les unités alliés proche, offrant une vue tactique complète de l’espace.
Détecteur de proximité : La détection sur de longue distance à toujours été très difficile à réaliser, la vigilance de la plupart des détecteurs actifs pouvant être facilement trompée. Pour compenser cela, les scientifiques créèrent des petits détecteurs passifs pouvant s’adapter sur les missiles (voir le SFN 3-30) Ces petits détecteurs transmettant des informations en temps réel peuvent être placés à n’importe quel endroit du système de défense passif dans un rayon permettant la réception des ordres donnés. Cette technologie peux aussi s’adapter sur les drones espion de type Clarion.
Sous système de défense tertiaire : La nécessité de posséder des systèmes spatiaux plus performant lança les ingénieurs sur la voie d’une nouvelle génération de détecteurs et de système d’acquisition de cibles. L’association de ces deux équipements donna le jour à des systèmes de contrôle de tir spécialisés. Ces nouveaux systèmes de contrôle peuvent être monté sur d’autre armes permettant à ces dernières d’abattre les unités légères et rapides. Le Ragnarok utilisera la dernière évolution du système, le LS-5600 Quantaw Design modèle IV ( 3240ii )

Le blindage révolutionnaire du Ragnarok : La survie dans l’espace étant inhérente à la conservation des zones pressurisées occupées par l’équipage, cette préoccupation fut la grande priorité des concepteurs du vaisseau. La coque du vaisseau fut donc conçus pour résister aussi bien à une attaque ennemie qu’à un quelconque phénomène naturel. Le blindage en titane-A étant devenus totalement obsolète ainsi que le T-F, offrant des résultats guère plus encourageant, les ingénieurs ce sont donc penché sur la création d’un nouveau type de blindage réellement efficace. C’est la multitude des couches des couches qui confère à la coque sa résistance. Pour l’instant, les vaisseaux de combat sont équipés d’une couche d’ablation prévue pour vaporiser instantanément le point d’impact avec des armes cinétiques, pas des armes à rayons. Le nouveau blindage permet lors du moment de l’impact de créer un nuage de vapeur ultra-rapide permettant de remplacer un bout du blindage ou de provoquer une interférence avec un rayon à particule plasma dans le but de limiter de beaucoup sa puissance. En dessous de la couche d’ablation se trouve une mince couche d’absorption de puissance. Pour compléter le blindage, une épaisse couche composite d’alliage de polymère de cristal et de céramique perfectionnée enveloppe le vaisseau. Bien que ce blindage soit le matériaux le plus solide que nous avons développé jusqu’à présent, nous avons réussi à lui conserver une certaine souplesse et une élasticité propre en cas d’impact extrêmes. Les parties sensibles de la coque sont équipés d’un double blindage cinétique de ce type. En l’absence d’un utopique bouclier de protection surpuissant impénétrable comme celui des Covenants, ces défenses laser et cinétiques donnent à nos vaisseaux de bonnes chances de faire face à des événements regrettables, tout en conservant un ratio poids-poussée contrôlable. Le nouveau blindage fut nommé AA-240.
Le Service de Renseignement interne du Ragnarok : Le Ragnarok deviendra, une fois en service, le vaisseau Amiral de sa flotte d’attache. Il lui faut donc un centre d’information digne de sa classe. C’est le Service de Renseigment interne de la flotte qui analyse les données provenant des sondes, des équipements d’observation et des détecteurs. Juste en dessous de la passerelle principale se trouve une grande chambre sphérique contenant des postes de travail et de communications, avec des dérivations de données centrées autour d’une projection holographique. Lorsque le Super Dreadnought est en déplacement, cette chambre est constamment occupée par des équipes tournantes composées des meilleurs tacticiens et officiers de la flotte. Ces spécialistes ont été sélectionnés non seulement pour leur connaissance, mais aussi pour leur adaptabilité. Ils seront également soutenus par une I.A de dernière génération développé spécialement pour le Ragnarok. Le Service de Renseignements peut accéder non seulement aux groupes de détecteurs du vaisseau, mais également aux archives de la flotte. Ainsi, quelles que soient les rencontres que pourrait faire le Super Dreadnought, le Service de Renseignements du vaisseau analyse les données et fournits la meilleure conclusion possible compte tenu de la situation présente, dotant ainsi le vaisseau d’un temps de réaction approprié et le champs libre à son capitaine de vaisseaux
Le commandement du vaisseau : Alors que le projet touchait à sa fin, l’I.A du vaisseau n’ayant toujours pas été finalisé sur Reach, et que la taille et la complexité du vaisseau super lourd devinrent une évidence, les spécialistes de la cohérence des systèmes se trouvèrent face à un problème quasiment insoluble. En effet, même lors des plus simples simulations de fonctions, la quantité des données à gérer ainsi que le nombre de réponses à la seconde étaient tellement importants que l’I.A du bord et la dizaine de personnel de la passerelle serait littéralement débordé par le nombre d’information. Alors qu’on affectait une nouvelle équipe à la simulation, le flux de données devint beaucoup trop lourd à gérer. Il devint évident qu’en cas de crise, le Ragnarok souffrirait rapidement d’une paralysie et un black-out total des communications. Les informaticiens essayèrent de modifier le système de contrôle déjà en place, mais celui-ci n’était pas fiable à 100%. L’un deux suggéra que l’on modifie la future I.A du vaisseau pour en installer non pas une, mais deux à la fois, agissant comme une seule et même entitée. Baptisé « Chorus » cette « Super I.A. » sera capable tout à la fois de gérer des centaines d’alertes et des milliards de mises à jour par seconde, d’analyser les tâches pouvant être effectué automatiquement et de décider des situations devant être portées à la connaissance de l’équipage. En cas d’attaque, elle pourrait analyser instantanément l’ensemble des systèmes du vaisseau et contrôler chaque étape, rendant et poussant le Ragnarok aux maximum de ses capacités pour le rendre vraiment très efficace. L’I.A. surveillerait le statue de tous les vaisseaux et mettrait à jour leur position. Les rapports de recherche seraient également traités par son système de mémoire central, ainsi que les multiples informations en provenance d’un signal externe.
Fin 2552, le contact avec la station de recherche / construction orbitale et de son chantier naval fut perdus, signalant plusieurs contact ennemis dans son secteur. Son armement secondaire et spécial, ainsi que ses différents système de mesures balistiques et principaux développés sur Reach ne sont jamais parvenus jusqu’au centre de recherche, en raison de la destruction de la planète Reach. Le Super Dreadnought est présumé avec 95% de certitude détruit lors attaque massive de l’ennemi, en plein cœur de la zone non-radioactive de Mercure. Il en est de même avec le Chantier Nval mobile et la station de recherche « Under Boréalis »

Dark : ta première partie de mission, ben, j´ai adoré

Oula ! ca c´est de la description !! ! :love: