Le 02 août 2022 à 14:50:11 Sadenigma a écrit :
Ouais mais https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Loi_de_Poe
je connaissais pas, rigolo/20 merci
Hello les littéraires !
Quelqu'un pourrait m'aider ?
Je recherche le nom d'un roman que je n'arrive plus à retrouver.
C'était plus des miscellanées autour de la femme, de l'amour, de la sexualité. Des fragments de texte vraiment beau.
Impossible de retrouver le nom du roman ou de l'écrivain.
Merci beaucoup pour vos lumières.
Aucune idée désolé
Peut être "milf" de Hugo Drillski
Y'a que moi qui pleure Sa Majesté ?
C'est bien français de se réjouir de la mort de son roi et de pleurer la mort des autres
Je l'ai pas connue plus que ça
J'attends Le Pen pour être atterré
Le 08 septembre 2022 à 21:32:30 Chimene_Azalee a écrit :
C'est bien français de se réjouir de la mort de son roi et de pleurer la mort des autres
Ayaaa tellement vrai
Le 08 septembre 2022 à 22:32:56 :
Je l'ai pas connue plus que ça
J'attends Le Pen pour être atterré
bas les couilles de sa majesté
à quand une reprise de god save the queen par Maneskin ?
Miskine...
Je cherche comment m'améliorer en tant qu'écrivain et j'ai trouvé plus logique de demander aux écrivains du forum écriture pour m'aider à me faire passer un cap d'avance pour vos réponses
C'est toujours aussi vivant ici
Le 03 octobre 2022 à 17:24:06 :
C'est toujours aussi vivant ici
Je crains qu'un script empêche les gens de s'exprimer avec certains mots contenus pourtant dans le dictionnaire,
Le 03 octobre 2022 à 17:40:34 SCANTION123 a écrit :
Le 03 octobre 2022 à 17:24:06 :
C'est toujours aussi vivant iciJe crains qu'un script empêche les gens de s'exprimer avec certains mots contenus pourtant dans le dictionnaire,
Tes craintes sont en effet fondées
Nom de dieu, même ici, les anneaux maléfiques font leur apparition.
Le 05 octobre 2022 à 00:26:07 :
Nom de dieu, même ici, les anneaux maléfiques font leur apparition.
Un Anneau pour les dominer tous,
Un Anneau pour les trouver,
Un Anneau pour les amener tous et dans l'inactivité de la commu les lier.
Le 05 octobre 2022 à 09:53:01 :
Le 05 octobre 2022 à 00:26:07 :
Nom de dieu, même ici, les anneaux maléfiques font leur apparition.Un Anneau pour les dominer tous,
Un Anneau pour les trouver,
Un Anneau pour les amener tous et dans l'inactivité de la commu les lier.
https://www.jeuxvideo.com.com/forums/message/1176055239
ave amis du forum
je vous suggère la lecture de l'une de mes plus sublimes poésies qui s'intitule Procès d'Aristografoce pour avoir votre avis
vous pouvez aussi me suggérer vos meilleurs textes
bon journée
\/
Vous allez répondre de vos crimes devant cette assemblée. Veuillez simplement répondre à ces questions.
Nom ?
Aristografoce
Prénom ?
Alexandre
Sexe ?
Masturbateur
Profession ?
Ornementeur
Quoi ? Je lis « sans profession » dans votre dossier.
Soit. Disons que je n’ai pas de métier.
Vous êtes devant la barre, aujourd’hui, pour répondre d’un texte commis par vous. Êtes-vous bien l’auteur du texte Mourir sur le trône écrasé par un ciel de briques ?
Affirmatif.
Vous avez écrit, quelque part, que les Noirs étaient des singes. Que répondez-vous à ça ?
Je n’ai pas vraiment dit ça.
Vous niez ? Je vais vous citer ! Le singeomme rose se moquait du singeomme brun. C’est de vous, cette phrase.
C’est vrai.
Et donc ?
Et donc ce que vous en dites et ce que j’ai écrit ne sont pas identiques.
Un gendarme s’interposa dans notre conversation : « Réponds au président avec respect ! ou tu goûteras de la tatraque. » Le Président reprit l’ascendant :
Du calme, du calme. Pour l’heure, il ne fait que répondre à nos questions. Il faut que vous assumiez vos torts ou tout cela finira mal pour vous.
