C´est jv qui les sépare d´une ligne...
Ok merci Zarbmo
Bon , je vais m´y remettre si je peux
Zuka Je ne sais pas je n´avais pas auté de lignes
Si quelq´un veut bien , on se partage le boulot
J´ai déjà tout fait , il y a juste à coller les liens sur le post
Pourquoi ? Tu ne peux pas le faire tout seul ?
Quant à l´espace entre les liens, c´est jv qui le crée tout seul
Avant sa le faisait pas, mais bon c´est pas tres important.
Voila, j´avais un peu de temps alors j´ai écrit ça. Ce n´est que le tout débût.. soyez indulgent ^^
Chapitre 1
Oui, je suis là, qu’aurai-je bien pu faire d’autre. Et je vous assure que juste « être là », ne servir à rien, ne rien faire d’autre à part attendre est quelque chose d’horrible, ce doit être la pire des tortures. J’ai toujours été là aussi loin que je m’en souvienne. Quelques bribes de souvenir, fugaces et incontrôlable de ma vie d’ «avant »me traversait l’esprit. Le ciel, la mer, les arbres, la nature même, ne sont aujourd’hui pour moi qu’un amas de concept devenu abstrait au fil des ans. J’essaie de tenir le compte des jours passés dans cet endroit, mais difficile de distinguer le jour de la nuit lorsque la seule lumière que je vois est celle que les gardiens allument quand ils décident de se défouler un peu sur moi. Apparemment ils ne m’aiment pas. Cela doit quand même faire approximativement 25 années que ma vie se résume à ces quatre murs et à ces visites régulières. Les tortures ont du me faire oublié mes crimes à moins que je ne les ait moi-même refoulé au fond de moi-même. Je suis sûr qu’il ont du être horrible.
Je ne sais pas ce qui me retient de mettre fin à mes jours, peut-être est-ce pour évité de faire plaisir à ces foutus gardes qui poussent la torture jusqu’à ne pas parlez pensant qu’ils me tabassent, je ne sais même plus comment se prononce certains mots.
Si bien que les premières paroles entendus depuis des années m’ont fait éclaté de rire ce que je ne croyais plus pouvoir faire depuis plus de deux décennies : « Hé connard ! t’es là ? ».
J’arrête de rire, le garde ayant prononcé ces paroles entre et allume la lumière, je me prépare à recevoir les coups tout en repensant au mot « connard » et je sens bien que ce n’est pas mon vrai nom. Mais au lieu de me frapper il se penche vers moi, me prend par les épaules et me dit que je dois me lever, que les chefs veulent me voir. Je ne comprend pas, il me tire vers la porte, mes jambes faibles et amaigries ne répondent pas aux ordres que je leur hurlent intérieurement : « Vite ! on se casse ! Courrez merde, courrez ! ». Le garde doit me tirer au dehors et pour la première fois depuis des années je sors de ces neuf mètres carré sans aucun regret et espérant ne plus jamais revenir.
Je bredouille : « kekipase ? », le garde me regarde d’un drôle d’air mais apparemment il a compris ma question et me réponds : « C’est à propos des covenants, maintenant fait pas chier et marche. »
Les covenants ?
Ca commence bien, pour ma part j´adore le cadre que tu poses^^
C´est assez réaliste surtout sur les sentiments du prisonnier (ou de l´ex-prisonnier maintenant )
C´est bizarre, je me rappelle avoir déjà lu un texte semblable (pas sur ce forum) qui m´avait bien plu également...
En tout cas, continues sur cette lancée^^
Merci pour ta critique zarbmo
Mais de rien
Voila, bon j´ai continuer pour mon unique lecteur ^^
Chapitre 2
Je me retrouve face à deux personne, sûrement des personnes haut placé vu le ton que prend le garde en disant : « voila, je l’ai chercher ! Je peux m’en aller ? », le plus âgé répond que non, que ça ne durerait pas longtemps.
-« Monsieur », dit l’autre personne en grimaçant. Pendant un instant je me demande si c’est bien moi qu’il appelle ainsi, et vu qu’il me regarde et même si ça n’a pas l’air de lui faire plaisir c’est bien à moi qu’il s’adresse, je concentre toute mon attention sur lui : « J’imagine que vous n’êtes pas au courant de la situation avec les covenants » les covenants ? Encore ce mot qui revient et vu la façon dont il l’a prononcé, cela ne oit pas être très bon. « Il s’agit d’une alliance extraterrestre extrêmement belliqueuses qui semblent avoir décidé d’envahir la terre. Quoi qu’il en soit ils sont en chemin pour la prison. Apparemment ils la cherchent, pour la sécurité de tout les prisonnier nous allons tous vous regroupez dans le réfectoire, on pourra mieux vous protégez » Le garde pousse un petit rire moqueur qu’il tente d’étouffer lorsqu’il croise le regard courroucé de son chef.
