SWEET
sweet
SWEET
Sweet non d'une jambe en bois
Je ne laisserai pas ce topic couler
Non d'une crevette aveugle
Était-ce vraiment Omar Bekri ?
SWEET
Sweet
Suite !
Buzzcocks
http://www.noelshack.com/up/aac/buzzcocks-e720b10f83.jpg
Sweet !
"Bon écoute mecton, j'ai passé mon CATI1 ( Certificat d'Aptitude au Tir de 1er Niveau avec l'armée, donc FA-MAS et tout ... ), et je peux te certifier, que même si y'a une baïonnette, elle n'est jamais utilisé "
Je disais qu'on utilises jamais la baïonnette du FAMAS excepté pour la parade.LA PARADE.
Allez je vais l'écrire encore trois fois vu que t'as des difficultés : LA PARADE,LA PARADE,LA PARADE !
(Si tu ne sais pas ce que c'est va te renseigner tout seul)
Alors franchement OSEF que t'ai ton CATI1,parce qu'il suffit de ne pas être aveugle pour voir des baïonnettes au famas dans n'importe quel défilé militaire.
http://photo.lejdd.fr/media/images/archivesphotoscmc/societe/cape-et-famas/52070-1-fre-FR/Cape-et-famas_pics_500.jpg
Allez bye !
Je parlais de l'efficacité au combat.
Et tu peux aller de faire mettre
Oups, j'ai appuyé trop vite
Je voulais dire
" Et tu peux aller de ce fait, mettre ta baïonnette sur ton FA-AMAS "
M'voyez
Ou pas
Buzzcocks
http://www.noelshack.com/up/aac/buzzcocks-e720b10f83.jpg
La neige tombe de plus en plus, la boue s'amasse de plus en plus sur les trottoirs trempés de la capitale grise. La voiture garée devant la boite n'est plus la.
Je marche, ne sachant ou aller. Ou vais-je aller? Qu'est ce que j'attends? Qu'un type passe et me loge deux balles dans la tête? Qu'un commando ne m'enlève et me tue avant de m'enterrer dans un bois?
Sur le toit du bâtiment juste en face de moi, je n'ai pas remarqué le tireur armé d'un G36 silencieux à lunette qui m'épie, il m'a dans son viseur, je suis sa proie. Il n'attend qu'un arrêt de moi pour se stabiliser et m'abattre.
J'arrive à un passage piéton. Malgré l'absence de véhicule, je m'arrête. Je sens son regard, mon instinct me fait presque entendre son doigt presser la détente
J'ai à peine le temps de lever mes yeux qu'un une rafale au niveau du ventre me fait tomber à genoux. Je me tiens les abdominaux. Les balles me brulent les tripes. Je sens ce métal dans ma chair, en train de me bouffer de l'intérieur. Une deuxième rafale, plus haut cette fois, me terrasse. Je tombe sur le dos, Mes poumons me font souffrir le martyr.
Des bulles rouges sortent de ma bouche. Je n'arrive plus à respirer. Je sens le liquide chaud couler le long de mes cotes. Mes mains baignent dans la grande flaque de sang qui ne cesse de s'agrandir autours de moi.
Je fixe le ciel gris d'où tombent les flocons de neige, je me sens partir, je me laisse partir.
C'est fini. Mes yeux se ferment une dernière fois. C'était mon dernier combat.
Sweet meme si c eat la fin!!! Dommage ...
J'ai adoré lire cette FIC
Excellente fic mec, GG
GG
Dommaque que ce soit la fin
Superbz fic
GG
Epilogue.
Philippe Zergaoui est né et a grandi à Beyrouth, au Liban.
Il a vécu dans cette ville, il a aimé cette ville, autant dans sa grandeur que dans sa déchéance.
Il n'a rien à prouver à la vie : Son père, géographe réputé, est venu de France un jour d'automne 1987. Il a épousé sa mère, Chrétienne Maronite, dans une Eglise en ruine et dans la plus stricte intimité. Deux ans plus tard Philippe naissait. Il avait trois ans quand, en pleine nuit des hommes du hezbolla sont entrés chez lui. Sous ses yeux ils ont égorgé son père et passé le visage de sa mère au vitriol.
Sa vie n'aura été que guerre et violence, il a donc considéré comme normal de s'engager dans la Légion étrangère, afin avoir la nationalité et pouvoir vivre en France.
La France... Ce pays qui avait l'air tellement merveilleux quand son père lui en parlait, que ses yeux s'illuminaient.
Après deux ans passés dans les rangs du 2ème Régiment Etranger d'Infanterie et trois blessures en Afghanistan, il obtien enfin la nationalité, par le sang versé.
Ce jour la, il a pleuré, pleuré de joie de pouvoir partir de cette ville qu'il chérissait, mais qu'il detestait. Qu'il conaissait comme sa poche, mais dans laquelle il vivait avec une peur permanente au ventre. De pouvoir quitter ce pays et réaliser son rêve : vivre en France.
Ce jour de décembre il pose le pied pour la toute première fois en France...
Mais bien vite, il déchante, il retrouve les extrèmistes, ls mêmes qui ont massacré son père, les mêmes qu'il a combatu en Afghanistan, les mêmes qu'il voulait fuir.
Ou est donc passée la France, ce beau pays prospère qu'il voyait dans ses rêves, celui dans lequel il voulait fonder sa famille, loin de la guerre et de la violence? Ce n'est certainement pas cet infâme pays ou les gens passent leur temps à courir après le temps ou simplement pour fuir quelque sale agression. Ce pays ou deux dizaines de milliers d'individus font trembler 60 millions d'autres simplement en brulant des voitures.
Tout ce que sait Philippe, c'est qu'il ne vivra pas en France.
Ou alors pas dans cette France la...
Merci à tous, bien que vous ne soyez pas nombreux ça m'a fait plaisir de voir que quelques personnes lisaient ma fic, j'ai eu du plaisir à l'écrire et à lire vos commentaires