Un jour oui... fautes (ça suppose qu´on en fait pas qu´une...)
Eternelle énigme de mon univers
Unique dos tourné sur notre terre
Si un jour je pouvais effleurer ton épaule
Ou même qu’un seul instant, je te frôle
J’aurais en moi cette joie intense
De ne plus en toi cette défense
Ton visage, je ne le connais point
Il n’y a que le revers de tes mains
Ce sont elles qui me guident ailleurs
Peut-être feront-elle que je meure
C’est par toi que je souffre
Tu seras mon ultime souffle
J’aimerais tant connaître ton nom
Même si je ne te vois de front
Je pourrais ainsi appeler l’amour
Du nom qu’on te donna un jour
Je ne pensais pas être épris d’un dos
Mais le coup de foudre n’est jamais faux
Peut-être t’ai-je déjà croisé sans te voir
Et approché de plus près cet espoir
Je ne veux pas que tu sois à moi
Qu’il existe toujours cette loi
De l’inaccessible amour parfait
De ce rêve qui est un méfait
Pour mon cœur et mon âme
Mais qui ne sera pas mon drame
Cependant, si un jour tu me souris
Je t’aimerais pour toute la vie.
il manquerait pas un mot dans ce vers par hasard Diable?
"De ne plus en toi cette défense "
Oups "de ne plus VOIR en toi cette défense"
Champ de bataille
Le vent souffle sur ce champ plein de morts,
Des corps décharnés, coule à flot le sang.
Ces braves hommes sans vie flottent encore
Avant de couler dans cet océan.
Un éclair craque, un corbeau passe au nord.
On aperçoit des plumes, un oiseau blanc
Traverse les nuages du décor,
Ainsi brisant un calme terrifiant.
On se demande parfois : mais pourquoi ?
Mais pourquoi les hommes font-ils la guerre ?
Cette chose attroce qui tue la Terre.
Les gens ont souffert et n’ont plus de voix
Pour raconter ces horreurs à leurs fils
Sagement blottis dans leur tendre vie.
Un beau ciel d’été aux azurs embrasés,
Magnifie l’éclat raffiné de votre peau,
Savoureuse Compagne, j’en perdrais mes mots.
Belle Cruauté, me voilà enamouré !
Mirifique brise estivale,
Caresses ses lignes éthérées,
Viens, que je sente son léger
Parfum dans un coup de rafale.
Dame, votre regard aux profondeurs bleutées
Depuis cette balade, je ne puis l’oublier,
Quel malheur ! Epris de vous pour l’éternité.
Mon cœur ravagé par ces brûlures d’été,
Il serait tant charitable de m’achever,
Divinité consentez-moi donc un baiser !
La nuit elle-même dort
Et tout est paisible
Tandis que quelque part elle s’endort
Et rêve de choses paisibles
L’homme usé est triste
Et court aux fenêtres
Il pleure
Et la fumée de sa cigarette
Evanouit toute sa rancœur
Lui aussi rêve de dormir
Enlacés dans ses bras.
Je bois ce poison
Qui apaise et remplit mon vide intérieur
Et tandis que le feu traverse ma gorge et mon ventre
J’oublie qui je suis
J’oublie que je vis
Et je sombre dans l’oubli
Meilleur qu’un ami
L’alcool me réconforte
Et j’en parviens à ignorer
Les personnes qui m’entourent
Leurs rires et quolibets.
Et quand tout ce fini
Exorcisé dans une flaque de vomi
Que ce rêve éveillé se termine
Et que vivre redevient un fardeau
Je m’en r’ouvre une , une desperados ;)
Poète, pauvre de toi, elle t’a volé
Ta plume, tes belles pensées, ta liberté ;
Te dépouiller ainsi de ton essence, c’est
Anéantir en ce monde toute beauté.
Voilà que tu n’as plus aucun désir,
Homme heureux, toi qui fus un temps martyr,
Epoque de créations sublimées.
Maintenant stérile et accompagné
Ne t’y trompe pas lubrique enjoué,
Agis ou tu mourras inachevé !
Inconscient de cet horrible crime,
En Enfer on ne peut finir ses rimes !
Vile femme il serait sage de relâcher
Celui qui fut un temps aède illuminé.
Quand cesseras-tu donc de collectionner,
Cruelle nymphomane, ces esprits torturés?
5 poésies à la suite et zéro commentaires! Alala!
bon, je vous mets la mienne quand même!
(N´y voyez rien de raciste )
O ma Belgique infortunée
O, mon pays, patrie ruinée
Par cette culture qui n’en est pas
Là où le langage est agaçant
Seul le marchand de frites est roi
Et la pluie tombe tout le temps
Que n’en ai-je assez de ce pays
De ces flamands, de ces wallons
Dont les miracles au ballon rond
Restent toujours inaccomplis
Car toi, Belgique, qui es ma vie
Devant ton nom, que n’ai-je ri ?
