[Suzuka]

- Pourquoi est-ce qu'ils pensent ça exactement? Sans fondement, sans preuves, c'est tout de même très étrange.

_____

[Kintoki]

- Est-ce qu'elle est la cause du climat présent en ces lieux? demanda Kintoki en observant Beowulf, intrigué par cette fameuse reine des neiges.

[Erwin]

- Cette dimension et notre terre natale partagent une drôle de ressemblance décidément. Qu'est-ce que cette Reine a fait, chasser les humains ? questionna Erwin, intrigué.

[Beowulf]

- Ce n'était pas son objectif de base. Mais au final, c'est ce qu'elle a en quelque sorte fait. Elle a décidé de choisir les êtres humains qu'elle jugeait le plus pur, à même de vivre. Pour ce faire, elle envoyait ses subordonnés faire la sélection dans tous les villages, ne laissant que des personnes fatigués, âgées, malades...

Il s'arrêta de parler un instant, hochant de la tête à la remarque de Kintoki. Beowulf arborait un air plus sérieux et moins amusé qu'auparavant.

- Ce blizzard magique sert à en finir. A ce rythme-là, vu leur état, je pense qu'ils mourront d'ici quelques mois, tout au plus.

[Erwin]

- Très intéressant... Je te remercie pour ces informations guerrier du froid, vraiment, j'insiste. Si jamais nous devions affronter cette fameuse Reine pour sauver les tiens, je t'accorderai mon aide, déclara Erwin soudainement enjoué.
- Intéressant, c'est tout ce que tu trouves à dire ? Ces innocents meurent sans aucune raison si ce n'est satisfaire les attentes de cette sorcière. Comme si la situation actuelle te plaisait. Tss, tu es répugnant... s'exclama Abigail. J'apporterai également mon aide cependant.

[Loup]

"La tempête de neige à l'extérieur est magique. Elle a dû les rendre partiellement fou. Cela devait certainement être voulue par cette maudite femme."

[Rodrick]

Faisant preuve de perspicacité, il ne fit aucun doute pour le chevalier qu'afin de défaire de cette étape, lui et ses compagnons allaient devoir éliminer cette fameuse Reine.
Il prit la parole souriant comme à son habitude, parlant avec une aisance et un charisme naturel.

- Dans ce cas ...
Je présume que pour progresser dans notre périple, chers compagnons, il ne nous reste plus qu'à l'arrêter !

[Beowulf]

Beowulf préféra ne pas réagir sur les propos d'Abigail. Il se dit que cela ne le concernait pas, après tout. Il ne savait rien sur leur relation.

- Je vous remercie pour cela. Mais je vous préviens, ce ne sera pas facile. Le château est bien gardé. Freya elle-même, la reine, est très puissante, et elle possède deux gardes du corps extrêmement forts. Plus que moi, en toute honnêteté. A cause d'eux, aucun rebelle n'a jamais réussi à lui faire face directement, à une exception près.

[Dastan]

L'heure de dormir approchant, les aventuriers rejoignirent tous une chambre où passé la nuit. Alors que le Prince marchait dans le couloir, il posa doucement sa main sur une poignée de porte, afin de l'ouvrir doucement. La femme qu'il aimait était debout, face à la fenêtre, regardant dehors, les bras croisés, habillée de sa chemisette. Il s'avança alors et posa sensuellement ses mains sur ses hanches, posant sa tête sur ses épaules, ce qui surprit agréablement l'elfe.

"- A quoi tu penses ?" Demanda Dastan.
"- Je me fais du soucie pour Iris. Je sais que c'est une grande fille et que je ne devrais pas, mais... Au fond, je la considère aussi un peu comme ma petite soeur. Je ne sais pas ce qui a pu se passer, mais... J'irai en discuter avec Edward." Répondit Linda.
"- Je ne pense pas que ce soit la meilleure idée... Eddie se plait dans sa solitude."
"- Je ne tiens pas à avoir des tensions dans le groupe à cause de lui."
"- Tout rentrera dans l'ordre, ne t'en fais pas." Finit le Prince avant de déposer ses lèvres dans sa nuque.
"- Si tu le dis..." Finit-elle aussi, entourant son bras autour du cou du Prince et le regardant dans les yeux.

Entamant un nouveau baiser calme et détendu, elle se retourna, alors que Dastan gardait ses mains sur ses hanches, l'emmenant sur le lit. Échangeant cette fois un baiser passionné, ils recommencèrent une douce et longue parade amoureuse.

Le lendemain, le groupe avait reprit la marche, quittant le village. Quittant encore la forêt, les aventuriers arrivèrent dans une vallée, avec d’érigé, de grandes arches en pierre.

