Bon c'est bien joli tout ça mais on est d'accord pour dire que je vous ai soufflé comme des pop corn, non parce que tout le monde fait comme si y s'était rien passé mais je vous ai aplati les mecs et sans forcer.
Si quelqu'un s'oppose à ma victoire indéniable qu'il parle maintenant ou se taise à jamais.
Le 05 mai 2017 à 00:45:26 LordTristesse a écrit :
Bon c'est bien joli tout ça mais on est d'accord pour dire que je vous ai soufflé comme des pop corn, non parce que tout le monde fait comme si y s'était rien passé mais je vous ai aplati les mecs et sans forcer.
Si quelqu'un s'oppose à ma victoire indéniable qu'il parle maintenant ou se taise à jamais.
Non, tu valais juste pas la peine qu'on continue
Yo ! J'avais pas prévu ça mais la fameuse inspiration aux toilettes m'a poussé à continuer mon texte précédent "Atari" C'est en soit la suite du texte, un deuxième couplet en somme.
+Knor merci pour les retours, ça fait plus d'un an mais je me répète, je ferai de mon mieux pour enregistrer des trucs décents cet été
Atari
...
Quand sur toi j'tombe raid-E...
que je te retrouve dans mes décombres, ambiance Tomb Raider
ta Lara Croft dans mon décor c'était ton rêv-E
j'écris sans fil et si je raccroche c'est qu'ce don m'écoeur
les cris silencieux que je pousse quand tu m'réponds "later" !
Suicide osé, sautons d'ce pont d'terreur
De mille beauté; deux mille beautés, je prendrai ta laideur
Étale ma peur de l'ambition dans tes tickets rabais
Les combos de fou quand on se tapait juste avec deux boutons A-B !!
Et se rappeler; rêver;
malgré les rêves qui dorment
Bang Bang !
My baby shot me down.
À mes rythmes et tes séries
Ma chérie etcétéra
À mes risques et périls;
John Smith, Amérique et rimes
Au pire j'expire :
Console-moi avant que j'périsse
Au prix que je m'estime :
Consomme-moi avant que j'périme
Tu consommes mes voyelles-consonnes
Je ris d'nos cloches qu'on sonne à la vie
Avant qu'tu causes mes boutons d'fièvres je me consolais sur boutons d'Atari
La deuxième partie est excellente
Très très bon couplet Shanks
Merci les gens, ça me fait vraiment plaisir
Le 05 mai 2017 à 04:09:17 Snider_McWood a écrit :
Le 05 mai 2017 à 00:45:26 LordTristesse a écrit :
Bon c'est bien joli tout ça mais on est d'accord pour dire que je vous ai soufflé comme des pop corn, non parce que tout le monde fait comme si y s'était rien passé mais je vous ai aplati les mecs et sans forcer.
Si quelqu'un s'oppose à ma victoire indéniable qu'il parle maintenant ou se taise à jamais.Non, tu valais juste pas la peine qu'on continue
Ah je valais pas la peine hein ?
Allez avale ma pine, suceur d'endives sur divan
Tu divagues, tu dérailles, j'défouraille sur ta tête de gland
Grand écoute je vais pas passer mon temps à t'enculer même si je sais que t'aimes ça
Depuis quand les loutres donne leur avis ? Tu m'en vois ravi, t'aventurer là ou tu n'as plus pieds, quelle mauvaise idée, mais qu'il est teubé, je ne sais pas pourquoi il fait ça
Même si je sais qu't'es pas, très doué, reconnais ma royauté espèce d'olive dénoyauté
Le Roi hautain t'accorde une audience, jongle pour moi, danse
T'es mon bouffon chui ton patron, ponds pour moi, chante, tête de coq, corps de trans
Tu m'fais rire, tu m'fais vomir, tu omets mes méfaits, mais j'fête ma victoire quoi qu'il advienne
Les gogols matent ma technique et prennent des notes, apprennent
Suis l'exemple, chui fier de moi t'es fille de joie, allez file que je ne te vois plus
T'es qu'une merde, une proie, j'fonds sur toi comme l'aigle agile fond sur petit lapin
Petite catin, t'as, pas intérêt à m'manquer de respect, encore une fois et jte décapite la bite
T'es juste la capote que tes parents ont oublié, tête de linotte et corps de fiotte
Snider Mc Wood n'a pas peur des coups, vlà l'heure d'mon courroux, t'es roux et plein d'poux
Tfou', tout' facon je l'sais qu'avec toi jperds mon temps, autant apprendre à un âne à compter jusqu'à cent
Sur ce jte laisse, je sais qu'j'te blesse, tu sais qu'j'te baise, je suis en liesse t'es en PLS.
