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Sujet : 1917 - Sam Mendes

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no-more_2 no-more_2
MP
Niveau 10
15 janvier 2020 à 10:17:47

Grosse douche froide pour moi.

J'ai beaucoup aimé le début, mais à partir d'un moment le film essaye d'en faire trop, que ce soit par la musique ultra pathos ou le visuel qui essaye d'être trop impressionnant.

D'ailleurs le film se vend sur "un faux plan séquence" mais même pas parce qu'il y a une énorme coupe au noire vers le milieu.
M'enfin dommage, car j'ai beaucoup aimé le début
6/10

no-more_2 no-more_2
MP
Niveau 10
15 janvier 2020 à 11:59:56

Des les premières bande annonces j'ai eu peur pour ce projet, des images "trop lisse" et l'impression que l'expérience du faux plan séquence/long plan des Birdman/Gravity/Revenant commence à tourner en rond ...

Le film fait beaucoup parler donc pour son faux plan séquence, ce qui est étrange car le film n'assume pas son concept jusqu'au bout, et fait une coupe franche au noir en plein milieu, malheureusement pour le pire.

Et pourtant la première heure du film est de haute volée, on voit nos 2 héros avancer la peur au ventre, on sent la menace invisible, on patauge dans la boue avec eux... mais pourtant une fois passé cette longue introduction les premiers problèmes commencent à arriver.

Le film plutôt intimiste jusque la prend des allures de blockbuster américain, avec tout les défauts qui vont avec.

Une musique de plus en plus pathos et envahissante voulant souligner l'émotion mais qui finit par la gâcher, une surenchère visuelle qui tourne au grand guignolesque dans un décors qui ressemble plus à un spectacle lumière au puy du fou qu'une scène de guerre, des effets spéciaux bien dégeulasse par moment, et des habits/coiffures toujours bien propre.

Le scénario est assez basique, comme pour un Gravity ou un Mad Max, ce qui n'est pas forcement un défaut, mais l'ambiance trop fausse ne parvient pas à transcender ce qui aurait pu être une bien belle proposition de cinéma.

6/10

caligene729 caligene729
MP
Niveau 14
15 janvier 2020 à 12:10:58

Le 15 janvier 2020 à 11:59:56 no-more_2 a écrit :
Des les premières bande annonces j'ai eu peur pour ce projet, des images "trop lisse" et l'impression que l'expérience du faux plan séquence/long plan des Birdman/Gravity/Revenant commence à tourner en rond ...

Le film fait beaucoup parler donc pour son faux plan séquence, ce qui est étrange car le film n'assume pas son concept jusqu'au bout, et fait une coupe franche au noir en plein milieu, malheureusement pour le pire.

Et pourtant la première heure du film est de haute volée, on voit nos 2 héros avancer la peur au ventre, on sent la menace invisible, on patauge dans la boue avec eux... mais pourtant une fois passé cette longue introduction les premiers problèmes commencent à arriver.

Le film plutôt intimiste jusque la prend des allures de blockbuster américain, avec tout les défauts qui vont avec.

Une musique de plus en plus pathos et envahissante voulant souligner l'émotion mais qui finit par la gâcher, une surenchère visuelle qui tourne au grand guignolesque dans un décors qui ressemble plus à un spectacle lumière au puy du fou qu'une scène de guerre, des effets spéciaux bien dégeulasse par moment, et des habits/coiffures toujours bien propre.

Le scénario est assez basique, comme pour un Gravity ou un Mad Max, ce qui n'est pas forcement un défaut, mais l'ambiance trop fausse ne parvient pas à transcender ce qui aurait pu être une bien belle proposition de cinéma.

6/10

Le scénario a beau être super basique. Il a une construction tellement faiblarde que même pour un scénario simple, ça ne fait pas le café.

Pseudo supprimé
Niveau 7
15 janvier 2020 à 22:14:42

Vu ce soir.

Bien aimé mais pour moi c'est l'exemple parfait du film à oscar : beau mais creux.

Je sais pas, je trouve qu'il manque quelque-chose pour en faire un grand film.

7/10 pour la technique et la photo de Deakins, même si en faisant attention on devine les endroits des coupes.

Cripborne Cripborne
MP
Niveau 6
15 janvier 2020 à 22:24:19

Requiem pour un spectacle.
(heureusement qu'il y a quelques passages absolument sublimés par Deakins, sinon ça serait vraiment fade au possible...)

Catull Catull
MP
Niveau 17
16 janvier 2020 à 11:38:34

Je ne cache pas ma déception également. Je suis plutôt en accord avec la critique de @no_more-2. Et ce n’est pas par absence de volonté de prendre la plume que je me réfère à d’autres avis, mais je n’en n’ai pas trop plus à dire. D’ailleurs, j’y avais mis le cœur en essayant une salle équipée Dolby. Peut-être était-ce trop de confort dans un univers cauchemardesque de tranchées sales et mortifères.