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Les héros étaient calmes et ne parlaient pas beaucoup, l'ambiance étant sèche. Edward, marchait, regardant le paysage, ce qui était assez inhabituel puisqu'il ouvrait souvent la bouche. Iris, quant à elle, demeurait calme aussi, les yeux fatigués. Certains avaient comprit ce qui s'était passé et ne souhaitaient pas en discuter. Seulement... Alors que la marche se poursuivait sans accrocs, Edward se mit à tousser doucement... Puis de plus en plus fort. Sans crier gare, il devenait tout pâle et s'écroula soudainement au sol, ce qui attira l'attention du groupe.

"- EDWARD !"

Ouvrant les yeux doucement, le pirate voyait qu'il n'était plus au milieu de la vallée, mais sous une arche de pierre, à l'ombre. Il se sentait faible, la gorge sèche et une difficulté à respirer. Tournant légèrement les yeux, il ne voyait que deux personnes à ses côtés, à savoir Dastan et... Irisviel.

"- Il est malade ?" Demanda le Prince.
"- Oui, il a de la fièvre. Les maladies de ce genre ne sont pas rares en Dalamos et il faut rester prudent." Répondit la mage, posant sa main sur le front du pirate.

Celle-ci tourna la tête vers Dastan, le regardant dans les yeux, alors que les deux personnes étaient à genoux.

"- Malheureusement, je n'ai plus de plantes guérisseuses pour traiter les maladies de ce genre. J'ai besoin d'une Orchida curae, une fleur avec des pétales mauves. On en trouve justement dans ces vallées, mais aussi prêt des forêts. Heureusement, ce n'est pas une plante rare." Parla Iris.
"- Entendu... Je vais transmettre ce message aux autres." Répondit Dastan.

Alors que le Prince se leva pour partir, la magicienne trempa une feuille de sa sacoche dans de l'eau avant de la poser sur son front pour apaiser la douleur et baisser la température.

"- Iris..." Parla fébrilement le pirate.

Voyant que la magicienne continuait de s’occuper de lui sans le regarder, sans dire un mot, il persista.

"- Je suis désolé si je t'ai fais de la peine..." Continua Edward.

La magicienne posa son pot d'eau par terre, posant ses mains sur ses genoux, alors que ses yeux étaient encore humides.

"- J'ai été idiote de croire que je pouvais te changer... Mais tu es tel que tu es, et je n'ai pas à te reprocher ça. Alors, oublie ce qu'il s'est passé..." S'exclama Iris.

Tournant la tête pour continuer ses mélanges avec ses plantes, Edward voyait tout de même que le magicienne était tremblotante, se retenant de pleurer et se mordillant la lèvre. Il était certes un pirate implacable et sans pitié, mais cette vue là lui accordait un rare sentiment qu'il n'avait que peu connu qu'est la pitié. Cette fois là, son coeur en souffrait, car Irisviel était une personne extrêmement gentil qui le soignait, et sa tristesse lui fais de la peine. Alors il décida de tourner la tête et de fermer les yeux, afin d'essayer de penser à autre chose, bien qu'il s'en voulait un peu.

De l'autre côté, les aventuriers s'étaient séparés en plusieurs groupes afin de trouver cette plante. Marcus, Lilith et Shax s'étaient éloignés prêt des montagnes pour chercher. Lorsque soudain, des bruits se faisaient entendre, comme des grognements. Marcus voyait cette fleur mauve sur la montagne, mais quelque chose les sépara... Un groupe de Smilodons. L'un d'eux remarqua alors les deux guerriers, grognant et s'approchant, dévoilant ses dents, restant en hauteur.

"- Les Smilodons sont des animaux très lourds... Je vous conseillerai de ne pas tenter de les approcher de trop près." S'exclama Shax.
"- Je m'en occupe." Parla Lilith, un sourire arrogant sur le visage.

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Prenant une grande inspiration, Marcus et Shax se demandèrent ce qu'elle pouvait bien préparer. Elle se pencha soudainement et poussa un grand cri en direction du Smilodon. Ce dernier n'a pas apprécié et rugit à son tour, amenant les autres Smilodons du groupe à ses côtés, eux aussi dévoilant leurs dents.

"- Je peux grandir si vous voulez." Proposa Shax.
"- Je m'en occupe..." Avança Marcus.

S'avançant alors brièvement, il prit à son tour une grande inspiration, positionnant ses coudes au niveau de ses hanches. Se penchant à son tour, il poussa un hurlement gigantesque qui résonna à travers toute la vallée, et peut être même jusqu'à derrière les montagnes. Ce à quoi les Smilodons répondirent...

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Détalant comme des lapins, les Smilodons prirent la fuite et s'en allèrent de la montagne à toutes vitesses. La chevalière demeurait choqué de la puissance vocal de son partenaire, lui qui était si calme et posé.

"- Heureusement qu'on a plus féroce encore que cent ours, pas vrai Marcus ?" S'exclama le loup, amusé.
"- Humpf... J'apprécie le compliment." Répondit le Titan.

