La PS5 est à la rédaction ce qui nous a déjà permis de vous livrer nos impressions sur différentes facettes de la nouvelle console next-gen de Sony : la manette DualSense, son titre intégré Astro’s Playroom ou le “package” global, notamment. Après un essai complet de la machine en profondeur, l’heure est venue de dresser un premier bilan de cette PlayStation 5.
Nos tests ont été réalisés par le biais d'un téléviseur LG 55CX, mais il existe bien évidemment de nombreux autres téléviseurs adaptés pour les consoles de nouvelle génération, dont des écrans Sony déployés avec le label "Ready for PS5". Nous vous proposons une sélection des plus intéressants dans cet article que vous pouvez retrouver en lien ci-dessous :
Nouveau design pour une nouvelle gen
Nous l’avons déjà bien décortiqué, mais le design de la PlayStation s’accompagne d’une apparence inédite et particulièrement originale qui tranche avec les habituels tons noirs des nouvelles consoles de la marque. Derrière ce design à base de coques blanches très “futuristes” se cachent quelques changements d’ordre pratique et visuel, mais la machine conserve ses éléments fondamentaux : on retrouve ainsi en façade un port USB Type-A ainsi qu’une prise USB Type-C (qui est aussi la nouvelle norme pour le branchement du câble de rechargement de la manette DualSense, d’ailleurs), deux autres ports USB Type-A à l’arrière, ainsi que les classiques ports Ethernet, branchement pour le câble HDMI et support pour le câble de chargement. Les boutons d’éjection du disque et d’allumage de la console se trouvent également en façade. À l’exception du port USB-C, la console se veut donc très similaire à la PS4 sur sa connectique.
Principale source de différence avec sa prédécesseure du point de vue pratique, vous pouvez choisir de mettre la console debout ou allongée grâce à un socle intégré et adaptable selon la configuration requise. Malgré cette bonne idée, signalons tout de même que le système n’est ni très intuitif, ni très pratique à mettre en place. Une majorité de joueurs n’aura fort heureusement pas souvent besoin de basculer régulièrement d’un mode à l’autre, mais sur ce point, la forme particulière de la console ne lui facilite pas forcément la tâche. En revanche, et si l’appréciation du design vous appartient, les plus observateurs aimeront sans doute le détail apporté à l’intérieur de la coque et sur la partie arrière du DualSense, sur lesquels on retrouve une succession de signes croix, carré, rond et triangle discrètement gravés. Un détail, certes, mais qui n’en reste pas moins sympathique.
La manette DualSense
Nous l’évoquions il y a quelques lignes, Sony nous gratifie d’une nouvelle manette pour son changement de génération avec la DualSense. Porteuse de plusieurs promesses technologiques, celle-ci gère notamment le retour haptique, voué à apporter de nouvelles sensations manette en main comme par exemple la sensation de lourdeur d’un véhicule roulant dans la boue. Elle dispose également de gâchettes adaptatives, dont la tension s’adapte selon les situations pour proposer, par exemple, une résistance plus forte lorsque vous tirez à l’arc, et un micro intégré qui peut être exploité à des fins de gameplay ou pour converser. Pour tester tout cela en jeu, le titre idéal est tout trouvé : Astro’s Playroom est directement intégré à la console et se veut pensé pour la DualSense afin d’en exploiter toutes les possibilités. Si quelques idées se veulent classiques (micro intégré pour souffler sur un objet, pavé tactile pour boucler une fermeture éclair), les deux principales nouveautés de la machine s’avèrent parfaitement utilisées par d’autres mécaniques : nous avons ainsi été particulièrement séduits par le mécanisme de la grenouille, qui combine gyroscopie (pour orienter le personnage), retour haptique (donnant une impression de lourdeur plus forte du côté où vous penchez la manette) et gâchette adaptative (avec un retour de force plus ou moins important quand vous enclenchez le ressort pour bondir). Si le retour haptique s’avère plaisant, c’est davantage vers le retour de force des gâchettes que va notre préférence, celui-ci semblant avoir un potentiel important sur de nombreux styles de jeux, allant du jeu de courses aux shooters.