Aussi, critikat a livré des mots justes pour moi : https://www.critikat.com/actualite-cine/critique/1917-2/

Simplement, quelques mots sur mon ressenti indépendamment du narratif et de la fabrication : je ne me suis pas retrouvé dans les émotions que les processus techniques chargés - quoique très propres - ont voulu susciter. J’ai régulièrement perdu le fil. L’immersion était sans cesse rattrapée par un filtre entre l’écran et moi. C’est simple scénaristiquement, puissant techniquement mais donc un peu trop bourru émotionnellement.

Je note une très bonne première demi-heure dans le départ de la mission jusqu’à l’épisode du rat germanique où là la tension a atteint mes neurones, puis jusqu’au pilote.

Skyrim50130 Skyrim50130
MP
Niveau 10
16 janvier 2020 à 12:00:50

Vos critiques commence a me refroidir, j'espère vraiment qu'il est pas pourri

Cripborne Cripborne
MP
Niveau 6
16 janvier 2020 à 12:06:25

Le 16 janvier 2020 à 12:00:50 Skyrim50130 a écrit :
Vos critiques commence a me refroidir, j'espère vraiment qu'il est pas pourri

Difficile de dire que c'est "pourri" je pense, faut juste contrebalancer un peu les retours dithyrambiques, les campagnes marketing à base de récompenses etc, le film n'est simplement pas à la hauteur de tout cela

no-more_2 no-more_2
MP
Niveau 10
16 janvier 2020 à 12:06:26

Le 16 janvier 2020 à 12:00:50 Skyrim50130 a écrit :
Vos critiques commence a me refroidir, j'espère vraiment qu'il est pas pourri

Boarf après ça vaut quand même le coup d'être vu au cinéma.
Même si j'ai pas aimé le film je ne regrette pas d'avoir payé mon billet pour autant.

Hop j'en profite pour rajouter ma critique sur SC : https://www.senscritique.com/film/1917/critique/210646719
Vu que j'ai oublié de la poster plus haut :hap:

AreZToScore AreZToScore
MP
Niveau 25
16 janvier 2020 à 12:46:45

Par contre il va falloir arrêter avec l’argument bidon « il n’y a pas de scénario lol c’est un point A à un point B comme Mad Max ».

Justement Jean-Ficello, Mendes en raconte peut être bien plus que beaucoup de films du genre en 2h de route à travers le chaos (tout comme Mad Max), ce qui compte c’est ce qu’on voit, ce que ça nous évoque, pas ce qu’on nous dit. Le cinéma c’est d’abord l’image et le mouvement. Ici il y a des mouvements de caméra touchants la perfection. Et osef du « ouais j’ai vu des cuts c’est une escroquerie ». Les plans séquences sont là pour une raison, pas comme un Birdman qui fait juste office de « je me la pete », il sont là parce qu’ils veulent nous montrer les yeux de ce personnage et également ce qu’il oublie de voir.
1917 est un chef d’œuvre, à l’image de Mad Max j’ai été ému, pris aux tripes et sous tension pendant 2 heures et j’ose le dire, pour moi c’est CA le cinéma.

Ça vous évoque vraiment rien sur la guerre vous ? La boue, le chaos, le feu, les ruines, la peur, l’empathie, la redemption, le rire, la solitude, la fatigue..? Doté d’une mise en scène et d’une photographie allant bien au delà de ce qu’on peut imaginer, ça me suffit personnellement pour ressentir ce que les personnages ressentent, mais peut être suis-je trop bête et naïf pour croire que le cinéma on raconte des choses à l’image ? Avez-vous besoin qu’on vous montre deux personnages en champ contre champ qui vous disent à l’oral qu’ils ont la chair de poule pour comprendre? Peut être sommes nous trop, excessivement habitués à ce schéma là, bateau, plombant, où on nous prend pour des cretins, nous les spectateurs.

Là on à pour une fois un cinéma héroïque, grand, suffisamment intelligent pour se dire que le spectateur comprendra ce qui est ici énuméré sans nous le dire directement et vous venez le descendre (purée quand j’en vois qui se servent de Mad Max en disant que c’est bidon pour dire que ce film est bidon)... Bien triste.

Et ceux qui disent que la musique est plombante... alors là non, Thomas Newman étant mon compositeur préféré je suis incollable sur son travail. Toujours dans le juste, ce mec à une comprehension de l’image que nul n’arrivera à égaler. A la différence d’un Zimmer qui vient plomber un Dunkerque en faisant des caisses. Newman reste sur la sobriété, même dans ses passages épiques où il se base sur la répétition plutôt qu’envoyer des grandes lignes mélodiques avec des supers brass brass comme Zimmer (et pleins d’autres). C’est pas sa musique de film que j’ai préféré, mais il est pas loin de la perfection lui aussi. Je vous invites à aller réécouter la musique du film si ce n’est pas déjà fait.
Il faut prendre le film dans ce qu’il évoque, à travers ce qu’il vous montre, en ce sens là, vous verrez que ce 1917 en raconte bien plus que vous le pensez.

