Bonjour les forummers ! Je sais, cela fait un bail que je suis pas venu, mais y´a pas longtemps j´ai commencé une fic et je voudrais vos avis, donc je poste ! Enjoy !
2525, la face cachée…
(Par souci de compréhension, les grades, unités de distances et unités de temps sont rapportées au système humain)
Prologue :
De tout temps, les peuples explorateur ont réalisé de grandes découvertes. De tout temps, les peuples sédentaires ont créés des gouvernement pour diriger leurs nations. De tout temps, des exploiteur ont profité de la faiblesse de certaines d’entre elles pour enrichir leur ego et leur porte monnaie. De tout temps, des complots se sont organisés. Des complots ouverts, parsemés dans l’Histoire sous la forme d’émeutes, de révolutions, de soulèvements. Souvent trop violents, parfois bénéfiques, ils ont toujours eu leur places dans l’histoire. Et puis également des complots secrets, pervers, cachés de la face du monde par des hommes soit trop intelligents pour dévoiler bêtement leurs actions, soient trop scrupuleux et vicieux, qui tels des sangsues se greffent et grandissent sur le dos des autres, les gens normaux, qui eux subissent sans comprendre les influences de leur temps.
Vous tous vous croyez connaître les réelles circonstances de la rencontre entre les humains et les Covenants. Vous avez tous en tête l’image d’une rencontre houleuse entre deux cultures, de cette première entrevue dans le système Harvest qui aboutira à une guerre humano-covenante sans merci. L’image d’une planète ravagée, d’une colonie sauvagement vitrifiée. Mais croyez vous vraiment tout connaître de cette rencontre ? Vous êtes vous cantonné à la version des livres d’histoires ? Et si jamais humains et Covenants ne s’étaient pas rencontré bien avant, avant même que n’ai lieu cette ‘’rencontre’’ historique ? Et si la vérité vous avais à tous été cachée ? Retour sur ces événements qui changèrent notre monde à jamais…
Chapitre 1 : « Le Blue Jewel »
Karl se réveilla péniblement. La dernière journée fût éprouvante, et ses trois heures de sommeil n’étaient pour lui que juste récompense. Il se dirigea vers la salle de contrôle de la station, les paupières lourdes, mais l’esprit décidé. A peine entré la pièce exiguë et informatisée, il s’adressa à l’opérateur communication :
« Nous ont ils donné une réponse ?
-Pas encore ! Le temps de transmission est long, mon colonel, et je doute qu’on nous réponde avant une heure !
-Bien ! Tenez moi au courant ! »
La salle de contrôle était déserte. Hormis l’opérateur, seul deux scientifiques s’affairaient autour des consoles clignotantes. En temps que scientifique, Karl comprenait leur affolement, mélange de stress, de gloire et de curiosité. Et en temps que militaire, il voyait aussi un avantage tactique certain, et de nouvelle possibilité d’élargissement. Car dans la nuit, un événement plus que surprenant avait rendu ce jour unique : la capture d’une transmission… alien.
Nous sommes en 2525, en plein âge de la Réclamation. Karl ‘Gotuiree, Sangheili de 45 ans, est le chef de la station « Délivrance », une plate-forme d’étude stellaire Covenante. De formation scientifique, il a reçu un entraînement militaire après avoir passé de hauts diplômes d’astrophysique, a gradé colonel de par son engagement au sein de l’organisation de la recherche militaire, et se retrouvait maintenant la main sur la plus grande découverte de ces dernières années. Au premier abord, il n’y avait pas cru une seconde, pensant recevoir un écho, un parasite ou tout autre bêtise de ce genre, mais plus le signal fut clair, plus son torse se gonfla d’orgueil. Car ce soir là, au milieu du grand vide spatial, il perçu une brèche dans le Sous-espace. Puis, un écho radar inconnu qui scanna les alentours. Puis, plus rien. Se croyant en sécurité, l’inconnu avait coupé ses moteurs. Invisible aux yeux des capteurs thermiques, il restait néanmoins détectable.
