bon je fais koi moi maintenant
je ne laisserais pas couler cette fic
J´ai tout lu cette nuit (00h00-03h00),
j´ai un peu la tete dans le cul mais ca
en valait vraiment le coup,merci!
la suite!!! la suite!!!!!
C yrop fort
:u
p::up::up::up::up::up::up::up::up::up::up::up::up:
handarax t motivé ! ^^
sinon, vs trouvez que ça s´améliore, la longueur de mes chapitres ?
bon, voilà le chapitre suivant . . .
Chapitre 35 : « De ville en ville »
La porte de l’auberge s’ouvrit. Dehors, le soleil rayonnait. Quelques personnes marchaient tranquillement dans les rues, rien de bien inquiétant. Kratos sortit le plus discrètement possible. Génis fut le dernier à quitter l’auberge. Il ferma la porte derrière lui.
- Pourquoi on s’en va ? se plaignit Lloyd, j’aurais bien voulu dormir encore un peu . . .
- Réfléchis un instant, répliqua Kratos, si ces trois personnes sont des soldats, dans quelques heures, voire quelques minutes, nous allons avoir toute une armée aux trousses !
Lloyd bailla mais ne protesta pas. Ce fut Colette qui s’interrogea :
- On va où, alors ?
- On quitte cet endroit.
- Mil’Tor, dit Génis.
Kratos se tourna vers lui, la mine interrogative.
- Mil’Tor, répéta Génis, c’est le nom de ce village. Je l’ai lu sur une pancarte en arrivant.
- Ok, dit Kratos, on quitte Mil’Tor.
- Pour aller où ? insista Colette.
- Là où le destin nous . . .
Kratos fut interrompu par un léger cri de Lloyd :
- Là !
Il montrait le sol du doigt. Ses amis baissèrent les yeux, scrutant le sol pavé. Il y avait des traces ! Des traces d’animal !
- C’est Noïshe ! affirma Lloyd, j’en suis sûr !
Kratos s’accroupit et observa la trace de plus près. C’était une chance que personne ne l’ait effacée. La trace était bien marquée dans le sol.
- Je crois aussi que Noïshe est passé par ici, confirma Kratos.
- Eh ! Regardez ! remarqua Colette, il y a d’autres traces !
Bien dessinées dans le sable roux, plusieurs marques semblables à la première se succédaient sur un long chemin.
- Si on les suivait ? proposa Lloyd.
Kratos réfléchit quelques instants :
- Pourquoi pas, finit-il par répondre, de toute façon, nous n’avons rien d’autre à faire. Et, avec un peu de chance, ces traces nous mèneront au repaire de nos ennemis.
Ils quittèrent le village de Mil’Tor.
Après trois kilomètres, les quatre compagnons étaient toujours sur la piste de Noïshe. Les traces se faisaient de plus en plus rares.
- Oh là là , soupira Génis, j’espère que ce n’est plus très loin. J’ai mal aux jambes !
- Et moi, mal aux pieds, renchérit Lloyd.
Soudain, une légère brise souffla. La sable se souleva.
- Oh non ! gémit Génis.
- Qu’est-ce qu’il ya ? s’enquit Lloyd.
- Le vent va effacer les traces, expliqua Génis.
À ces mots, il s’agenouilla et scruta le sol.
Lloyd s’accroupit à ses côtés :
- Alors ?
- Tout a disparu, répondit Génis, on n’a plus aucun repère.
- Ça veut dire qu’on est perdus ? s’inquiéta Colette.
- Bien sûr que non, répondit Kratos, nous ne savons pas où nous sommes nin où nous allons. Ce n’est pas pareil.
Chacun cherchait une solution. D’un coup, Lloyd se mit sur la pointe des pieds.
- Qu’est-ce que tu fais ? s’étonna Génis.
- Arrête, Lloyd, intervint Kratos, ce n’est pas le moment de faire un complexe sur ta taille !