Irgalf Irgalf
MP
Niveau 29
16 janvier 2020 à 14:40:55

J'ai bien aimé sans plus. Techniquement, le film jouit d'une grande qualité, que ce soit les lumières, la photographie, etc... Les acteurs jouent bien (mais bon, je trouve presque toujours que les acteurs jouent bien), et que le scénario tienne sur un postit n'est pas un problème en soit.
En revanche, on ne s'attache pas trop aux personnages, donc on se fiche un peu de ce qu'il peut leur arriver. De plus, paradoxalement, là où le plan séquence est censé augmenter l'immersion, plusieurs éléments du film brisent cette immersion le plus embêtant pour moi étant le fait que notre héros esquive toutes les balles (bien le mec qui charge à la bayonette alors que son fusil est chargé ?), qu'il se remette plutôt bien de ses blessures (il s'est quand même prit une balle mais n'en a rien à foutre)
Enfin, je trouve que le film ne raconte pas grand chose, et personnellement , il ne m'a fait ressentir aucune émotion.
Je suis peut-être un peu sévère, mais ça ne reste que mon avis. Après le film est très beau, c'est bien filmé, bien joué, mais on en reste là, ce qui fait que pour moi c'est un bon film, mais pas le grand film que certains trouvent.

Serval94 Serval94
MP
Niveau 64
16 janvier 2020 à 15:25:20

Une excellente surprise que ce 1917 !

N’étant pas particulièrement friand du genre et ayant vu Nolan se casser récemment les dents sur un sujet similaire (le suivi en immersion de deux jeunes soldats anglais en France), je dois bien avouer que sur le papier, le film ne me vendait pas du rêve. Je craignais l’exercice de style un peu vain et désincarné, n’ayant finalement pas grand-chose d’intéressant à proposer outre sa performance technique (le fameux plan-séquence). Mais bon, Mendes oblige, je me devais de lui laisser sa chance, et franchement, je suis conquis. Loin de n’être que cette simple performance technique (précisons au passage que le film est en réalité composé de plusieurs longs plans fondus numériquement), le film est au contraire étonnement touchant. Et l’immersion totale.

Le film démarre tout en douceur, par une sieste dans un champ, où l’on rencontre nos deux protagonistes – qui ont, je dois le dire, un peu des têtes d’endives. Qu’importe. S’ensuit une traversée de leur campement puis leur mission leur est confiée : rejoindre au plus vite un campement allié afin de faire annuler une offensive contre les frisés. Les deux personnages prennent acte, quittent leur campement, et… ça y est, l’aventure commence. Et la magie opère. A partir de cet instant, qui voit les personnages traverser le no man’s land entre leurs tranchées et les tranchées ennemies, j’ai été pris jusqu’à la fin du film. Loin de n’être qu’une coquetterie, l’aspect plan-séquence fonctionne du feu de Dieu : le film est fluide et immersif. Enchaînant les longues séquences, présentant chacune un nouvel environnement (le no man’s land, les tranchées ennemies, la grotte, la ferme, la ville en ruines, etc.), le film est captivant de bout en bout.

Captivant… et magnifique visuellement. Le compère Roger Deakins est en forme. Je pense évidemment à la partie de nuit dans une ville en ruines et en flammes. Sublime… Certains plans sont à tomber par terre. Même chose pour le fidèle Thomas Newman, qui livre une partition vraiment top (cette petite nappe d’ambiance quand les personnages traversent le no man’s land). Bref, les astres sont tous alignés et ça fait plaisir. L’immersion est totale. Et l’émotion fonctionne… et je dois bien avouer que deux des dernières scènes du film ont failli me faire flancher (mais je me suis retenu, il y avait peut-être des boches dans la salle et on ne pleure pas devant les boches). Et ça, c’est bien joué. Bref, en ce qui me concerne, le film est vraiment efficace. Et une excellente surprise.

Je recommande donc !

caligene729 caligene729
MP
Niveau 14
16 janvier 2020 à 15:28:09

Le 16 janvier 2020 à 12:46:45 Areztoscore a écrit :
Par contre il va falloir arrêter avec l’argument bidon « il n’y a pas de scénario lol c’est un point A à un point B comme Mad Max ».

Justement Jean-Ficello, Mendes en raconte peut être bien plus que beaucoup de films du genre en 2h de route à travers le chaos (tout comme Mad Max), ce qui compte c’est ce qu’on voit, ce que ça nous évoque, pas ce qu’on nous dit. Le cinéma c’est d’abord l’image et le mouvement. Ici il y a des mouvements de caméra touchants la perfection. Et osef du « ouais j’ai vu des cuts c’est une escroquerie ». Les plans séquences sont là pour une raison, pas comme un Birdman qui fait juste office de « je me la pete », il sont là parce qu’ils veulent nous montrer les yeux de ce personnage et également ce qu’il oublie de voir.
1917 est un chef d’œuvre, à l’image de Mad Max j’ai été ému, pris aux tripes et sous tension pendant 2 heures et j’ose le dire, pour moi c’est CA le cinéma.