Et même maintenant, alors que Karl regardait les écrans des capteurs, sa forme profilée était toujours présente dans le vide spatial. L’Elite se demandait pourquoi cet étrange vaisseau n’était pas reparti, mais il s’en fichait royalement : il avait la preuve de l’existence d’une race alors inconnue, et même s’il avait tout de suite averti le Haut Conseil, il voulait se réserver l’étude totale de ce vaisseau. Et il avait le temps devant lui.
Vaisseau humain « Blue jewel », 15 septembre 2524, 19h54 (Calendrier militaire),
6 h avant la sortie du Sous-espace
le Blue Jewel, vaisseau amiral de la 20e flotte, tremblait sous les coup de feu. L’agitation était totale. Le pont était en ébullition, et l’amiral contemplait le massacre à travers le hublot panoramique du pont, tout en vociférant des ordres :
« Ordonnez aux chasseurs de la Red Team de nous couvrir sur la droite. Chargez les CAM ! Ordre à toute la flotte d’engager la procédure de perçée. Si nous n’y arrivons pas maintenant, c’est fini de la 20e flotte !
-Bien Amiral ! Répondit l’opérateur radio »
Observant la carte tactique des opérations qui siégeait devant lui, l’amiral Carath soupira profondément, ne pouvant ignorer la défaite cuisante qui se préparait. Ils n’étaient pas prêt pour ça. Trois jours plus tôt, le SRN leur avaient confié une mission de la plus haute importance, et qui, bien entendu, était plus que top secrète. Ils devaient intercepter et détruire un des corpuscule royaliste les plus néfastes qui soient : ces fous avaient en effet menacer le gouvernement mondial terrestre de faire sauter le Soleil à l’aide d’une bombe nucléaire géante si jamais leurs souhaits étaient rejetés. Bien entendu, qui aurait pu croire une bande de timbrés pareil ! Mais quand les chercheurs du SRN s’étaient rendu compte qu’ils pouvaient le faire, on les a pris plus au sérieux, même si un tel projet s’avère absolument stupide ! Résultat : toute une flotte avait été envoyé dans un piège ! En réalité, leur objectif n’était pas de faire sauter notre bienveillante étoile, mais plutôt de piéger des abrutis trop naïfs pour ne pas voir l’éléphant caché derrière la souris. On peut dire qu’ils ont réussi leur coup : à peine sorti du Sous-espace dans le système planétaire de Gort, de nombreuses tourelles CAM et vaisseaux se dévoilèrent du champ d’astéroïde et commencèrent à bombarder la flotte entière. « Grâce à nos renseignements, nous pouvons vous assurer que vous allez les prendre en pleine « préparation » » avait annoncé fièrement l’officier de l’information en lui remettant le dossier.
« Foutu bureaucrate ! » Lâcha l’amiral en regardant ses vaisseaux se mettre en position. Ils prirent la formation d’un fer de lance, et tentèrent avec leur canons à accélération magnétique de démolir les tourelles ennemies, positionnée sur les astéroïdes environnants. L’un d’eux explosa en mille morceaux sous l’impact d’un des énormes obus humain, mais l’assaut n’ était pas pour autant moins sanglant. Lentement, la matrice hyper spatiale se rechargeait. L’amiral, au fond de lui, avait hâte que ses hommes puissent battre en retraite, car ils jouaient un jeu perdu d’avance. Il est souvent bon de se l’avouer : il vaut parfois mieux fuir que foncer vers une mort certaine. Mais pour le moment, ils étaient tous bel et bien coincés ! Des balais de chasseurs s’entrecroisaient dans cet espace sans bruits ni explosions. Les vaisseaux se coupaient certes en morceaux mais jamais on ne voyais de réelles explosions dans l ‘espace, à cause du manque d’oxygène. Comme quoi, même à cette époque, les Star Wars et autres films du même genre restaient légués à la science fiction… bonjour le paradoxe ! Les vaisseaux ennemis, cachés derrière la barrière d’astéroïde, crachaient un flot de LongSwords et bombardaient de bonne foi les vaisseaux républicains. Jamais, de mémoire d’homme, on n’avait vu des rebelles aussi puissants et organisés.