Ça finit toujours mal.
Silence ! Je ne vous ai pas posé de questions !
Les deux assesseurs, mains sur le menton, baillaient -- d’’étranges chouettes sur les épaules du président.
Quelles raisons vous poussent à singer l’homme ?
Je ne saisis pas. Voulez-vous dire hommer le singe ?
N.o.n ! N.o.n ! Vous faites de l’homme un singe ! Êtes-vous raciste ?
Sûrement pas.
Alors pourquoi écrire ces insanités ?
Je ne sais pas… Je n’ai fait qu’écrire ce que j’ai vu. Est-ce un crime ?
Non… Attendez. Ici, je pose les questions. Vous, vous y répondez.
J’attendais sa question mais elle ne vint qu’après quelques secondes de silence.
Coupable ! Vous êtes coupable ! me cria-t-il mimant avec sa main la marteau qui frappe
D’accord.
Vous êtes d’accord ? se calma-t-il étonné
J’ai veux dire que j’ai recevu votre verdict
Parlez français je vous prie
J'ai appris que les morts nous enseignaient tout. C’est une conjuration.
Vous nous accusez ?
Certes pas.
Au trou ! Au trou ! Qu’on le foute au trou !
Deux gendarmes me saisirent pour me maîtriser. Ils m’emmenèrent dans une voiture,
Quand la littérature va mal la poésie revient
Les cygnes dans leur intention d’envol
Viennent troubler les humaines intentions
Dans la petite cellule
J’ai dû les limer les barreaux
Moi le prinkippipule
D’un Royaume
Pure fantasmagrique
Où s’entassent les femmes, les cadavres
J’ai beaucoup écouté le St-Je songeant
Un à un avec ses arguments
Mais j’ai senti le miasme pareil au remugle des pièces closes
Qui tiquait à la porte
Il avait la gorge sèche
Il donnait des conférences désormais
Il avait renoncé aux crimes
on lui avait coupé les ailes
et la nuit le regard perçant
Il fixait la croisée des fenêtres
les vieux rideaux retenus d’un cordon
était la robe des victimes anciennes
derrière lui deux gouttes de sang
flottaient dans un bocal
(Deux poissons rouges)
hors sous la pluie
dans des flashs de Lune
sous les poteaux
s’électrifiaient des runes
sur la haute tour
à la flèche flambée
glissaient parmi le lierre
l’âme chancelante d’ombres portées
Loin le tourment du fleuve
emportait les surélevant
les ponts tels des bouées
-Une seule ombre au tableau
Un seul être vous manque
est ce parfois celui qui passe
en transparence
parmi la foule qui va
dans l’obscurité du nombre-
fuyant en pâmoison les dalles
parmi les ifs s’exfiltraient
les statues du grand parc
en leurs poses héritées
à l’orée des vitrines
à l’ossature du pavé
la floraison des mannequins
en leur chaire emperlée
Un boule jaunissante
incandescente au passage
verdissait
alors dans des boites à musique
des personnages identiques
en clignotant tournaient
-non loin Porte des chrysanthèmes
au lieu dit du dernier passage extrême
des stalles sonnaient de cris de bohème-
Un haut hibou sans récris
ouvrit l’œil en éventail
son bec telle une aiguille
au grondement lointain du tambour
la haute épée du dernier roi
s’abattit flamboyante sur les toits
les emportant parmi les tours
le vent sifflait dans les ruelles
un air qui glaçait d’effroi
l’âme immobile des princesses
dans des cartons d’Amazon
où s’abritent sans horizon
la fortune des sans maison
La pauvreté dans des calices
des bouteilles de vin à onze
degrés pleines de vices
dans la tourmente des feuilles mortes
les élégants chevaux de bois
s’enivraient dans un tournoi
là bas où la pierre repose
parmi l’orge au grain d’épice
éclat d’un nuage
flanqué au sol magnétique
l’herbe haute alentour
l’orientait vers le jour
aux quatre vents trismégiste
c'est bien, mon ami il faut aboutir jusqu'à l'œuvre un jour
Le 06 octobre 2022 à 01:13:48 :
c'est bien, mon ami il faut aboutir jusqu'à l'œuvre un jour
on est dans la même galère