Alors un com sur ta fic ...
J´aime pas critiquer les chses ou les gents mais bon puisque c´est toi
^^
Les personages sont bien fun
Le rythme de l´histoire est soutenu sans être répétitif.
L´histoire me plait bien et quand j´ai fini de lire un nouveau chap je ne suis jamais déçu
Au fait dans:
"-Comment ?! Mais c’est horrible ! s’écria Colette en bondissant de son siège-ballon qui roula quelques mètres.
Le regard de Génis était soudain devenu sombre, ses doigts se crispèrent, . . . La salle se tut ; tous regardèrent le demi-elfe avec un air inquiet."
y a pas quelque chose qui cloche ?
La suite !! !!!!
Pfiou, j´ai enfin pû lire ^^
et ben c´est chouette ^^
pour cette fic qui aurait grand besoin d´une suite
Désolée ^^´
Chapitre 64 : « Bois Sacré »
Ce fut sur ce dernier compliment que les quatre compagnons quittèrent le bureau du maire. Une capuche sur le crâne et les mains jointes si possible, ils passaient pour de véritables pèlerins. Ils se promenaient dans les rues sans que personne ne se retourne sur leur passage ; sans même qu’on les remarque. De plus, le soleil se couchait à l’horizon, sous un ciel violet, et les allées se vidaient. Les marchands étaient rentrés chez eux, et un musicien était en train de clore sa journée en jouant une douce berceuse à la harpe, en duo avec un oiseau qui passait par là.
- Cet endroit est vraiment très paisible, remarqua Génis, on dirait presque qu’on est coupé du monde extérieur. C’est comme si tout ce qui se passait en dehors de la ville n’avait aucune importance.
- Ce ne sera bientôt plus le cas, intervint Raine, la guerre se déclarera entre les villes rebelles et l’Impératrice.
- J’ai une idée, s’écria soudain Lloyd, si on en profitait ? Si on profitait de cet endroit plein de . . . heu . . .
- De calme ? D’insouciance ? proposa Génis.
- Oui, c’est ça ! Si on en profitait et qu’on dormait à la belle étoile, cette nuit ?
Enthousiasmée par l’idée, Colette fit un petit bond :
- Je suis d’accord ! Dormons dans un des parcs de la ville ! J’ai vu des grandes étendues d’herbe, ce serait parfait.
- Dis, Raine, on peut ? demanda Génis.
Celle-ci hésita un moment.
- S’il vous plait, professeur ! supplièrent Colette et Lloyd d’une même voix.
Le professeur était tentée de refuser ; elle avait vraiment envie de dormir tranquillement, dans un bon lit. Mais elle se heurta à trois paires d’yeux larmoyants.
- Ah non, protesta-t-elle, ne faites pas des regards de chiens battus pour m’amadouer. Ça ne marche pas . . .
Les trois enfants lui lancèrent malgré tout un dernier regard implorant, gratifié d’un couinement très discret. Raine ne put pas résister plus longtemps et accepta.
L’herbe était d’un vert pur et d’une douceur incroyable. Les amis choisirent l’endroit qu’il leur semblait être le meilleur pour passer une bonne nuit. Ils optèrent finalement pour un coin en retrait d‘où personne ne pourrait les voir, sous un gros arbre. Génis, le plus fatigué, ôta son vêtement et le roula en boule, pour s’en faire un coussin. Il s’allongea ensuite dans l’herbe molle, et souhaita bonne nuit à ses amis. Lloyd et Colette l’imitèrent, se couchant l’un à côté de l’autre. Raine lança un regard triste au sol sur lequel elle était censée passer la nuit, en se maudissant d’avoir cédé. Elle gémit même en pensant à son pauvre dos qui serait courbaturé le lendemain. Elle se décida tout de même à se déshabiller, et construit un matelas de fortune avec ses vêtements. La demi-elfe allait sombrer dans le sommeil lorsqu’un détail réveilla son esprit.
- Hé !
Ce petit cri de surprise tira Colette, Lloyd et Génis de leur sommeil.
- Kesskisspass ? bailla ce dernier.
- On dirait que vous venez de découvrir une ruine sacrée, grommela Colette à moitié ensommeillée, qui commençait à bien connaître son professeur.
- C’est presque ça ! s’extasia Raine, regardez cet arbre !
Les trois endormis levèrent péniblement la tête de leur coussin et observèrent l’arbre sous lequel il avait établi leur campement.
- Très bel arbre, apprécia Lloyd, on peut dormir, maintenant ?
