et aussi le fait que je me reconnais dedans...
ou qu´elles me parlent particulièrement
y a pas que moi d´ailleurs...
oui...
désolé de vous plomber le moral à nouveau mais je finis sur une petite note d´optimisime cette fois-ci . Je suis tout seul actuellement chez moi et comme j´arrive pas à dormir la nuit , j´écris des poêmes , la nuit portant inspiration.
Je déteste l’automne
Quand les jours se suivant indéfiniment
Mornes et monotones.
Et q’une profonde tristesse alors m’envahit
A la vue de ce paysage froid
De boue, d’arbres morts et de pluie
Et quand je songe alors à mes soucis
Croyant que la vie n’en vaut finalement pas le prix
Mais que je m’y rattache par faiblesse et lâcheté
Ayant trop peur de me suicider
Et scrutant obsessionnellement la venue dans ma vie
De l’amour, du bonheur, de la santé
Et rentrer dans le moule de la normalité.
L’hiver vient ensuite lugubre et sombre
Passant des mois et des mois à me morfondre
Construisant une prison tout autours de moi
De matériel brut : fer, larmes et bois.
Mais un jour les murs se fissurent
Aux premières venues des rayons du soleil
A l’épanouissement de la verdure
Aux chants des oiseaux, aux bourdonnement des abeilles.
nan tu ne me plombes pas le moral
tu veux bien m´ajouter à tes contacts?
retsbolder@hotmail.com
c´est vrai que j´ai toujours plus d´inspiration la nuit aussi mais en ce moment disons que j´écris pas trop trop...
oui je t´ajoutte redsissi , en voila une autre que j´ai écris en pensant à un livre que je viens de lire (l´adieu aux armes d´Hemmingway)
Tandis que les canons autrichiens ennemis
Bombardent et morcellent le sol sacré de l’Italie
Le capitaine et ses troupes
Tentent de se préserver de la cohue
En slalomant entre les éclats d’obus
Les trous dans le sol , les corps gisant sur la route.
Quand il croit avoir enfin un instant de répit
Bien dissimulé à l’abris
Il sort de la poche de sa veste militaire
La photo de sa jolie tendre et chère
Oubliant un instant la guerre, la mort, la sauvagerie
Il médite béatement, se sentant au paradis
C’est alors que l’ennemi toujours fourbe et cruel
Les ayant repérés, les fais prisonnier
La sentence arbitraire est vite expédiée
On les met en ligne pour les fusiller.
Le capitaine lève alors les yeux au ciel
En songeant à sa fiancée, implore le dieu tout éternel
De lui accorder l’invincibilité
Les autrichiens tirent alors et sont tout médusé
De voir sur le capitaine leurs balles ricochaient.
Time
Le temps qui passe
Capricieux et rebelle
Nous tourmente et nous inquiète
Défiant les lois et limites naturelles
Pour n’en faire qu’as sa tête
Il semble s’allonger à l’infini
Quand tous est si lent, si triste et si gris
Mais semble vouloir au plus vite s’éclipser
Dans nos moments de bonheur et de gaieté
Et quand nous prenons conscience enfin
Du temps qui nous écrase
Nous restons ici et là immobiles
Incapable de changer notre destin.
Pour moi rien ne change vraiment
Quand passent les semaines, mois et années
Et que je reste inutilement désespéré
Ma vie n’aura été qu’un orage
Ponctué d’éclair de colère
De nuages de tristesse et de grêles de rage
Occasionnellement traversé par un soleil brûlant
De ses rayons lumineux chauds et réconfortants
Comme être dans les bras de la fille qu’on aime
Par un doux climat de printemps.
Chacun cherche un échappatoire
A cette vie difficile
Trop enclin à nous mener au désespoir.
Certains boivent pour ressentir l’ivresse
Qui remplit l’âme d’un peu d’allégresse.
Jusqu´à que la nuit éternelle vous rattrape
Vous tentez de fuir, malade, à quatre pattes.
Certains goûtent aux paradis artificiel
A leurs fausses promesses
Car quand vous semblez montez au ciel
Quelque chose en vous se brise et se blesse.
Car vous finirez toujours rattrapé
Par vos démons et l’angoisse
Que tout en vous s’efface
A chaque lendemain désenchanté.
La musique et les mots m’évadent
Calqués sur le papier, ils s’évaporent
Et m’emportent loin avec eux dans les météores.
Cette mélodie rock’n’roll
A faire danser les morts
Subjugue mon esprit
Réveille et enchante ma vie
Quand je serre ma seconde femme : ma guitare
- Que j’aime et adore !
et bin tu chômes pas toi!!!
elles sont toutes bonnes en plus
"Ma vie n’aura été qu’un orage
Ponctué d’éclair de colère
De nuages de tristesse et de grêles de rage
Occasionnellement traversé par un soleil brûlant"
- Arkon
"Ma jeunesse ne fut qu´un ténébreux orage,
Traversé çà et là par de brillants soleils;
Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage,
Qu´il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. "
- Baudelaire
L´original de baudelaire est infiniment plus poetique.
MUSE
Tandis qu’une chaude pluie lavait
Ses cheveux d’or entremêlés,
Sur ses joues perlaient des diamants secrets
Que mon cœur venait récolter.
La voyant sangloter sur ce trottoir
Seule, et par la pureté de ses traits
Aveuglé, je décidais de m’asseoir
Quelques minutes pour la consoler.
Elle ne répondait à mes questions
La sylphide aux yeux vert céladon.
« Innocente créature qui es-tu ?
Ne serais-tu pas un ange déchu ? »
Un sourire vint éclaircir son visage
Laissant mourir les gouttes aux rivages
De sa magnifique bouche salée
Par une incomprise animosité.
Fier de cet accueil je continuais :
« Candide demoiselle serait-ce
Un amour perdu qui vint cet été
Briser en votre âme toute allégresse ? »
Et sans même à mes interrogations
Donner une quelconque information,
La belle créature sécha les larmes
Qui venaient voiler l’éclat de ses charmes.
Avec un courtois regard apaisé,
Elle me murmura ces derniers mots :
« Ne me délaisse plus moi qui du haut
Des cieux t´inspire, Ô beau chansonnier »
Pas mal, même si je n´y connais rien^^
Juste quelques "é" que tu fais rimer avec des "è", mais à part ça...
merci pour la remarque, faudra que je fasse attention^^
La métrique, c´est pas votre truc, on dirait.
la derniere qui a ete poster est la seule qui m´ai un peu touché. j´ai trouvé que celles qui sont au dessu n´exprime pas assez de sentiment (enfin pour ma part). apres j´suis surement pas le mieu placer pour me permettre de juger ces poesie.
moi j´ai que un seul truc tres court a m´etre passé par la tete. sa vaut pas trop le coup de le mettre ici mais bon....
Tu es comme un ange qui berce mes reves
Et meme si tu me quitte lorsque la nuit s´acheve
Ta chaleur est gravé a jamais sur mes lèvres
Eh bien tu devrais recommencer car tes vers ne sont pas des alexandrins.
je sait mai je n´est pas chercher a faire des elexandrin.
le_bidet elle est pas bonne ma métrique?^^
Non. Et pourtant c´est pas bien compliqué.
oui y a des gens qui font tout selon les règles et y a les autres...
moi je suis rebelle... à vie!
les autres font ce qu´ils veulent
ce que j´apprécie dans les poésies
c´est les sentiments exprimés
je ne me suis jamais déclamée experte en poésies et j´ai pas l´intention de le devenir non plus
pour moi c´est juste d´apprécier ce que je lis ou pas... je suis peut-être trop simple, mais je suis comme ça