si moi je suis la!
petit chapitre mais i le bien fait,pa tro de faute!
a, ça fait plaisir de voir quelqu´un. euh, pour les fautes, je m´aide de word.
bah pour ma fic c´est pareil
sinon je repren les cours demain moi pfffff
ouais, y´a interré. pour les cours, moi aussi je reprends demain! .
slt jvien de rentrer de cour
si tu sortai tes reci en livre je connetrai enormerman de gen qi lacheterai( don moi)
, mais je crois que t´exagere un peu, non?
ba je sai pa les otre mai moi je lacheteterai c sur
jai une encore mailleur ider
imagine qe sa sorte en BD ou en livre illustrer ce serai super
jai meme un slogan
LES IMAGE LES PLUS IMPRESSIONANTE DES 6 FILM
ouais, mais ce serai moins interressant, on aurait qu´a recopier les images du film.
c vrai ta raizon
a qan le prochin paragraph ??
je sais pas. demain je reprends les cours, alors... je commence a l´ecrire, mais c´est pas sur que je le termine ce soir.
jrepren les cour dan qelqe minute
la suite!!! bonne lecture!!! :
− Général Grevious, les croiseurs ennemis viennent de larguer leurs chasseurs.
− Et bien, qu’attendez-vous pour envoyer les nôtres, idiot ! répondit celui-ci sur un ton glacial. Même à travers sa voix métallique son ton était toujours glacial.
Grevious était grand : il faisait plus de deux mètres. Il était cruel, mais également un bon tacticien. Quoi de plus banal pour un général comme les autres ? Mais Grevious, lui, n’était pas un général comme les autres : c’est un bio-droïde. Avant de devenir ainsi, il était déjà un grand Général sur sa planète natale. Il enchaînait les victoires et ne perdait pas beaucoup de batailles. Mais au cours d’une mission d’escorte, sa navette fut victime d’un accident technique. Il en sorti grièvement blessé. C’est le directeur du CBI (le Clan Bancaire Intergalactique) qui l’a recueillit et lui a fait subir une longue opération. Après cela, il est devenu comme il est. Un droïde avec les entrailles d’alien, un cœur d’alien, et c’est tout. Il ne respire pas, ne bois pas, ne mange pas. Avant, il avait aimé, adoré, mais plus maintenant, malgré qu’il s’en souvienne. Il ne ressent qu’une haine envers les Jedi et collectionne même les sabres-laser de ceux qu’il a affronté en trophées. Les quatre qu’il portait à sa ceinture étaient ses préférés.
− Je les envoie, Général, répondis-je.
− Bon sang, en espérant que tous les serviteurs du Seigneur Sidious ne soient pas comme ça… marmonna-t-il pour lui-même.
J’ordonnai d’envoyer les chasseurs en regrettant de ne pas être resté chez moi, sur Neimoïdia. Je sentais que le Général me poserai pas mal de problème. A moi et aux autres.
− Général… marmonna un autre Neimoïdien d’une voix à peine audible.
− Bon sang, je vous ai déjà dis de parler plus fort ! Es ce si compliqué ?
− Non, Général, reprit le Neimoïdien un peu plus fort.
− Et bien voila, vous faites des progrès ! Qu’y a-t-il ?
− Il semble que les croiseurs de la République ne tirent que sur les turbolasers de la Main Invisible. Je crois qu’ils ont peur de détruire le vaisseau et de causer la perte du Chancelier.
− Mais enfin, bien sûr qu’ils ne vont pas faire exploser le vaisseau ! C’est pour cela que vous m’avez dérangé ?
− Ou… ou… oui, mon Géné… ral, répondit-il complètement affolé.
− Et bon sang, arrêtez de bégayer ! On dirait un enfant de six ans se faisant disputer par sa mère !
S’il avait eu des cheveux à cet instant précis, on aurait juré qu’en dix secondes il les aurait tous arrachés.
− Bien mon Géné… ral, répondit le Neimoïdien de plus en plus apeuré. De la sueur coula à présent sur tout son visage.
Le Général Grevious − bien qu’on ne pu le voir − était dans une colère noire ! D’un coup, il se leva de son siège, marcha vers le Neimoïdien, l’attrapa au coup d’une main, et abatis le poing de son autre main sur le crâne du malheureux. On entendit un craquement dans tout le poste de pilotage. Le Neimoïdien s’effondra sur le sol, mort. Le Général tandis un de ses doigts en duracier dans ma direction et dit :
− Vous, prenez sa place.
− Bien, mon Général, répondis-je en me retenant de toutes mes forces pour ne pas trembler.
