pas le temps pour l´instant!
franchement bravo viper t un vrai best, maintenant je me dis que c´est vraiment de la merde ce que j´ai fait! bravo la suite c pour kan?
pour la suite, j´ai pas trop le temps, et ne dit pas que ce que tu fais c´est de la merde, c´est faux!
un petit !
personne d´autre?
la suite!!! bonne lecture!!!
La bataille se stabilisait. D’un côté, les croiseurs de la République coulaient ceux de la CSI, et de l’autre, l’inverse. Cela faisait maintenant plusieurs heures que les flottes s’étaient engagées. Mais depuis une minute, ce n’était ni les croiseurs ennemis, ni les explosions soudaines qui occupaient les esprits, mais une boule d’énergie filant à travers l’espace en direction d’un croiseur de la République, le Kamino.
Tous les Commandants de la Flotte s’étaient tournés vers ce spectacle et envoyaient des messages au Kamino, proposant un soutient, des chasseurs, une couverture, mais toutes ces offres étaient rejetée par le Commandent.
- Commandent, nos tourelles turbolasers ont été modifiées afin de tirer des rafales d’électrons. Cela permettra de réduire la charge de la torpille.
- Bien. Faîtes de même pour le canon à torpilles.
- A vos ordres.
Je me tournai à nouveau vers le hublot du pont. Je vis en effet que les tourelles turbolasers crachaient à présent des tirs plutôt grisâtres que rouges en direction de la torpille.
- Les tourelles ne risquent-elles pas de surchauffer ? demandai-je.
- Non, mon Commandent. Nous les avons améliorées pour que les tirs continus n’entraînent pas de surchauffe.
Puis, voyant que j’allais parler, il s’empressa d’ajouter :
- Mais ceci ne peut marcher qu’avec les électrons.
- Je vois… Mais ne pourrions-nous pas adapter les canons pour qu’ils tirent des rafales d’électrons dans les batailles comme celle-ci ? suggérai-je.
- J’ai bien peur que non. Les électrons n’ont pas une puissance suffisante pour ce genre d’utilisation. Ils sont trop faibles car ils ne contiennent qu’une seule charge électrique élémentaire négative. Les protons, eux, en contiennent parfois des dizaines. Nous n’utilisons les électrons que pour faire diminuer la charge de la torpille afin que celle - concentrée d’électrons - que nous enverrons soit plus faible, et donc, plus facile à obtenir.
- Je vois… répétai-je.
- Commandent ! Nous sommes en mesure d’analyser la torpille pour préparer une charge inverse. Mais il faut pour cela que les tourelles cessent de tirer, m’informa un technicien
- Faîtes donc, lui répondis-je.
- A vos ordres.
Et il s’en alla. Je me remis à contempler la bataille. On m’annonça que la torpille ennemie n’était plus qu’à cinq minutes de notre croiseur. Encore trois minutes plus tard, on me prévint que notre torpille était prête. J’ordonnai alors de la charger dans le lanceur prévu à cet effet.
- Nous avons fait en sorte que la torpille réagisse sur le signal de celle de nos ennemis, m’avait dit un scientifique. De ce fait, nous sommes certains à quatre-vingts dix pour cents que la notre entrera en collision avec celle de nos adversaires.
- Et si jamais les dix pour cents restant seraient les bons ? lui avais-je demandé.
- Dans ce cas, ce sera la fin du Kamino, m’avait-il répondu.
et voila! lachez les coms!
re
non, serieux, j´ecris une fic que pour une seule personne???
génial !
juste que commandant c´est avec un ´a´...
j´ai verifié!
excuse moi de t´avoir repondu si vite, mais ma mere m´appelait. d´abord,
et ensuite, tu avait raison. c´est bien avec un a, merci!
commandent c´est ils commandent du verbe commander
ouais, je m´en suis rendu compte. j´ai corrigé sur mon fichier word!
je mettrai, si tout se passe bien, la suite le week-end prochain!
et non, j´ai eu le temps de la terminée. je met la suite! bonne lecture!!!
- Général Grievous, les tourelles adverses ont cessé de tirer sur notre torpille.
