Tant que ça ? Alors tout de suite, un nouvel épisode assez long ^^ !
Chapitre 27 : Le piège !
2 ans et demi plus tard ; Titania ; Dans la base de StarWolf ; 13 h 24 ...
Deux années et des poussières, pleines d'ennuyements et de " Chais-pas-quoi-faire " s'étaient envolées. A deux, le travail s'organisait plus vite. On avait revendu les anciennes chambres d'Andrew et de Pigma à un vieux marchant assez riche qui passait dans le coin. Un coup de veine que ce n'était pas un cornérien, ou on aurait été dans de beaux draps car, Léon avait activé le lançeur à plasma et avait tiré sur le vaisseau en croyant que c'était un ennemi. Sacré Léon ! Il m'a ensuite demandé de détrousser le marchand, mais celui-ci était surveillé de près par plusieurs lézards qui avaient un fort gabari. Bref, la vente des deux chambres nous a permis de souffler un bon coup. On s'est acheté beaucoup de provisions venant de Venom ( qui ne vont pas pourrir je l'espère ) et on a refait une réparation complète des vaisseaux. Suite à cela, rien de très intéressant ne s'est passé dans l'année, à par la forte vague de chaleur, de plus en plus intense chaque jour. Ah oui ! L'or d'une randonnée dans le désert pour rechercher des ressources ( Les missions étaient peu nombreuses, il n'y avait plus que ça à faire ), un tourbillon s'est déclaré, emportant avec lui un de nos soldats au fin fond du désert. Que Dieu bénisse son âme ... L'année était très tranquille ou sinon ... Aujourd'hui, j'étais avec Léon à la salle des commandes. On se faisait une partie " Lézard-main ", un jeu de cartes de Léon.
Léon : Mais non !! C'est pas comme ça !
Wolf : Rooh ! Je pige rien !
Léon : Réfléchis ! Tu ne peux pas utiliser le Décromateur dans cette situation ! De un, il te faut 12 de Métal et une matraque niveau 7, de deux, mon Zephir est en mode pirate des airs, ce qui bloque la transmission des armes pendant trois tours et l'invocation de ton monstre ce tour-ci !
Wolf : HE ! Mais c'est pas juste ! T'as bousillé mon Clown Rongeur !
Léon : Ben il était en mode cache-cache, et mon Broyeur des Os avait le choix entre lui et la Limace Baveuse. J'ai pas hésité !
Wolf : * Pose les cartes sur la table * C'est bon ! J'arrête ! Il me casse les ... ton jeu !
Léon : Mais c'est toi qui comprend pas les règles ! Elles sont, pourtant, relativement très faciles à comprendre !
Wolf : NAN !! J'arrête !!
Une alarme se déclencha soudainement.
Wolf : De toute façon, il y a quelque chose à faire ...
Léon : Peuh ! Ouais ben pour une fois !
Je m'approchai du radar, et regardai d'où le signal d'alarme était transmis. Un point jaune, qui clignotait faiblement, apparut sur l'écran.
Wolf : Ah ! Enfin quelque chose à faire ! D'où est émis le signal ?
Léon : ... De Titania ...
Wolf : Quoi ?! Tu veux dire qu'un vaisseau a atterit ici ?!
Léon : Non, parce que sinon le voyant du radar serait rouge, et pas jaune ...
Wolf : Bon, alors, c'est une ressource naturelle qui s'est réveillé ...
Léon : Impossible ! Si on prend on compte le niveau de degrès celsius et qu'on l'additionne au niveau de secousse sismique par an sur la planète avec l'hologramme virtuel d'essais futuristes, on obtiendra un calcul qui permettera de déduire de quelle sorte de ressource il s'agit, et le voyant du radar serai marron ...
Wolf : Raaaah ! C'est quoi alors ?
Léon : ... Ben je sais pas ...
Wolf : Quoi ?
