Chaud, j'en suis au passage de mon autobiographie où il s'agit de répondre à la question "est-ce que y avait moyen avec elle ?" alors qu'il n'y a rien eu avec elle.
A tout hasard, z'avez un conseil pour les situations qui poussent à bout la recherche de neutralité ? Vous savez, quand le "ce n'est que mon avis, liberté d'expression / opinion / fantasme, étou" ne suffit plus... ?
(Je précise, c'était y a longtemps, mon dilemme actuel n'est que moral, éthique, en tant qu'autobiographe)
(Mais je vois pas de forum mieux concerné à part celui-là)
Tu écris une autobiographie ou une autofiction, sadX ?
Ce n'est pas tout à fait la même chose.
Autobiographie. Je change juste les coordonnées pour l'anonymat et quelques détails mineurs, notamment dans l'ordre chronologique, pour aider à la compréhension de la trame d'ensemble (dans laquelle ma question ci-dessus ne s'inclue pas, du coup, c'est un peu une parenthèse, avec sa pertinence autonome, si j'ose dire).
https://www.jeuxvideo.com/forumecriture/forums/message/775828999
Dans la fiction, c'est facile, j'ai pas de compte à rendre à des persos créés de toute pièce. Mais dans mon cas, anonymat ou pas, je me concentre un max sur le réel. Je me sens un peu en mode prévôt, là, en l'occurence. Est-ce que c'est inhérent à la démarche autobiographique (au-delà de mon ressenti déjà traîté autant qu'il fallait), l'écueil fatal qui fait tant détester le genre à certains ?
Ce qui m'emmerde aussi, dans mon cas, c'est que ce passage fait un peu fusible de plein d'autres super importants. En somme, la réponse à ma première question n'importe pas vraiment... mais j'ai l'impression que ce serait un peu gruger (voire... surestimer) le lecteur que de l'ignorer.
Vous pensez que je me goure ? Comment vous le gèreriez, vous ?
Salut je ne sais pas si je suis sur le bon forum mais j'aimerais avoir des conseils pour faire une ellipse . Je m'explique , j'aimerais faire un contraste entre une discussion gêné autour d'un feu avec deux personnes puis de passe directement a un acte sexuel entre les deux personnes qui parlait précédemment . Ce procédé est souvent utilise au cinéma et j'aimerais l'intégrais a mon histoire . Merci d'avance de vos réponses.
Salut !
Je suis en train d'écrire mon texte pour ASI, je me demandais, ça ce dit :
"ODHOJJFOR" gueulais-je
?
Merci
gueulai-je*, si c'est au passé simple. Si la question était de savoir si le verbe gueuler existe, je crois que oui. En tout cas je l'utilise tout le temps, mais je me suis toujours demandé si c'était un helvétisme.
Ah oui, c'est vrai, merci
(Mis à part ça wtf cette réplique ?? )
Y'a une vraie phrase entre les guillemets j'ai juste marqué ça pour l'exemple
Ah, j'ai vraiment cru que tu étais fou.
Re
Je suis sur une phrase ou je bloque niveau conjugaison, c'est :
"Les conducteurs excédés, passèrent alors à toute vitesse, près de moi et de mon véhicule, comme si la petite qu'ils fréquentaient venait de les appeler pour leur apprendre qu'elle n'avait plus ses règles."
Je me demandais si après "petite", il fallait mettre un il avec S ou pas
oui puisque tu parles des conducteurs excédés.
Par "petite" tu entends leur compagne/maîtresse ? je suis fatiguée, le sens global de ta phrase m'a perturbée, j'essaie de la comprendre
Nickel merci c'est que je pensais ça aussi, mais je trouve ça bizarre, parce qu'en mettant un S à "il" ça fait comme si ILS fréquentaient la MÊME fille (car oui petite = fille )
Faut virer la virgule après "excédés", aussi, on ne sépare jamais un verbe et son sujet avec un signe de ponctuation ^^
Ah bon je savais même pas merci
Elfi, même si il dit : Les conducteurs, excédés, passèrent ? Même si ça fait une lecture très hachée, c'est pas correct ?
Je me demandais, est-il possible dans un texte d'alterner entre le passé composé et le passé simple, du style :
"J'avais l'habitude d'aller dans ce café. J'ai ouvert la porte et la patron me regarda."
Non.
C'est comme boire et conduire, il faut choisir
Je te laisse à ce sympathique dilemme que je ne connais que trop bien