la belle excuse
poste le ou ca ira mal pour toi
mis à part ca, j´ai lu toute ta fic, je peux te donner mon avis général
le début c´est franchement n´importe quoi, il n´y a pas de fil conducteur, ce n´est qu´un enchainement de blagues sur la cuisine de Raine, et pour la suite, il faut que je la relise
par contre, à partir du moment ou Kratos, Lloyd, Genis et Colette vont chez Dirk l´histoire commence réellement, la je sens que c´est plus réfléchi
j´espere que tu continueras dans cette voie
(sinon... )
Bon, un petit passage avant d´aller en cours . . .
handarax bien sûr, tu peux upper ma fic quand tu veux ^^
virus Oui, c´est l´énorme problème de ma fic : j´écris au jour le jour. Rien n´est prévu à l´avance et ça pose parfois des problèmes. En fait, il faudra que je la refasse à la fin pour que ça devienne quelque chose d´acceptable ^^
je vois que tu attends que je te descendes il faudra un petit moment pour repertorier toutes tes gourdes ma vieille
tu n´aurais pas des tendances masochistes par hasard? XD
J´ai trouver une erreur a corriger, enfin une "erreur".
Vous voulez savoir c´est quoi?
essayer de deviner...
C´est une virus.
Ce virus a la forme d´une efface.
Sa job, tout critiquer et s´arrange que la personne qui écrit la fic se sente un peu mal.
C´est quoi son nom?
Le chapitre 57 est enfin terminé ^_- Je le poste dans une dizaine de mintues (le temps de le taper à l´ordi)
Virus tu ne trouveras jamais toutes les bourdes, yen a trop !
merci
Désolée du retard (ça m´a pris plus de temps que prévu) Bon, dites-moi ce que vous en pensez . . .
Chapitre 57 : « Le Duel »
La foule se mit à hurler. Satsifait, Senneth se tounra vers ses prisonniers :
- Alors, qui passe en premier ?
Génis, les yeux pleins de larmes, lui jeta un regard hargneux. Botta s’avança vers Senneth. Trois soldats se dressèrent sur son chemin.
- Laissez-le, ordonna leur Commandant.
Les soldats s’écartèrent. Botta se dressa de toute sa hauteur face à Senneth. Leurs visages étaient à quelques centimètres l’un de l’autre.
- Alors, demanda Senneth, tu veux me supplier d’abréger tes souffrances ?
Un sourire de supériorité s’afficha sur son visage mais eut vite fait de disparaître devant le regard destructeur de son interlocuteur. Botta ne lui répondit pas.
- Voici notre premier prisonnier qui se sacrifie ! cria Senneth d’un air méprisant.
La foule hurla à nouveau et applaudit.
- Ton heure vient de sonner, chuchota le Commandant à l’oreille de Botta.
Celui grommela quelque chose et donna un violent coup de pied dans la jambe droite de son opposant. Celui-ci cria de douleur et, déséquilibré, tomba au sol.
Lorsqu’il se fut relevé, non sans un soupir de soulagement du public, le Commandant ordonna qu’on fasse monter sur l’estrade tous les prisonniers, Botta en tête. Le Rénégat marchait fièrement. Raine lui murmura :
- Essaye de gagner du temps, je vais nous sortir de là . . .
Surpris puis ravi, Botta aprouva d’un hochement de la tête. Il remarqua que la demi-elfe était toujours équipée de sa canne, que les soldats avaient pris pour un simple bâton et non pour une arme. Il sourit intérieurement.
- Bonne chance, lui lança Fex.
Un soldat s’avança vers Botta et, le poussant avec sa lance, le fit se diriger vers la corde flottant au vent. On lui lia solidement les mains dans le dos.
- Du temps, murmura-t-il, je dois gagner du temps . . .
Il ferma les yeux, fronça les sourcils et se mit à réfléchir intensément. Rien ne lui venait. On le plaça sur la trappe. À quelques mètres seulement, Raine mettait son plan en au point le plus rapidement possible. À sa gauche, Colette avait les mains jointes et priait, son cœur battant la chamade ; et à sa droite, Génis se tortillait sur place en tentant d’invoquer à nouveau le Dragon :
- Viens à moi, ô, puissante créature . . . . marmonnait-il entre ses dents, heu . . . Apparais maintenant ! . . . Je t’appelle ! Heu . . .
Ses bredouillements furent vains, rien ne se produit.
On passa une corde épaisse autour du cou du Rénégat. Le Commandant lui adressa un dernier sourire carnassier avant d’ordonner :
- Ouvrez la trappe !
