Sujet : Rap/Clash/Slam : Vos lyrics sur la place
-Between
Tu regardes Colaboy Snider ? 
TheSniderMcWood
Dès que ça dit beaucoup de gros mots je regarde
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Edentheking
Le 05 juillet 2017 à 15:53:09 LordTristesse a écrit :
Le 05 juillet 2017 à 11:33:04 Sunnynight a écrit :
Très lourd le dernier Lordmerci khey, continue ce que tu fais j'apprécie aussi, ça m'inspire
Si ça peut inspirer les plus grands que moi, j'imagine que ça en vaut la peine, eheh.
0nirik
Je gaspille ma salive, mon temps, mon énergie,
Énergumène tranquillement compulsif
Je compte les carreaux sur le plafond de l'amphi
De l'envie de C4 dans l'cartable pour finir
Des cadavres empaqu'tés dans l'broyeur en série,
Ouais j'suis glauque, c'est mon passe-routine
Si on dit qu'la roue tourne, la mienne n'est pas huilée
Allumé le joint dans la bouche, dans la nuit point orange
Le cul sur l'goudron et c'est terminé,
j'ai esquivé les devoirs citoyens, ma carte calcinée,
Numéro sur l'papier, dans les lignes de code
Des 1 des 0, dans la brise d'octobre
Sur la bise du vent j'écrase mon mégot,
Mon égo dans une flaque sous mon pied
L'antivol sur le sol le vélo dans les mains
Je remonte l'allée chercher le matin.
0nirik
Sans canna, comme une cuve sans couvercle,
Canalise, tourne le cul dans le cercle,
Carabine au-dessus de la tête,
Le vautour par-delà le massif
Entonne un pantoum, papillon d'Malaisie
Pas Fillon pour trois sous, bas-résilles
Sous la dent, je m'amuse de la rime
D'la victoire de Macron,
T'es mon chef, mon Christian
De ton gland tu me fouettes
Dans tes rêves mon enfant
T'es Sergent j'suis Baleine
De la braise dans les yeux je te tends,
C'est tentant le parpaing sur Brigitte
C'est kiffant le parfum de sa bite,
Sois honnête, ton tarin dans la blanche
Fais d'beaux rêves, elle te suce tu l'arrêtes
Tu préfères sans les dents p'tit Garenne ,
Sur la Jeep bras en l'air tu savoures,
Je t'avoue que mes pores t'emmerdent
Fais la gueule je gole-ri quand même,
Ton sourire faux-cul sur les chaînes.
0nirik
Découper l’équipe, l’équipée sauvage
Défoncé il ripe, sa bite est en larme
Dénoncer les vices, graviter dans l’arche
Grappiller des sous et dire de la merde
Faut croire que ça marche, des oubliés trempent
Au fond de la marge, séna-députés en marche
L’encul’rie prend place avec le sourire
Les conneries d’la classe, pas celle de l’école
Retombent sur not’ gueule, pas celle des copains
Bien évidemment, sinon c’est pas drôle
Ca s’étonne qu’on roule joints pour tenir le coup
Et limite voir le bout, le message ça va deux s’condes
Raconter des conneries j’ai l’droit, vas-y lèche moi les couilles.
knor_knor_knor
Libéré sous ce label mon rap dépérit
Car l’temps n’a pas le tien et les années deviennent moches comme ribery
Tandis que j’rap le couloir de la mort approche
A force de vouloir les couleurs vives ma peinture s’amoche
Les mioches rient quand j’ouvre la bouche
A la boucherie j’suis le boucher qui observe la mouche
Dans l’quartier j’incarne le vieillard ringard d’une part qui croit qu’son histoire est rare
Fait est que le jazz m’apaise
Fait est que le jazz m’appelle
Fêter des gens autour d’une grande table
C’était mieux avant lorsque les sourires étaient palpables
Mon teint est pâle et mes rêveries sont frêles
Faut que je sévisse mon esprit est s’en va de plus belle
Parfois j’remonte à l’étrier
Sous les cris des potes j’écris de la prose mais plus d’encrier
Obligé de la taper la pause quand les jeunes fans me claquent la main
Quand les vieilles femmes me claquent la porte
Mon souffle est à souffrir et de mon physique j’en suis le sous fifre
Certains ont la pertinence de vivre mais moi je ne fais qu’survivre
Devenu craignos aux yeux de ces caissiers
On remonte 20 ans ils me portent les courses et quand j’veux payer ils m’disent « laissez »
Croyez-bien que le temps passe dans une vitesse effarante
C’est une phrase que je note quand chaque soleil modifie ma variante
J’essaie de marcher devant
Malgré mes jambes déviantes
Sur ce marché chiant
Les gens se reniflent comme des chiens
Alors je me rassois sur ma chaise
Et peint ce gros dessin
PS : Je pose ce texte sur une instru jazz.
