Khazarie
L'éducation de Yassef
Aux portes de l'adolescence, Yassef était déjà un jeune garçon robuste et puissant, une partie provenant directement de son père, et l'autre étant le fruit de ses heures d’entraînements acharnées. Parmi les arts qu'on lui enseignait, la lutte, l'équitation et le tir à l'arc étaient tous des domaines dans lequel il excellait. Toutefois, il avait jeté tout son dévolu sur la lutte et y vouait une véritable passion. Il s'entraînait en grande partie avec son père, mais combattait également avec tous les autres de son âge, et même des guerriers de la tribu, rares sont ceux qui parvinrent à le terrasser. Voilà aux yeux de tous une manifestation des Dieux, que Yassef est un héritier légitime, mais surtout que l'avenir des khazars s'annonce remplit de gloire.
Parallèlement à son éducation physique et militaire, il côtoyait des khazars universitaires auprès desquels il apprenait les rudiments de la science. Il appréciait particulièrement la médecine et s'intéressait également aux langues occidentales, comme le latin et le grec. Il s'amusait également à relever les faits que lui et ses amis considéraient comme drôles, voire stupides de la religion mahométane. Quoi de plus drôle qu'un Dieu qui demanderait aux hommes de se priver des plaisirs qu'il a créé pour eux ?
Les fiançailles de Yassef
Traditionnellement, onze ans est un âge idéal pour entamer les recherches d'une futur épouse, d'autant plus lorsqu'il s'agit d'un héritier au futur prometteur comme Yassef.
Lettre au Calife
Mon frère, j'apprécie ton geste, mais ne crains pas pour ma vie, j'ai su démontrer mon talent au combat, et ces deux gardes m'assureront des longues années de vie.
Idrissides via Bouyides
Ô souverain du Machrek, je ne tolérerai pas que l'on me dicte ainsi la conduite à suivre, pas même par l'émir des émirs, car je ne vous suis aucunement vassal. Mais j'admets que votre voix et la voix de la raison, et qu'il faut faire cesser de suite ces enfantillages. Vous aurez ainsi remarqué que j'ai tenté d'apaiser la fureur d'Hugues Capet en l'invitant sur mes terres. J'attends aujourd'hui encore sa réponse.
Par ailleurs, j'ai entendu dans la bouche de voyageurs que vous souffriez d'une maladie grave, et je m'inquiète de votre état. J'ai, en apprenant la nouvelle, immédiatement envoyé deux des meilleurs guérisseurs de l'académie de Fès vous apporter les herbes des montagnes qui, je l'espère, favoriseront votre rétablissement.
Je vous souhaite encore une longue vie, incha Allah.
Royaume d'Angleterre
- Chambellan ! appela le Roi Edward avec autorité.
- Monseigneur ?
- Changez mes draps, ils n'ont pas été changé depuis la mort de mon père. J'en ai assez de dormir dans ses miasmes.
- Bien, monseigneur.
Une fois la besogne accomplie, le chambellan se dirigeait vers la petite porte de bois.
- Attendez !
- Que désirez vous, Majesté ?
- Peu importe, faites le ménage, refaites les draps, rangez ma pièce, restez ici.
Le chambellan, autrefois le confident d'Edgar, comprit ce que se souhaitait le roi.
- Je vous écoute, Majesté.
- Avez vous entendu parler des rumeurs... à mon sujet ?
- Majesté... Vous savez que j'ai toujours été au courant de ce qui se dit au palais, et dans le royaume.
- Bien. Que disent-elle à mon sujet ?
- Elles disent... que votre Père Edgar préférait Æthereld à vous, et qu'il le destinait sur le trône... Pardonnez moi, Monseigneur... Les gens disent, que c'est lui, qui mérite le Trône. Ils trouvent... que vous ne décidez pas assez.
- Que je ne décide pas assez ? Mais n'est-ce pas moi qui ai augmenté les taxes pour pouvoir recruter plus de mercenaires ? N'est-ce pas moi qui ait fait édifié ma propre statue en plein marché de London ? N'est-ce pas moi qui ait fait fabriquer encore plus de navires ? N'est-ce pas moi qui ait...
- Monseigneur, calmez vous. Je suggèrerais d'ailleurs à Sa Majesté, si celle-ci me permet, de prendre en compte les remarques de son peuple. Une rébellion de vos sujets ne serait pas souhaitable. Vous opprimez vos sujets, vous les asservissez au lieu de les protéger. Vous accomplissez des erreurs salutaires, Monseigneur.
- Mais dites moi chambellan... Vous oubliez une chose. Mon père est mort. Je n'ai de conseils à recevoir de personne, vous m'entendez ! Je sais gérer mon royaume tout seul ! Nul besoin de domestiques donneurs de leçons ! De toute l'Angleterre on n'a jamais vu pareil toupet ! Aethereld sera écartelé, demain à l'aube, il servira d'exemple pour nous tous, y compris vous ! Ne vous avisez plus de m'importuner, suis-je bien clair ? Sortez !