-« Voila, c’est tout, emmenez le au réfectoire » dit le plus âgé des deux.
Tandis que le garde me conduit à travers les couloirs, j’essaye de réfléchir sur ce qu’on vient de m’annoncer, …des extraterrestres, non pas des colonies humaines cherchant l’indépendance mais bel et bien des …extraterrestres, une autre forme de vie. J’ai du mal à y croire. En arrivant dans le réfectoire, déjà remplis d’environ 300 prisonniers, le silence se fait. Les discussions, les disputes et les bagarres s’arrêtent, et tous me regardent, un murmure parcourant la salle. Apparemment ils me connaissent.
-« Voilà votre camarades, vous êtes au complet » dit les garde en souriant, il sort alors son arme et la jette vers les prisonnier en disant : « bonne partouze et bonne chance ». Avant que quiconque n’ait attrapé son arme, la porte s’est déjà refermé sur lui et de toute évidence, on ne pourra pas le suivre.
Je m’assois à coté de la porte essayant de réfléchir, tandis que le prisonnier ayant récupéré l’arme du garde après une courte bagarre avec quelques autres prisonniers, se venge de ses ennemis connus en cellules, en les abattant froidement. L’homme au pistolet est une vraie force de la nature, il doit mesurer plus de deux mètres et peser dans les 150 kilos, de toute évidence il n’aurait pas eu besoin d’une arme pour tuer ces gens.
Les minutes passent, et personne, jusqu’à maintenant ne s’est encore intéresser a moi, j’ai même l’impression qu’ils m’évitent soigneusement. C’est mieux ainsi, je ne suis pas prêt à entamer une conversation, j’ai encore mal aux yeux à cause de la lumière et le bruit ambiant me donne horriblement mal à la tête. Je n’arrive pas à comprendre que cet homme, qui d’après ce que j’ai entendu s’appellerait Minsk,détenant l’arme et détenant par la même occasion le rôle de chef du groupe s’inquiète plus de régler les querelles de son passé sans penser à l’avenir. Pourquoi sommes nous parqué ici comme des bêtes? Pourquoi nous avoir réunis ? Va-t-on vraiment essayer de nous protéger? Nous, les pires rebus de la société?
Au bout d’un certain temps, on commence à entendre des bruits de tir. Ainsi, certaines personnes sont belle et bien resté dans cette prison de gré ou de force. Les autres prisonnier ont également entendu les détonations, ils ont alors tous cesser de parler pour écouter ce qui se passe.
-« C’est la guerre là-dehors » dit l’un d’entre eux. Un autre dit encore : « Ils ne peuvent rien faire contre les covenants, on va bientôt mourir »
J’ai pas tellement envie de mourir moi, covenant ou pas covenant. J’ai pas survécut 25 années dans un cachot pour me faire abattre comme un cochon par le premier extraterrestre venu.
Les détonations des armes à feu se calme et bientôt on retombe dans un silence le plus complet, chaque prisonnier redoutant le moment où la porte s’ouvrira. On n’a pas à attendre très longtemps. Je ne vois pas qui pénètre dans la pièce mais vu le regard apeuré de mes camarades d’infortunes, ce n’est pas un garde humain. Des éclairs bleus se dirigent droit vers les prisonniers les faisant s’écrouler dans un horrible cri dès qu’ils les atteignaient.
Alors que plus d’une quinzaine de prisonnier sont déjà tomber sous le feu unique de l’ennemi et que chacun semble résigner à son sort, Minsk, semblant penser qu’on avait pas le droit de réduire ainsi les nombre de ses sujets, couru vers moi et donc vers le covenant que je n’avais toujours pas vu et qui n’avait toujours pas remarquer ma présence, en hurlant et en tirant. De toute évidence l’extraterrestre n’est pas très impressionné par l’héroïsme de Minsk et lui tire dessus sans changer sa cadence de tir. Au bout de cinq tir en pleine poitrine, Minsk ne s’arrêtant toujours pas, l’extraterrestre prend alors la décision de tirer à la tête ce qui cette fois stop net notre chef d’un jour. En s’écroulant dans un fracas proportionnelle à sa masse, Minsk laisse tomber son arme qui vient glisser jusqu’à mes pieds.
Je dois agir.
Les sentiments sont bien représentés...
Magnifique tout simplement.
j´aime bien ! continue !
C´est sympa, original, meme si le style d´ecriture au present est special.
Mais il y a quand meme quelques petites fautes.
