Ce n'est malheureusement pas du porno (ni des données bancaires d'ailleurs).

Comment ça je ne mérite pas de réponse ?

Merci pour les conseils, je vais voir ça dès que je retrouve mon DDE.

Pour l'Awareness Klan, comment comptes-tu agir ?

Tiens, coco. Je savais pas que tu postais ici

Moi aussi jay une question (bien plus conne que celle de coco). Je viens de réussir le permis (surement une opération du Saint-Esprit), et la madame m'a filé la feuille avec la mention favorable ( ), mais je ne sais même pas ce que je suis censé faire.

On ne reçoit pas le permis automatiquement, je suppose...
J'ignore aussi si j'ai des documents à rendre à mon auto-école...

Tu recevras la réponse par courrier si mes souvenirs sont bons.

Sinon, le plus simple c'est d'appeler ton auto-école demain matin...

Sofea
Posté le 18 février 2010 à 19:01:18
TheRevelation, le prochain argument d'autorité et/ou injustifié que je voie de ta part sera sanctionné.

Mais tu m'as déjà sanctionné

T'es une marrante toi quand même.

Tiens... Tu réponds à un message posté sur le 25-35 ici, toi?
C'est bizarre, comme idée. x)

Sofea, cette phrase a bien pour but de n'être pas affirmative ? :

"N'est-ce pas alors une confusion due à une volonté de vouloir rendre le beau universel et donc le séparer de l'appréciation sensible de l'agréable."

(tirée d'ici : http://philoforum.fr/forum/viewtopic.php?f=2&t=6832&p=109876#p109876)

Je me pose la question même si je pense connaitre la réponse parce que j'ai bloqué pendant un quart d'heure pensant que la phrase était interrogative de par la forme " N'est-ce pas alors"... En dépit du point en fin de phrase qui est passé inaperçu par la focalisation de ce que je viens de citer : l'interprétation que j'en faisais partait donc d'une -quasi- affirmation (négation + interrogation = demande d'infirmation de cette négation --> demande de confirmation du contraire de cette négation. Fin ça n'est que de la convention linguistique ^^) au lieu d'une négation, ce qui faisait prendre au sens un cap inverse et était donc à l'origine de mon incompréhension

Je dis ça car je crois avoir entendu en cours de français que cette forme, permutant la place du verbe et ajoutant un tiret par rapport à une locution affirmative pouvant être considéré comme "base de référence", découlait forcément d'une phrase interrogative

Je pense que c'est ça qui m'a troublé car je me triturait en vain la tête de long en large pour trouver un sens à cette phrase dans le contexte qu'elle concluait, et ce pour la principale raison que j'oralisais indéfiniment cette phrase sur un ton interrogatif... Ce qui me parait logique puisque au vu des éléments qui pouvaient me permettre de juger cette phrase comme elle ne se doit pas ( ) cad une forme interrogative, l'un des 2 élément principaux (et contradictoire sous l'optique que j'ai -involontairement- adopté), la forme "n'est-ce pas", se trouvait avant l'hypothétique (hypothétique du moins à ce moment t de la première lecture dans le postulat où le lecture a dans son "champs de vision conscient", à n'importe quel moment, seulement quelques mots suivant celui qu'il lirait oralement s'il était amené à le faire... Je part de mon exemple et étant un lecteur moyen... ) point d'interrogation qui n'était en fait qu'un point. Mais puisque ce point était en fin de phrase et l'autre élément en début de phrase, l'oralisation inhérente à ma lecture et pouvant influer fortement le sens de ce que je lis, en l'occurrence par ancrage perceptif d'un sens négatif ou interrogatif, m'a logiquement trompé en tant que vecteur perceptif par un temps de réalisation de la réalité effective textuelle selon moi + long