− Et tachez de ne pas faire les mêmes erreurs que cet incapable.
− A vos ordres, dis-je en tachant cette fois de ne pas bégayer de peur en non de ne pas trembler − chose qui ne me fut impossible de ne pas faire car je tremblais déjà −.
Je pris le poste de mon défunt collègue et commençai mon nouveau travail à bord. J’avait bien dis que les ennuis arriveraient !
voila! lachez les coms!!!
, je me suis trompé! la suite: (bonne lecture!!!)
- Général Grevious, les croiseurs ennemis viennent de larguer leurs chasseurs.
- Et bien, qu’attendez-vous pour envoyer les nôtres, idiot ! répondit celui-ci sur un ton glacial. Même à travers sa voix métallique son ton était toujours glacial.
Grevious était grand : il faisait plus de deux mètres. Il était cruel, mais également un bon tacticien. Quoi de plus banal pour un général comme les autres ? Mais Grevious, lui, n’était pas un général comme les autres : c’est un bio-droïde. Avant de devenir ainsi, il était déjà un grand Général sur sa planète natale. Il enchaînait les victoires et ne perdait pas beaucoup de batailles. Mais au cours d’une mission d’escorte, sa navette fut victime d’un accident technique. Il en sorti grièvement blessé. C’est le directeur du CBI (le Clan Bancaire Intergalactique) qui l’a recueillit et lui a fait subir une longue opération. Après cela, il est devenu comme il est. Un droïde avec les entrailles d’alien, un cœur d’alien, et c’est tout. Il ne respire pas, ne bois pas, ne mange pas. Avant, il avait aimé, adoré, mais plus maintenant, malgré qu’il s’en souvienne. Il ne ressent qu’une haine envers les Jedi et collectionne même les sabres-laser de ceux qu’il a affronté en trophées. Les quatre qu’il portait à sa ceinture étaient ses préférés.
- Je les envoie, Général, répondis-je.
- Bon sang, en espérant que tous les serviteurs du Seigneur Sidious ne soient pas comme ça… marmonna-t-il pour lui-même.
J’ordonnai d’envoyer les chasseurs en regrettant de ne pas être resté chez moi, sur Neimoïdia. Je sentais que le Général me poserai pas mal de problème. A moi et aux autres.
- Général… marmonna un autre Neimoïdien d’une voix à peine audible.
- Bon sang, je vous ai déjà dis de parler plus fort ! Es ce si compliqué ?
- Non, Général, reprit le Neimoïdien un peu plus fort.
- Et bien voila, vous faites des progrès ! Qu’y a-t-il ?
- Il semble que les croiseurs de la République ne tirent que sur les turbolasers de la Main Invisible. Je crois qu’ils ont peur de détruire le vaisseau et de causer la perte du Chancelier.
- Mais enfin, bien sûr qu’ils ne vont pas faire exploser le vaisseau ! C’est pour cela que vous m’avez dérangé ?
- Ou… ou… oui, mon Géné… ral, répondit-il complètement affolé.
- Et bon sang, arrêtez de bégayer ! On dirait un enfant de six ans se faisant disputer par sa mère !
S’il avait eu des cheveux à cet instant précis, on aurait juré qu’en dix secondes il les aurait tous arrachés.
- Bien mon Géné… ral, répondit le Neimoïdien de plus en plus apeuré. De la sueur coulait à présent sur tout son visage.
Le Général Grevious - bien qu’on ne pu le voir - était dans une colère noire ! D’un coup, il se leva de son siège, marcha vers le Neimoïdien, l’attrapa au coup d’une main, et abatis le poing de son autre main sur le crâne du malheureux. On entendit un craquement dans tout le poste de pilotage. Le Neimoïdien s’effondra sur le sol, mort. Le Général tandis un de ses doigts en duracier dans ma direction et dit :
- Vous, prenez sa place.
- Bien, mon Général, répondis-je en me retenant de toutes mes forces pour ne pas trembler.
- Et tachez de ne pas faire les mêmes erreurs que cet incapable.
- A vos ordres, dis-je en tachant cette fois de ne pas bégayer de peur en non de ne pas trembler - chose qui ne me fut impossible de ne pas faire car je tremblais déjà -.
Je pris le poste de mon défunt collègue et commençai mon nouveau travail à bord. J’avait bien dis que les ennuis arriveraient !
voila! lachez vos coms!
merveileurx!!!!!!!!!!!!!
euh,
ps: c´est quand la suite de ta fic?
merci davoir garder mon ider ( dan la po dun mechan)
contiu comme sa