bin alors écris Carnavale!!!
jusqu´à plus de mots...
Adolescente, l´écriture était mon échappatoire... je sais que c´est celle de plusieurs personnes aussi... et je trouve que c´est une merveilleuse façon de partager ses sentiments...
Poetries of ours...
Les poésies nôtres, littéralement.
Ce n´était pas "poésie d´un ours".
Poetries of mine and yours?
loooooool poetries of a bear
je sors ~~> []
Oui, aussi.
autant pour moi.
Je l´ai fais en 2 minute chrono.
Je cris ici mon amour impossible
Pour une fille qui je pense m´aime aussi
Mais qui va me quitter
Hélas pour tout l´été.
Cette douce et belle femme
A qui je n´ai pas su déclarer ma flamme
C´est avec une certaine ferveur
Qu´elle a su capturer mon coeur.
Elle, magnifique sans bijoux
Ses yeux échappant un regard doux
Vont me quitter pour deux mois.
Laissant mon coeur en émois
Les jours ne seront plus les mêmes
Mais laisse moi juste te dire avant ton départ
Que je t´aime...
Je pensais pourtant me connaître
Mieux que ceux qui m’ont vu naître
Seul moi aurait du le comprendre
Personne pour me l’apprendre
J’aurais peut-être du le voir dans tes yeux
Reflétant les miens brillants de mille feux
Parce que tu étais plus qu’imaginé
Que sur toi tout de moi était cerné
J’avais juste pensé que tu étais unique
Pas que tu étais d’un monde magique
J’étais un aveugle qui pouvait voir
Un impie qui ne pouvait y croire
Je ne t’avais pas juste aperçue
Mais sans t’avoir vraiment vue
Et puis un jour, tout s’est arrêté
Tu as décidé de nous quitter
Je ne sais pas si tu es partie
Ou si quelqu’un t’as pris
Parce que ce jour est venu trop tôt
Et que tu as fait le grand saut
Parce que dans un râle
Tu es devenue pâle
Parce que tes yeux se sont fermés
Et qu’ils ne m’ont plus reflétés
Parce que j’ai senti monter en moi
Les grandes tristesses d’autrefois
Je savais qu’il ne fallait pas pleurer
Je savais qu’il ne fallait pas se leurrer
Les larmes sont illusoires
Si il n’y a personne pour les voir
Et tu n’étais plus là
Comme une part de moi
Parce que ton absence
Est ma souffrance
Parce que je ne te vois plus
Que tout me semble perdu
Parce que je ne sais plus quoi pensé
Et qu’avec toi tout devenait censé
Parce que j’ai arrêté de pleurer depuis
Pour ne pas permettre que cela me fuies
Parce que je me pose tant de questions
Et que le temps me parait bien plus long
Parce que tout est si lourd
Je crois que c’était de l’amour
c´est trés bo diable rouge
tiens tiens tiens un p´tit diable-rouge qui revient!!!
tu écris toujours aussi bien à ce que je vois!
Garssec > lance-toi!!
je l´aime bien cette poésie aussi même si elle est simple... il en faut pas plus pour me plaire! Je trouve la simplicité très agréable!
Quand je vois les pavés recouverts de ton sang
La vitrine éclatée qui voit passer les gens
Les morceaux de goudron collant à ma semelle
Et l´image encore vive de tes yeux d´étincelle
J´ai le coeur qui déborde jusqu´au creux de mes yeux
C´est un marteau usé qu´on cogne contre moi
J´ai le nez détourné, on m´a cassé les doigts
J´ai le dos desaxé et sur mes yeux des bleus
C´est la rate jaunie que je vomis de haine
Sur les reflets sanglants de ce drame inutile
La vie n´a pas de corps puisqu´elle est volatile
Et que je ne vois plus tes sourcils blonds de laine
C´est le meurtre en ma voix qui voudrait triompher
Et le coeur est rapide quand la raison se tait
Mais face à l´évidence étouffante et morbide
De ta peau disparue sous des roses liquides
Je ne puis que crier et ton nom et le mien
Pour ne sentir en moi qu´amertume et chagrin
L´autre jour, je suis mort quand j´ai vu tes globules
A rester là pleurer, je meurs de ridicule
C´est immense et profond ce poison dans mon crâne
Et ton sang parfumé, tombé comme une manne
Sur ma bouche, affamée des couleurs de ta voix,
Circule en moi, brûlant, cognant sur mes parois
Les parois des mes veines étonnées et fragiles
Cherchent à contenir les beautés de ton sang
Mais c´est vaine illusion, la vie est puérile
Et s´enfuit à sa guise comme fuient les enfants
Où es-tu dans mon corps ? T´es-tu cachée par là ?