Léon : Le voyant est jaune, donc, en toute logique, il s'agit d'une source d'émission des filtrations éléctriques dans l'air qui serait parvenue jusqu'à nous. Ce que je ne comprends pas, c'est qui a réussi à faire ça et pourquoi ...
Wolf : * Pense * Je me demande parfois si Léon n'aurait pas interféré son cerveau avec celui d'Andrew ... * A voix haute * Ok ! J'vais aller voir !
Léon : Ok !
Léon me donna un plan de la région et un appareil à onde permettant de capter les émissions de ... bref ! Puis je partis me chercher quelques armes, comme un machin gun, deux grenades, et bien sur, mon blaster. On ne sait jamais si c'était un ennemi ou pas ... Je pris aussi quelques bouteilles d'eau et un talki avec moi ( Pas envie de faire une rechute )
Je sortis de la base, et suivis la direction qu'indiquait le capteur. Le beau temps était lourd à supporter, ce qui me ralentissait un peu. A un moment, je passai devant une grotte, avec une grille ouverte.
Wolf : Tiens ! J'ai pas déja été ici ?
Andrew : On dirait un endroit où on met les gens quand ils sont morts ...
Wolf : Une crypte ?
Pigma : Une poubelle ?
Léon : Un volcan ?
Andrew : Je ne sais pas ... ça ressemble bizarrement à une grotte avec une grille qui barre l'entrée ...
Wolf : Allons voir ça ...
Mais bien sur ! La grille d'y il a sept ans environ ! Je me souviens qu'on avait pas réussi à l'ouvrir ... mais ! Quelqu'un a réussi !!? Mais comment !!?
Wolf : * Talki on * Allô Léon ?
Léon : Ouf ! Tu t'es pas encore évanui !
Wolf : Hin hin hin ! Reste sérieux pour une fois !
Léon : Ok !
Wolf : Tu te souviens de la grille qu'on avait trouvé il y a longtemps ?
Léon : Celle où je me suis pété le bras en essayant de la défoncer, ouais ... et alors ?
Wolf : Ben figure toi qu'elle est ouverte ...
Léon : Quoi ? T'as réussi à l'ouvrir ??
Wolf : Non, mais on dirait qu'une autre personne est sur cette planète ... la preuve : La serrure a été débloqué par une clé à vu d'oeil ...
Léon : Qu'est ce que ça veut dire ?
Wolf : Je sais pas ... mais un conseil : Mets les soldats en état d'alerte. On ne sait pas si on va nous attaquer ...
Léon : Ok ! Je vais les réveiller ! Ils sont partis pioncer les salopards !
Wolf : Ok ! Terminé ! * Talki Off *
Je voulais entrer dans cette grotte, mais quelque chose m'arrêta net. La serrure était sur la grille, à l'intérieur de la grotte. Forcément, on n'a pû la déverrouiller que de l'intérieur. Donc ... la personne n'est pas dans cette grotte. Logique ! Je regardai le capteur à nouveau.
Je repris la marche, le blaster dégainé et paré à toute éventualité ...
30 minutes passèrent. Bien que le signal était dans notre secteur, il était loin de moi. J'ai dû, à plusieurs reprises, m'arrêter pour reprendre des forces. Je tenais aussi Léon au courant de ma situation, et celui-ci n'hésitait pas un seul instant à me charier. Bref, les minutes passaient vite, la chaleur augmentait de plus en plus. Normal, j'étais en pleine après-midi. Quelque fois, j'entendais des bruits de pas dérrière moi. Quand je me retournais, il n'y avait personne. La chaleur devait frapper fort sur ma tête. Je me mettais de l'eau sur le visage et le torse, pour essayer de garder une bonne température du corps. Je ne voulais pas retomber dans les pommes comme l'autre fois. Le capteur émettait des petits " bip " pour indiquer l'intensité du signal émis. Soudain, ces " bip " se firent plus rapides. Pas de doutes ! Je m'approchais du signal. Je courais. Je courais à pleine vitesse. Je ne savais pas trop pourquoi, mais je sentais que ce signal était important. J'arrivai enfin au signal. Je me reposai un peu, relevai ma tête, et regardai de gauche à droite, du Nord au Sud, de la diagonale Est à la diagonale Sud-Ouest, rien ... personne ...
