Manifestement, tu n’as pas envie que nous participions à ce concours sinon tu aurais donné l’intitulé, voire le concours en question. Ou alors tu es buté et tu refuses de répondre à la question. Ou les deux. Ce faisant, ne soit pas étonné que l’on ne fasse pas d’effort pour t’aider si toi-même tu n’en fais aucun.
Bonsoir,
Je sais pas si je suis sur le bon topic, j'étais même jamais venu sur ce forum, mais dernièrement l'envie d'écrire m'est monté à la tête de manière assez persistante
J'ai jamais écrit mais par contre j'aime bien imaginer des choses, des histoires, me faire des dialogues dans ma tête, je sais pas si c'est par simple fainéantise ou réelle peur de l'écrit mais j'ai jamais osé sauter le pas
En ce moment j'ai des éléments sur un potentiel scénario qui me donne réellement l'envie de tenter, d'un côté j'ai l'impression que c'est trop prétentieux pour un premier essai mais de l'autre ça me tient à cœur quand même dans l'ensemble
Vaut mieux que je me fasse la main sur autre chose, quitte à ne pas en avoir spécialement envie pour m'entraîner et acquérir des bases solides dans l'écriture ou alors c'est possible de me lancer dans un gros truc dès le début ?
C'est sûrement une question très bête mais j'ai du mal à percevoir tout ce que ça implique pour l'instant, même si je néglige pas le travail qu'il faudra fournir
Le DIY marche bien ces temps-ci ...
Blague à part, tu veux écrire ? Bah, écris. Tu sais qu'au début ça va te demander un minimum d'effort. A toi de te donner les motivations nécessaire pour persévérer.
Je me doute, mais comme je part dans l'inconnu j'ai cette peur de pas bien structuré mon propos, d'avoir l'impression de tenir un truc de fou mais de pas arriver à le transmettre, en dehors du cadre scolaire j'ai jamais rien produit donc je suis un peu dans l'expectative là, pour ça cette question de merde, mais ouais je vais écrire !
Peut-être qu'un récit relativement court serait pour toi une façon sécurisante de démarrer ?
Ouais d'un point de vue technique c'est sûr mais après l'histoire que je pense tenir mériterait plus qu'un récit court donc faudrait que je me lance sur autre chose pour me "faire la main"
Bah fait un récit court qui ne soit PAS l'intrigue que tu prévoies, mais dans le même univers.
Ah ouais tiens, c'est pas con, ça me permettra de bien délimiter l'univers et l'ambiance que je compte créer et être sur des axes que je veux développer, bah merci
Par ailleurs, tu peux toujours noter des éléments d'histoire, d'intrigue, etc., que tu aimerais mettre dans ton "grand truc". Il est toujours bon de coucher sur le papier ce qu'on a en tête, quitte à ne l'utiliser que plus tard.
Salut à tous !
En ce moment j'écris un roman qui met en scène un tueur, il y a un passage que j'hésite à mettre tout simplement parce qu'il peut faire penseur du dimanche ou peut-être parce qu'il n'est pas approprié en début de chapitre.
Le passage :
Voilà j'ai écris un passage dans mon roman que j'hésite beaucoup à mettre, j'ai peur que ça fasse penseur du dimanche.
Vos avis ? :
Le meurtre. Nous, les hommes, pouvons tuer tous ceux que nous aimons. Mère, père, fils, cousin, amis, amant. Nous pouvons réduire au silence tous ceux en quoi nous croyons. Religion, honneur, fierté, amour, tristesse, haine. Nous avons le pouvoir d’anéantir tout ce qui jailli de notre âme. Mais il y a une chose que nous ne pourrons jamais tuer. La mort. Elle est la seule meurtrière que nous ne pourrons jamais arrêter. Et si elle n’existerait pas, que se passerait-il ? Si en lisant ces lignes, vous-êtes le même ramassis de boyaux qu’il y a 10 000 ans ? Votre corps serait vivant, pas votre esprit. Vous ne feriez même pas attention à ce que j’écris, parce que tout ce que vous désiriez, c’est la mort. Qu’enfin, elle vous délivre. Vous n’auriez aucunes émotions, aucuns désirs, la seule femme que vous attendriez, ce serait cette magnifique faucheuse. C’est ça, la fatalité. Avoir peur de mourir et devenir immortel pour enfin désirer plus que tout passer dans l’autre monde. Si je viens vous chercher, n’ayez pas peur. N’hurlez pas, n’appelez pas tous vos numéros d’urgences préenregistrés. Accueillez-moi. Sinon, avec le temps, c’est votre âme que vous tueriez. Je vous aurez prévenu.