« On voit où tout le matériel volé au SRN se retrouve ! Lança Foaly, L’IA du vaisseau, tout en se matérialisant sur sa plate-forme holographique :
-Evites moi tes sarcasmes! Lui répondit sec l’humain
-Réacteur hyper spatiaux à 80 % de leur puissance. Les CAM de 98% des vaisseaux sont chargés !
-Bien ! Opérateur, faites lancer l’offensive ! »
L’ordre se répercuta à tout les vaisseaux, qui d’une même voix tirèrent leurs charges magnétiques meurtrières, dans un élan d’espoir et de survie insensé. Le canon principal du Blue toucha de plein fouet l’un des croiseurs rebelles, lui creusant un trou béant dans la coque. La carcasse dériva ensuite pour s’écraser telle une coquille de noix sur un énorme astéroïde environnant. Plusieurs tourelles ennemies bâtirent de l’aile et arrêtèrent leurs assauts. Les royalistes essuyèrent ainsi une vague de dégât non négligeable, mais ne tardèrent pas à riposter. Ne disposants pas de canon lourd comme la 20e flotte, ils tirèrent méthodiquement des missiles balistiques spatiaux, tentant de viser les organes vitaux des croiseurs et destroyers : système de vie, réacteur, armurerie, CAM… Certains missiles touchaient au but, et quelques vaisseaux républicains implosèrent sous les énormes différences de pressions. Une fois les salves tirées, tel les combats maritimes du XVII-XVIII ème siècle, les combats « au corps à corps » reprirent. Chasseurs, tourelles mobiles, missiles légers… tout était bon pour dérouter l’adversaire et le pousser à la faute. Et c’était là toute l’intelligence d’un bon amiral : repérer la moindre faille, le défaut décisif.
La bataille se figea dans une lenteur de glace. Le cerveau de l’amiral tournait à plein régime. Il analysait la situation, et comme dans chacune de ces situation, le temps ne s’écoulait plus normalement. Tout se suivait dans sa tête. Cette bataille était un véritable massacre, un siège intenable, une défaite sûre. Il le savait, car il voyait les escadrilles de chasseur tomber, les réacteurs exploser, les vaisseaux s’écraser sur les énormes planétoïdes qui tournaient, intemporels, comme morts dans le noir de l’espace. Puis, subitement, la bataille s’étouffa, comme un coup de canon qui faisait taire le flot du sang. Plus personne ne tirait, sans même savoir pourquoi. L’amiral revint à lui. Il ne comprenait pas. Il y a deux secondes à peine, la guerre faisait rage, et maintenant… plus rien. La voix de Foaly résonna dans sa tête, et le réveilla définitivement de sa transe intellectuelle :
« Ils hissent le drapeau blanc ! J’ai peine à y croire ! »
Le code de demande de cesser le feu clignotait pourtant à l’écran. L’ennemi souhaitait « parlementer ». Drôle de décision, quand on à l’avantage, mais Carath savait pertinemment bien que les rebelles n’avait pas arrêter de tirer pour rien. Ils allaient tirer leur lapin du chapeau, dévoiler un nouveau piège pour mieux savourer leur victoire. Une demande de visioconférence arriva sur la console de communication. L’amiral acquiesça et l’opérateur alluma l’écran principal, où apparut le visage triomphant de Julian Bates, le chef des « Insoumis », aussi surnommé « Le Borgne », en raison de la cicatrice qui lui barrait l’œil droit et qui l’a transformé en un dôme blanchâtre et purulent. L’amiral sourit :
« J’imagine que vous ne voulez pas nous inviter à prendre le thé avec vous, Bates
-Oh non ! Je m’en voudrais de nouer de tels lien d’amitié avec un cadavre, Amiral !