Wesh la mifa
Rap ouvert à Macron
Macron élu président !
Prépare le lubrifiant !
Serre les fesses et serre les dents,
C'est reparti pour cinq ans !
Jeune et dynamique ?
C'est c'que me dit sa mère !
Son programme économique ?
Pire qu'mon parcours scolaire !
Il nous carotte comme Bugs Bunny !
Il est en chien devant Granny !
Il fait le canard comme Daffy !
Il est moins viril que Titi !
49.3 à gogo !
Mon ratio sur CS:GO !
État d'urgence maintenu ?
Liberté dans ton cul !
En Marche vers l'fond du ravin
Avec l'aide de Raffarin !
Celles de Valls et de Hollande !
Vivement qu'on les pendent !
voici mon poème
Manu Le Mac
Emmanuel, j'aime ta finesse et tes ondes consensuelles,
On dirait bien qu'on est en marche, on dirait bien qu'on est en selle,
Tu as le style et la démarche, tes détracteurs sont trop amers,
Apercevant ta maîtresse, nous aimons mieux nos mères.
Emmanuel est un artiste, un surdoué, un littéraire
et ces romans dans tes tiroirs, qu'écris-tu donc ? c'est un mystère.
Des opus en fourchelangue, narrant des exploits occultes,
Le radeaux des fachos tanguent, ils sont passéiste et incultes,
Ne les écoute pas, Manu le Mac, #En Marche nous courons tous
Au cas ou tu craques, souviens-toi bien que Jacques viendra à la rescousse,
Les roublards se braquent... dire que ces ouvriers n'ont même pas le bac...
Gattaz et Rotshild veulent qu'on raque, t'y mets la forme, t'y mets du tact.
Tu manies le verbe assez bien, sais-tu au moins comme tu m'inspires
La misère ce n'est pas bien, mais les actionnaires c'est pire
Même Alain Madelin te supporte, alors c'est dire,
Tu as l'air si serein, ça m'donne envie de réussir.
16 piges, j'm'imagine pas le nouveau Shakespeare,
Rien à battre d'être ici ou d'être là-bas...
J'suis perdu... comme tant d'jeunes
Mais j'suis tellement seul,
Même pas de drogues pour m'apaiser j'suis mal-baisé,
C'est c'que j'me dis mais... j'suis pas PD
J'n'ai rien à faire, aujourd'hui, comme chaque jour,
Je vieillis mal, ma vie n'est pas du château-latour
J'regarde le monde me filer entre les doi-a-a-gts
Heureusement je sais que tout est illusoire
Nostalgie du soir, regarde les lumières de la ville,
Le regard dans le vide quand je scrute mon âme
Avant d'me coucher j'me branle sur un porno Brazzers
La nuit je rêve de l'âme-soeur-eur-eur
Le matin j'me réveille les pensées fusent
Besoin d'un somnifère. J'n'ai pas d'excuses
Pour les retards d'aujourd'hui et d'hier,
Toujours la même bande de pote pour m'accueillir,
J'étais mort dans ma chambre j'me force à sourire
Je sais qu'y'en a qui ont moins de chance. Pourtant,
Ils ne m'ont pas l'air très sincères mais passons ;
J'attend la fin du cours, je suis patient.