Ça vous évoque vraiment rien sur la guerre vous ? La boue, le chaos, le feu, les ruines, la peur, l’empathie, la redemption, le rire, la solitude, la fatigue..? Doté d’une mise en scène et d’une photographie allant bien au delà de ce qu’on peut imaginer, ça me suffit personnellement pour ressentir ce que les personnages ressentent, mais peut être suis-je trop bête et naïf pour croire que le cinéma on raconte des choses à l’image ? Avez-vous besoin qu’on vous montre deux personnages en champ contre champ qui vous disent à l’oral qu’ils ont la chair de poule pour comprendre? Peut être sommes nous trop, excessivement habitués à ce schéma là, bateau, plombant, où on nous prend pour des cretins, nous les spectateurs.

Là on à pour une fois un cinéma héroïque, grand, suffisamment intelligent pour se dire que le spectateur comprendra ce qui est ici énuméré sans nous le dire directement et vous venez le descendre (purée quand j’en vois qui se servent de Mad Max en disant que c’est bidon pour dire que ce film est bidon)... Bien triste.

Et ceux qui disent que la musique est plombante... alors là non, Thomas Newman étant mon compositeur préféré je suis incollable sur son travail. Toujours dans le juste, ce mec à une comprehension de l’image que nul n’arrivera à égaler. A la différence d’un Zimmer qui vient plomber un Dunkerque en faisant des caisses. Newman reste sur la sobriété, même dans ses passages épiques où il se base sur la répétition plutôt qu’envoyer des grandes lignes mélodiques avec des supers brass brass comme Zimmer (et pleins d’autres). C’est pas sa musique de film que j’ai préféré, mais il est pas loin de la perfection lui aussi. Je vous invites à aller réécouter la musique du film si ce n’est pas déjà fait.
Il faut prendre le film dans ce qu’il évoque, à travers ce qu’il vous montre, en ce sens là, vous verrez que ce 1917 en raconte bien plus que vous le pensez.

Calme toi le cinéphile refoulé. Autant Terrence Malik arrive toujours avec brio à nous raconter une histoire très intimiste sans dialogues vraiment marquant mais juste avec des images, qui se contemple et qui ont un lourd sens derrière (Surtout avec "A Tree of life"), autant là Mendes a voulu jouer la carte du plan séquence pour nous plonger dans la même viscéralité des personnages. Sauf qu'à part ça, dis moi ce que le film raconte de plus ?

Après bien, sûr, la photographie nous évoque une certaine réalité violente par rapport au contexte de l'histoire mais tu peux pas handicaper ton scénario sous prétexte que la caméra va le faire à ta place. Il y a besoin d'une vraie intrigue, avec des personnages qui ont un minimum de développement, qu'on puisse s'y attacher et des conflits, car la résolution de la quête au final s'était révélé assez facile pour ces super héros à en devenir. J'ai aimé le film mais je suis déçu. Je m'attendais à une fiction avec une histoire originale, pas une tentative de réprésentation au détail près de la 1ere guerre mondiale. :)

Catull Catull
MP
Niveau 17
16 janvier 2020 à 15:30:10

@Areztoscore :
L’art de faire une critique triomphante assaisonnée de vérités générales et absolues en rendant inacceptable de ne pas avoir cédé à la merveille décrite, c’est quand même un peu gonflé. D’autant plus que l’opinion que tu nous livres a recours à la démarche peu noble de transformer un avis mitigé en un pamphlet acerbe du film. Quand l’opinion devient opiniâtre.

Serval94 Serval94
MP
Niveau 64
16 janvier 2020 à 15:46:30

Le 16 janvier 2020 à 15:28:09 caligene729 a écrit :

Le 16 janvier 2020 à 12:46:45 Areztoscore a écrit :
Par contre il va falloir arrêter avec l’argument bidon « il n’y a pas de scénario lol c’est un point A à un point B comme Mad Max ».

Justement Jean-Ficello, Mendes en raconte peut être bien plus que beaucoup de films du genre en 2h de route à travers le chaos (tout comme Mad Max), ce qui compte c’est ce qu’on voit, ce que ça nous évoque, pas ce qu’on nous dit. Le cinéma c’est d’abord l’image et le mouvement. Ici il y a des mouvements de caméra touchants la perfection. Et osef du « ouais j’ai vu des cuts c’est une escroquerie ». Les plans séquences sont là pour une raison, pas comme un Birdman qui fait juste office de « je me la pete », il sont là parce qu’ils veulent nous montrer les yeux de ce personnage et également ce qu’il oublie de voir.
1917 est un chef d’œuvre, à l’image de Mad Max j’ai été ému, pris aux tripes et sous tension pendant 2 heures et j’ose le dire, pour moi c’est CA le cinéma.