Veux-tu parler un peu ? Je suis là, je t´écoute
Si tu ne me dis rien, tu as peur et tu doutes
Mais j´écoute et je t´aime et t´écoute et te vois
Je voudrais te livrer le fond de ma pensée
A ces mots bien souvent tu mangeais tes bananes
Exotique et discrète élégante esseulée
Tu ne t´aperçois pas que mon grand coeur se fane
Demeure un peu ici, dans le creux de ma main
Goutte rouge peinture d´un tableau écarlate
Sang fuyant solitaire comme un oiseau marin
Je t´enterre ici-bas dans mon âme d´asphalte
Chapter... je... ne trouve pas les mots...
Nico... Je dirai peu de choses. Maintenant, la beauté a un visage. Ton poème remplit durement ce rôle. J´ai rarement lu un texte d´une aussi splendide noirceur. Je pourrais en dire plus mais c´est maintenant que les mots sont inutiles.
On est là.
voilà ça fait un bail que j´ai rien écrit... mais ce soir j´ai fait une poésie
ça faisait longtemps que j´avais plus envie d´en écrire
Enjoy!
Mon jardin zen
Toi l’ange, le bel aviateur
Tu as cette délicatesse du cœur
Cette tendresse, qui sort de la torpeur
Cette sagesse, qui parfois fait peur
Ta simple présence me rend la sérénité
Je ressens cette paix, cette immensité
Cette beauté intérieure qui est tienne
Qui resplendit, que je voudrais faire mienne
Tu es comme une douce alcôve
Un jardin éblouissant, une odeur fauve
À la fois mystère et complicité
Un étrange mélange de sobriété
Jamais je ne me lasse de ta chaleur
Des mots que tu trouves pour éteindre ma rancœur
Tu as pour moi tant d’égards
Je te caresse de mon regard
Tu resplendis de ta lumière
Et mon chemin sombre, tu éclaires
Sans toi pour me guider je serai perdue
Au milieu de ces obscures étendues
À fleur de peau est ta sensualité
Tu bouges avec tant de volupté
M’abandonner ainsi à ton étreinte
Dans une extase délicieuse enfin atteinte
Poison
Ils circulent dans les veines
Comme une chute d’eau
Ils naviguent sans peines
Il divague dans ce monde si beau
Ce n’est qu’une simple pensé
Qui lui permet de s’écouler
Et d’en étendre sa misère
Sur chaque surface de la terre
Il n’a qu’un nom, celui de l’amour
Si, si, celui qui nous jouent des tours
Plutôt j’ai utiliser comme mot ‘’Misère’’
Oui, car il effectivement plutôt dur de ce taire
Face a ce sentiment rempli d’équivoque
Et que parfois…malgré nous, on suffoque
On en perd la respiration
Au moment d’un amour de négation
Lorsque le champ de l’amour de notre vie
Est malheureusement déjà pris
Ou simplement car le champ n’est pas fertile
Avec nos venne tentatives
Deux chois sont permis
Pour décider du chemin suivis
Par le poison du vautour,
De l’amour
Voici mon troisiemes poemes,a vous d´aimer ou non
tiens c´est la première fois que je poste ici...
deux mots...
carnavale, ton dernier écrit est très fort, j´aime beaucoup...
red, tu vois je poste ici pour une fois! je zieute souvent ce forum mais jamais je n´y poste... j´ai aimé ton poème... je suis sûre qu´il est sorti tout seul celui là!
Bonjour Toth! hé bien j´espère que ce sera pas la dernière chère amie!!!
Oh oui les écrits de Carnavale sont très intenses en ce moment et souvent même...
Chut!!! faut pas le dire...
Master il est bien ce poème mais y a quelques tournures que je trouve un peu maladroites et quelques fautes aussi, dans une poésie ça passe moins bien... Je te mets les corrections...
Poison
Ils circulent dans les veines
Comme une chute d’eau
Ils naviguent sans peines > peine
Il divague dans ce monde si beau > tu mets ils circulent et ensuite il divague..??? Le poison?
Ce n’est qu’une simple pensé > pensée
Qui lui permet de s’écouler
Et d’en étendre sa misère
Sur chaque surface de la terre
Il n’a qu’un nom, celui de l’amour
Si, si, celui qui nous jouent des tours
Plutôt j’ai utiliser comme mot ‘’Misère’’ > utilisé
Oui, car il effectivement plutôt dur de ce taire > se
Face a ce sentiment rempli d’équivoque > à
Et que parfois…malgré nous, on suffoque
On en perd la respiration
Au moment d’un amour de négation
Lorsque le champ de l’amour de notre vie
Est malheureusement déjà pris
Ou simplement car le champ n’est pas fertile
Avec nos venne tentatives > vaines
Deux chois sont permis > choix
Pour décider du chemin suivis > suivi
Par le poison du vautour,
De l’amour
Merci encore de ta magnifique aide Red
Un jours,j´ai bien dit un jours...Il n´aura plus de faute dans mes poêmes