- Chut ! répliqua sèchement le jeune garçon.
Il tendit l’oreille. Il avait entendu quelque chose, il en était certain.
- Il y a du bruit dans cette direction, exposa-t-il.
Génis écouta à son tour :
- Je n’entends rien du tout, dit-il enfin.
Colette et Kratos se concentrèrent. Kratos fronça les sourcils. Aucun bruit ne lui parvenait. Colette n’entendait rien non plus.
- Pour une fois, dit Kratos, je te fais entièrement confiance, Lloyd.
- Ah oui ? s’étonna Génis, et pourquoi ?
Kratos hésita à répondre. Il serra le manche de son épée :
- Bien, c’est-à-dire, . . . Anna avait l’ouïe extrêmement fine. Il est possible que Lloyd en ait hérité.
Lloyd fut surpris de cette remarque, mais il en fut extrêmement flatté.
Suivant les indications de Lloyd, le petit groupe se mit en route. À seulement quelques minutes de marche, il y avait une petite ville.
- Bravo Lloyd ! le félicita Colette, tu es vraiment génial.
Lloyd rougit et sourit jusqu’aux oreilles.
À l’entrée de la petite ville, une femme vint les accueillir :
- Bienvenue à Tissyur, notre ville marchande !
Elle se retira ensuite.
- Une ville marchande ? répéta Génis.
- Nous sommes bien tombés, lança Kratos, nous allons pouvoir en profiter pour renouveler un peu notre matériel.
- Tu as raison, confirma Colette en fouillant sa bourse, nous n’avons plus aucune gelée !
- Il faudra aussi que je me procure un nouveau kendama, ajouta Génis, le mien commence à se faire vieux.
- On devrait se séparer, déclara Lloyd, on ira plus vite.
- Je suis d’accord, dit Kratos, rendez-vous ici dans deux heures. Colette, viens avec moi.
Kratos emmena Colette tandis que Lloyd et Génis partirent de leur côté. Des étals étaient installés partout dans les rues.
- Il ne vendent que des fruits, ici, remarqua Génis.
Soudain, un cri retentit :
- Excellente qualité !
C’était un marchand.
- Toute neuve ! Multi-fonctions !
Lloyd et Génis n’arrivaient pas à voir la « chose » en question. Il y avait bien trop de monde.
- On va voir ? demanda Génis, un petit sourire curieux aux lèvres.
- J’allais te le proposer ! répondit Lloyd en se faufilant dans la foule.
Cete fois j´ai pu lire la suite plus tot (23h30)
Génial mais ca stagne un peut,fait intervenir quelque chose ou quelqu´un de nouveau.
Et pour la taille des chapitres c´est OK pour moi.
la suite!!!!!!! la suite!!!!!!
Au fait Noishé il été pas a Kratos avant d´etre
a Lloyd?
génial ta fic !! !
hum que dire :Genial!!!!!
petite question pourquoi Colette n´a pas non plus entendu le bruit du village a mon souvenir elle avec une ouïe tres fine aussi mais sinon
Bon, le chapitre 36 avec un peu de retard . . .
Je sais, le titre est minable mais je n´avais pas trop d´inspiration !
Chapitre 36 : « Fumée Aveuglante : épisode II »
- Aouch !
- Qu’est-ce qui se passe, Lloyd ? s’inquiéta Génis.
- Je viens de recevoir un coude dans l’œil, gémit Lloyd.
Lloyd et Génis étaient à quatre pattes, au milieu de la foule, cherchant une sortie à cette forêt de bras et de jambes. Pendant ce temps, le marchand continuait son annonce :
- Et admirez ces formes !
- Ooooooooooh ! fit la foule.
- Il n’est aucune question dont elle ne connaisse pas la réponse ! renchérit le marchand.
Lloyd et Génis s’interrogèrent du regard.
- Tu crois que c’est une personne ? demanda Génis.
- Un esclave ? ajouta Lloyd, allons voir ça !