Raine ne fut manifestement pas satisfaite de cette réponse :
- Non ! Regardez mieux. Vous ne voyez pas ? On dirait du Bois Sacré !
- Wouah ! s’exclama Colette, c’est génial . . . Heu . . . Qu’est-ce que ça a de si extraordinaire ?
Raine poussa un soupir de mécontentement :
- Vous ne vous rendez pas compte ? C’est comme à Ozette ! On pensait pourtant que ce Bois ne poussait que là-bas. C’est une découverte tellement . . . Tellement . . .
- Merveilleuse, compléta Génis, on en reparlera demain, d’accord ?
Il reposa sa tête au sol et sombra dans le sommeil. Le professeur fit la moue, se recoucha et tourna le dos à ses compagnons.
Bientôt, leurs ronflements se mêlèrent aux bruits nocturnes.
Non loin du petit groupe de dormeurs, deux yeux verts se mirent à scintiller dans l’obscurité. Ceux-ci se fermèrent un instant puis se rouvrirent vivement.
- Je ne dois pas dormir, se dit l’espion, pas . . . dormir . . .
Il attrapa sa gourde et but une grande gorgée de Potion Dell, réputée pour contenir des vitamines fortes et de la caféine. Cela eut pour effet de le revigorer sur-le-champ, mais ne le rendit pas de bonne humeur pour autant. Il se mit à marmonner :
- Grumbl . . . À quoi ça sert de surveiller ces gens ? Ils ne nous menacent pas, ils sont trop faibles, . . . En plus, ils n’ont pas notre connaissance. L’Impératrice a tort de se soucier d’eux à ce point-là. Ils ne nous intéressent pas . . . Et c’est moi qui dois suivre leurs moindres mouvements ! La poisse . . .
- Toujours aussi jovial à ce que je vois, lança quelqu’un.
L’espion, surpris, se retourna et tenta de voir qui, dans le noir le plus complet, l’avait apostrophé.
- Qui est là ?
- Tu ne m’as pas senti arriver ? s’étonna la personne, quel tête en l’air tu fais ! Reste sur tes gardes, Assemyl, deux de leurs amis sont encore en liberté, je te rappelle.
Assemyl grommela encore :
- Comme si tu étais parfait, toi . . .
- Là n’est pas la question, répliqua l’autre demi-elfe, concentre -toi sur ta mission. Si jamais tu les perds de vue, je n’ose pas imaginer ce qui t’arriverait.
- Tu as toujours les mots pour me rassurer, Kalthamos, ironisa le jeune homme.
Mais son compère avait déjà disparu. Continua alors une longue nuit de veille pour l’espion de l’Impératrice.
Raine fut réveillée au petit matin par des crampes douloureuses. Elle se redressa tant bien que mal, une main sur son dos qui la faisait souffrir. Voyant que ses amis dormaient encore paisiblement et profondément, elle résista à l’envie de les réveiller et entreprit de ranger ses affaires. Elle saisit sa veste orange, toute froissée après une nuit inconfortable, son déguisement ; et découvrit la cause de son mal : elle avait passé la nuit sur une pierre. Assez petite pour passer inaperçue lorsque le soleil était tombée, mais assez grosse pour se faire sentir durant le sommeil.
Le cri du coq retentit. Les villageois allaient se réveiller et sortir de chez eux. Il était préférable, pour ne pas encore se faire remarquer, que les quatre amis cessent de dormir sur le sol. C’est pourquoi Raine se chargea de sortir ses amis de leur sommeil. Lloyd se leva et s’étendit :
- Qu’est-ce que j’ai bien dormi !
Raine, un peu jalouse, le fusilla du regard. Colette en rajouta une couche en renchérissant :
- Moi aussi ! Comme un vrai bébé.
- Suis-je vraiment la seule à avoir eu mal partout, cette nuit ? songea Raine.
Un espoir que quelqu’un se soit aussi mal reposé qu’elle subsistait :
- Et toi, Génis, bien dormi ?
Le jeune demi-elfe semblait déjà bien réveillé, mais pourtant était en pleine rêverie.
- Génis ? s’inquiéta un moment Raine.
Celui-ci sursauta et répondit enfin :
- Ah ? Heu . . . Oui, j’ai bien dormi. En fait, je me suis réveillé pendant la nuit, et je n’ai pas pu me rendormir. C’est à cause de cet arbre . . .
Lloyd ne put s’empêcher de lancer un bruyant soupir :
- Ah non ! C’est bien le digne frère de sa sœur !