-Quel dommage ! j’aurais tellement aimé que vous me donniez l’adresse de votre styliste ! J’adore votre look. C’est un préservatif ou un col roulé ? En tout cas, cela vous va à ravir ! Rétorqua l’amiral
-C’est fascinant que même au bord de la mort, vous utilisiez encore votre humour… ‘’décapant’’ »
Plusieurs signaux énergétiques apparurent sur les radars. La température s’élevait drôlement en certains point et l’amiral comprit alors la gravité de la situation. Il s’en doutait déjà mais il ne pouvait tirer des conclusion trop hâtives. Parlant lentement, il distilla ses mots, les choisissant scrupuleusement :
« Je me demandais justement quand est-ce que vous alliez sortir votre armada nucléaire !
Le sourire béant de Bates se ramena à une simple fente. La colère semblait maintenant l’envahir :
-Hum, je vois que vous êtes futé, pour un connard de républicain ! Mais que comptez vous faire ? Vous devez vous rendre à l’évidence : vous êtes morts.
-Vous n’aurais jamais le courage d’utiliser des missiles de frappe nucléaires dans un champ d’astéroïde. Vous vous détruiriez.
-ça, c’est ce que vous croyez, Amiral Carath, mais nous savons tout les deux que vous bluffer. Peut être qu’il y aurait des dommages collatéraux, certes, mais l’idée ne me fait pas peur. »
A l’instant même, la communication fut coupée, et l’un des missiles fut tiré. Il s’éjecta d’un des bloc rocheux avec force et son moteur à ion le propulsa rapidement vers le Blue Jewel. Les boucliers furent levés, mais le missile explosa au milieu de sa course. De petit calibre, il ne fit que faire grésiller les bouclier, mais détruisit un astéroïde dont les morceaux vinrent se cogner contre la coque des vaisseaux alentours. Bates ne plaisantait donc pas. Foaly, les bras en croix sur sa plate-forme, observa l’amiral d’un œil curieux :
« Toi, je sens que tu mijotes quelque chose !
-Comment as tu deviné ? Demanda l’amiral
-C’est simple ! Quand un Amiral insulte un chef rebelle et ne bouge pas d’un cil alors qu’il le bombarde à coup de tête nucléaire, c’est qu’il a un plan derrière la tête !
-Où en sont les moteur hyper spatiaux ?
-Compris !! La flotte ont tous leurs moteurs synchronisés à 95 % de leur puissance. Dois-je prévenir les pilotes ?
-Oui, mais sur le canal le plus sécurisé qu’il soit, il faut qu’on se prépare à être secoué !
-Excuse moi, mais je pense que tu es complètement givré ! Lança l’IA. Tu te rends compte de ce que tu t’apprête à faire ?!
-Alors quel est ton plan, Foaly ?
-OK, c’est un coup bas. Bien, comme tu le voudras, mais je te conseille d’occuper l’autre zozo. Il me faut 4 minutes pour tout organiser.
-Tu peux compter sur moi ! »
Une fois les interférences magnétiques ramenées à un niveau faible, le visage blafard du Borgne réapparut sur l’écran géant :
« Convaincu ?
-Convaincu ! J’imagines que tu dois savourer ce moment ! Enfin tu met en déroute le CSNU avec brio. Bravo ! Tu t’apprête à rentrer dans les livres d’histoires !
Bates ria au éclat, d’un rire plutôt flippant :
-L’histoire. Tu ne t’es jamais posé de question sur les manipulations que le gouvernement aurait pus lui faire, à l’histoire ? Penses tu tout savoir de moi ?
-Je sais juste que tu n’es qu’un rebelle qui tente de renverser le système établi pour mieux faire régner sa doctrine. Tu n’a rien de plus qu’un autre, mis à part ton sens du piège.
-C’est bien ce que je pensais, tu ne sais rien de moi !