Merci à tous ! ( je précise que la dernière chose que le tueur ai fait c'est un triple meurtre avec dedans le fiancé de la femme qu'il aime, ce n'est pas au café qu'il pense à ça )
C'est plus un passage que je verrai bien en prologue en quelques sortes, dans la scène d'introduction, ou alors dans la conclusion du récit, une sorte de morale. A ces endroits la ça aurait une place intéressante, ça donnerait un certains ton.
Par contre si c'est pour mettre en plein milieu du récit, ce genre de passage en plein milieu, même après une action ça pourrait être "hors sujet" ou tout simplement inutile et casser le rythme d'une scène
Après ça peut s'inclure si le tueur est un psycho et qu'il a une tendance au monologue intérieur ou à un sens du dramatique et tragique.
Faudrait plus voir l'avant et l'après ce passage pour juger Enfin de mon point de vue
J'en prend note Et sinon au niveau du style et du message, c'est bien écrit ?
Tu galère vraiment sur certains points, surtout la concordance des temps. Allez, je suis sympa, je t'ai réécrit tout ça.
Le meurtre. Nous, les Hommes, pouvons tuer tout ce que nous aimons. Mère, père, fils, cousins, amis, amants. Nous pouvons réduire au silence tout ce en quoi nous croyons. Religion, honneur, fierté, amour, tristesse, haine. Nous avons le pouvoir d’anéantir tout ce qui jailli de notre âme. Mais il y a une chose que nous ne pourrons jamais tuer. La mort. Elle est la seule meurtrière que nous ne pourrons jamais arrêter. Et si elle n’existait pas, que se passerait-il ? Et si en lisant ces lignes, vous étiez le même ramassis de boyaux qu’il y a 10 000 ans ? Votre corps serait vivant, pas votre esprit. Vous ne feriez même pas attention à ce que j’écris, parce que tout ce que vous désireriez, c’est la mort. Qu’enfin, elle vous délivre. Vous n’auriez aucunes émotions, et qu'un seul désir. La seule chose que vous attendriez, ce serait cette magnifique faucheuse. C’est ça, la fatalité. Avoir peur de mourir et devenir immortel pour enfin désirer plus que tout de passer dans l’autre monde. Si je viens vous chercher, n’ayez pas peur. N’hurlez pas, n’appelez pas tous vos numéros d’urgences préenregistrés. Accueillez-moi. Sinon, avec le temps, c’est votre âme que vous tueriez. Je vous aurais prévenu.
Merci, tout ça n'est qu'un premier jet de toute façon, quand j'aurais fini mon roman j'aurais 25 chapitres à corriger sur la forme ( et ça risque de me prendre un temps fou.. )
Re-salut !
Cette fois-ci, je viens pour avoir quelques avis sur une description :
Il paraissait assez vieux, la soixantaine selon mes estimations. Il avait le visage marqué par la vie, de ces rides qui traduisent dans leur dessin une existence dure et compliquée. Il n’était pas bossu, comme si son dos avait su rester droit et fier malgré les coups de marteaux qu’il avait reçu. Mais cependant, sa colonne vertébrale semblait fragile, on aurait dit qu’elle tremblait par peur de se plier sous les affres du temps. Ses petits yeux foncés arrivaient encore à émettre un regard perçant, bien qu’ils fussent à moitié voilés par des paupières lassées d’être inlassablement ouvertes. Les quelques cheveux blancs qui contournaient encore son crâne dégarni n’étaient maintenus que par quelques miracles, menaçant de tomber à chaque instant. J’avais devant moi un homme dont s’échappaient de son corps les derniers souffles d’une jeunesse désormais lointaine et révolue.
Qu'en pensez-vous ?