La demi-elfe ne prêta pas la moindre attention à la remarque et questionna son frère :
- Tu y as réfléchi ? Et tu as découvert quelque chose ?
Génis secoua négativement la tête.
- Non. Ce n’est pas parce que c’est du Bois Sacré que ça m’a tenu éveillé, c’est simplement parce qu’il émet de la lumière dans le noir. Ça m’a empêché de dormir !
Raine parut déçue, et jeta un dernier regard à l’arbre que personne ne voulait prendre au sérieux. Lloyd en profita pour détendre l’atmosphère :
- Tu n’as pas réussi à dormir à cause de la lumière ? Tu rigoles ! Tu as dû trouver ça bien pratique, tu dors toujours avec une veilleuse.
- Pas le temps de rigoler, coupa Raine, mettez vite vos robes et quittons cet endroit au plus tôt.
- Pourquoi êtes-vous si pressée, professeur ? interrogea Colette.
- Eh bien . . .
Elle lança des regards méfiants autour d’elle et chuchota ensuite :
- J’ai pris un échantillon de ce Bois Sacré. Nous ferions mieux de déguerpir avant que quelqu’un s’en rende compte.
La jeune Ange se tourna vers l’arbre, pensant y apercevoir une légère entaille. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’elle vit l’énorme trou creusé à-même le tronc.
- Professeur, s’écria-t-elle, comment avez-vous fait ça ? Vous en croyez pas que c’est un peu gros, comme échantillon ?
- J’ai tout le matériel dans mon sac ! La science a besoin de beaucoup de matière si on veut étudier celle-ci en détail !
Les deux garçons, déjà redevenus pèlerins s’impatientèrent :
- Alors on y va ?
- On arrive, répondit Raine d’un air tout innocent.
La jeune Ange se tourna vers l’arbre, pensant y apercevoir une légère entaille. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’elle vit l’énorme trou creusé à-même le tronc.
Oh mon dieu XD Je suis morte de rire, c´est super comme d´hab XD
^^ ah euh je suis Raine ^^"
alala elle pouvait pas s´en empecher c´est plus fort qu´elle XD pauvre arbre :´( il avait rein demander
Mais où est Kratos ?? ????( bonne question)
c´est sur la disparition de kratos que repose l´histoire
XD faites pas gaffe je sors des connerie
lol tu as peut-être pas tort ^^ (que c´est beau de rêver)
Un nouveau chapitre
Bon je m´en occuperai ce soir Mouahahahaha
Mouahahahaha j´attends
hahaha le top ^^
la suite !! !!!!
"La science a besoin de beaucoup de matière si on veut étudier celle-ci en détail!" c´est trop drôle! Voilà qui ressemble bien à Raine ^^
Honnêtement, j´ai bien aimé ce chapitre (encore une fois trop court ) mais oh combien reposant. Très facile à lire, je n´ai pas vu de grosses fautes de grammaire/orthographe. Pas d´excès dans les comportements des personnages. Je trouve quelques détails dans les descriptions assez complets... non voilà qui est excellent
Mais il y a le détail qui cloche! est ce que les veilleuses existent à Sylvarant? en tout cas pas sous la forme que nous connaissons alors!
ps: tu remarqueras que plus mes critiques sont courtes, plus elles sont à ton honneur xD
Bon, là, je risque de ne plus venir avant un bon bout de temps (examens obligent) alors j´ai décidé de vous poster la première partie de mon chapitre . . . En conséquence, c´est TRES TRES court, ça n´apporte pas encore grand chose à l´histoire, mais au moins, j´espère que vous me pardonnerez comme ça le retard que je vais prendre (eh oui, pas de retour avant un bon mois >.<)
Alors voilà voilà . . .
Chapitre 65 : Part 1
Colette, Raine, Génis et Lloyd franchirent le portail de fer sans encombres. Les gardes qui les avaient arrêtés le jour précédent les laissèrent passer sans poser de questions, sans même les regarder.
- On est presque invisible avec ces capes sur le dos, chuchota Génis.
Les pèlerins marchèrent encore pendant quelques dizaines de mètres, pour s’assurer qu’ils étaient hors de vue des gardes.
- Ils peuvent encore nous voir ? lança Génis, tout de même un peu inquiet.
Lloyd se retourna, et répondit :
- Je ne vois même plus les portes ! On doit être hors de leur champ de vision ; il n’y a plus rien à craindre.
Sur cette confirmation, les quatre amis ôtèrent leurs capuchons. Raine enleva aussi son sac à dos. Elle s’accroupit, posa le sac sur le sol et l’ouvrit.