16 piges, j'm'imagine pas le nouveau Shakespeare,
Rien à battre d'être ici ou d'être là-bas...
J'suis perdu... comme tant d'jeunes
Mais j'suis tellement seul,
Même pas de drogues pour m'apaiser j'suis mal-baisé,
C'est c'que j'me dis mais... j'suis pas PD
On mange au self ou on va grailler chez un ami,
Enfin le soir arrive les enceintes explosent comme la dynamite.
ça parle dans tous les sens, la musique couvre mes sens,
L'alcool, le shit, me donnent une prestance d'artiste.
J'vois des feux d'artifices : voici la vraie vie
Ce n'est que ça ; désorienté je tombe sur le trottoireuh sale
Avant j'ai vomi des litres, la foule en plein délire
Qui m'applaudit, demain j'claudique hors de mon lit
Agnostique, je ne me repentirai pas de mes pêchés
Pourtant, pourtant, putain qu'est-ce que j'me suis fait chier...
Encore bourré je n'vais rien faire de la journée,
A part tomber du tabouret je me demande à quoi ça sert,
J'n'ai aucun souvenir de la veille : où est le nécessaire ?
Je ne l'ai pas trouvé j'vais carburer pour écrire quelques vers.
Lundi, j'baisse les yeux devant la meuf que j'ai chauffé,
J'me tape que des vieilles notes passe mon après-midi à bégayer.
16 piges, j'm'imagine pas le nouveau Shakespeare,
Rien à battre d'être ici ou d'être là-bas...
J'suis perdu... comme tant d'jeunes
Mais j'suis tellement seul,
Même pas de drogues pour m'apaiser j'suis mal-baisé,
C'est c'que j'me dis mais... j'suis pas PD
Mon esprit part, je m'abruti au fil des pages
de mon histoire, puis il revient au prochain chapitre
La vraie vue glace, m'érudisant je me dépasse
puis je descend au fond de mes abimes
Bientôt la météo est brumeuse sur mon visage
Dans le ciel noir la fumée cache les météores
La nuit est arctique ; mais le ciel s'embrase,
Je n'voyais rien ; je me fais des tartines de mes semblables.
Je les observe de loin ; le soleil m'obsède,
Il me gêne. La lunette - des toilettes - est le remède.
Le mal ne sort pas des urines... les insomnies se multiplient.
Difficile de dormir agressé par la lumière du jour.
Les nerfs à vifs ; les êtres humains m'horripilent,
Je vois tous mes défauts dans le miroir de leurs visions.
Là où les rayons vont, je le décris. Dans mon carnet de bord.
Très peu de pleurs de joie, d'arcs-en-ciel dans les yeux.
Mais j'ai le bras las ; le café n'y fait rien,
La nuit revient, mes paupières sont lourdes.
Je peux enfin dormir, immobile comme un mur - a l'oreille sourde -.