D’une manière générale, Astro’s Playroom démontre parfaitement les capacités du DualSense, capable d’offrir des sensations vraiment uniques et qui fait office de vraie belle surprise. Ceci étant dit, il faut tout de même se montrer prudents sur l’avenir de ce pad, ce que confirme notre prise en main d’un Miles Morales offrant certes un bon feeling sur les vibrations, mais qui témoigne d’une exploitation bien moins importante des capacités de la manette. On a moins de doutes sur le fait que les gros studios internes de Sony (Santa Monica, Naughty Dog, Sucker Punch, pour n’en citer qu’une poignée) tenteront d’exploiter l’ensemble au maximum, mais il faudra aussi juger cette DualSense dans la durée sur son exploitation par les éditeurs tiers. Celle-ci n’a cependant jamais semblé aussi solide et idéale en terme de proportion, offrant ce qui est sans doute la prise en main la plus convaincante sur une manette de la marque. Dernier point à évoquer, le port micro-USB permettant de charger la DualShock 4 est cette fois remplacé par un USB Type-C.
Menus et interfaces, le changement c’est maintenant ?
Nous n’aborderons pas tous les détails de l’interface aujourd’hui, puisque certains éléments sont encore en phase de finalisation, comme le PlayStation Store directement intégré au menu principal ou l’onglet regroupant toutes les applications annexes comme Netflix, YouTube et d’autres. Deux choix potentiellement intéressants en terme d’organisation et de praticité, sur lesquels nous reviendrons donc en temps voulu. Il y a tout de même largement de quoi dire sur la nouvelle interface de la console, qu’il s’agisse de ses options, de son parti-pris esthétique ou de son ergonomie générale.
Visuellement, le gap est moins important que lors du passage de la PS3 à la PS4, la PS5 conservant ce système de “cards” matérialisant chacune un jeu ou une application à lancer. Mais contrairement à la console précédente, ces blocs apparaissent cette fois en haut à gauche de l’écran et libèrent donc l’espace central pour y faire apparaître diverses informations sur le jeu ou sur l’application ici en surbrillance, comme par exemple son pourcentage de téléchargement lorsque vous êtes en train de la récupérer. Certains titres tels qu’Astro's Playroom , Spider-Man : Miles Morales ou même The Last of Us Remastered font même tourner une piste de l’OST en fond lorsque vous survolez l’onglet du jeu, ajoutant ainsi un peu plus d’ambiance au menu. Sur ce point, Sony essaie encore une fois d’offrir une expérience aussi agréable à l’oeil qu’à l’oreille, et dans laquelle on retrouve facilement ses repères tirés du menu de la PS4.
Pourtant, quelques changements s’invitent dans les menus rapides et les transitions entre les différents sous-menus. On pense notamment à celui déclenché par le bouton PlayStation au centre de la manette, qui offre désormais l’accès direct à toutes les options qui se trouvaient auparavant directement dans le menu principal. Une bonne idée pour les amateurs de trophées ou ceux souhaitant voir leurs téléchargements ou leurs notifications d’un clin d’oeil, mais qui s’accompagne aussi de quelques désagréments. Ainsi, on regrette qu’il n’existe plus un double raccourci (appui court ou appui long) offrant un moyen d’éteindre plus rapidement la console. De même, si la PS4 permettait de télécharger deux jeux/applications/DLC en même temps, la PS5 est pour l’instant limitée à un seul téléchargement, mettant les autres dans une file d’attente. On ne peut pas non plus transporter ses sauvegardes PS5 sur une clé USB. Enfin, les dossiers n’ont pas été intégrés et il n’est donc pas possible de trier ses applications, une absence fort regrettable tant ce système s’avérait pratique. Espérons que ceux-ci seront de retour d’ici quelques mises à jour puisque, rappelons-le, il ne s’agit pas d’une version 100% définitive de l’interface. Enfin, à l’heure actuelle, il n’est pas possible de lancer deux applications simultanément, y compris lorsque l’une d’entre elles n’est pas un jeu. Etant donné que le menu rapide inclut un système d’activité servant de raccourcis à différentes parties des jeux (des mondes, des sous-menus, des modes, potentiellement), celui-ci perd un peu de son intérêt à cause du manque de souplesse de la machine sur ce point. Principal point positif de cette décision, le menu s’avère cependant plus fluide que jamais, ce qui rend l’expérience utilisateur nettement plus agréable que sur une PS4 avec quelques milliers d’heures de vol au compteur.
