Je viens de tout lire d'un coup et j'aime beaucoup
Très bonne fic l'auteur et les personnages sont au top
Prends tout ton temps pour la suite c'est pas un problème

On est toujours la l'op tkt

Toujours présent en depit du fait que l’op m’ignore totalement

J'ignore personne les kheys.
Pas de sweet aujourd'hui je préfère que tout le monde prenne le temps d'être au même niveau. Quant à la saison 3 il y aura 9 épisodes et un indice à chaque épisode qui vous indiquera la fin de la fic. A demain pour la sweet.

Incroyable les suites khey

PersoEnt préférés Célestin et Momo

Saison 3

Episode 38 : Tâche stressante.

Un an plus tard

(Musique d'ambiance (optionnel) : https://www.youtube.com/watch?v=5vbwxE_jyKk )

La musique que j'avais trouvé sur une playlist "songs that make you feel like a Peaky Blinder" sur le réseau social Youtube, ne cessait de se répéter dans mes oreilles via mes airpods. Je marchai d'un pas ralenti dans la rue.

La fumée que dégageait ma cigarette se glissait à travers mon visage. Je guettai les gens d'un air déterminé et mystérieux. Les gens me saluaient.

- Bonjour Monsieur Célestin.

Je ne répondis pas, je devais tracer ma route. Cela augmentait mon charisme. Un homme qui ne répond pas, est un homme occupé, et qui n'a pas besoin de se justifier. Donc un homme qui a confiance en lui. Technique récemment appris via une vidéo Youtube décrivant comment être aussi charismatique que Thomas Shelby.

Je me mis à traverser sur la route principale du quartier Bordeaux Centre. Les affaires tournaient, en effet... Plus de 60% des loyers de ce quartier, et l'écrasante majorité des commerces nous appartenaient grâce en grande partie à l'or de Jacques. Clara gérait ça d'une main de maitre. L'équipe était tout aussi dynamique. Mon frère, Timothée, est maintenant un pilier des "Chemises Tranchantes", et arrive à nous trouver des offres pour exporter les matériaux de Jacques, sans cesse meilleures au fur et à mesure que les mois passent.

Cédric a géré la mini rébellion au sein de la L.C.T Compagnie. Certains directeurs de nos commerces ont voulu de meilleurs salaires. Autant vous dire, que ils se sont remis à bosser directement après la petite visite de Cédric.

Martin remplissait toujours son travail de recruteur, et est allé à ma place en Corse récemment, pour régler quelques affaires avec Jacques. Quant à Clément, toujours aucun problème à signaler au niveau des hangars. Oh si... Une intrusion d'un groupe d'individus il y a un mois. Comment dire... Momo s'en est occupé.

Quant à moi... J'ai fini les Peaky Blinders pour la 34e fois. Et puis je m'occupe de tout ce merdier, voyons. Même si, il est vrai qu'avoir délégué mes taches les plus importantes à mes associés, me permettent de garder du temps libre. Et donc du temps avec Julie. En parlant de Julie, aujourd'hui est une journée impor.... Vous verrez.

(Fin de la musique d'ambiance)

J'entrai, avec une posture bien droite, et sous mon béret fétiche, dans une boutique particulière.

- Bonjour monsieur Célestin.

Je ne pris pas le temps de rétorquer un bonjour, vous vous souvenez de la nouvelle astuce ? Je mis les deux mains sur le comptoir.

- Est-ce prêt ?

- Euh oui oui... Mais monsieur Celestin, on ne... on ne fume pas à l'in....

Je me mis à la regarder droit dans les yeux. Je pris un ton sombre et monotone.

- Je crois que vous n'avez pas compris, est-ce prêt ?

Je mis bien ma cigarette en évidence afin de montrer que je ne respectais pas les règles. La vendeuse me tendit une petite boite. Je la pris au ralenti tout en gardant ce contact visuel.

- Monsieur Célestin vous pleurez ? C'est à cause du stress de ce soir, vous pouvez en parl...

Mer**. Je n'ai pas entrainé mon regard depuis quelques mois, je n'ai pas eu besoin de m'imposer ces derniers temps. Je devais m'extraire de cette situation compliquée.

- TAISEZ VOUS !

- Là, c'est de TROP ! Sécurité !

- Viens là toi !

Je me mis à taper du poing sur le comptoir. Alors que la douleur dans le poignet se fit ressentir je m'exclamai d'un ton sévère.