Quelques fautes pour commencer :
"Il n’était pas bossu, comme si son dos avait su rester droit et fier malgré les coups de marteaux qu’il avait reçu." reçus (les coups de marteau)
" bien qu’ils fussent à moitié voilés par des paupières lassées d’être inlassablement ouvertes." Elles sont lassées mais inlassablement ouvertes ? Un peu paradoxal ça
". Les quelques cheveux blancs qui contournaient encore son crâne dégarni n’étaient maintenus que par quelques miracles[...]" quelque miracle
"J’avais devant moi un homme dont s’échappaient de son corps les derniers souffles d’une jeunesse désormais lointaine et révolue." Oulà mauvaise gestion des propositions relatives > "J'avais devant moi un homme dont le corps laisser s'échapper les derniers souffles..." ou "J'avais devant moi un homme du corps duquel s'échappaient les derniers souffles..."
Sinon, je trouve ton style un peu lourd par moments, comme si tu essayais d'en dire trop à la fois, ou de donner à tes phrases des tournures inutilement compliquées. Tout en utilisant paradoxalement beaucoup de verbes basiques style avoir, être, sembler, paraître (les deux derniers sont déjà mieux mais très attendus dans une description). Tu devrais peut-être essayer de rendre la description plus dynamique en multipliant les phrases où tu fais de certains traits particuliers les sujets des phrases qui les concernent plutôt que de dire "Il avait ceci", "Il semblait ceci", comme avec les cheveux qui contournent la tête, etc. Quelques bonnes images cela dit, après pour pouvoir mieux juger de la qualité de la description il faudrait connaître le contexte et voir comme tu l'introduis.
Bonjour,
J'ai en projet d'écrire une histoire et j'ai commencé mon prologue. Ce sont mes premiers pas dans l'écriture donc je viens demander conseils pour améliorer mon récit. J'espère que ce n'est pas trop long. Merci
Il faisait froid au village. La brise matinale chassait les dernières feuilles d'automnes sur les pavés de la grand place tandis que les villageois se vêtaient d'épaisses fourrures, suppliant le soleil de leurs tendre quelques uns de ses rayons dorés. L'hiver s'annonçait rude, la neige abondante. Les paysans se réjouissaient de la dernière moisson qui fut bonne. Le forgeron du village commençait ses journées par le rassemblement de ses lingots de fer, il en était amoureux. Son marteau était sa voix, son feu était son souffle. Il travaillait toujours avec bonne humeur et les objets qu'il façonnait étaient une belle démonstration de savoir faire. Il recevait souvent quelques linges confectionnés par la couturière en échange de petits boutons en cuivre. Cette dernière vivait dans une modeste maison à l'ouest, près de La Sauge, un petit champ à la lisière de la forêt. On y avait placé quelques tentes en peau de buffle disposées en cercle pour les enfants. Au milieu, un foyer se consumait. Les dernières braises chaudes de la veille mourraient dans un dernier crépitement. Pour un étranger, il n'était rien de plus qu'une simple prairie, mais l'air qu'on y respirait était d'une pureté rare. Au delà de la colline se tenait une ferme. Elle appartenait à M. Salvarg, un vieil homme robuste et enjoué. Tout le monde au village l'appréciait, il aimait raconter des histoires aux enfants et son amour pour la bière était légendaire. « Je ne suis pas alcoolique, je bois pour le prestige de la boisson » qu'il disait, mais les nombreuses bouteilles vides sur le plancher parlaient d'elles mêmes. C'était avant tout un homme généreux qui partageait son savoir. Bien des années auparavant, il avait recueilli un adolescent qu'il trouva allongé dans le champ alors qu'il trayait une vache. Le jeune homme ne savait ni parler la langue, ni écrire. Personne ne savait d'où il venait. Il lui donna un nom, Alrik. Au fil des années, l'inconnu apprit à travailler et à parler. Il devint même cordier.
Je veux faire une histoire d'humour avec 6 personnes 4 mec 2 filles mais je sais pas quoi faire comme blague pour la fille parce qu'une fille ça a pas d'humour...
je tiens à préciser avant tout que ce que je recherche n'ai en aucun cas en rapport avec une haine pour le peuple du Pérou.
Alors j'aimerais juste connaître une insulte ou deux, ou même une expression très péjorative pour désigné un péruvien.
Je cherche l'équivalent de négro, feuj ou bol de riz mais pour le Pérou.
Merci de vos reponses
espèce d'équatorien!
(Les deux pays se haïssent et les tensions sont fréquentes, donc tu peux pas faire pire que le traiter d'équatorien.
Ou sinon, dans ce que tu cherches, "Indigena", bien que la plupart sont fiers d'être indigène et s'en tape le haricot de tes insultes raciales à deux francs.