Plus suicidaire qu'un terroriste
Visage d'ange à la Tom Jedusor
J'ai pas de train d'avance je suis en avi-on
Papillonne avec un couteau papillon
J'ai géré t'as geber
Même décédé deter
J'm'invente une vie dans mes textes
La différence : je ne parle pas de tess
J'encule la grammaire comme ta grand-mère
Jaikri kan abréjé
Que des péchés à prêcher depuis la crèche
oui
Le 29 mai 2017 à 21:32:36 Sunnynight a écrit :
Plus suicidaire qu'un terroriste
Visage d'ange à la Tom Jedusor
J'ai pas de train d'avance je suis en avi-on
Papillonne avec un couteau papillon
J'ai géré t'as geber
Même décédé deter
J'm'invente une vie dans mes textes
La différence : je ne parle pas de tess
J'encule la grammaire comme ta grand-mère
Jaikri kan abréjé
Que des péchés à prêcher depuis la crècheoui
"Plus suicidaire qu'un terroriste"
Frère, on attend que ça, qu'tu te fasses exploser
Pour ça je peux t'aider, jte refile une veste matelassée
Cousu de fils, les charges iront très bien avec ton teint
Mec t'as le flow à Tintin, je t'éteint, elles veulent toutes m'étreindre
Elles veulent toutes mes meringues, mes flingues
Je les sors, pendant ce temps là tu dors, je t'essore
Prolo, t'as rien dans le frigo, dans le cerveau
Frelon, j'fait l'plein d'ma moto, t'es rien qu'un mytho
Jte pique dans le dos, t'es flic ripou, chui voyou chic
Parait qu'tu prends l'avion, parait qu'tu papillonne
J'parle à personne, j’apparais, tire dans le tas et séduit ta mignonne
Trouve toi un autre passe temps, chépa fais de l'aviron
Avouons, que je suis au dessus
Chui dans l'exosphère t'es qu'un ver de terre
Jte desosse frère, jeunesse je me lasse de te faire taire
J'laisse le temps faire, tu peux t'en faire
Jremonte des enfers, j'ai des dents de fer
Tu vas danser, je serais là te regarder, à me marrer
C'est ta mère que je vais marier, juste pour pouvoir la tromper
T'es tombé, bien bas
Salut moi, bien bas
J'fait une fête, ne viens pas
Pourtant c'est ta tête que j'fracasse
Trêve de jacasse-ries
J'rêve de ta ma-mie
Flow saveur Uma-mi
Tu crèves, n'as plus de batte-rie
Allez va t'en, moi chui déjà parti
Tu parles, tu parles bien que tu n’aies rien à dire
Il n'y a rien de pire
Qu'un homme qui suscite les rires
Malgré lui, s'attire la foudre de ma plume
Ça tire ça tire ! Va te foutre au plumard jeune connard
Il n'y a rien de pire
Que mon empire, t'es sous mon emprise
T'as le flow monoprix, chui chaud comme la pluie
D'été, retourne téter, on sera deux à se les partager
Les putains de seins de ta mémé
J'veux un fief dans l'ciel et du rap à l'ancienne à l'enseigne
Mon âme s'enfielle - détenue par ce monde mal agencé
J'suis plus un poète, mais j'repense aux mecs
Qu'j'ai connu sur les jeux vidéos au collège en primaire
Mais faut pas regarder en arrière.
J'ai fait une chicha hier : c'est nul ça n'a aucun effet,
C'texte s'ra sûrement l'plus sincère que j'ai fait,
Et j'sais que le temps évince les faibles
J'ai dût m'endurcir pour n'pas être en sursis
L'être humain est une plaie, l'pansement c'est la drogue
Et l'abrutissement ; j'parle pas d'intelligence :
L'humain moyen n'a aucun sentiments,
Troqu'rait leur âme contre quelques centimes han
Tellement vide ; il est méchant, être gentil avec lui c'est être candide
Mon frère est cloitré chez lui depuis 5 ans,
J'y pense souvent lui fait des câlins quand j'le sens dans la tourmente
C'monde est trop brutal pour moi,
Chaque jour est un mortal kombat,
Rien n'a de sens mais être fait tout doit,
J'n'aime pas trop les tournois ! J'n'ai pas l'esprit de compétition,
Sauf quand l'égo s'révèle que je n'veux pas être en PLS position
J'arrive sur le navire
Que moi il n'y a pas pire
Pavillon à tête de mort
Papillon à tête de porc
