Sweet
La depuis le début, jamais décus
Continue comme ça Joe
Ah aussi Suite
upe
Owi la sweet!!
On voit dès le début vers où tu te dirige hein...
Mais bon, c'est l'esprit du 15-18.
Suiiite !
Buzzcocks
http://www.noelshack.com/up/aac/buzzcocks-e720b10f83.jpg
Mon portable vibre sur la petite table de salon, ce qui me réveille, je décroche :
-Allô, c'est François. Rejoins moi à Notre Dame des Chardonnets, c'est important.
-Je... J'arrive.
Je sors du clic-clac de Delko et m'habille.
Il est 9 heures du matin, je sors sous la pluie battante et entre dans mon véhicule, en sortant e la cité, je vois des cars de CRS garés, non loin, un parking sur lequel plusieurs véhicules garés sont carbonisés.
J'arrive au point de contrôle et présente mes papiers.
-La nuit a été courte?
-Bon Dieu... On a eu quatre blessés et pas une seule interpellation, et nos check-point ont rien arrangé.
-Bonne chance.
Je repars et arrive à l'Église ou se trouve François une demie heure plus tard.
J'entre et fais le signe de Croix après avoir trempé ma main dans l'eau bénite.
François est assis sur un banc devant l'autel. Mis à part une personne allumant un cierge, le lieu est vide.
Je rejoins François, mes pas résonnent dans le bâtiment silencieux et m'assois à coté de lui.
-T'es croyant? Me demande-t-il
-Saint Michel, le patron des paras, est tatoué sur mon corps.
-Prions.
Je croise les mains... Bon Dieu, depuis combien de temps n'ai-je pas prié, tout ce qui me vient à l'esprit c'est la prière du para... Je crois les mains et ferme les yeux :
Donnez-moi, mon Dieu, ce qui vous reste
Donnez-moi ce qu’on ne vous demande jamais.
Je ne vous demande pas le repos
Ni la tranquillité
Ni celle de l’âme, ni celle du corps.
Je ne vous demande pas la richesse
Ni le succès, ni même la santé.
Tout ça, mon Dieu, on vous le demande tellement
Que vous ne devez plus en avoir.
Donnez-moi, mon Dieu, ce qui vous reste
Donnez-moi ce qu’on vous refuse.
Je veux l’insécurité et l’inquiétude.
Je veux la tourmente et la bagarre.
Et que vous me les donniez, mon Dieu, définitivement.
Que je suis sûr de les avoir toujours
Car je n’aurai pas toujours le courage
De vous les demander.
Donnez-moi, mon Dieu, ce qui vous reste.
Donnez-moi ce dont les autres ne veulent pas.
Mais donnez-moi aussi le courage
Et la force et la Foi.
Amen
-Pourquoi tu voulais me voir?
-Je connais le commanditaire de l'attentat de l'autre jour.
-Rien que ça?
-J'ai habité à Barbès au début de mon séjour à Paris pour la restauration de Versailles, et je voyais ce type, barbe de prophète et djellaba prêcher en pleine rue, ses mots étaient extrémistes, il appelait au djihad, au départ les gens le laissaient dans sa folie, mais quelques uns l'ont suivi. Je les ai pistés et me suis renseigné sur eux. Le jour de l'attentat, j'ai eu de sérieux doute, je me suis renseigné sur lui grâce à Delko, et regarde.
Il me tend une feuille.
"Mohamed El Bakri, fiché à Interpol pour détention d'engin explosif".
-Il s'est battu contre les rouges en Afghanistan, recherché par ces derniers, il est passé du coté du bloc de l'Ouest et s'est réfugié en France. Les Renseignements Généraux l'ont à l'œil. Reprend François
-Tu comptes faire quoi?
-T'as du voir ma camionnette garée devant, dedans j'ai deux Uzi et deux 9mm, les types sont 3, dans un appart de Barbès.
Sweet
:sweet:
No-ban
Sweet svp monsieur
mec écris un livre
Je vais poster la sweet, mais ça sera la dernière de la soirée
Nous sommes dans la camionnette de François, avant de passer au volant il m'a montrés les armes cachées dans un coffre à l'arrière du véhicule, deux Uzi premier modèle, un Mac 50 et un Beretta.
Après un trajet silencieux, François se gare dans une petite rue vide, non loin du boulevard Barbès.
Le temps de ne s'est pas levé et la pluie bat toujours la ville grise et sinistre.
François descend, je le suis, et nous allons devant un petit bâtiment en mauvais état, il ressemble un peu à l'hôtel ou j'avais fait une descente avec Delko.
François prend un Uzi et le Beretta et me donne mes armes, je vérifie les munitions du pistolet mitrailleur et demande :
-Y'a qu'un chargeur?
-Un chargeur de Uzi et deux chargeurs de 9. Mais ça ira, les types ne sont que trois.
Nous entrons sans difficulté, l'interphone étant bousillé.
Nous sommes dans un hall sentant le renfermé, les ordures et l'urine. Les boites aux lettres sont défoncées et les graffitis ornent les murs jusqu'au premier étage.
-Ils sont au troisième. Me dit tout bas François avant de mettre son écharpe sur le nez.
Nous arrivons devant une porte dont la poignée ne tient plus en place. Je met un tour de cou sur mon visage.
-Prêt?
-Volontaire.
La devise de mon régiment...
François défonce la porte et arrose l'appartement, à l'intérieur des hommes crient en Arabe et répliquent par des tirs de pistolet. A en croire les hurlements et les pétarades, ils sont plus de trois, et bien armés. Nous devons faire vite au risque d'alerter les voisins. Je m'applique dans mon tir et lance une rafale sur un ennemi qui tombe par le fenêtre, François en profite pour à son tour en tuer un d'une balle bien placée en pleine tête. Il fait un tir de barrage mettant les ennemis à terre pour dégainer son arme de poing, j'en fais de même en vidant mon charger à l'aveugle en restant à couvert.
Les hommes ne tirent plus à l'intérieur, nous pénétrons dans l'appartement, il y a un blessé, surement du au tir de suppression, je l'abat froidement d'une balle dans la tête.
Nous avançons dans le petit lieu d'habitation vide et vieux, le salon comporte une télévision et des tapis de prière, nous avançons dans le couloir, sur la droite, la porte des sanitaire s'ouvre brusquement, François se jette contre la porte pour empêcher l'individu de sortir, je le rejoins et tire trois coups dans la petite ouverture et entends un cri, François ouvre et nous voyons un homme assis sur la cuvette des toilette, les yeux grands ouverts.
-Il est mort... Mais c'est pas lui. Dit François
Nous continuons d'avancer jusqu'au bout de l'appartement ou se trouve une chambre, j'entre le premier, un homme se jette sur moi avec un couteau, je n'ai pas le temps de me retourner, François se jette sur lui et le plaque contre un mur.
-C'est toi! Enfoiré!
Il sort un Croix de sa veste et lui appuie sur le front avec, puis il sort un couteau et lui plante en plein cœur avant de lui murmurer à l'oreille :
-Dieu le veut...
et sweeeeeeeeeeet
Sweeeet! :D
Oh sweet
sweet sweet
Fic de qualité
ça fait plaisir de voir quelqu'un qui s'y connait un peu en armes, et qui ne reste pas cantonné aux .357 et autres pétards.
Cependant, je n'ai pas encore 'entendu' parler de mon chouchou, le glock
Si tu pouvais en ajouter un dans ta fic, ça serait grandiose mon ami
Très bonne sweet !
NEEED MOARR
No-ban
sweet