- Du Ciel, votre père doit se mordre les doigts de ne pas vous avoir déshérité, répondit le chambellan d'une mine horrifiée Je l'ai servi pendant tant d'années pour avoir un mégalomane en récompense. S'il était là, l'Anglet...
Le roi, excédé, sortit son épée de son fourreau, et, le visage violacé, s'approcha du Chambellan... Sa main se posa sur son épaule, et la lame commençait à rentrer en contact avec le peau... Puis avec la chair, à peine moins tendre... Puis il sentit la colonne vertébrale, et envoya alors une dose supplémentaire d'énergie dans son muscle... Et subitement, l'énergie n'était plus nécessaire. La tête de ce pauvre Chambellan roula sur le sol. Il le jeta à travers l'ogive, et elle fut perdue à jamais dans les douves.
Tout le château fut horrifié de la nouvelle. Le chambellan, au service de la Couronne depuis tant d'années, sauvagement décapité sur un coup de colère. Et le frère du Roi, écartelé sur la place publique. C'en était trop. Les taxes étaient exceptionnellement élevées. Dans les ports, les pauvres travailleurs étaient exploités. Le peuple était excédé. Une partie d'entre eux, chauffée par des amis d'Aethereld, se rua sauvagement du la forteresse de Carisbrooke dans l'espoir d'en déloger le roi, mais les malheureux finirent dans les douves, ou criblés de flèches dans tout leur corps...
Ce sont les domestiques du Château, cuisiniers, chambellans, médecins, forgerons, qui, horrifiés par les événements, décidèrent ensemble de faire irruption dans les quartiers du Roi.
-Au nom du Seigneur, par la Vierge et tous les Saints, arrêtez le massacre de votre peuple innocent ! Vous avez tué votre propre frère, assassiné sauvagement l'un des nôtres, le plus respecté des domestiques de ce Château, vous assommez votre peuple à coups de taxes et d'exploitation, et vous massacrez ceux qui s'indignent ! Si vous voulez continuer cela, vous nous tuerez tous de votre propre main d'abord !
Après quelques terriblement longues secondes de silence devant ce Roi avachi sur son bureau, il se leva et déclara :
- Je suis le seigneur d'Angleterre, fils de la maison du Wessex. Je vous demande de sortir immédiatement !
- Nous refusons de bouger, tant que nous n'obtiendrons pas la promesse que vous arrêtiez ce massacre.
- Et si j'arrête le massacre, que se passera-t-il ? Ils rentreront dans ces murs, furieux, et vous tueront tous ! Ils briseront tout sur leur passage, ils sont prêts à tout pour ma peau, tant qu'ils ne l'auront pas, ils s'acharneront sur ce qu'ils trouveront dans ce Château. En vérité, ce peuple scélérat désobéit à son souverain. Il me hait, comme tout le monde. Comme vous, comme mon frère, comme mon père, qui a toujours préféré ce petit chéri d'Aethereld. Et moi ? Je suis l'avorton, comme d'habitude, l'asocial, le méchant, le cruel, le mal élevé, et maintenant que je suis roi ? Au lieu de prendre une revanche comme j'e rêve depusi mes quatre ans, c'est un peuple tout entier qui me hait, cette fois. Le Seigneur aura raté une de ses créatures.
A ses mots, il sortit violemment de la pièce en poussant tous les domestiques sur son passage et s'élança dans le donjon. On tenta de le poursuivre, mais il était inarrêtable. Une fis au sommet, il regarda une dernière fois le ciel... et sauta par dessus le rempart d'un mètre et demi et hauteur.
Il tomba du donjon de Carysbrooke. Avec lui, tombait la dynastie Wessex.
Pour la première fois depuis la création du Royaume, le Trône était vacant.
Comment la folie d'un homme peut-elle mettre en péril un Royaume entier.
Bouyides
Education
Bouyides via Khazars
Mon frere , j'ai Appris que ton Fils commençait a ressembler a son père , un guerrier féroce , mon Fils a fini sa formation militaire , il a bientôt 12 ans et j'aimerais qu'il recoive une education khazars , cela apaisera peut etre les tensions que ton peuple eprouve
j'aimerais qu'il s'endurcisse qu'il aprenne le maniement de l'arc , car ici je ne peux que lui apprendre le theorique et le commandement , mais mon pere un homme sage , disait , un homme est mi guerrier mi stratege pour etre un homme victorieux
ps: Fais attention , pas d'handicaps , ou autres...