Ce n'est qu'un constat : les convention linguistique (en l'occurrence syntaxiques) sont utiles mais pas au delà d'un certain seuil, lequel est évidemment variable d'un individu à l'autre en fonction de sa subjectivité. Par exemple, rien que dans ce que je viens d'écrire, on peut trouver un "et" juste à la suite d'une virgule ou un "Mais" (donc débutant une phrase). Par ailleurs, j'admets être parfois horripilé par certains emplois de parenthèses que je trouve excessifs (c'est encore l'oralisation qui amplifie cette sensation)... Mais on pourrait très bien me reprocher la même chose, d'un point de vue externe au mien ; bien qu'il serait à mon sens + subjectif de fait l'oralisation ne rentrant pas explicitement en conflit avec aucune de mes phrases...

Bon, et bien bonne soirée et sorry pour le hors-sujet

bien qu'il serait à mon sens + subjectif de fait l'oralisation ne rentrant explicitement en conflit avec aucune de mes phrases...*

(ne (...) pas (...) aucun(e)... )

VentSolitaire, tu m'as fait sourire.
Je t'en remercie.

(Ravi Soféa )

Oh mon dieu... !

"j'admets être parfois horripilé par certains emplois de parenthèses que je trouve excessifs"

Bon là il est évident que j'ai projeté inconsciemment (pléonasme ? ) car j'ai tapé le mot "parenthèses" au lieu de "virgules" alors que c'est bien aux virgules que je voulait faire référence et les parenthèse sont un problème récurrent de mon style (... Oui. Juste pour dire qu'en + la confusion ne m'étonne finalement pas + que ça étant donné que les parenthèses écrites rentrent justement facilement en conflit avec l'oralisation au sens erroné où je l'ai entendu juste au dessus cad faisant entrer en compte la communication ou + précisément les règles syntaxiques conventionnelles de la communication orale : même si l'emploi redondant de Cesdites parenthèses n'est pas en sois un problème aux conventions, la longueur de celles-là peut en amener un puisque, toujours sur une base spéculative, on aura tendance, à l'orale, à répéter juste après une parenthèse dont la taille est considéré comme moyenne à l'écrit le ou les derniers mots précédant la parenthèse en question pour rafraîchir la mémoire des allocutaires. Or à l'écrit, dans un cas semblable, on s'en dispense car le lecteur n'a qu'à jeter un coup d'œil aux lignes précédentes vu qu'il n'y a pas d'inter-action potentielle directe et la parenthèse n'est pas jugée comme cause d'inconfort de part une taille trop importante contrairement à celle-ci par exemple . Dés lors, il y a conflit similaire à celui que j'ai énoncé fin du post précédent où un emploi de virgules jugé excessif le devient à cause de virgules usité à un endroit non adéquat puisque cet emploi doit se calquer sur l'emploi oral qui veut, par exemple, que dans la phrase "Le chien est mort" il n'y ait pas de silence donc pas de virgule entre "chien" et "est"... Du moins dans un contexte "standard" où il n'y a pas de sub-logique voulant ce silence comme un locuteur asmatique...) les parenthèses sont un problème récurrent de mon style donc... (parenthèse jugé comme particulièrement longue... ) (bon, là, voyant que ma parenthèse terminait le paragraphe, j'aurais pu me débarrasser des derniers mots devenus inutiles en plaçant les points de suspension avant la parenthèse avec comme argument supplémentaire le fait que je place habituellement ces derniers ainsi que les autres points avant les parenthèses renfermant un smiley par la logique j'en convient discutable que Cesdits smileys, de part leur apparence tape à l'œil, altèrent la compréhension global de la phrase en question... ^^ C'est pourquoi, auquel cas, je préfère placer les parenthèses à l'extérieur des phrases qui y sont attachées. Mais trouvant les derniers mots précédant cette parenthèses "intéressants" en eux-même, je n'ai ni effectué leur surpression ni changé la place des points de suspension signifiant une fin de paragraphe (du moins en un "sens sémantique global" si je puis dire... Formant une scission avec l'explication que je suis en train de taper) fortuite...)