Lilith s'approcha alors et s'empara de la fleur. L'objectif maintenant remplit, il fallait rejoindre les autres pour le médicament. Arrivant à l'arche de pierre plusieurs minutes plus tard, Lili affichait un sourire victorieux face au groupe, fier.

"- On l'a trouvé votre fleur !" S'exclama la chevalière.
"- Quel était ce hurlement, au juste ?" Demanda Gilgamesh.
"- Rien de bien grave. On a rencontré un groupe de Smilodons." Répondit le loup.

Passant alors à côté du sorcier, le trio rejoignit Iris. Gilgamesh ne comprenait pas vraiment ce dont ils voulaient dire et demeurait pensif. Donnant alors la plante à la magicienne, celle-ci se hâta pour façonner le médicament. Posant une pétale sur le front d'Edward, des lumières, comme des perles vertes vinrent pénétrer sa peau afin de combattre la maladie.

[Kintoki]

Il réfléchissait, trouvant les agissements de cette reine ignoble et qu'il fallait l'arrêter à tout prix. Il ne prêtait guère attention aux paroles d'Erwin, pensant que le plus préoccupant restait avant tout cette Freya. Un détail intrigua cependant le natif de Ryukyu, ce que venait de dire Beowulf.

- Et quelle est cette exception? demanda Kintoki qui voulait en savoir plus là-dessus.

[ Shin ]

- Aider des individus qui nous haïssent... Heureusement que c'est pour le bien de l'épreuve.

[RP - Soma - Gotha]

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La jeune fille parvint à se relever, regardant les autres en silence, l'épée à la main, elle devait être envahie de pensées, encore sous le choc.
Personne ne dit un mot de plus, avant qu'elle-même ne prenne la parole, balbutiant aussi bien physiquement que dans ses mots.

- Il... Il faut faire vite ! Les Templiers attaquent et... et... On doit aller sous la ville pour...

Dit-elle, prise d'un élan d'adrénaline intense, alors qu'elle souffrait de sueurs redoutables, probablement les effets qu'encourent le fait de ressortir de pétrification pour plusieurs milliers d'années.

- Du calme, fit Soma, les Templiers sont partis.

- Non... Le Grand Inquisiteur était juste là !

Répondit-elle, inconsciente encore de ce qui venait d'arriver.

- Ouais, y'a deux ou trois mille ans peut-être. Ici, on est en 1240 après la Grande Guerre Sainte.

Les yeux bleus de la jeune Chevalière Dragon s'écarquillèrent.
Puis elle baissa la tête, se demandant ce qui avait bien pu arriver, avant de s'asseoir au sol, essoufflée à la simple action d'avoir été réveillée de son sommeil de pierre.

- Alors... Il y a eu une Guerre Sainte ?

- Ouais, au moins 1500 ans après votre mort.

Répondit Antigone, ne sachant que penser de toute cette situation, c'était presque fou.
La jeune fille releva la tête calmement.

- Il y en a d'autres que moi que vous avez trouvé ?

La Templière secoua lentement la tête, se faisant compatissante.
Puis dans un nouvel élan d'énergie, la guerrière du passé se releva, regardant derrière elle, le mur vierge, comme si il signifiait tout.

- Le Grand Inquisiteur n'est pas passé... Il reste peut-être une chance...

Se dit-elle à elle-même, faisant réagir la Templière.

- Le Grand Inquisiteur t'a pétrifiée ?

La Chevalier-Dragon hocha calmement la tête, s'époussetant délicatement.

- Je pense bien; c'était l'Inquisiteur Ymu. Nous prévoyions d'aller sous la ville, moi et trois autres Gardes Royaux pour essayer de sauver l'Ordre... Mais il semblerait qu'eux aient réussi à s'en échapper contrairement à moi. Peut-être qu'on pourrait retrouver ce qu'on cherchait là-bas... !

Expliqua t-elle, de façon étourdie, avant de s'approcher du mur derrière elle, plaçant délicatement deux doigts sur une pierre qui s'enfonça, ouvrant ainsi une partie du mur, c'était minutieusement bien dérobé, et cela menait à de grands escaliers, descendant profondément sous la ville.

- Que... Qu'est-il arrivé aux Templiers après ça ?

- Je suis Templière, et... Je dois dire que nombreux ont oublié. Votre Ordre était devenu une légende au fil des siècles, et presque plus personne n'y croyait. Cependant, nombreux ont trouvé votre extermination insensée et injustifiée. Mais tous doivent se plier aux ordres du Pape, ce qui est décevant.

Expliqua la Templière, tandis que la Chevalier-Dragon réagit de manière plutôt compréhensive.

- Je vois... Tu es donc Templière. Eh bien... Enchantée. Je me nomme Hera.