paix et Benediction
Bouyides via Idrissides
Mon frere ,Votre choix est sage , j'ai reçu vos médecines , vos herbes et vos médecins que j'ai renvoyé pour taire cette rumeur car personne ne doit le savoir , je suis en pleine forme et mon medecin personnel s'occupe de ce probleme
Quant a chirhaz la Ville a été restauré depuis 5 ans , j'attends toujours vos Savants pour y enseigner
N'oublie pas Sultan Que la paix est préférable a la guerre , tu es encore assez jeune , ne te laisse pas emportez par tes émotions , je suis la comme ton guide dans la foi , mais aussi comme ton grand frere pour te protéger de tes choix si ils nuisent a la Oumma
Paix et benediction , Salut ton peuple pour moi
Ne dites a personne que je suis souffrant
Khazarie
Des mœurs des khazars
Codex khazaricus
Afin de comprendre le comportement khazar, il est capital de comprendre les raisons pour lesquels ils agissent ainsi. Leur comportement est ainsi en grande partie le reflet de leur religion. Ce peuple voue un véritable culte à l'hédonisme, qu'il considère comme allant de paire avec la spiritualité. Les plaisirs -peu importe leur origine- sont tous considérés comme étant un cadeau des Dieux, dont seuls les méritants peuvent en jouir. C'est ainsi qu'il légitime qu'un riche guerrier ayant fait honneur aux Dieux puissent profiter de mets de qualité et de femmes plaisantes.
Le plupart des tabous présents dans les religions traditionnelles sont absents, ou fortement atténués chez les khazars. Le polygamie et le concubinage sont des pratiques courantes, et aucune restriction alimentaire n'est pratiquée. D'un point de vue social, l'homme ayant le plus de femmes, de concubines ou de maîtresses est celui qui a le statut le plus élevé dans la société. L'abondance de femmes va fréquemment de paire avec l'abondance de mets rares, c'est ainsi que seuls les chefs de guerre sont en mesures de consommer des œufs de bélouga.
Malgré l'absence d'interdictions, les mariages incestueux restent toutefois très rares. On retrouve cette volonté de sceller des alliances à travers le mariage comme dans les autres sociétés orientales et occidentales, et il est devenu évident que les filles des chefs de guerre épousent d'autre guerriers prometteurs.
Lettre au Calife
Nous accueillerons ton fils dans ma tribu et celui-ci sera entraîné comme les autres garçons de son âge.
Salutations.
POLAND ball par Barba le Cordouan
Le 03 juillet 2015 à 01:52:03 CachecCache a écrit :
des œufs de bélouga.
Ca fait des oeufs un bélouga ?
Je dois me reporter à qui pour avoir l'autorisation alors?
C'est du caviar
Le bélouga est une espèce d'esturgeon
Ah ok, pour moi le bélouga c'est l'espèce de dauphin blanc
Bouyides
Promenade
Salman n’était presque jamais sorti de sa cité a part quelque excursions , il décida donc d’aller se promener pour une semaine seul , Dans les montagnez de l’echkhaz
Il sorti de son palais avec un cheval ses armes et un peu d’argent
Sur le chemin il vit le khan dans le quartier khazar ce dernier semblait manquer les plaines des steppes, Salman proposa au khan de l’accompagner, Drogo n’hésita pas une seconde prit sa monture et les deux hommes se mirent a chevaucher
https://youtu.be/RBumgq5yVrA?t=1m28s
ils chevauchèrent en rigolant tels des enfants, ils étaient, ou se sentaient libres de nouveau
plus de responsabilités , plus rien , deux frères , et la liberté..la nature
Bouyides via khazar
- Alors mon Frere HAha ! Quelle idée , te plait-elle ?
Khazarie
Promenade
« Elle me convient parfaitement, chevaucher est toujours un plaisir lorsque l'on a grandi dans les steppes. »
Bouyides
Promenade
Ils reprirent la route mais le soleil commença à se coucher et il fallait trouver un abri par chance il y avait un feu a l’horizon
Salman connaissant peu la région se fit a ce que lui a dit son père « si tu vois de la llumiere a l’horizon , suis la si tu es perdu »
Son père avait raison , les deux hommes après quelques centaines de mètres virent une tante
- Viens suis moi drogo , je vais voir si ils accepteraient de nous heberger contre de l’or
un vielle homme sorti
- Je vous Attendais ...
Mossoul via Bouyides
cher ami
j'aimerais te parler des khazars je sais que tu porte le khan dans ton coeur mais je trouve que tu leur laisse trop de pouvoir leur donner le monopole du trafica bagdad est pour moi une mauvaise chose car cela pourrais leur permettre de te renverser facilement car il auront noue des relations avec d'autres wali qui pourront les aider si par malheur Drogo te trahis je ne te demande pas de rompre tes relationsvec lui mais de te mefier c'est un ami sincère qui te conseille tu peux les accepter mais aussi mepriser mes paroles
Au revoir mon frère et quinch allah tu approuve mes paroles
J'ai plus de temps pour le RP désolé, je laisse le royaume de Pampelune
Bonne continuation
bonne chance benjam mais fallait pas commence pour rester 5jours
Triste déjà qu'on est pas beaucoup, si tout le monde se casse
je pense sincèrement qu'on peut demander l'épinglage.
Désolé mais j'ai quelque problême dans ma vie se qui m'empêche de me co, je reviendrais de temps en temps mais pas pour poster du RP vue que je serais a la ramasse ..