- Qu’est-ce que vous cherchez, professeur ? demanda Colette.
- Ma carte, répondit-elle en se mettant à fouiller.
- Tu sais déjà où on va ? dit Génis, surpris.
- Bien sûr, on va à Dell.
Ses trois compagnons affichèrent un regard perplexe :
- Dell ? C’est quoi, ça ?
Les doigts de Raine se refermèrent sur un papier tout chiffonné. Elle se redressa, sa carte en main :
- Dell, c’est le village qui se rebelle contre l’autorité de l’Impératrice. Mr Corn en a parlé, vous ne vous en souvenez pas ?
Honteux, les trois enfants regardèrent le sol et Génis parla pour eux trois :
- C’est à dire que . . . On ne l’écoutait pas vraiment . . . On regardait ses tableaux de chasse accrochés au mur.
Raine posa ses mains sur ses hanches :
- Eh bien ! J’espère que vous êtes plus attentif que ça en classe !
- Alors, professeur, dit Colette pour éviter qu’une punition ne fuse, que va-t-on faire là-bas ?
- Un pèlerinage, bien sûr, répondit Raine avec un large sourire.
- Je crois qu’elle se prend au jeu, murmura Génis à l’oreille de Lloyd.
- Oui, approuva celui-ci, on raconte que les acteurs entrent tellement dans leur rôle qu’ils n’en ressortent plus jamais !
À cette idée, les deux garçons affichèrent une mine effarée.
- Je plaisantais voyons, répliqua Raine en s’en rendant compte, nous allons dans ce village, pour retrouver Artémis.
- Et nos amis, ajouta Colette.
Raine s’assit au sol et étala sa modeste carte. Ses amis s’installèrent autour d’elle pour examiner leur itinéraire. Le grand dessin que Fanny lui avait donné était bien pratique, mais les voyages tumultueux l’avaient déchirée par endroits et certains noms de ville étaient effacés et complètement illisibles. Par chance, les noms des lieux qui intéressaient nos compagnons, Creacity et Dell, étaient toujours inscrits à l’encre fine.
- Nous sommes ici, commença Raine en mettant son doigt à l’Est.
- Le maire a dit que c’était un village voisin, se souvint Colette en survolant la région des yeux.
Les quatre amis passèrent dix bonnes minutes, penchés sur la carte, à chercher le village rebelle. En vain.
- Peut-être qu’il n’y est pas, proposa Lloyd.
- Si ! l’interrompit Génis, je l’ai trouvé. Regardez, c’est juste là.
Il posa son doigt à l’Est gauche de la carte. On pouvait effectivement y lire « Dell ».
- Mais . . . Mais, bredouilla Raine, c’est à l’autre bout du continent !
Les quatre amis se regardèrent, perplexes.
- Ce type ne connaît même pas la géographie de son pays, marmonna enfin Génis.
- Il est vraiment bizarre, renchérit Colette.
Niah Niah Niah pelerinage pelerinage xD
Ca va être pratique pour aller là bas; tien
Un autre chapitre
Bon, comme le prochain ne sortira pas tout de suite, je pense avoir le temps de m´en occuper, non? Ca ne sera pas pour tout de suite dans ce cas ^^
Bon et bien je l´ai lu
4 jours et demi après que tu l´aies posté, mais je l´ai fait quand même. Comme tu dois t´en douter, il n´y a pas grand chose à dire dessus vu qu´il est un chouillat court
Bon courage pour tes examens et reviens vite après cela pour un nouveau chapitre
Argh, chapitre 65, et j´en suis seulement au chapitre 20 environ! J´écris les commentaires, mais avec le concours, ça me sera difficile aussi. Bonne réussite pour toi Amarillys!
Chapitre 15
Toujours ce langage familier, qui ne colle pas trop aux personnages, mais au moins, cela donne un texte léger, que j’apprécie. Le déconstruction ou démythification des héros. Tiens Botta, un revenant. Fex, un nouveau nom à retenir. Hum… chapitre plutôt court, toujours le petit mystère de fin qui me donne envie de savoir les nouveaux objectifs de Yuan et Botta.
Le chapitre seize
Toujours le ton léger qui domine. Un bouillon de poulet, la vingt-cinquième recette du wonder chef ? Ou un peu de l’auteur dans le texte ? Un ton léger que je trouve toujours agréable à lire. ‘Vite fait bien fait’, je crois qu’il ne faut pas de tiret au milieu. La réponse de Sheena implique une réponse déviant un peu de la réalité, je me trompe ? je verrai.