knor_knor_knor
On ne fait que rigoler
Dans les bons comme dans les mauvais
Sur ce balcon
J’fais pas le con
Car mes potes sont à cran
Un voyage d’un vieil âge qui nous rend navrants
L’impression d’avoir la pression si j’oublie la raison qui aura les clés de la maison
Selon les saisons l’humeur change
Je songe à chanter sur ce chantier comme ce rouge-gorge
Mener la barque toute ma vie
Dedans des potes qui crient à vide
On a claqué les portes et balancé tout l’acide
Costume cravates que de conneries
On s’consumme plus qu’autre chose corrige-moi si les corps rient
Prenons des leçons pendant que nos meufs s’aspergent de lotion
Un soir elle se jette à toute dévotion
J’ai tout lâché je suis pris de grosses émotions
La foncedalle à 3h du mat
On se lâche pour les barrés du crac
On franchît les barrières pour les danger taff
Rentré dans les cases puis dans la mienne
Mon esprit s’est centré comme le tir du meilleur centreur
Déballe tes balivernes t’es qu’une puritaine aux quelques senteurs ?
BIEN. Je vais te mettre cent heures dans les sentiers et quand j’te baisera j’te laisseras quelques centimes riche de l’avoir sentie
La nuit est courte écarte les jambes quand les grandes s’écoutent
Ta mère me parle mes poils se dressent et les phrases s’écourtent
La vie est dangereuse remplie d’enjeux et d’envieux
La suffisance rend vieux s’asseoir sur le canap avec une femme en mieux
Ce serait si bien cette putain survient dans mes rêves
En parlant de numéro j’ai plus l’tien et ta langue m’envoie dans la trêve
Les meufs sont chambrées elle croit que c’est parce que je la fume que je vais la cendrer
Aucune pitié j’te laisse pisser dans ta litière
Mysogonine assumé et j’en suis fier
Prière de pas me faire chier
J’ferme les persiennes et dehors les gamins sont perchés leur seul but est de percer peu importe l’averse la tendance peut toujours s’inverser sur un tiercé
Mes démons sont des mots
Tes démons sont défauts
Tu produis de la chiasse et ton rap est faux
Taffé sur un bureau écrire croyant que t’es le bourreau
C’est te mentir car ton boulot se résumer à boire au goulot
Mes punch sont incisives tes lines se barrent Syrie
Ma dégaine est ainsi vive pendant que tu t’aides de Siri
J’ai l’ambition en vision
T’as l’envie de tuer le bison
Mais ta veste n’est faite que de vison
J’écris pour la postérité
Ta sœur collectionnera mes posters et te traitera d’imposteur
Je suis un bosseur aux intentions qui paraissent impossibles
Mais c’est comme toi avec ton postiche
Tu te balades dans la rue avec ta potiche
Tant de fausseté j’appelle la police
Ta meuf incarne la belle sœur à la peau lisse
C’est pour elle que j’abolis mes principes ô combien polis
Te demande pas pourquoi est-elle sujette au torticolis
Soirée abrasive qui se déroule à l’asile
J’déboule avec mes potes et mon pénis élastique
Et la zik m’défoule j’carbure aux fiouls tandis que tu mastiques
En premier ton tabac puis mon engin digne d’un film érotique
Je rode dans les allées me fait des alliées pendant qu’la fumée se fait inhalée
Mon verbe est vert comme l’herbe fier comme l’air hier la terre tournait ce soir je vais l’enfourner ce manège grondant gonflant dans les contrées lointaines
Syra86
J'ai confondu mes rêves avec la réalité
Ce n'est pas dans mes livres que j'aurais la vérité
Dans ma tête il n'y a que des filles
Il me reste toi et puis les autres qui défilent
J'aimerais te dire enfin c'que je pense
Embrouille remplis de sentiments
J'aimerais que tu sois honnête et qu'tu m'les dise sans qu'tu mentes
Tu m'as dis " j'en ai marre de ton rap"
Mais ce ne n'était pour que tu n'me quittes pas
Textes remplis de sentiments
Et si tout cela n'était qu'éphémère !