Ça vous évoque vraiment rien sur la guerre vous ? La boue, le chaos, le feu, les ruines, la peur, l’empathie, la redemption, le rire, la solitude, la fatigue..? Doté d’une mise en scène et d’une photographie allant bien au delà de ce qu’on peut imaginer, ça me suffit personnellement pour ressentir ce que les personnages ressentent, mais peut être suis-je trop bête et naïf pour croire que le cinéma on raconte des choses à l’image ? Avez-vous besoin qu’on vous montre deux personnages en champ contre champ qui vous disent à l’oral qu’ils ont la chair de poule pour comprendre? Peut être sommes nous trop, excessivement habitués à ce schéma là, bateau, plombant, où on nous prend pour des cretins, nous les spectateurs.

Là on à pour une fois un cinéma héroïque, grand, suffisamment intelligent pour se dire que le spectateur comprendra ce qui est ici énuméré sans nous le dire directement et vous venez le descendre (purée quand j’en vois qui se servent de Mad Max en disant que c’est bidon pour dire que ce film est bidon)... Bien triste.

Et ceux qui disent que la musique est plombante... alors là non, Thomas Newman étant mon compositeur préféré je suis incollable sur son travail. Toujours dans le juste, ce mec à une comprehension de l’image que nul n’arrivera à égaler. A la différence d’un Zimmer qui vient plomber un Dunkerque en faisant des caisses. Newman reste sur la sobriété, même dans ses passages épiques où il se base sur la répétition plutôt qu’envoyer des grandes lignes mélodiques avec des supers brass brass comme Zimmer (et pleins d’autres). C’est pas sa musique de film que j’ai préféré, mais il est pas loin de la perfection lui aussi. Je vous invites à aller réécouter la musique du film si ce n’est pas déjà fait.
Il faut prendre le film dans ce qu’il évoque, à travers ce qu’il vous montre, en ce sens là, vous verrez que ce 1917 en raconte bien plus que vous le pensez.

Calme toi le cinéphile refoulé. Autant Terrence Malik arrive toujours avec brio à nous raconter une histoire très intimiste sans dialogues vraiment marquant mais juste avec des images, qui se contemple et qui ont un lourd sens derrière (Surtout avec "A Tree of life"), autant là Mendes a voulu jouer la carte du plan séquence pour nous plonger dans la même viscéralité des personnages. Sauf qu'à part ça, dis moi ce que le film raconte de plus ?

Après bien, sûr, la photographie nous évoque une certaine réalité violente par rapport au contexte de l'histoire mais tu peux pas handicaper ton scénario sous prétexte que la caméra va le faire à ta place. Il y a besoin d'une vraie intrigue, avec des personnages qui ont un minimum de développement, qu'on puisse s'y attacher et des conflits, car la résolution de la quête au final s'était révélé assez facile pour ces super héros à en devenir. J'ai aimé le film mais je suis déçu. Je m'attendais à une fiction avec une histoire originale, pas une tentative de réprésentation au détail près de la 1ere guerre mondiale. :)

La résolution de la quête assez facile pour ces super-héros en devenir ? Mouais, il y en a quand même un qui crève au bout d'une heure (d'un simple coup de couteau dans le bide et en pleurant, pas très super-héroïque) et l'autre en chie quand même pas mal. On est loin de la promenade de santé, faut pas charrier.

Et c'est bien une fiction avec une histoire originale, qu'est-ce que tu racontes ?

Puis concernant Malick, pas de dialogues, je veux bien, mais il compense en monologues en voix-off, donc bon. Puis je vois pas trop le rapport entre les deux en fait, pourquoi tu parles de Malick ?

AreZToScore AreZToScore
MP
Niveau 25
16 janvier 2020 à 15:47:33

Le 16 janvier 2020 à 15:19:50 caligene729 a écrit :

Le 16 janvier 2020 à 12:46:45 Areztoscore a écrit :
Par contre il va falloir arrêter avec l’argument bidon « il n’y a pas de scénario lol c’est un point A à un point B comme Mad Max ».

Justement Jean-Ficello, Mendes en raconte peut être bien plus que beaucoup de films du genre en 2h de route à travers le chaos (tout comme Mad Max), ce qui compte c’est ce qu’on voit, ce que ça nous évoque, pas ce qu’on nous dit. Le cinéma c’est d’abord l’image et le mouvement. Ici il y a des mouvements de caméra touchants la perfection. Et osef du « ouais j’ai vu des cuts c’est une escroquerie ». Les plans séquences sont là pour une raison, pas comme un Birdman qui fait juste office de « je me la pete », il sont là parce qu’ils veulent nous montrer les yeux de ce personnage et également ce qu’il oublie de voir.
1917 est un chef d’œuvre, à l’image de Mad Max j’ai été ému, pris aux tripes et sous tension pendant 2 heures et j’ose le dire, pour moi c’est CA le cinéma.