Chapitre dix-sept
En fait, il n’y a pas d’évènement tragique, c’est pour ça que j’apprécie ton histoire et que le ton est léger, là, il ne se passe rien, c’est un moment de détente, même s’ils sont perdus dans la forêt, tu te moques des héros ( ‘blondinette’ ) , et je ne stresse pas pour savoir s’ils vont se faire déchiqueter par le grizzli qu’ils auraient rencontré, il n’y a pas de tension dramatique. J’apprécie cela, au lieu de me dire tout le temps, ‘que va-t-il se passer maintenant ?’ . Là, tu pourrais créer un grand effet du surprise en mettant ensuite de l’action. Je verrai par la suite.
Chapitre dix-huit
De l’action, ‘enfin !’ Effet de surprise annoncé ! Mais pourquoi Colette et Genis ne sont pas réveillés par le bruit du combat ? Passons le petit poney rose, j’en ai assez des mon petit poneys Le ton léger est bien revenu, au moins je ne me prends pas la tête en lisant. ‘Aux pied’ : une erreur. Tiens, j’ai bien cru que c’était un deuxième sanglier, quelle surprise de le voir lui.
Chapitre dix-neuf
Le ton léger, j’apprécie toujours, puis tu passes au tragique, la disparition de celle que je préfère dans tos ( ne me regardez pas comme ça, j’évite de gâcher la fic ! Ah, je me suis vendu ? Ok…). Les explications de raine donnent de la cohérence ici.
Chapitre 20
Hum, chapitre où je n’ai pas grand-chose à dire, sauf que je lis une grande blague jouant sur les personnages. ^^ ( Je peux aller au parc moi ? Ou… à la plage ? ^^’ )
Chapitre 21
( rassurez-vous, elle était en débardeur) : mais bien sûr, qu’allais-tu penser ? ^^
L’élément inquiétant nouveau, mêlé de tragique, cela semble toujours ta marque de fabrique, on dirait presque que ce n’est pas inquiétant. Quelques petites erreurs orthographiques, rien de grave. ^^
Une fille, un home aux cheveux bleus ? Serait-ce ? Et ce garçon aux cheveux roux. Continuons, je suis intrigué.
Chapitre22
Le mot mec est un peu familier, mais ça correspond à ton style.
Hum, terrase. Faute de frappe sans doute. Pauvre Colette, elle attire les malheurs on dirait. Comment une arme cause-t-elle ceci ? Poison ? Une destruction qui laisse présager d’autres destructions, tu construis la suite, mais tu nous recentres sur le plus important , la maladie de Colette. Un écho au jeu aussi.
Chapitre 23
Le titre sert pour la rime je suppose, toujours le ton ironique ou comique.
Bon, toujours le tragique mêlé à la pointe d’humour, je n’arrive pas à prendre le tragique au sérieux.
Alors là, la boisson contemporaine, je crois vraiment que tu aurais pu l’éviter ! On dirait aussi qu’ils ne se préoccupent pas du tout de Colette mais préfèrent rire. Tu n’aimes pas Colette ?
Ah, un peu d’action, Artémis ! Bon retour parmi nous, dirais-je !
Chapitre 24
Hum, le médecin ne sait pas la soigner. Donc il va falloir trouver le remède ailleurs, une nouvelle quête commence. De plus, ironie tragique, ils ne savent pas encore ce que sont devenus les autres. Pauvre Colette, je discerne des méchancetés à son égard, je me trompe ?
Bon, la boule bleue va peut-être leur servir, un détail qui passerait presque inaperçu. Retour à leur base, un autre moment de détente en vue, ou pour préparer un plan ?
Chapitre 25
Ah oui, j’oubliais Kratos. Hum, je repense à son attaque de dix minutes, tiens. Le coup de l’aile unique par contre es de trop, je trouve que cela décrédibilise l’histoire de trop. Tu marques ‘Kratos sembla rassuré’. Ce ne devrait pas être Lloyd qui devrait l’être en apprenant la nouvelle ?
Le chien-arshis est le meilleur ami de l’homme, il a des pouvoirs cachés ce Noïshe. Bon, un problème vite éliminé. Les héros se retrouvent à quatre, comme au début du jeu, la même formation. On dirait que tout est à refaire. Quelques erreurs orthographiques dues à la frappe je pense.
C’est mignon cette petite course, j’ai bien apprécié.
La dernière phrase de Génis aussi d’ailleurs !