De nouvelles options pratiques et modernes
En plus de son interface, Sony a également jeté un oeil du côté des options de sa PlayStation 5. Si l’on retrouve un menu globalement similaire à celui de la PS4, quelques options s’avèrent plus riches en possibilités, tandis que d’autres font leur apparition. Par exemple, s’il est toujours possible de définir point par point les éléments de votre profil que vous souhaitez voir affichés publiquement, la console vous propose au lancement des profils prédéfinis selon votre façon de jouer (“Social et ouvert”, “joueur d’équipe”, “accent sur les amis” ou “solo et concentré sur le jeu”), afin de gagner un peu de temps dans cette étape. Des pré-réglages existent également dans les options de la console pour que chaque jeu s’adapte automatiquement selon les options cochées : vous pouvez par exemple choisir de démarrer par défaut soit dans la difficulté de base, soit la plus facile, soit la plus difficile. La même option existe entre mode fréquence et résolution lorsque le jeu propose une telle option, ainsi que sur les choix de caméra (inversée ou classique), et la langue par défaut à l’audio et en sous-titres.
Autre élément plutôt intéressant sur le principe, il est possible d’ajouter par défaut une mention “spoiler” sur des captures vidéos ou d’écrans, la notion ou non de spoiler étant soit définie en amont par les développeurs du jeu soit gérée automatiquement par la console selon les éléments que vous avez déjà vus ou non dans vos parties. Ce dernier point semble flou au premier abord, mais il est probablement destiné aux joueurs dans des partys (système de chat vocal de la PS5, qui peut inclure des partages de captures, de vidéo et de stream), ce qui permettra donc de vous prévenir si par exemple votre ami vous montre un extrait de jeu que vous n’avez visiblement pas encore atteint d’après votre profil PSN. Enfin, on peut également saluer la densification des options d’accessibilité, déjà présentes sur PS4, mais un peu plus riches sur la dernière-née de Sony. On retrouve plusieurs points déjà présents, comme l’attribution personnalisée des touches ou le mode contraste, mais aussi des évolutions intéressantes, comme davantage de choix dans les tailles de textes, des modes adaptés aux trois dichromatopsies du daltonisme : deutéranopie, protanopie ou tritanopie, ainsi qu’un lecteur d’écran avec un narrateur lisant à voix haute chaque option indiquée à l’écran. Il est aussi possible de désactiver ou d’ajuster l’intensité des vibrations et des effets liés aux gâchettes. Plusieurs bons choix donc, qui montrent les efforts réalisés par Sony en terme d’accessibilité, même si sur ce point, son principal concurrent a encore un peu d’avance.
Se tourner du côté des options de partage permet de constater que Sony a également mis l’accent sur sa touche “Share”, désormais renommée “Create”. Partage de sa session en direct avec ses amis, captures 1080p et 4K, possibilité d’ajouter sa voix par dessus, les options ne manquent pas pour ceux souhaitant streamer ou partager un extrait de leur session de jeu facilement. Un point qui se confirme également avec les trophées, qui peuvent maintenant être partagés via une courte vidéo de 15 ou 30 secondes montrant l’instant de l’accomplissement du trophée en question. Le caractère “social” de la console est donc encore accentué sur cette génération, reste à voir si les joueurs sauront et voudront s’en emparer. Car rappelons-le, la qualité de la modélisation du titre n’est pas parfaitement reflétée sur les diffusions ou les captures en 1080p, nettement plus compressées. Nous avons tout de même été agréablement surpris par celle des vidéos en 4K, qui optent pour un format différent, mais s’avèrent plus proches du rendu original que nous ne l’aurions pensé.