Ça vous évoque vraiment rien sur la guerre vous ? La boue, le chaos, le feu, les ruines, la peur, l’empathie, la redemption, le rire, la solitude, la fatigue..? Doté d’une mise en scène et d’une photographie allant bien au delà de ce qu’on peut imaginer, ça me suffit personnellement pour ressentir ce que les personnages ressentent, mais peut être suis-je trop bête et naïf pour croire que le cinéma on raconte des choses à l’image ? Avez-vous besoin qu’on vous montre deux personnages en champ contre champ qui vous disent à l’oral qu’ils ont la chair de poule pour comprendre? Peut être sommes nous trop, excessivement habitués à ce schéma là, bateau, plombant, où on nous prend pour des cretins, nous les spectateurs.

Là on à pour une fois un cinéma héroïque, grand, suffisamment intelligent pour se dire que le spectateur comprendra ce qui est ici énuméré sans nous le dire directement et vous venez le descendre (purée quand j’en vois qui se servent de Mad Max en disant que c’est bidon pour dire que ce film est bidon)... Bien triste.

Et ceux qui disent que la musique est plombante... alors là non, Thomas Newman étant mon compositeur préféré je suis incollable sur son travail. Toujours dans le juste, ce mec à une comprehension de l’image que nul n’arrivera à égaler. A la différence d’un Zimmer qui vient plomber un Dunkerque en faisant des caisses. Newman reste sur la sobriété, même dans ses passages épiques où il se base sur la répétition plutôt qu’envoyer des grandes lignes mélodiques avec des supers brass brass comme Zimmer (et pleins d’autres). C’est pas sa musique de film que j’ai préféré, mais il est pas loin de la perfection lui aussi. Je vous invites à aller réécouter la musique du film si ce n’est pas déjà fait.
Il faut prendre le film dans ce qu’il évoque, à travers ce qu’il vous montre, en ce sens là, vous verrez que ce 1917 en raconte bien plus que vous le pensez.

Calme toi le cinéphile refoulé. Autant Terrence Malik arrive toujours avec brio à nous raconter une histoire très intimiste sans dialogues vraiment marquant mais juste avec des images, qui se contemple et qui ont un lourd sens derrière (Surtout avec "A Tree of life"), autant là Mendes a voulu jouer la carte du plan séquence pour nous plonger dans la même viscéralité des personnages. Sauf qu'à part ça, dis moi ce que le film raconte de plus ?

Tu prétends que le film t'as fait évoquer plein de messages, je serai bien curieux de savoir lesquels. (Sans surinterpréter bien entendu) :)

J'adore que tu viens pour me proposer l'argument Terrence Malick en prenant son film peut être le plus populaire comme exemple (avec La Ligne Rouge). Encore une preuve que tu sais probablement pas de quoi tu parles. Faisant même une faute à son nom (et pourtant tu as édité ton commentaire).

Tu te contredis toi même en fait, tu dis que le plan séquence nous plonge justement dans la même viscéralité qu'un Malick puis tu demandes ce que le film raconte à part ça, alors, déjà : le plan séquence n'est pas une histoire, c'est ce qui le compose qui lui donne son importance. Si le film t'a plongé dans quelque chose de viscéral alors je ne sais même pas pourquoi tu me poses cette question? Si c'est viscéral t'es censé ressentir quelque chose quand même non ? Un chouïa au moins?

Encore une fois je le répète, le film évoque à travers tout ses décors, sa mise en scène, photographie, musique et j'en passe ; tout ce qu'on a besoin de savoir à propos de la guerre : chaos, cadavres, impacts, blessures, feu, armes, boue, fatigue, faim...

Il n'a pas besoin d'une grande scène de champ de bataille pour qu'on ressente la guerre, qu'on se mette à haïr la guerre. La violence dans ce film? Elle est indirecte, cachée, ce sont les conséquences qui nous intéressent, elle arrive à être factuelle sans rentrer dans une forme de complaisance.

Tu confonds dans ton message plus haut un scénario basique et simple. Même si il est basique oui, je te l'accorde, il est loin d'être simple. Va m'écrire tout ses magnifiques mouvements de caméra qui ont non seulement du sens mais qui en plus vont bien au delà de toutes les bouses à gros budgets qu'on peut voir habituellement. Même sophisme que pour Mad Max en fait, une structure narrative simple (par conséquent ici c'est un point A à un point B) n'en fait certainement pas un scénario simple (ou alors tu ne sais pas ce que c'est qu'un scénario). Dans ce cas je pourrais aussi dire que Frodon c'est un mec qui prend un anneau et qui va le jeter dans le feu? Pareil, d'un point A à un point B. Sauf que l'importance, toute la complexité de l'histoire, c'est ce qui se passe durant ce trajet. Ce que la Comté, le Mordor [...] vont te dire.