Silence. L’amiral ne savait quoi répondre. Au fond, c’était vrai, il ne savait rien de lui. Juste les quelques informations vagues lues dans le dossier du SRN. Julian reprit :
-Les gens du SRN sont des menteurs et des opportunistes. Je faisais parti d’eux pendant de longues années. J’ai travaillé sur certains radiotélescope de Reach et je peux t’assurer que ce que mon équipe et moi avons découvert nous a glacé le sang. Nous étions effrayé et tout c’est emballé. L’accident. Les découvertes. Les mensonges
-L’accident ? coupa Carath. Tu veux parler de l’incendie sur Reach qui à détruit un complexe scientifique.
-Exactement. Cet accident n’a rien d’une erreur qui a provoqué un incendie. C’est le gouvernement qui a tout manigancé ! C’est de leur faute !! Bates s’emballa et se mit à hurler de plus en plus fort :
-C’est eux, eux ! Ils ne voulaient pas qu’on dévoile au monde l’horreur qu’ils nous cachaient depuis si longtemps, alors ils ont décidé de nous éliminer. Ils nous cachent des choses, et c’est à cause de ces choses que je vais être obligé de tous vous supprimer, si jamais vous ne vous rendez pas !
-Tu dérailles complètement, Bates. Tu es fou à lier !
-Peut être, mais moi au moins j’ai la conscience tranquille. »
Un silence de mort s’en suivit. Un bip arracha la tension du moment. La console hyper spatiale était prête. Bates fit un signe à une personne hors champ. Le signal des missiles s’intensifia.
« C’est ta dernière chance de te libérer des blasphèmes odieux de ces profiteurs. Rejoins nous ! Ou accepte ton sort
-Désolé, mais j’ai un avion à prendre. Je vais malheureusement devoir te laisser.
Bates n’en revenait pas. Son œil tournait dans son orbite, cherchant dans l’image du militaire humain qui s’étendait devant lui la source du problème, mais il ne comprenait rien. Carath reprit :
-J’allais oublier les bonnes manières. On ne part pas sans faire de cadeau à la maîtresse de maison ! »
Il claqua des doigts. Le virus informatique fut immédiatement introduit via la communication dans le terminal central du vaisseau de Bates. Il ne pourrait pas les suivre dans le sous espace, le virus bloquant l’accès à toutes coordonnées, quelles qu’elles soient. Le regard de Bates s’enflamma, et les silos à missiles s’ouvrirent tous d’une même voix. A partir de là, toute erreur de timing serait fatale. Les pilotes, guidés par les calculs de Foaly, enclenchèrent en parfait synchronisme avec les autres vaisseaux la procédure de saut en Sous espace. Une fenêtre géante s’ouvrit dans un teint bleu juste devant la 20e flotte, et un à un, les vaisseaux s’y engouffrèrent, le Blue Jewel en dernier. D’après les règles physiques établies du sous espace, la matière disparaît mais reste tout de même bien là pendant un certain temps, dans un autre système dimensionnel. Ainsi, alors que le noir profond du Sous Espace commençait à envahir son champs de vision, l’amiral entraperçu « l’explosion » des missiles de Bates. Explosion qui se caractérisait surtout par la mise en miette totale des planétoïdes alentours. Mais alors qu’il traversait complètement la barrière invisible entre les deux espaces dimensionnel, le vaisseau fut traversé de grandes secousses. L’amiral pensa d’abord à un missile qui avait réussi à les toucher, à cause de cette « suspension dimensionnelle de la matière », et dans un sens il n’avait pas tort :
« -Au rapport ! Lança t’il à l’homme qui s’affairait devant lui sur sa console informatique
-Je ne sais pas ce qui se passe, mon Amiral. On a totalement perdu le contrôle. Impossible de vérifier si les autres sont en bon état, et j’ai l’impression qu’on dérive de notre route !
Foaly apparut sur sa console, avec un air à la limite de la peur, exceptionnel chez lui :
-J’avais l’espoir que vous vous étiez trompé, mais malheureusement tout est exact ! Adressa t’il au technicien. Amiral, nous sommes perdus dans le sous-espace !
-Eh bien revenez en espace normal immédiatement.
-Nous ne pouvons pas ! Le réacteur a été programmé avec des coordonnées spéciales. Les sécurités m’empêchent de le désactiver pour éviter d’avoir à subir les effets de l’explosion !