Dit-elle, alors que tout le monde descendait lentement les gigantesques escaliers, il y faisait frais, aussi frais que dehors, mais plutôt lumineux étrangement, comme si une magie éternelle illuminait l'endroit, après que tous les hôtes soient morts.
Soma se sentait toujours étrange de voir tout ça, c'était digne des plus grandes légendes, mais il eut finalement une sensation d'amusement en imaginant "la gueule du pape quand il va voir un Chevalier-Dragon".
Le groupe arriva en fin de compte, guidé par Hera, dans une large pièce, remplie de pièces d'or, de lingots, d'armes et d'armures toutes en or, avec des coffres remplis de bijoux et de pierres précieuses.
Dans un coin sur une table en bois se trouvait une citrouille, tandis qu'on pouvait y voir des squelettes, trois, l'un dans un coffre à bijoux, l'autre avec des tas de lingots dans les bras, et le dernier empoignant une épée d'or.

- Je présume que tes potes ont pas pu aller très loin.

Dit Soma, dans le plus grand des calmes, alors que Hera regardait les squelettes, de façon plutôt attristée.

- Ah...

Fit-elle.
Ils n'avaient vraisemblablement pas réussi à aller plus loin sous la ville, la pièce étant ici aussi un cul de sac.
Soma regardait attentivement toute la pièce, échangeant un regard compréhensif avec Andruil alors que Aurora s'approchait d'un coffre, et juste avant qu'elle ne le touche, le Chasseur de Démon lui attrapa le bras.

- Fais gaffe... Je crois pas qu'ils soient morts de soif, dans cette pièce. Vu leur position, je toucherais rien.

[Loup]

"Faites ce que vous souhaitez. Mais si vous vous rendez à son château, j'aurais une faveur à vous demander."

[Beowulf]

- La tribu des loups. Ils ont porté un assaut il y a quelques jours pour récupérer l'un des leurs. J'ai cru apprendre qu'ils avaient réussi à faire face à la reine, mais qu'ils se sont fait par la suite stopper par son dernier protecteur.

[Loup]

"Si possible, j'aimerais que vous récupéreriez et sauviez un membre de ma tribu. Mon fils vous servira de guide, en échange."

[Erwin]

- Des loups ?! s'exclama Erwin stupéfait. Hum, ils sont sûrement plus proches d'un animal mythique plutôt que de simples loups ordinaires. Et où se trouve le château de cette Reine ?
- Tu penses que ces loups sont bien réels ? Ils pourraient nous aider par la suite, chuchota Thormund à son camarade.
- Nous verrons bien.

[Suzuka]

- Si elle se trouve bien là-bas, étant donné qu'on va chercher à l'arrêter, on peut très bien vous accorder cette faveur, fit Suzuka à la louve.

[ Shin ]

- Ne sommes-nous pas trop indigne de cette tâche ? fit-il, regardant du coin de l'oeil le loup qui leur avait fait comprendre son hostilité envers les humains, arrogant.

[Gaheris]

- Je n'y vois pas d'inconvénients ... prononça le noble

L'Athréen quant à lui, scrutait le fils de la louve. Il pouvait observer quelques blessures, que le loup avait visiblement bien enduré. Il se proposa aussitôt afin de tenter d'apporter son aide.

- Durant ce périple, vous aurez besoin d'être en pleine forme ... je ... prends en compte le fait que vous n'appréciez pas vraiment les Hommes, cependant acceptez tout de même mes soins. dit l'écuyer d'un air innocent

[Loup]

"Je vous déteste, assurément. Les humains me répugnent profondément. Mais il y en a que je haïs plus que d'autre. Freya vous surclasse de très loin à ce niveau-là."

Le louveteau s'approcha de Gaheris pour lui répondre. Il semblait plus neutre vis-à-vis des humains que sa mère ne l'était.

"C'est aimable de votre part, mais cela serait inutile. Ce ne sont pas des blessures curables."

[Beowulf]

- Quoiqu'il en soi, reposez-vous pour ce soir. Je vous aiderai à aller au château et vous y accompagnerai. Mais pour l'instant, reprenons des forces. Ce sera nécessaire pour remporter la victoire.

[Kintoki]

- Très bien, fit le natif de Ryukyu avant de regarder la personne qui était allongée, se demandant quand est-ce qu'elle allait se réveiller. Est-ce qu'on la laisse seule ou on la prendra avec nous?

[Beowulf]

- On la prend si elle se réveille et qu'elle le souhaite. Sinon, on la laisse encore pioncer tranquillement.

[Kintoki]

Au bout de plusieurs minutes, la jeune fille semblait gigoter sous la fourrure qui lui servait de couverture, signe qu'elle était en train de se réveiller.

- Enfin elle se réveille, remarqua le natif de Ryukyu.