Pareil ici, passer des ruines au feu, du feu aux ruines, des ruines aux arbres, des arbres à l'herbe. Tout ceci à un sens : la guerre et ses ravages. Voici ce que ceci m'évoque, et c'est beaucoup, beaucoup, parce que la guerre, c'est vaste, et même ce côté il arrive à te le montrer.

Si tu n'as pas lu l'Iliade et l'Odyssée, je t'invite à le lire parce que c'est un peu le même principe, là c'est une oeuvre culte depuis longtemps peut être que ça peut te permettre d'y voir plus clair sur ce que je raconte?

Je pourrais continuer à t'écrire durant des lustres, mais ton message de petit agressif paresseux qui consiste juste à m'attaquer sans avoir une once d'argumentation fait que je ne sais même pas pourquoi je m'obstine. T'as déjà un début de réponse à ta question, amuses toi bien avec.

Message édité le 16 janvier 2020 à 15:51:55 par AreZToScore
Defieur Defieur
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Niveau 31
16 janvier 2020 à 15:51:11

Le 16 janvier 2020 à 12:46:45 Areztoscore a écrit :
Par contre il va falloir arrêter avec l’argument bidon « il n’y a pas de scénario lol c’est un point A à un point B comme Mad Max ».

Justement Jean-Ficello, Mendes en raconte peut être bien plus que beaucoup de films du genre en 2h de route à travers le chaos (tout comme Mad Max), ce qui compte c’est ce qu’on voit, ce que ça nous évoque, pas ce qu’on nous dit. Le cinéma c’est d’abord l’image et le mouvement. Ici il y a des mouvements de caméra touchants la perfection. Et osef du « ouais j’ai vu des cuts c’est une escroquerie ». Les plans séquences sont là pour une raison, pas comme un Birdman qui fait juste office de « je me la pete », il sont là parce qu’ils veulent nous montrer les yeux de ce personnage et également ce qu’il oublie de voir.
1917 est un chef d’œuvre, à l’image de Mad Max j’ai été ému, pris aux tripes et sous tension pendant 2 heures et j’ose le dire, pour moi c’est CA le cinéma.

Ça vous évoque vraiment rien sur la guerre vous ? La boue, le chaos, le feu, les ruines, la peur, l’empathie, la redemption, le rire, la solitude, la fatigue..? Doté d’une mise en scène et d’une photographie allant bien au delà de ce qu’on peut imaginer, ça me suffit personnellement pour ressentir ce que les personnages ressentent, mais peut être suis-je trop bête et naïf pour croire que le cinéma on raconte des choses à l’image ? Avez-vous besoin qu’on vous montre deux personnages en champ contre champ qui vous disent à l’oral qu’ils ont la chair de poule pour comprendre? Peut être sommes nous trop, excessivement habitués à ce schéma là, bateau, plombant, où on nous prend pour des cretins, nous les spectateurs.

Là on à pour une fois un cinéma héroïque, grand, suffisamment intelligent pour se dire que le spectateur comprendra ce qui est ici énuméré sans nous le dire directement et vous venez le descendre (purée quand j’en vois qui se servent de Mad Max en disant que c’est bidon pour dire que ce film est bidon)... Bien triste.

Et ceux qui disent que la musique est plombante... alors là non, Thomas Newman étant mon compositeur préféré je suis incollable sur son travail. Toujours dans le juste, ce mec à une comprehension de l’image que nul n’arrivera à égaler. A la différence d’un Zimmer qui vient plomber un Dunkerque en faisant des caisses. Newman reste sur la sobriété, même dans ses passages épiques où il se base sur la répétition plutôt qu’envoyer des grandes lignes mélodiques avec des supers brass brass comme Zimmer (et pleins d’autres). C’est pas sa musique de film que j’ai préféré, mais il est pas loin de la perfection lui aussi. Je vous invites à aller réécouter la musique du film si ce n’est pas déjà fait.
Il faut prendre le film dans ce qu’il évoque, à travers ce qu’il vous montre, en ce sens là, vous verrez que ce 1917 en raconte bien plus que vous le pensez.

Totalement d'accord avec ton avis. C'est quand même triste que les gens souhaitent être accompagnés par la main dans tout ce qu'ils voient. Quand on a des films plus visuels narrativement que d'autres (Gravity, Mad Max Fury Road, 1917), c'est dommage d'avoir ce raccourci à chaque fois "on va d'un point A à un point B et le scénario tient sur un post it" alors que ces scénarios ont tellement plus à dire que d'autres films plus verbaux. :hap:
Pour Gravity, pour ceux qui doutent de la présence d'un scénario, n'hésitez pas à regarder l'analyse de Mr. Bobine sur Youtube. Certes le film est pas des plus subtiles mais le scénario n'est pas aux abonnés absents. Un peu comme le Tarantino d'ailleurs où beaucoup s'offusquaient qu'il gagne des prix du scénario. Ce film raconte tellement de choses avec un fil rouge qui n'est pas explicite aux spectateurs mais pourtant bien là.