Les deux garçons progressèrent à une vitesse fulgurante. Ils se retrouvèrent finalement juste devant l’estrade d’où hurlait le marchand :
- Le prix minimum est de 600.000 flouz !
Des murmures parcoururent la foule.
- Ça doit être drôlement rare pour que ça coûte aussi cher, songea Génis.
Très vite, les offres fusèrent :
- 700.000 !
- 1.000.000 !
Lloyd et Génis parvinrent enfin à se lever et purent voir ce qui était en vente.
Colette suivait docilement Kratos, achetant de temps à autre des gelées. De son côté, Kratos était à la recherche d’un petit bouclier. Il jetait un œil sur chaque étal d’armes, mais jamais aucun bouclier ne lui convenait. Colette soupira lorsque Kratos refusa une arme pour la énième fois. Elle lança une regard tout autour d’elle. Elle aperçut un amas de foule, juste devant une estrade. Mais elle était bien trop loin pour voir quoi que ce soit.
- Kratos ! dit-elle en tirant sur sa manche.
Le mercenaire se retourna :
- Qu’est-ce qu’il y a ? Une personne qui t’observe bizarrement.
- Non, non, assura Colette, rien de tout ça. C’est là-bas !
Kratos vit à son tour l’estrade :
- Oui ? Et alors ?
- On va voir, s’il te plait ?
Kratos n’était pas d’accord. Pourtant, il ne refusa pas. Ce n’était pas dans les habitudes de Colette de demander quelque chose. Pour une fois, il pouvait bien se soumettre à ses envies.
- Allons-y, répondit Kratos.
Colette, Kratos, Lloyd et Génis aperçurent le produit de la vente tous en même temps. Ils la virent, juste sous leurs yeux. Une demi-elfe qu’ils connaissaient bien. Ses vêtements étaient réduit à l’état de loque. Ses cheveux décoiffés retombaient sur son visage crasseux. D’épaisses chaînes de métal entravaient ses chevilles. Elle était presque méconnaissable. Le cœur de Génis se serra.
- Raine, murmura-t-il.
Une larme perla au coin de son œil. Lloyd, debout à ses côtés, ne savait ni quoi dire ni quoi faire. Soudain, quelque chose frôla leur tête. La foule eut un cri de surprise. Un chakram blanc volait en direction de l’esclave. Lancé avec une incroyable précision, il trancha les deux chaînes d’un seul coup.
Raine observa le chakram, à présent immobile sur le sol. Elle scruta la foule, à la recherche de son sauveur. À quelques mètres d’elle, Génis saisit son kendama. Son regard était encore plein de larmes, mais aussi rempli de détermination.
- Je sais ce que j’ai à faire, dit-il simplement.
Pour une fois, Lloyd comprit immédiatement.
- Fumée aveuglante ! clama son ami.
Le brouillard se leva à une vitesse fulgurante.
- RAINE ! hurla Lloyd.
Au moment-même où il criait, il vit une forme mauve filer à côté de lui. C’était Kratos. Il grimpa sur l’estrade, prit Raine dans ses bras et déguerpit. Lloyd attrapa le bras de Génis et tenta de quitter la place.
La foule criait et courait dans tous les sens.
- C’est encore eux !
- Les mêmes qu’à Rizera !
- Au secours !
Peu à peu, la place se vidait. Les portes des maisons claquaient une à une. Les verrous furent vite mis en place. Même le marchand ne remarqua pas la disparition de Raine ; il avait pris ses jambes à son cou sans daigner se retourner.
Lloyd et Génis couraient, eux aussi. Ils ne s’arrêtèrent qu’arrivés à la sortie de la ville. Colette s’y trouvait déjà. Elle sourit lorsqu’elle aperçut ses deux amis.
- Bien visé ! ne put s’empêcher de remarquer Lloyd.
Colette rougit, flattée du compliment.
- Et moi ? se fâcha faussement Génis, on ne me félicite pas ?