Aux armes, 1830 et son mythe
Balayée par un bon steak frites
O Belgique, je crache sur ta terre
Et encore une fois tu m’en remercies
Car c’est avec cette salive à la bière
Que se lavent les sols ici !
O ma folie, maîtresse de mon coeur
O mon amour, qui pour l’inespéré
Défaillit pourtant et de succomber
Fut le premier pas vers le malheur
O ma joie, tant et si grande
Lorsque de cette belle histoire
Je vis le destin bien dérisoire
Et le refus à nos demandes
O ma belle, aux longs cheveux d’or luisants
Qui parcourt et perce les landes de mon âme
Fut-il vain que j’essayai encore et pourtant
De seul l’échec à notre union brillait la flamme
Ainsi, mourant, sur le chemin des peines
Attendant l’ultime baiser d’adieu et de colère
Face à un vain commun dont ruines et misères
Sèment et offrent au cœur ses utopies les plus vaines
et tu crois que ce sera utile de le faire pendant deux semaines? vous avez pas fini...
Je les ai lu mais je les ai pas commentées, j´ai l´impression de dire toujours les mêmes trucs et ça m´énerve des fois... difficile de se renouveler!
elles sont toutes agréables, toutefois la tienne sur la Belgique est plutôt lyrique (sans jeux de mots!) et amusante, tout en étant symbolique j´aime bien
Oui, je dis pas ça pour critiquer...au contraire je trouve ça dommage!
pour tout te dire Lyrics je passe ici surtout la nuit... quand tout le monde fait dodo...
aaah ok! lol!
ce sont de trés belle poésies à l´intérieur de ce topic pour la plupart d´entre-elles , bravo à tous !
Night
Je m’efface progressivement
Comme de l’encre sous la pluie
Ma peau, mon cœur et mon esprit
Disparaissent, engloutis par la nuit.
Quand la lune me berce
Et les étoiles sourient
D’une faible lumière maladive
Qui me tiennent éveillé.
La ville dort
Tandis que marchant dans les rues
En ruminant mes sombres pensées
Les lumières me fuient.
Au coin de la rue
Je sens mon cœur défaillir
Mon esprit délirant de folie
Quand j’ai cru croiser
Ton ombre sur les murs.
Le silence
Me repose et m’apaise
Je médite
Loin des chuchotements de ta voix qui m’obsède.
Portés par le vent
Le soleil
Ressuscite tel le phoenix
Et la lune me semble alors si fatigué
Mourante…
Lady
Parfois quand les pensées de toi me font vraiment mal
Je rêve alors de toi et de moi, dans un amour bestial.
Je tente de vider mon cœur et mon âme
De la moindre parcelle de sentiments envers toi.
Je transforme mon amour frustré et désespéré
En larmes de haine, en flèche enflammée.
Je rêve de te faire du mal, de te posséder
Transformés en animal bestial et sauvage.
Mais je suis trop faible pour faire durer
Ce sentiment envers toi d’animosité
Et de nouveau vaincus et désespéré
Je m’évanouis ivre de toi.
Je meurs ainsi intérieurement
Chaque jour lentement
De cet amour non partagé
Véritable coup de poignard dans mon cœur abîmé.
voilà j´essaie progressivement d´incorporer des choses plus personelles dans mes poêmes ce qui n´est pas facile , désolé pour tous mes textes bourrés de faute
j´aime bien tes poésies Arkon
elles ne sont pas toujours très équilibrées au niveau des vers (y a des longs et des courts) mais j´aime aussi cette façon de faire...
elles sont aussi plutôt évocatrices
merci redsissi , je dois admettre que mes poésies sont un peu désordonés mais pour moi ce n´est pas le plus important , je me concentre plus sur l´impression général du pôeme et son "poids" dans la bouche .
J’ai croisé à Willowbed Road
Un vieil homme distingué et noble
Qui luttait avec ses allumettes
Contre le vent pour allumer ça cigarette.
Ce vieil homme et ses cheveux argentés
La mine discrète mais emplis de sagesse
Jetait un regard mélancolique et désabusé
A moi jeune homme misérable, fou, artiste et poète.
De la poche de son pardessus gris
Elégant mais usé
Il sort une montre, la contemple un instant, et sourit
Car il est déjà tard et se sent un peu fatigué.
Le jeune homme est lui plein d’entrain
Il est venu voir sa petite amie
Et même si son ventre vide lui cris faim
- C’est Pour lui une très belle nuit !
Les étoiles chantent le refrain
Des gens pauvres mais heureux
Qui souffrent du manque de pain
Mais ont la chance d’être amoureux.
C’est pour cela que Gordon
Qui se sent aujourd’hui si vieux
Et qui as connu cela autrefois
Se retourne vers moi, sourit et s’en va !
tes poésies ont une histoire
c´est ce qui me plaît