Les jeux : rétrocompatibilité, 4K et 60 fps
Avec tout cela, nous n’avons même pas encore abordé en détails la question des jeux et de leur fonctionnement sur la machine. Il faut dire qu’à l’image des Xbox Series, le bond vers une nouvelle génération n’est pas forcément aussi marquant sur PS5 qu’il ne l’était il y a 10 ou 15 ans. D’une part, parce qu’une immense majorité des jeux du lancement seront également disponibles sur la génération précédente. Et d’autre part, parce que les évolutions se font désormais à la marge et sont moins perceptibles par le grand public. Il faut toutefois s’attendre à ce que les jeux “cross-gen” généralisent la proposition d’un choix entre un mode fluidité (60 FPS avec une définition inférieure à la 4K) ou définition (4K Ultra HD avec une fluidité généralement plus proche de 30 FPS), un point que nous aurons l’occasion d’essayer un peu plus tard puisque à l’heure où nous écrivons ces lignes, seul Days Gone dispose déjà de son patch PS5 tandis que celui de Ghost of Tsushima est en approche.
Il a donc fallu nous contenter de Spider-Man : Miles Morales, qui propose également de “switcher” entre les deux modes, le premier vous offrant en plus de la 4K l’intégration du Ray Tracing servant à offrir un système d’éclairage et de reflets plus authentique. Quant au second, il permet de profiter des aventures de l’homme-araignée dans une fluidité plus élevée, à 60 images par seconde, mais avec une définition moins élevée. Si ces détails montrent bien que la next-gen est là et qu’elle offre des performances supérieures à celles de la PS4, il reste à voir comment les jeux s’y adapteront. Nous reviendrons dessus un peu plus tard, une fois la plupart des patches déployés.
Notez d’ailleurs qu’une immense majorité des jeux PS4 devrait tourner sur PS5, seuls dix titres figurant dans la première liste de jeux non rétro-compatibles avec la PS5 : DWVR, Afro Samurai 2 : La revanche de Kuma , TT Isle of Man - Ride on the Edge 2 , Just Deal With It !, Shadow Complex Remastered , Robinson : The Journey , We Sing , Hitman GO Definitive Edition , Shadwen et Joe's Diner . Pour le reste, et au regard du très grand nombre de jeux déjà sortis sur PS4, il faudra attendre les listes officielles des différents éditeurs pour connaître la liste exacte. Mais d’après nos premiers essais et au regard des patches déjà prévus, il y a fort à parier que les titres ne fonctionnant pas sur PS5 resteront en nombre limité.
- Assassin's Creed Valhalla
- Astro's Playroom
- Borderlands 3
- Bugsnax
- Call of Duty Black Ops Cold War
- Demon Soul's Remake
- Devil May Cry 5 : Special Edition
- DiRT 5
- Godfall
- Just Dance 2021
- Maneater
- Marvel's Spiderman : Miles Morales
- Marvel's Spiderman Remastered
- Mortal Kombat 11 Ultimate
- NBA 2K21
- No Man's Sky
- Observer System Redux
- Overcooked : All You Can Eat
- Planet Coaster
- Sackboy : A Big Adventure
- The Pathless
- Warhammer : Chaosbane Slayer Edition
- WRC 9
Bruit et chaleur, un sans-faute sur PS5 ?
Après une PS4 réputée pour ses nuisances sonores et un niveau de chauffe assez important, la PS5 était attendue au tournant sur ces deux problématiques. Bonne nouvelle, elle remplit brillamment son contrat en proposant dans un premier temps une très bonne évacuation de la chaleur. Lors de nos tests réalisés avec Spider-Man : Miles Morales, le point le plus chaud de la console a tout juste dépassé les 50 °C sur une surface assez restreinte, tandis que les côtés de la console (en position debout) restent autour de 40 °C. Le dissipateur de chaleur occupant la majeure partie de la section supérieure de la console, les températures y sont donc logiquement moins élevées. L'air s'évacue bien sur l'arrière et le haut de la console, autre point de changement avec une PS4 moins bien conçue sur ce point.
Température en jeu, sur Spider-Man : Miles Morales
Côté bruit, le bilan est également positif, surtout pour les jeux dématérialisés. Le silence est total, ou presque, puisqu'il faut quasiment se coller à la machine pour entendre le ventilateur tourner, celui-ci faisant toutefois un bruit moins sourd que celui de la Xbox Series et semblant tourner plus vite. En revanche, nous avons constaté une augmentation du bruit lorsque vous jouez avec un disque Blu-Ray dans le lecteur. Ce dernier se fait davantage entendre, accentuant de manière nette le bruit ambiant. Ceci étant dit, il faudra attendre un peu plus pour vérifier si le problème ne se présente qu'avec des jeux PS4 non patchés (dans notre cas, Jedi Fallen Order), et surtout, la "nuisance" sonore reste à des années-lumière de celle émise par la console à laquelle elle succède. Comme pour la Xbos Series S et X, nous n'avons jamais dépassé une mesure de 38 dB(A), c'est à dire pas plus que le niveau sonore d'une pièce silencieuse.