-Comment ça ?
-Eh bien il est possible qu’une IEM résultant de l’explosion nous ait suivi ! C’est pourquoi le système à instauré une distance de sécurité avant la sortie en espace normal. Mais je crois qu’on s’ai fait rattrapé ! Nous avons totalement perdu le contrôle !
-En clair, nous sommes à la dérive dans le sous espace, poursuivi par les restes magnétiques d’une explosion catastrophique !
-Euh… oui. Répondit presque timidement l’IA. Bates à dû aussi la sentir passer aussi, c’est rassurant. Sa flotte ne sera pas détruite mais il risque de ne pas aimer les dégâts qu’on lui a fait !
-Seule bonne nouvelle de la journée on dirait. Combien de temps avant que nous sortions du Sous Espace ?
-1h03 minutes Amiral ! Confirma un technicien
-Quels sont les dégâts du vaisseau, Foaly ?
-Impossible de le savoir avant d’avoir retrouver notre bon vieil espace, amiral. Malgré tout je pense qu’il va falloir s’arrêter en chemin pour réparer.
-Bien ! Prévenez moi quand nous serons sorti, je vais aller me reposer dans ma cabine.
-Aye aye !’ »
L’IA disparut et les techniciens regardèrent l’Amiral s’en aller, pensif, du pont pour se diriger vers sa cabine, à quelques dizaines de mètres de là. Il avait en effet tenu à ce que son espace privé soit très proche du pont, car il voulait toujours garder le contrôle par lui même, comme tout bon officier supérieur. Enfin, comme tout bon officier supérieur le devrait. Il s’allongea, toujours plongé dans ses pensées, sur son lit de camp, le grand luxe de l’UNSC pour seulement 2m sur 1. Il s’endormit presque aussitôt, remettant ses réflexions à plus tard. Il avait besoin de calme pour se reposer et pouvoir ensuite tout reprendre à tête reposée. Sa discussion avec Bates l’avait plongé dans un doute infime, mais présent. Il revoyait encore le regard sincère et la quasi tristesse du Borgne à l’évocation de se qu’il appelle « son histoire » en se plongeant dans les bras de Morphée.
Vraiment heureux de te revoir, et de revori ce topic
Mais je seras encroe plus heureux si la flemme ne m´epêchait pas de lrie ton récit ... Je lirait demain, à tête reposer
merci ! Prends ton temps pour lire ça, je peux attendre :p
Et encore désolé pour les fautes, je viens de le relire une énième fois et j´en trouve encore (et des pas mal du tout ! ^^)
Ne m´en veux pas trop hein ^^ Mais la journée a été crevante, Zuka pourra le confimer (MORT AUX GHOTS !! !)
Sans compter la famille qui déboulle
Bref demain, j´aurais tout mon temps pour lire cette fic
Oui je confirme^^.
Et la fic est très bien écrit, interessante... (enfin sa on verra plus tard^^)
Je viens de la lire
Vraiment très bonne J´attend la suite
Salut, moi et Power Flood ( respectivement le Major et l´Arbiter sur le blog Arbiter-major ), nous avons crée une fan-fic, pour l´instant, nous n´en sommes qu´au début, mais nous avons déja travaillé le scénario, pour qu´il concorde avec l´Univers de Halo.
Le Titre est : La Première Alliance
PS : J´ai mis un lien vers mon blog, mais ce n´est pas vraiment de la pub, c´est un lien direct vers la fan-fic, et non pas vers le blog en général
elle originale et bien ecrite ghost_of_hunter, même si je n´ai lu que la premiere page ça promet
Bravo Ghost et bien aussi à toi Halo 360...
Mais ne vous en faites pas, l´histoire parait banal au premier abord, celle d´un conducteur de Longsword ne serait pas interessant.
Mais, rien que le titre permet de donner un peu d´envergure à l´histoire.
Surtout avec Alliance avec un grand "A" !
merci pour vos commentaires encourageants ! Maintenant faut que je me penche sérieusement sur la suite, sinon sa va pas le faire !