- Et alors, qu’es ce que ça peut me faire ? répliqua le Général Ils sont perdus, de toutes façon ! Ils peuvent faire ceux qu’ils veulent, ils sont…
- Général, l’interrompit un autre Neimoïdien à côté de moi. Général, nous avons perdu le croiseur n°53.
- On ne m’interrompt pas quand je parle ! s’écria Grievous du plus fort que sa voix le lui permettait. Pour tout vous dire, sa destruction ne me dérange pas le moins du monde ! Ses commandants n’étaient que des incapables ! Alors, reprenez votre poste et ne m’interrompez plus, sinon, je vous fait sauter la cervelle ! Est-ce clair ?
- Ou… Oui, Général, répondit mon collègue plein de sueur.
- Bon, on va dire que je ne vous ai pas entendu bégayer. N’est-ce pas ?
Puis, voyant que mon collègue ne répondait pas, il aboya :
- N’est-ce pas ?
- A vos ordres, mon Général.
Même s’il ne bégayait plus, on sentait qu’il n’était pas à l’aise. D’ailleurs, qui l’était, ici ? Personne ! Le Général devait s’en douter, bien sûr ! Il inspirait la peur à ses adversaires ; il se faisait craindre des ses subordonnés. Du temps où il était encore un alien à part entière, Grievous apeurait déjà ses ennemis. Non pas part son corps, ni par sa force physique qu’il n’avait guère, auparavant, mais par son intelligence hors du commun et son sens tactique inégalé. Autrefois, il avait ressenti. Quoi ? Un peu de tout. De la peur, de la joie. Du contentement, du désappointement. De la colère, du bonheur. Le deuil. L’amour. Oui, il avait aimé. Le Général Grievous, second leader de l’armée Séparatiste ; responsable de nombreux crimes contre des espèces pensantes, ayant la mort de plusieurs millions de personnes sur la conscience, si toutes fois il en a toujours une, avait un jour aimé. Il s’en souvenait. Il s’en rappelait. Mais il lui était incapable de le ressentir à nouveau. Il n’avait plus peur ; il inspirait la peur. Il n’était plus joyeux, mais la joie, il la volait. Grievous. Ce nom résonnait dans l’oreille des gens comme la mort venant frapper à une porte. Ce nom…. Ce nom…
- Général ! s’écria mon collègue.
- Qu’y a-t-il ? lui demanda Grievous.
- Général, on dirait que nos ennemis croient que tout n’est pas perdu pour eux. Il semblerait…
- Que font-ils ? l’interrompit le Général.
- Il semblerait qu’ils s’apprêtent à tirer sur notre torpille. Ils viennent de charger leur lanceur de torpilles.
- Et bien, tant mieux ! Cela renforcera la notre et l’explosion sera encore plus belle.
- J’ai bien peur que non, mon Général. La torpille qu’ils chargent est faite d’électrons, ce qui va annuler la charge de la notre, et…
- Merci bien, je sais ce que cela fera !
- Voulez-vous que nous fassions quelque chose pour les en empêcher ?
- Oui, répondit le Général sur un ton d’impatience.
Mon collègue se tut. Il se doutait de ce que le Général allait lui demander. Mais, voyant que Grievous commençait à s’énerver, il ajouta :
- Que voulez-vous que nous tentions, mon Général ?
- JE VEUX QUE VOUS EMPECHIEZ CE CROISEUR DE DETRUIRE NOTRE TORPILLE, ESPECE D’IMBECIL ! explosa Grievous.
- A vos ordres, mon Général, répondit le Neïmodien.
En dépit de tous les efforts qu’il faisait pour le cacher, celui-ci était complètement terrifié. De la sueur coulait de son visage. On pouvait entendre son cœur battre, même de la place où j’étais, c´est-à-dire à environ deux mètres de lui. Il n’avait plus peur, il inspirait la peur. Il n’était plus joyeux, mais la joie, il la volait.
lachez les coms!
ps: ne me mettez pas un vent, je me suis cassé la tete a faire ce paragraphe, hier,