- Merveilleux sort, dit une voix.
Génis se retourna. Raine, soutenue par Kratos, lui souriait. Génis sauta dans les bras de sa grande sœur. Raine serra son petit frère de toutes ses forces. Kratos recula et laissa ses amis à leur retrouvailles.
Selon les conseils de Kratos, les cinq amis avaient établi un petit campement à quelques centaines de mètres de Tissyur. À l’abri derrière des rochers, ils allumèrent un bon feu.
- Raconte-nous ce qui t’est arrivé ! demanda Lloyd.
Raine soupira. Elle était exténuée.
- Laissons-la se reposer, dit Kratos.
C’était plus un ordre qu’une simple proposition. Colette sortit un gros duvet de son sac à dos. Raine le prit avec plaisir. Elle s’allongea près du feu et s’endormit.
- Je voulais savoir ce qui lui était arrivé, râla Lloyd.
- Tu n’es pas capable d’attendre une heure ou deux ? lui reprocha Kratos.
Lloyd ne savait pas quoi répondre. Il savait très bien que Raine avait besoin de repos.
- Qui a faim ? cria Génis.
Lloyd sourit, ravi de pouvoir manger et ravi de ne pas être obligé de répondre à Kratos. Près du feu, Génis avait disposé quatre petites assiettes remplies à rabord de couscous. Il avait retrouvé sa joie de vivre depuis que Raine avait rejoint le groupe.
trop génial !! !
mais l´escavage pas cool
Voilà voilà ! le chapitre 37 !! !
Chapitre 37 : « Père et Fils »
Durant trois jours, Raine passa son temps à dormir, ne se réveillant que pour grignoter un morceau. Passés ces trois journées, elle fut en pleine forme, prête à répondre aux questions de ses amis.
Lloyd, trépignant, posait mille et une questions. Kratos le fit taire :
- Les questions, après ! ordonna-t-il, Raine va commencer par tout nous raconter.
La demi-elfe le remercia d’un sourire et débuta son récit :
- Tout a commencé à Flanoir. J’étais partie à la recherche de nos ptéroplans avec Zélos. Soudain, le brouillard s’est levé. Et puis plus rien. Le trou noir. Je me suis réveillée il y a exactement douze jours. Je me trouvais dans une charrette, avec des menottes aux pieds. Après plusieurs jours de route, neuf si je compte bien, la charrette s’est arrêtée dans cette ville.
- C’est tout ? s’étonna Lloyd.
- C’est tout, répondit Raine.
- Et Zélos ? s’enquit Colette, vous ne l’avez plus vu, professeur ?
Raine secoua la tête :
- Non. Je crois que je suis restée évanouie assez longtemps. Ma mémoire a été atteinte. D’ailleurs, je ne ma rappelle même pas d’avoir jamais vu cette ville ! ajouta-t-elle en souriant.
- C’est un peu normal, rit Génis.
Raine eut l’air surprise.
- On va vous expliquer, déclara Lloyd en s’asseyant plus confortablement.
Kratos, lui, se leva :
- Je vais ranger le campement. Nous nous en irons dès que Raine sera au courant de tout.
Bien que ce fut au moins la troisième fois qu’il racontait leur aventure, Lloyd ne se lassait d’aucun moment. Il raconta avec fierté le moment où Noïshe était monté de lui-même sur un ptéroplan, mais il céda la parole à Génis lorsque l’épisode du retour de trois demi-elfes arriva. Raine lança un regard désolé à Lloyd quand elle apprit que Noïshe avait disparu. Puis leur épopée termina. Raine eut un regard pensif :
- Un troisième monde ? Encore ?
Génis acquiesça avec un air grave :
- Oui.
- Il serait peut-être temps de partir, proposa Kratos.
Il ferma le sac après y avoir rangé les dernières provisions. Raine se leva et épousseta ses vêtements tout propres.
- Je suis prête, lança-t-elle.