Et c'est sur ta mort que j'parie
Moi et ma bande de parias
Jt'envoie ça en exclu, c'est pour tout les exclus
Les rebuts, les rebeu, les peureux, malchanceux, poisseux
Ton rap pue le poisson pas frais
Tu jactes, tu parles mais tout ce que tu dis n'est pas vrai
Excuse mon agressivité
J'ai n'ai pas de quoi apprécier l'été
Je voudrais avoir quelque chose à fêter
Mais je n'ai que mes veines à saigner
Assis
J'réfléchis
A ma vie
Et puis
Défraichi
J’exécute
Mes rêves, mes ambitions
Les MC frêles et fragiles
Décapitation de mes illusions
Frère j'essaie d'agir mais futiles
Sont mes tentatives
J'ai encore tant à vivre
Caresser de douces mamelles
Des relations courtes et charnelles
Éliminer la concu, les rendre cocu
Réaménager ta dentition
Et pourtant la tentation
De finir le livre
D'éteindre la lumière
Retourner à poussières
Tournoie autour de moi
Aigle au dessus de sa proie
Le dos courbé
J'coule sous les eaux usées
Fardeau de barjot
Cadeaux empoisonnés
"Bravo" n'est pas donné
J'pense à abandonner
Quitter cette cage, briser les barreaux
Amusant, c'est au musée que mes œuvres reposeront
Avant ma mort, ma disparition, c'est l'heure, festoyons
Très lourd le dernier Lord
Le 05 juillet 2017 à 11:33:04 Sunnynight a écrit :
Très lourd le dernier Lord
merci khey, continue ce que tu fais j'apprécie aussi, ça m'inspire
Je n'baise pas les mots, j'fais l'amour aux lettres,
Errant sur les rives, un étrange poète
Regardant la vue,
Vision trouble de l'avenir
Le feu dans les rues
Fiston court le long l'avenue,
Bouteille à la main, les flics ont percut',
Changeons de décor, retire l'opercule,
L'appart' pue, vois-tu trou dans la serrure
Le chien qui aboie, le minot qui brûle,
La ceinture qui claque, des cris retenus,
Juste de l'autre côté d'ton mur
Et tu fais d'ton mieux ? Quelle vanne
Va sauver tes bébés phoques à coups de hashtags,
Enculer des mouches espèce de barge sale,
Déchet de la fac ta vie est triste, mais la mienne aussi,
Je suis franc là-d'ssus, pas dans le déni
Écouler des seizes me permet d'tenir et de te dire
Que j'suis supérieur à toi, et ce n'importe où,
Mon ventre mou, plus fort que Schwarzy le bande-mou,
Et si j'dis n'importe quoi, c'est qu'être sérieux m'gave,
J'supporte pas les gens, pour voir du monde je file à La Fnac,
Baigne dans le revers du miroir,
Mate les fils tirer les pions, avec ma bédé DeadPool,
File au grec, regardant passer des culs
Puis termine sur un tour de passe-passe,
Philomène fait moi un truc, j'ai le bide qui hurle....
Prod utilisée : https://www.youtube.com/watch?v=Tco1eCm2jmA&index=118&list=PLW3UOku-jOOARyWUTCuVZJ96YncpXlE6k
J’ai le vice au corps, un stop dans la tête
Des phrases dans l’encre, déphasé branlant
J’cogne comme l’arête, méfie-toi d’l’eau qui dort
J’ai cloisonné ma f’nêtre, trop d’folie dans l’dehors
Mise plus sur la cadette que sur l’cador,
Darwin Awards, de l’humanité le livre d’or,
J’ai le vif d’or, le Nimbus 2000 plus Hermione
Poufsouffle est dans l’vent, j’remonte la Garonne.
(http://youtubeonrepeat.com/watch/?v=2P6GMiGZwiM)
Les kheys, j'ai pensé à vous il y a pas très longtemps
Un peu HS, mais en gros il y a un YouTubeur qui a fait récemment un "concours" de rap sur le thème de YouTune où il fallait rapper (logique) sur les instrus du monsieur (qui sont pas mal sachant que c'est pas un pro)
Il est terminé mais il a dit qu'il en referait sûrement et sur d'autres thèmes (vu que ce genre de truc c'est pas l'émission principale de sa chaîne, c'est plutôt du bonus) donc on sait jamais ça peut vous intéresser ce genre de truc
Voila le lien de sa chaîne si jamais vous voulez vous lancer dans ce genre de trucs : https://www.youtube.com/user/wildesyde (je sais pas si ça se fait ailleurs )