J´ai décidé de continuer un peu ma fic. J´espère avoir le courage de continuer sur ma lancé, enfin ça dépendra si vous aimez ou pas.
Si vous ne la connaissez pas, il vous faudra bien sûr lire les autres chapitres avant :
Découverte
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-10723-13161-61-0-1-0-0.htm
Réflexion
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-10723-13161-61-0-1-0-0.htm
Changement
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-10723-13161-64-0-1-0-0.htm
Vérité
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-10723-13161-65-0-1-0-0.htm
Impression
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-10723-13161-65-0-1-0-0.htm
Doute
117649-12 entendit des bruits de détonation. La dernière fois qu´il en avait entendu, c´était lors de la guerre organique...
Il précipita sa descente à l´encontre de 117649-13.
Mais ce qu´il vit était surprenant : un bipède, l´un de ceux qui avaient participés à cette guerre.
Il réinitialisa son réseau émotif afin de garder le peu de compréhension qui lui restait, puis il décida de le contourner afin de lui bloquer le passage. Il ne fallais pas qu´il s´introduise dans la cité.
En contrebas du tube, il vit 117649-13, désactivé.
117649-34 avait un doute.
A la première étape du tracage, les deux gardes recherchés étaient près de la salle de gestion du maître. A la deuxième étape, l´un y retournait e l´autre était désactivé ; et voilà qu´il reçu une procédure d´alerte pour une entrée non-autorisée.
Il ne pouvait, en l´état, localiser l´intrus. Il détourna un service de maintenance secondaire afin de se rendre sur la zone suspecte principale.
En attendant, une surveillance approfondie du secteur couvert par le dernier passage construit était indispensable.
En voilà un autre...
´Doumamee ne pouvait se permettre d´utiliser d´autres munitions. Ces sentinelles-la semblaient dépourvues de toute arme, mais qu´en serait-il si d´autres, plus adaptée, étaient mises au courant de sa présence ?
Elles arrivaient à l´entendre alors qu´elles n´utilisaient aucun son pour communiquer. Quels autres mystères lui étaient-ils réservés..
Après un échec au corps à corps, il abandonna. Glissant lentement vers un autre sas incertain, peut-être aurait-il plus de chance avec d´autres.
Après un ordre de verouillage/surveillance du passage, maintenir une concentration intégrale était indispensable.
C´est pourquoi il se mit en veille et laissa une marge d´automatisme dans les tâches d´analyse simples.
Il remarqua alors une exemplaire incongruité dans son champ de vision. Etant de taille, il se voyait obligé d´en faire part au chef de service, mais il fallait auparavent demander l´importation de deux autres gardes.
Il retourna à la salle cubique.
A gauche de la bande orange s´ajouta sur l´écran une bande grise foncée, de même proportion. Il ne restait plus qu´à attendre.
117649-214 et 117649-83 étaient intrigués. Il n´est pas habituel de faire appel à eux afin d´informer un chef de service d´une situation l´étant encore moins.
Ils prirent le sas le plus proche, puis un tube incliné à 60° vers le haut. Cette inclinaison rendant le passage plutôt abrupt, ceux-ci ne sont utilisés qu´en cas de forte nécéssité. Le contourner aurais pris 1,62 fois plus de temps.
Après près de 404 grandes unités de temps, ils arrivèrent dans un sas menant vers un tube à 45° vers la haut.
A leurs gauche, un sas menant vers l´arrière se referma.
D´un commun accord quasi-instantané, 117649-214 se dirigea en avant, et 117649-83 vers l´arrière, prenant un autre sas.
« -Doum, doum, dim dem doum dim. »
IL était jovial aujourd´hui.
« -Grumpf. »
Il commencait à perdre patience.
« -Cela fais longtemps qu´il s´est infiltré, et nous n´avons aucune nouvelle.
-Si vous me permettez, j´aimerais m´y rendre également.
-Pourquoi pas. Mais faites attention. »
De plus en plus clair sur les personnages du début mais l´apparition de nouveaux êtres et machines, ce qui donnent un sentiment de renouvellement sans pour autant faire perdre l´envie de continuer avec le début.
Juste une chose à dire : Magnifique et encore bravo pour les pensées des personnages.
C´est toujours aussi bien et spécial!
Il y a juste pour moi que tu utilises trop le pronom "il"...
A part ça rien à dire.
C´est très bien Continue
Je passe faire un petit coucou aux fan fictionneurs du forum
A Cptn sa fait longtemps que je ne t´ais pas vu ici
Salut Cptn, ravi de te revoir en ces lieux
Malheureusement, y en a plus beaucoup qui écrivent en ce moment...