Kratos ajusta le sac sur son dos et se mit en route.
Les cinq amis avaient décidé de ne pas passer par Tissyur. À la place, ils empruntèrent un long chemin de terre. Il devait être souvent fréquenté car de nombreuses traces de sabots marquaient le sol. Mais ce jour-là, la route était déserte. Kratos dit simplement que c’était à cause de la panique provoquée en ville quelques jours auparavant. Il ne paraissait pas convaincu et ses compagnons ne l’étaient pas plus. Mais personne ne fit de commentaires.
Kratos marchait à plusieurs mètres de ses compagnons. Derrière lui, Génis et Raine fêtaient leurs retrouvailles en révisant les racines cubiques des nombres irréels. Deux mètres plus loin, Lloyd avait rejoint Colette. Il avait tenté de rester avec Raine et Génis au début du voyage mais avait assez vite abandonner l’idée de faire des maths.
- Salut Lloyd, dit Colette en souriant.
Lloyd lui rendit son salut en agitant la main.
- Tout va bien, Lloyd ? demanda Colette, tu n’as pas l’air dans ton assiette.
- Ne t‘inquiète pas, ça va !
Colette fronça les sourcils. Malgré le grand sourire placardé sur le visage de Lloyd, celui-ci ne semblait pas réellement serein.
- Ne me mens pas, Lloyd, se contenta de dire Colette.
Lloyd eut un regard à la fois désolé et amusé. Son amie pouvait presque tout deviner de lui.
- Je . . . commença-t-il.
Colette s’arrêta :
- Non, Lloyd ! Je ne veux pas que tu te sentes obligé de m’expliquer tes problèmes. Si tu n’en as pas envie, ne le fais pas.
Lloyd sourit.
- Ça ne sert à rien que je l’ennuie avec mes problèmes, pensa-t-il, et puis, je m’inquiète pour rien.
Lloyd courut en tête et se plaça aux côtés de Kratos.
- Alors ? Quelle est notre prochaine destination ?
- Nous allons dans la ville la plus proche, répondit froidement Kratos, il faut que Raine se procure une arme.
Lloyd fit la moue :
- Pourquoi es-tu si . . . heu . . . si . . .
- Distant, compléta Colette.
Lloyd se retourna, surpris. Son amie lui souriait.
- Voilà ! Pourquoi es-tu si distant depuis que Raine est de retour ? répéta Lloyd.
Colette et Lloyd fixèrent Kratos. Il n’était pas question qu’il ne réponde pas. Kratos soupira :
- Si je me suis occupé de vous avant, c’est parce qu’il n’y avait aucun adulte responsable pour vous surveiller. Maintenant que Raine est là, je reprends ma place habituelle.
Lloyd eut l’air plutôt déçu de sa réponse :
- C’était bien pourtant, non ? Tu nous donnait toujours de bons conseils.
Kratos ne répondit à cette phrase qu’il ne considérait d’ailleurs pas comme une question. Il accéléra un peu l’allure. Lloyd voulut protester et le suivre. Colette le retint par la manche de sa tunique.
- Laisse-le, dit-elle.
- Mais, répliqua Lloyd, je veux savoir pourquoi il reste éloigné de nous, . . . Et de moi.
- Il s’est beaucoup rapproché de toi ces derniers jours, expliqua Colette, c’est normal que ça te fasses bizarre dès qu’il s’éloigne un peu.
Lloyd hocha la tête :
- Tu as raison. Mais j’aimerais quand même parfois qu’il fasse comme s’il était mon père.
- Alors ça, rit Colette, je crois que tu peux toujours rêver ! Kratos est ton père mais il est lui-même avant tout. Je crois que c’est dans sa nature d’être solitaire.
- Merci, tu me remontes le moral, ironisa Lloyd en grimaçant.
vraiment le top !
et la longueure des chapites s´améliore vachement!
cool continue et
kel bonheur Raine est revenue !! !!!!!!