- Je suis monsieur CELESTIN ! Je suis gérant de ce quartier, touchez moi et vous êtes à la rue !

- Ta bouche viens.

Le vigile me prit par le col avant de me ramener à la sortie.

- Lâche moi sur ordre des Che...

Il me mit un coup de pied une fois dehors pour m'éloigner du magasin. Je me mis à me lever.

- Monsieur Celestin ! Comment allez v-

- Ferme là crétin, tu crois que j'ai le temps pour un gueux de ton genre ?

Je me mis à marcher en direction opposée. Mince, je n'avais pas respecté la règle de ne pas répondre dans la rue. Il ne s'est rien passé, je suis toujours un homme charismatique. Je pensai : Cette bijouterie n'allait pas faire long feu. Je me mis à ouvrir la bague qui se trouvait dans la petite boite. Parfaite.

Quelques heures plus tard.

- Magnifique restaurant mon amour. Nous y sommes jamais allé bizarrement.

Je pris un ton ténébreux.

- Oui, il est vrai.

Elle mit sa main sur la mienne.

- Ca va ? Je te sens stressé.

Je soufflai un bon coup.

- Oui ça va, ça va...

- Ce sont les affaires qui te stressent ?

Mon cœur battait à mille à l'heure. Bordel, Thomas Shelby n'aurait pas peur de faire ça. Il n'y a juste qu'à poser un genou et c'est fait. Allez Célestin.

- Non t'inquiètes pas.

Elle sourit.

- D'accord, tu me dis si il y a quelque chose, hein ?

D'un ton charismatique, sa phrase me permettait de démarrer une vraie scène de film hollywoodien.

- Oui il y a quelque chose.

D'un pas rapide, je me mis à coté d'elle, avant de poser un genou et de lui ouvrir la bague que j'avais pris soin de choisir.

- Julie, veux tu m....

- C'est l'autre genou frère !

D'un mouvement rapide, j'échangeai la position des deux genoux. Julie ne dit rien. Elle avait les yeux humides, et un air surpris. Le restaurant se mit à faire régner un silence et se retourna vers nous. Heureusement que j'avais choisi un restaurant à l'autre bout de la ville pour pas que on me reconnaisse. C'était trop de pression. Je sentais que j'allais bégayer, que faire ?

- Oui...

Elle avait répondu. Je sentis la pression s'envoler en l'air. Je me levai et elle se jeta dans mes bras sous les applaudissements du restaurant.

Quelques jours plus tard.

Je me mis à repenser au mariage qui devait se dérouler dans quelques mois. Il faisait nuit, j'étais au port de Bordeaux. Je m'élançai alors vers le hangar qui contenait l'or. Je devais faire l'inspection mensuelle des hangars. Je préférais la faire moi même. Et puis j'en profitais pour jeter un coup d'œil au nouvel hangar en construction que l'on venait d'acheter. Un homme se mit à courir vers moi.

- YAAAAAAAAAAAAAAA

Je pris un ton sec.

- Momo ! C'est Célestin ! Je viens faire l'inspection.

- ah déso fraire pourkoi tu vien la nui ?

- Je n'avais pas le temps aujourd'hui. Allez laisse moi entrer.

Il surveillait bien le hangar en effet. Il se mit à refaire le tour de celui-ci pendant que j'entrai afin de me diriger vers le coffre. Je me mis à me saisir d'une cigarette. J'entrai dans le coffre. Voir tout cet or et ces billets me faisait toujours le même effet. Je saisis mon briquet avant de l'allumer. Soudainement, je me mis à lâcher le briquet encore ouvert ,maladroitement sur les billets. Me***

Saison 1 :

Saison 2 :

Saison 3 :

J'ai tout lu, la saison 3 commence bien

Célestin toujours autant une victime mais pas vraiment non plus en même temps… C’est vraiment marrant l’op

La saison 3 commence bien pour Célestin

Incroyable

ayaooo

Énorme

Ayaaa un grand bravo à Célestin pour le briquet

Je n'ai pas eu le temps ce soir d'écrire la sweet, en contrepartie sweet demain avant 13H

Le 08 août 2023 à 22:05:45 :
Je n'ai pas eu le temps ce soir d'écrire la sweet, en contrepartie sweet demain avant 13H

Ouain

Il te reste une heure pour écrire la fic

Episode 39 : Retour en enfer.