Un grand vent souffla pendant 5 minutes, faisant ainsi gicler le sable à mes pieds. Un objet, recouvert par le sable, fit son apparition. C'était de là que le signal était émis.
Wolf : Hein !? Mais qu'est ce que ça veut dire !!?
? : Tu t'es fait avoir, Wolf !
Wolf : QU ... !!?
Impossible ! Quelqu'un était parvenu à m'atteindre sans que je détecte sa position ! Cette personne m'enleva le talki et le blaster des mains. Elle était dérrière moi et m'enfonca mon blaster dans la nuque. Elle était prête à me tuer. Je devais garder mon sang froid.
Wolf : Comment avez-vous fait pour réussir à me toucher ? Si vous me connaissez, vous auriez dû savoir que je peux sentir tout ce qui m'entoure ! Le sixième sens des canidés est fabuleux vous savez? Alors, comment avez-vous fait ?
? : Tss ! Tu parles trop ! Réfléchis !
C'est alors que mon regard se pointa vers le sol, vers le sable plus précisement.
Wolf : ... C'était donc ça ...
La personne dérrière moi avait prévu un bon plan pour réussir à me piéger. Comme elle me connaissait, elle savait que sans Andross, j'aurais besoin de divers moyen pour me procurer de l'argent. Elle savait aussi que n'importe quoi sur cette planète serait pour moi quelque chose à vendre. Elle a donc envoyer ce signal pour m'attirer jusqu'ici, à l'écart de la base. Une fois que j'étais parti, elle s'est recouvert de sable, empêchant mon odorat de détecté son odeur. Et quand je suis arrivé ici, elle a profiter du vent pour m'avoir par surprise ... et ça a bien marché ... j'étais pris au piège, sans arme ...
Wolf : Effectivement, c'était bien joué ...
? : De la part d'un beau loup comme toi, ça me va droit au coeur !
La personne avait une voix féminine, et elle m'était familière. Elle prit mon sac et l'envoya loin de moi, me privant des grenades et du machin gun ...
Wolf : Que vas-tu faire de moi ?
? : Je ne t'ai autorisé à me tutoyer ! * Donne un coup de genou dans le dos de Wolf *
Wolf : Ouch !!
? : Pour répondre à ta question, eh ben ... je vais te tuer ...
Wolf Ah bon ? Et pourquoi ?
? : Ca ne te regarde pas ...
Wolf : Voyons ! Ne fais pas tant de manières. Je sais bien que si tu veux ma peau, tu voudras d'abord me battre dans un combat.
? : Tu as tort ! Je suis une lâche !
Wolf : Pff ! Les lâches n'auraient même pas eu l'idée de me tendre un piège et aurait déguerpit chez leur mère dès qu'ils eurent entendu mon nom ! Tu es plutôt du genre courageuse, ne mens pas ! Avant de mourir, j'aurais bien voulu savoir la raison de ma mort ... dommage ...
? : ... C'est parce que ... tu es recherché ...
Wolf : Ah ! Alors tu es une cornérienne ?
? : Non !! Je ne suis pas une de ses minables ! Le Général Pepper m'a demandé de t'arrêter !
Wolf : ... En contre-partie de quoi ?
? : ... De retrouver la libertée ...
La personne recula de quelque pas. Je me retourna doucement ... je n'en croyait pas mes yeux ... c'était Katt ...
Wolf : Tiens donc ma mignonne ! Ca fait un bail, pas vrai !
Katt : ... Tout comme toi, j'ai été recherché depuis que je suis une enfant. Mes parents, mes amis, pleins de personnes chers à mes yeux se sont sacrifiés pour que je puisse vivre en paix. J'ai toujours rêvé de vivre ma vie sans avoir à tout le temps fuir ...