- CPU - x86-64-AMD Ryzen™ “Zen 2”8 Cœurs / 16 Threads, fréquence variable jusqu’à 3,5 GHz
- GPU - Moteur graphique AMD Radeon™ RDNA 2, Accélération Ray tracing, Fréquence variable, jusqu’à 2,23 GHz (10,3 TFLOPS)
- Mémoire système - GDDR6 16GB – Bande passante 448GB/s
- SSD - 825GB, Bande passante 5,5GB/s (à l’état brut)
- Disque Optique - Ultra HD Blu-ray (66G/100G) ~10xCAV BD-ROM (25G/50G) ~8xCAVBD-R/RE (25G/50G) ~8xCAV DVD ~3.2xCLV
- Lecteur disque PS5 - Ultra HD Blu-ray, jusqu’à 100GB/disque
- Sortie vidéo - Port Externe HDMI™ Support de la 4K 120Hz TVs, 8K TVs, VRR (spécifié par HDMI ver.2.1)
- Audio - “Tempest” 3D AudioTech
- Dimensions - PS5 : Environ 390mm x 104mm x 260mm (largeur x hauteur x longueur) (ne prend pas en compte les projections les plus hautes)
- Dimensions - PS5 édition numérique : Environ 390mm x 92mm x 260mm (largeur x hauteur x longueur) (ne prend pas en compte les projections les plus hautes)
- Poids - PS5 : 4,5kg & PS5 édition numérique : 3,9kg
- Alimentation - PS5 : 350W & PS5 édition numérique : 340W
- Input/output - Port USB Type-A (Hi-Speed USB) Port USB Type-A (Super-Speed USB 10Gbps) x2 Port USB Type-C® (Super-Speed USB 10Gbps)
- Réseau - Ethernet (10BASE-T, 100BASE-TX, 1000BASE-T) IEEE 802.11 a/b/g/n/ac/ax Bluetooth® 5.1
Conclusion
Points forts
- La DualSense et les sensations qu'elle apporte
- Une console qui chauffe peu
- De nouvelles options d'accessibilité et de personnalisation
- L'interface fluide et agréable à parcourir
- Aucun son avec les jeux dématérialisés...
Points faibles
- ...Mais on entend un peu le lecteur Bluray avec les jeux physiques
- Quelques fonctions et raccourcis pratiques disparus
- Une claque visuelle limitée pour le moment, vivement les "vrais" jeux next-gen !
Note de la rédaction
Si les progrès techniques sont sensibles, la PS5 offre comme sa principale concurrente un passage en douceur dans la nouvelle génération, à base de graphismes légèrement affinés et d’une fluidité supérieure. Quelques ajouts plaisants, allant du Ray Tracing au 60 FPS en passant par la 4K viennent s’inviter dans la danse, mais il faudra attendre les premières véritables exclusivités pour véritablement se prononcer sur ce que la machine a dans le ventre. En revanche, il est déjà possible de se projeter sur le potentiel de sa manette DualSense, offrant des sensations très plaisantes lorsqu’elle s’avère bien utilisée, et son interface, agréable à parcourir et enrichie de quelques options pratiques… mais aussi délestée d’autres options fort utiles, que l’on espère voir revenir par le biais d’une mise à jour. Sans bouleverser le monde du jeu vidéo, la PS5 dispose donc de quelques atouts pour vous faire craquer, mais devra tout de même patienter pour montrer l’ensemble de son potentiel.
- Vérifier les stocks de PS5 chez Amazon
- Vérifier les stocks de PS5 chez la Fnac
- Vérifier les stocks de PS5 chez Cdiscount
- Vérifier les stocks de PS5 chez Micromania
- Vérifier les stocks de PS5 chez Cultura