Excellent premier chapitre ghost, j´espère que tu mettras autant de soin à la suite de ton récit, ça fourmille de détails pour ne pas dire ça explose, tout ce que j´aime ^^
J´ai également pris le temps de lire le premier chapitre de Halo & Power et je ne peux pas exprimer d´avis pour le moment. Ce chapitre pose les bases, donc à part dire que c´est bien écrit, je ne peux rien dire d´aut´
Up anti Flood
Quel flood ?
Ah non okay j´ai rien dit
Je n´avais point regardé la deuxième page ^^
Zarbmo c´est normal que il a marquer sa t´inquiete
voila, suite de la fan-fic d´halo 360 et moi même !
Les rayons du soleil perçaient faiblement à travers les stores, et se reflétaient sur le visage du Caporal, éclairant ses traits encore jeunes. Il n’avait pas encore le teint pale et caractéristique des pilotes de longue durée, victimes des interminables séjours dans l’espace, et des cryogénisation à répétition.
Un chuintement se fit entendre, et l’écran de l’holo-tv se mit en marche, illuminant la pièce de sa lumière. Le Caporal fut réveillé par le bruit de la chaîne « culture et loisir », où un groupe de musique infecte s’époumonait, devant une marée de fans hystériques, en phase d’envahir la scène. Jason se redressa en grognant. D’un mouvement rageur, il s’empara de la télécommande et voulu éteindre l’appareil, quand un flash spécial du CSNU coupa le programme.
Il était question d’une colonie reprise aux mains de l’ennemi, par de glorieux et courageux marines, dont le présentateur faisait l’éloge, forte images à l’appui sur fond de musique militaire. Jason éteignit l’écran. Les civils étaient bien les seuls à encore croire aux victoires fictives que le CSNU diffusait, soupira le pilote. Mais la population finirait bien par se rendre compte de l’état désastreux de la situation, et toute la propagande du monde ne suffira plus à empêcher la panique lorsque les covenants déborderont les colonies fondatrices les plus proches de la terre.
Il se tourna vers le cadran de sa montre posé sur la table en aggloméré, et s’étonna de voir les chiffres huit heures trente scintiller dans la peine ombre. Comment ? S’étonna t-il, il avait dormit si longtemps ?
Dehors, on pouvait entendre le braillement des sergents instructeur faisant trimer les Marines à l’entraînement depuis cinq heures du matin. Finalement ça avait du bon d’être pilote, songea Jason. Ils n’avaient pas les mêmes contraintes que les Marines, ou pire, que les TCAO. Et mis à part le taux particulièrement élevé de la mortalité en mission, tout était pour le mieux, pensa t-il ironiquement. Il écarta une mèche de cheveux bruns qui tombait son front, et s’extirpa de ses couvertures. Après avoir fait une rapide toilette, il enfila son uniforme, et sorti dans le couloir.
Le Caporal se dirigea vers le réfectoire, situé dans l’aile Ouest du complexe militaire. Il traversa une série de corridors vétustes et mal éclairés, avant de déboucher dans la cour nord. Théranis IV n´était pas la plus importante des colonies , loin de la, et maintenant que Reach était tombée malgré l´importance des fonds investis pour la fortification de la planète, la priorité avait été donné à la défense de la terre. En conséquence, les bâtiments du complexe dataient tous de plusieurs décennies, et la rouille commençait à gagner toutes les parties métalliques de la base, qui n´avait pas bénéficié des alliages dernier cri mis au point ces dernières années.
Arrivé au fond de la cour, Jason pénétra dans l’aile ouest. Il croisa quelques gradés qu’il salua, mais globalement les lieux étaient plutôt calmes. Sûrement à cause du départ prochain de l’allégience pensa t-il avec une pointe de regret. Le pilote passa les portes du réfectoire quasiment désert. Seul quelques pilotes étaient attablés dans le fond de la salle.
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le lien pour tout lire :
http://arbiter-major.blog.jeuxvideo.com/Fan_fictions-26334/