ok
sinon à quand la suite
la suite, je sais pas quand.
salut jai remarqer qe qan je li ta fic c comme si je regardai un film jai plin dimage dan ma tete et sa cartonne
continu cest super
si vous voulez, je peux vous donner un conseil (inspiré par Countdooku): quand vous lisez les scènes d´action, mettez la zik du film, mais qui bouge!
LA SUITE
la suite, je l´ecrit, mais elle sera pas dispo tout de suite!
cool :d
petit niveau action, ce sera pas au rendez-vous!
la suite! bonne lecture!!!
− Que c’est-il passé ?
− Il me semble que nous avons perdu le contact avec l’escadron Bleu, mon Commandent.
− Où les a-t-on vu sur le radar pour la dernière fois ?
− Juste à côté de la Main Invisible. Dois-je demander une recherche plus poussée de la part du radar ?
− Non, c’est inutile. Ils ont été abattus.
− En êtes-vous sûr ?
− Affirmatif. Je les ai vu se faire abattre.
En effet. Je venais d’assister au drame. J’étais sur le pont de mon croiseur, le Kamino, lorsque l’escadron Bleu était parti en fumée sous le feu de la Main Invisible. J’avais non seulement perdu un de mes plus brillant escadron, mais aussi des amis.
Une voix me sortit de mes pensées :
− Voulez-vous que je passe la dernière conversation entre les pilotes ?
− Oui, allez-y.
− Transfert en cours.
« Peut-être, me dis-je, qu’en écoutant ces enregistrements, nous pourront trouver une faille chez l’ennemi. »
− Transfert achevé, mon Commandent. Voulez-vous que je le passe sur les haut-parleurs du pont ?
− Oui, faîtes.
− A vos ordres.
Il pris une petite datacarte et la glissa dans la fente de lecture des datacartes. L’enregistrement commença.
Au bout de plusieurs minutes, il s’acheva, et l’homme retira la datacarte.
− Cela ne nous a rien appris de plus, dis-je avec regret. Lieutenant, pouvez-vous me donner un compte rendu des analyses des radars de l’escouade ?
− Je le fais tout de suite, mon Commandent.
− Bien. Faîtes-m’en part dès que vous aurez terminé.
− A vos ordres.
De la passerelle du Kamino, j’observais la bataille. En la voyant, je me rappelais les feux d’artifice que mes parents m’emmenaient voir lorsque je n’avais même pas sept ans. Ils étaient magnifiques, sans doute les plus beaux de la galaxie. Mais cette bataille n’avait rien de magnifique. Elle n’était que désolation. Nous mourions parfois pour rien. Militaires, clones et civils étaient en train de mourir, peut-être même en ce moment. Je pensais aux enfants qui se retrouvaient sans parents. Puis soudain, comme un réflexe de mon cerveau, je revis mes parents. Je les voyais, eux et moi, au même endroit de notre dernière rencontre. Eux aussi m’avaient été enlevés par la guerre.
− Commandent, Commandent !
Puis, comme sorti d’un rêve, je dis :
− Qui a-t-il ?
− Une torpille à proton vient d’être tirée de la Main Invisible.
− Combien de temps avant impact ?
− Dix minutes.
− Bien. Activez l’alarme du vaisseau. Passez en code rouge, et avertissez les autres Commandent de la Flotte. Qu’avons-nous comme solution pour l’arrêter ?
− On ne peut pas l’éviter : elle est à tête chercheuse. Notre seule chance est d’envoyer un champ d’électricité négatif, vu que les protons sont positifs, de la même intensité que leur torpille pour éviter de toucher d’autres vaisseaux.
− Faîtes ce qu’il faut.
− A vos ordres.
Je me tournais à nouveau vers le hublot et je vis un point lumineux blanc avancer vers nous. Je me dis que peut-être, en fin de compte, que mon heure avait sonnée. Puis, chassant cette idée, me mis à réfléchir à une autre solution, au cas où celle de prévue ne marcherait pas. Autour de moi, les ingénieurs se précipitaient pour tenter de sauver nos vies.