Un ordre. Un coup de levier. L’ouverture de la trappe. Un choc sur la corde. La foule retint son souffle. Les plus jeunes spectateurs se cachèrent les yeux comme à leur habitude tandis que leurs parents fixaient la scène avec des yeux ébahis. Le « oooooh! » que lança le public ne fut pas l’habituelle exclamation de dégout et d’horreur. Non, pas cette fois. Les habitants de la capitale et de ses alentours poussèrent un court soupir mêlé d’admiration et de surprise. Au bout de la corde était toujours accroché Botta, mais son corps ne pendait pas dans le vide. Son homme de main et plus fidèle ami, Fex, s’était jeté à son secours avant que la corde eut décider de son sort. À présent, le Rénégat balafré, en équilibre sur le bord de la trappe, faisait preuve d’une force incroyable en essayant tant bien que mal de poser Botta sur la terre ferme, ce qui fut vite fait.
Autour des deux Rénégats, tous étaient abasourdis : Raine, Colette, Génis, Lloyd, Senneth, ses soldats et toute la population de Manoo. La première personne à retrouver ses esprits fut une fillette d’environ six ans aux bouclettes vertes, qui lança :
- Maman ! Pourquoi il est pas mort le monsieur ? Hein ?
Sa question résonna comme une véritable alarme et un énorme chahut débuta. Les soldats se ruèrent sur les Rénégats et leurs amis tandis que la foule, effrayée et déboussolée, courait dans tous les sens.
Après un court instant, Raine souffla enfin avec soulagement :
- Ça y est !
Son plan au point, elle ferma les yeux, enserra sa canne de ses deux mains et récita une formule improvisée :
- Transport immédiat !
Presque instantanément, cinq ptéroplans se matérialisèrent devant elle.
- Nos ptéroplans ! souffla Génis, impressionné, c’est ceux qu’on avait laissé à Rizera !
- Montez ! cria sa sœur en l’interrompant, alors qu’elle-même enfourchait un appareil volant.
Botta et Fex refusèrent net de prendre la fuite. La premier, enfin libéré de sa corde exposa :
- Nous avons un honneur à préserver. Il nous faut nous battre.
- Contre eux tous ? s’étonna Lloyd en désignant les nombreux soldats qui les entouraient.
- Contre lui, corrigea Botta en fixant le Commandant.
Celui-ci comprit qu’il était l’heure de se battre. Il dégaina une impressionnante épée noire. Fex se précipita sur lui pour l’affronter mais son supérieur le retint. Il dit d’une voix dénuée de toute émotion :
- Laisse-le moi. C’est mon combat.
Fex ne protesta pas et se rangea aux côtés de ses compagnons, assis à califourchon sur les ptéroplans immobiles.
Soixante centimètres plus bas, Botta atterrit au sol sans bruit. Il fit quelques pas pour faire face à son adversaire. Celui-ci, une lueur de contrariété dansant dans son regard azur, le défia de sa lame. Autour des deux combattants, la cohue avait cessé. Chacun s’apprêtait à assister à un duel époustouflant . . .
je crois que c´est clair. ^^
OIOOIOUIUIUIUIIIIINNNN POURQUOI?? POURQUOI EST IL SI COURT ?? ?
Konnor meuh il n´est pas court ! lol
Donnez-moi tous les points négatifs (yen a trop pour être tous cités lol) pour que je puisse m´améliorer ^^
qu´est ce que je gagne si je cite tous les défauts de ta fic depuis le debut?
quel mal y a t´il à cela? XD elle affirme que je n´arriverait pas à tous les trouver, moi je pense y arriver (pour son malheur)
tu te demanderais en ce moment meme ou tu pourrais caser tous ces cadeaux dans ta chambre (ou accessoirement dans ta maison)
XD je pensais exactement à ca
de toute facon elle nous pardonne, je parle en son nom (il faut dire qu´elle n´a pas son mot à dire)
Bien !! mais tu ne fais pas assez de deffinitions l´environnement ou ils se trouvent (enfin c´est mon avis)et c´est beaucoup trop cours !!
la suite; FIGHT !! !!
Virus Si tu trouves TOUS les problèmes de ma fic, je te donne . . . heu . . . toute ma gratitude !
Laya Je te pardonne, ô, fan d´Eragon lol
Handarax je sais, je vais plus m´appliquer par la suite
puisque c´est comme ca, je me contenterais d´une critique "classique"
Laya nooon ! je croyais que c´était pour le 16 ! je vais gentiment patienter, alors . . . au fait, merci
Virus ma gratitude n´est-elle pas assez bonne pour toi ?