Le premier billet prit feu, je reculai. Puis j'ai vu la flamme s'agrandir et s'expandre à quelques liasses un peu plus loin. Je tremblai. Je me mis à ouvrir la porte d'urgence afin de courir à l'extérieur du coffre. Une fois éloigné de celui-ci, je me suis retourné. La flamme rayonnait déjà tout à l'intérieur du coffre.

Puis l'alarme retentit au sein du hangar. J'étais paniqué. Momo entra.

- ouesh celestin il spasse koi la ?

Je me retournai vers Momo. D'un ton sec je dis.

- Momo, il faut qu'on parte !

Alors que la flamme continuait de tout bruler à l'intérieur du coffre, je me suis rué dehors. Je pris mon téléphone en main afin d'appeler les secours.

- ouesh ta fé koi ?

Je ne répondis pas. J'appelai les secours.

Quelques dizaines de minutes plus tard.

- Bon, le feu ne s'est pas propager à l'intérieur du hangar grâce aux murs du coffre. En revanche, tout ce qui était dans le coffre a brulé.

Je pris ma tête dans mes mains.

- Me*** !

- Vous savez, vous pouvez être remboursé si vous êtes assuré.

Je fis un signe de la tête avant de me rediriger vers mon véhicule. Je n'étais pas assuré, les billets étaient de perdus. Mais ce n'était rien, face à la quantité d'or qui venait de partir en fumée. Et c'était l'or à Jacques pour un mois, sans cette or, il pouvait tomber dans un gouffre financier.

Je devais l'appeler et prendre les responsabilités tel un vrai Shelby le ferait.

Le lendemain.

Cédric était le dernier à arriver au bureau. Je fumai une cigarette, ayant toujours les cernes dû au peu de sommeil dont j'ai profité cette nuit.

- Bon, ça faisait longtemps, qu'est-ce qui nous vaut une réunion d'urgence ?

Je soufflai un coup.

- Clément.

Clément s'avança de quelques pas.

- Lors de sa visite des hangars hier soir, Célestin a foutu le feu à tout ce qu'il y avait dans le coffre du deuxième hangar.

Je pris un ton sévère.

- C'était un accident, le pu**** de briquet est tombé par terre.

- T'as merdé Célestin là.

- Attends, le coffre avec tout l'or dedans ?

Clara prit un air inquiet.

- En plus on venait de recevoir la nouvelle cargaison de Jacques non ?

Je tirai un coup sur ma cigarette.

- Et je dis quoi aux acheteurs ?

Je tapai du poing sur la table.

- Calmez vous ! Les acheteurs on s'en tape, le problème c'est Jacques. Et je l'ai appelé tout à l'heure.

Martin souffla à son tour.

- Et il a dit quoi ?

Je tirai une nouvelle fois sur ma cigarette. J'attendis deux secondes avant de répondre comme le fait Thomas Shelby lors de situation tendue.

- Il voulait tout arrêter avec nous.

- La me*** bordel.

Je repris un ton sec et monotone.

- MAIS ! Je lui ai dis que on allait le rembourser.

Timothée s'avança.

- Mais c'est possible même ? On parle de dizaines de millions d'euros.

- Pourquoi t'as promis ça Célestin ?

La réponse semblait évidente : Célèbre expression de Thomas Shelby lors d'un conseil pour répondre à Poly.

- Pourquoi ? PARCE QUE on le PEUT ! Et si on le peut on le FAIT ! Et si on se laisse ABATTRE, ces gars là vont venir NOUS CHERCHER !

Clément chuchota.

- Me dites pas qu'il refait son Thomas Shelby...

Je repris ténébreusement.

- Clément, c'est la vérité, on le peut, mais si on se sert les coudes, comme ce qu'on a fait lors des Mineurs Jaunes.

- Et tu comptes rembourser ça comment ?

J'attendis deux secondes, je regardai Cédric droit dans les yeux.

- J'y réfléchis.

Le soir même.

Je lui racontai tout ce qui s'était passé la vieille et au conseil. Elle me prit la main.

- Reste fort, oui t'as pas géré là, mais je sais que tu peux te rattraper, je crois en toi.

Ses paroles me motivaient amplement. Elle avait raison, j'en étais capable. Mais je devais trouver un moyen de rembourser cet or. Les chiffres sont grandioses.

Mon esprit devait l'être tout autant.

Saison 1 :

Saison 2 :

Saison 3 :

Le 09 août 2023 à 11:57:55 :
Il te reste une heure pour écrire la fic

On dirait bien que c'est fait