« Pourvu qu’ils réussissent, me dis-je. Pourvu qu’ils réussissent. »
lachez les coms!
j´ai oublié de changer les tirets. voila, c´est mieux comme ça!
Une secousse ébranla le pont du Kamino.
- Que c’est-il passé ?
- Il me semble que nous avons perdu le contact avec l’escadron Bleu, mon Commandent.
- Où les a-t-on vu sur le radar pour la dernière fois ?
- Juste à côté de la Main Invisible. Dois-je demander une recherche plus poussée de la part du radar ?
- Non, c’est inutile. Ils ont été abattus.
- En êtes-vous sûr ?
- Affirmatif. Je les ai vu se faire abattre.
En effet. Je venais d’assister au drame. J’étais sur le pont de mon croiseur, le Kamino, lorsque l’escadron Bleu était parti en fumée sous le feu de la Main Invisible. J’avais non seulement perdu un de mes plus brillant escadron, mais aussi des amis.
Une voix me sortit de mes pensées :
- Voulez-vous que je passe la dernière conversation entre les pilotes ?
- Oui, allez-y.
- Transfert en cours.
« Peut-être, me dis-je, qu’en écoutant ces enregistrements, nous pourront trouver une faille chez l’ennemi. »
- Transfert achevé, mon Commandent. Voulez-vous que je le passe sur les haut-parleurs du pont ?
- Oui, faîtes.
- A vos ordres.
Il pris une petite datacarte et la glissa dans la fente de lecture des datacartes. L’enregistrement commença.
Au bout de plusieurs minutes, il s’acheva, et l’homme retira la datacarte.
- Cela ne nous a rien appris de plus, dis-je avec regret. Lieutenant, pouvez-vous me donner un compte rendu des analyses des radars de l’escouade ?
- Je le fais tout de suite, mon Commandent.
- Bien. Faîtes-m’en part dès que vous aurez terminé.
- A vos ordres.
De la passerelle du Kamino, j’observais la bataille. En la voyant, je me rappelais les feux d’artifice que mes parents m’emmenaient voir lorsque je n’avais même pas sept ans. Ils étaient magnifiques, sans doute les plus beaux de la galaxie. Mais cette bataille n’avait rien de magnifique. Elle n’était que désolation. Nous mourions parfois pour rien. Militaires, clones et civils étaient en train de mourir, peut-être même en ce moment. Je pensais aux enfants qui se retrouvaient sans parents. Puis soudain, comme un réflexe de mon cerveau, je revis mes parents. Je les voyais, eux et moi, au même endroit de notre dernière rencontre. Eux aussi m’avaient été enlevés par la guerre.
- Commandent, Commandent !
Puis, comme sorti d’un rêve, je dis :
- Qui a-t-il ?
- Une torpille à proton vient d’être tirée de la Main Invisible.
- Combien de temps avant impact ?
- Dix minutes.
- Bien. Activez l’alarme du vaisseau. Passez en code rouge, et avertissez les autres Commandent de la Flotte. Qu’avons-nous comme solution pour l’arrêter ?
- On ne peut pas l’éviter : elle est à tête chercheuse. Notre seule chance est d’envoyer un champ d’électricité négatif, vu que les protons sont positifs, de la même intensité que leur torpille pour éviter de toucher d’autres vaisseaux.
- Faîtes ce qu’il faut.
- A vos ordres.
Je me tournais à nouveau vers le hublot et je vis un point lumineux blanc avancer vers nous. Je me dis que peut-être, en fin de compte, que mon heure avait sonnée. Puis, chassant cette idée, me mis à réfléchir à une autre solution, au cas où celle de prévue ne marcherait pas. Autour de moi, les ingénieurs se précipitaient pour tenter de sauver nos vies.
« Pourvu qu’ils réussissent, me dis-je. Pourvu qu’ils réussissent. »
SUPER
mais trop court
terrible
ps: 200!!!
vite la suite