L'histoire de déceler les cuts, c'est dommage aussi. Certains sont évidents comme celui où on enchaîne la nuit mais cette ellipse est nécessaire au récit pour la pression narrative qui s'exerce sur le héros et son environnement. En plus de ça, on est servi par des images sublimes et des plans qui n'ont rien d'aléatoire, parce que oui, contrairement à Victoria qui va se la jouer plan séquence authentique, bah le cadrage n'est jamais aléatoire avec Mendes. Je préfère cent fois plus avoir des mini-plan séquences entrecoupés de cuts (évidents ou non) avec des images qui sont sublimes et une narration réussie, plutôt que d'avoir un film avec beaucoup d'aléa et qui au final ne peut pas totalement soigner sa forme.

En plus de ça, comme tu dis, on ressent vraiment la pression en temps réel des personnages. Jamais on ne lâche le héros et on assiste vraiment à lui chaque moment de stress. Mon coup de coeur va à ce petit moment de douceur vers la fin du film, et l'épée de Damoclès revient inévitablement sur le récit et le protagoniste avec l'utilisation habile des sons. Pas de dialogues pour indiquer cela. Juste un son, un regard et une photographie soignée. Et ça, c'est vraiment beau surtout sur tout ce que ça implique narrativement via les quelques minutes passées précédemment.

Et je te rejoins également pour Newman qui nous évite la panoplie du parfait Zimmer sur un sujet similaire. Au début, quand j'entendais ce métronome dans la musique lorsque la mission débute, j'avais peur d'un décalque de Dunkerk mais il n'en est rien et la bande-son oscille vraiment sur plusieurs registres possibles sans aller dans l'excès. Il y a juste un reproche que je ferais sur la fin avec une musique limite plus assourdissante que les sons de bataille mais j'ai presque envie d'accuser ma salle de cinéma plus que le sound-design en lui-même tant ce cas est isolé sur le film.

Salah Salah
MP
Niveau 17
16 janvier 2020 à 15:57:07

Le 16 janvier 2020 à 12:46:45 Areztoscore a écrit :

Ça vous évoque vraiment rien sur la guerre vous ? La boue, le chaos, le feu, les ruines, la peur, l’empathie, la redemption, le rire, la solitude, la fatigue..? Doté d’une mise en scène et d’une photographie allant bien au delà de ce qu’on peut imaginer, ça me suffit personnellement pour ressentir ce que les personnages ressentent,

Non.
J'ai juste eu l'impression de voir un manège, une attraction hollywoodienne qui peut faire effet un certain temps, mais qui au bout de deux heures agace plus qu'autre chose. Aucun enfer, aucune émotion, aucune guerre, ici.
Seulement un spectacle froid et désincarné.

Message édité le 16 janvier 2020 à 15:57:56 par Salah
Skyrim50130 Skyrim50130
MP
Niveau 10
16 janvier 2020 à 15:57:22

Je viens de sortir de la séance j'ai adorer, l'immersion est vraiment bonne et certaines scènes sont plein de tension je pense a quand il sorte de leur tranché pour la première fois, l'avion qui s'ecrase et surtout le village en flamme dans la nuit
Un truc qui ma fait grincer des dents par contre c'est la chatte monumental du hero pendant tout le film, il rencontre que des Allemands bigleux ou quoi :hap:

AreZToScore AreZToScore
MP
Niveau 25
16 janvier 2020 à 15:59:28

Le 16 janvier 2020 à 15:30:10 Catull a écrit :
@Areztoscore :
L’art de faire une critique triomphante assaisonnée de vérités générales et absolues en rendant inacceptable de ne pas avoir cédé à la merveille décrite, c’est quand même un peu gonflé. D’autant plus que l’opinion que tu nous livres a recours à la démarche peu noble de transformer un avis mitigé en un pamphlet acerbe du film. Quand l’opinion devient opiniâtre.

L'art de la bien-pensance, au bout d'un moment il faut défendre ses idées, bons ou mauvais soient-elles, même si cela doit passer par une pichenette de radicalité et encore je trouve mon message tout de même raisonnable, puisque je questionne plus que j'affirme. Dire ça, c'est semblable au " chacun ses goûts ", en gros tout le monde pense bien, pas le droit d'attaquer les idées de l'autre pour défendre les siennes, même en les trouvant mauvaises. Quand quelqu'un fait un sophisme, pour attaquer une oeuvre envers laquelle j'ai une profonde attache, là, critiquer le film parce qu'on voit " des cuts dans le film " (sans parler de ce qui compose ces plans séquences) ou parce que " le scénario est basique " (sans même savoir ce qu'est un scénario) : moi même je me sens attaqué en fait, bien plus que j'attaque dans mon message, j'essaye au moins de convaincre et si jamais personne ne veut se laisser convaincre et bien ça sera des hostilités et dieu sait que ça devra passer par la radicalité. La défense de l'art est une guerre.

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