"Ne t'inquiète pas, tes yeux plus beaux que la mer"
Toujours entrain de nier, ne serait-ce pas le seum qui oppose à m'exprimer
Tout à dégénérer lors de l'embrouille générée, encore une fois pour te parler, je n'étais que rouge et gêné
Tu as changé pour me faire plaisir, mais l'autre toi n'était que là pour me faire gémir
J'essayais de te rendre jalouse, pour que tu me montres à quelle point tu m'aimais, j'en ai honte, cest trop la lose
Lors de ces batailles, t'es mots n'étaient pas d'tailles
Je suis devenu insensible, t'es mots n'ont pas d'tailles
Pourquoi j'ai agis comme ça ? La routine, la roue tourne
Je voudrais te dire mon amour et te le faire transmettre dans une urne
Amoureux le soir ennemi la nuit
À chaque fois qu'suis sincère, t'es mots me font croire l'inverse
Je te laisserai m'reconstruire à la fin de l'averse
Je sais qu'j'n'ai jamais su t'aimer
T'es pleures me faisaient souffrir
Mes peurs se confirment, ton amour en train d'frire
Une fois nos cœurs brisés, ainsi que la glace brisé, je voyais ton esprit bien sûr briller
J'ai garder le silence, sur ce que pense, aimer n'est que donner amour passionné
J'ai brisé les dernière chaînes de notre relations
L'amour est relatif, éphémère et toujours autant nocif
Notre histoire d'amour ira se finir en fin de page
Et si aimer ne restait que un mirage ?
Un avis 
? Cela fait seulement 2 mois que j'écris !
1-OnePiece
Ma vie est une longue mort.
1-OnePiece
Ah merde c'est du rap ici 
DoubleGame
Yo tous le monde moi j'avez fait un petit texte qui es deja poster sur YouTube et tous et pas mal de gens on kiffer donc je vous en fait par mais ses pas vraiment un freestyle
Dans un monde sans liberté où tous les gens sont jugées soit pour hsitoire de blé ou alors de pauvreter parce que les riches s'enrichissent et les pauvre s'appauvrissent.
Tellement de choses dite qui ne s'avère pas vrai, pense tu qu'on n'a le droit de tuer? Non alors que font tous les militaires armées bah ouais y tirre pour quelques petit billet après je dit pas que je n'ai jamais rien fait en effet je suis très mal pour parler de se sujet après je reconnais mais erreur ses pas pour autant que je fait ma petites terreur.
Les jugements font partie du quotidien tout comme les critique qui nous suivent toute notre vie et parfois il y en n'a qui se sacrifie.
Dans un monde sans liberté où tous les gens sont jugées soit pour hsitoire de blé ou alors de pauvreter parce que les riches s'enrichissent et les pauvre s'appauvrissent.
Maintenant plus personne a de personnalité regarde aujourd'hui tous les ptit joue avec des jouer d'handicapé pff vous avez des hand spiner moi j'ai de gros sniper.
Un monde ou tous change ou les balle parte pour de mauvais échange.
Je comprend pas comment autant de haine peuvent paraître ses con mais sais comme sa
J'accuse aujourd'hui à l'homme de n'avoir réussi qu'a semer le mal,
Le bohneur et l'espoir de s'etre fait la malle,
la colère d'etre à l'origine de mes paperasses,
la religion de nous endoctriner, je voudrais que le pape trace.
cet cette guerre éternel entre Israel et Palestine,
la race humaine et ce monde ou y'a pas d'estime,
les gens de ne jurer que par l'apparence physique,
la pauvreté de ronger chaque jour un peu plus l'Afrique.
Puis pour finir je voudrait conclure avec se système de condamner à tord le cannabis,
Alors que en revanche on peut acheter librement une bouteille de Pastis,
j'accuse, le monde idéal de ne pas existé ou pour l'avoir faudrait fumer jusqu'à planer
N'hésitez pas à me contacter et si je rep pas j'ai un insta intitulé DoubleGame87
ecrivainphenix
J'compte bien réussir
J'vois la vie avec dix couches de noir
Mais j'ai écarté l'idée du suicide
J'reste lucide
Je me découvre le soir
Dans la mélancolie découle la soie
Plongé dans un bon livre
Toutes mes peines abolies
Mais que fait la police ?
Han...
J'sais pas si j'ai envie d'vivre
Mais j'ai pas envie d'crever j'ai envie d'dire
J'suis le vizir de mon royaume de papier
J'suis estropié et invisible
Force à vous tous les khey !
ecrivainphenix
Ouais, j't'avouerai qu'j'suis un peu blasé parfois
J'rêve d'une corde et d'un tabouret
C'monde est si p'tit mais si dur à labourer...
Pour réussir j'sais bien qu'il faudrait la boucler
Mais la boucle est bouclée...
Bonheur où t'es ?
J'suis pas un Cristophe Maé
J'm'en balec d'faire d'la maille
J'veux faire le bien pas m'faire la malle
On déçoit nos parents,
Comme le monde nous déçoit c'est effarant
En attendant j'ai l'blues tous les soirs...
Shanks-desu
Je reviens sous peu les enfants 