Je me suis étalé mais je ne peux m'empêcher de reprendre la faute grossière commise lors de mon précédent message :

"l'un des 2 élément principaux (et contradictoire sous l'optique que j'ai -involontairement- adopté), la forme "n'est-ce pas""

L'optique que j'ai involontairement adopté me faisait considérer la phrase comme interrogative et de fait ce que je pensais terminer cette phrase était un point d'interrogation. Le 2e élément principal (j'ai insinué qu'ils étaient + de 2 mais c'était par précaution ; à priori ce sont les seuls) était ce point et non un point standard... Puisque si j'ai en partie à cause de lui interprété la phrase comme interrogative, alors les 2 éléments mentionnés n'étaient pas contradictoire... D'ailleurs je dis "l'un des 2 éléments principaux (et contradictoires sous l'optique que j'ai -involontairement- adopté), la forme "n'est-ce pas", se trouvait avant l'hypothétique (...) point d'interrogation qui n'était en fait qu'un point." Le non-sens, condensé dans une même phrase, est explicite ; bien qu'atténué par l'implicite "hypothétique (...) point d'interrogation" signifiant le 2e élément

C'est bon je me sens mieux, à vous les studios

Oula... Sofea*

un contexte "standard" où il n'y a pas de sub-logique voulant ce silence comme conséquence d'un locuteur asmatique par exemple...*

renfermant un ou plusieurs smiley*

http://fr.novopress.info/50120/scandale-du-net-plus-facile-d%E2%80%99etre-pedophile-que-de-parler-d%E2%80%99immigration/

la réput

Intéressant

Qu'est-ce qui te pousse à partager ça ici ?

Tu veux étendre le débat chez nous ?

Ya beaucoup à dire

Sans vouloir faire de mauvais jeux de mots avec ton pseudo, etonnant, ça n'a rien d'ét..de surprenant

En tout les cas, à mon sens, l'un et l'autre des sujets (viande hallal au quick et pédophilie), expriment les maux du siècle.

J'ai pas tout lu.
Mais de ce que j'ai vu, article crétin rédigé par un abruti complet.

Déjà la réflexion de base c'est "mon message à été supprimé et pas celui de l'autre c'est injuste !", c'est à peu près digne d'un gosse de 10 ans.
Quelqu'un d'un tant soit peu intelligent (c'est beaucoup dire...) prendrait les deux "problèmes" séparément.

"Mon message méritait-il d'être supprimé ?"
"Le message de machin aurait-il du l'être ?"

Concernant les interventions de machin, justement, il semble faire preuve d'une certaine maturité et d'un certain recule par rapport à sa situation, il différencie bien la pensée et l'acte et semble répondre sérieusement aux réflexion qui lui sont faites.

Je viens de vérifier manifestement le topic à été supprimé.

Tu m'étonnes, tous les abrutis du pays ont du gueuler et pourrir le topic pour qu'il soit supprimé.
C'est tellement plus intelligent de balancer des mots comme "déviance", "perversion" partout et de déblatérer des conneries dont on a pas idée plutôt que de s'assoir, de discuter, d'argumenter, de réfléchir et de laisser trente secondes au vestiaire les préjugés débiles dont on nous a bourré le crâne.

J'trouve les comparaisons entre les façons dont son perçus les pédophiles actuellement et les noirs/juifs il y a soixante ans assez pertinentes.
Il a fallu qu'on découvre des milliers de cadavres de juifs empilés pour changer radicalement l'opinion publique.
Il en faudra peut être autant concernant la pédophilie.

Knarf, ou CocoMouche, pourrai-je avoir votre adresse mail ?

Merci. ^^

Vision de post-adolescent névrosé nihiliste, fan of. A partir du moment où tout se vaut et où l'on considère que condamner les pédophiles est du même ordre que la ségrégation des noirs ou la Shoah...

Faut toujours que je répare mon DDE, demain et je vous tiens au courant de son état de santé.

T'es amoureux de Moi, goron ?