Wolf : Alors Cornéria et tous ses habitants sont tes ennemis.
Katt : Au début, oui. Mais quand, moi et mon équipe, nous vous avons vu entrer dans la base de Shears, j'ai immédiatement évalué la situation. J'ai posé un micro-émetteur, invisible à l'oeil nu, sur un de vos Wolfens. J'ai ensuite prévenu Cornéria de la locilisation de ta base. Je vous ai vendu.
Wolf : Mmh ... vous étiez donc vous aussi dans la base de Shears ... ça veut dire que vous habitez quelque part sur cette planète ...
Katt : Oui, tu as vu juste ...
Wolf : Pour en revenir à Cornéria, je ne vois pourtant pas la trace de soldats par ici ...
Katt : * Sourit * ...
Wolf : ... Quoi !!? Tu veux dire que ...
Katt : Eh oui !
Ce n'est pas vrai !! Léon était en danger !! Il fallait que je le prévienne !! Cette Katt avait mon talki et mon blaster dans les mains. Mon sac était trop loin de moi pour que je puisse l'atteindre sans me prendre des balles dans la tête ... mmh ...
Wolf : ... * Sourit * C'est vrai ! Tu as raison ! On est pareil tous les deux ...
Katt : Mmh ?
Wolf : On a tous les deux souffèrent à cause de Cornéria. La justice ne nous a pas fait de cadeaux. Elle a mis ta famille en prison, et elle a tuer mon père ... Alors rejoins-moi !
Katt : Qu ... ?
Wolf : Abandonne ta stupide vie de survie ! Mon équipe est en reconstruction et nous avons besoin de personnes fortes et intelligentes, des personnes comme toi ! En rejoignant StarWolf, tu deviendras quelqu'un de plus puissant, tu seras capable de vaincre Cornéria ! Rejoins-moi Katt !
Katt : ... Alors ça, tu rêves mon ptit loup !
Katt fonça sur moi et m'asseigna plusieurs coups que j'avais dû mal à éviter. Elle était non seulement belle et intelligente, mais elle était aussi très forte aux arts martiaux. Ca n'allait pas être du gâteau. D'autant plus que Léon allait avoir plus de problèmes que moi ...
( Je fais Léon ^^ )
Plus d'une heure d'attente ... et Wolf ne m'avait plus rappelé depuis son dernier appel ... c'était inquiétant ... Pour passer le temps, je jouais à mon paquets de cartes avec deux ruffians. Soudain, une grenade fumigène cassa la vitre de la salle des commandes, nous plongeant dans l'aveuglette.
Léon : Peuh peuh ! Mais c'est quoi ce foutoir ?
Les deux ruffians qui étaient à côté de moi s'étaient mis dos à dos, m'entourant et me protégeant des attaques ennemis. Avec ma bonne vision et mon exellent sixième sens, je pouvais parfaitement voir dans cette purée de pois.
Léon : Ruffian de droite, tire 24° Est.
Ruffian : Bien ! * Pan *
Soldat : ARGH !!
Léon : Ruffian de gauche, tire 10° Ouest, puis 12° Nord.
Ruffian2 : OK ! * Pan, pan *
Soldats : Argh !!
A cause des cris, les autres ennemis s'étaient replié dehors. Un bruit se rapprocha de nous ...
Léon : Merde !! Sautez de là !!
Je fonçai vers le petit trou qu'avait fait la grenade fumigène, cassai la vitre avec ma personne, et sautai dans le vide. Un obus explosa la salle avec les deux ruffians. Dehors, pleins de soldats cornériens étaient en train de buter nos soldats ruffians.
Léon : Meeerde ! Comment ils nous ont trouvé ces c*** ? Faut que je fasse un truc !
Je me précipitai vers le hangar. Il fallait que j'active le lançeur de plasma pour tous les tuer en un coup. Un connard me donna un coup de poing dans la face, m'arrêtant dans ma course.
Léon : ARF !!
? : Hé hé hé ! Comment on se retrouve ?
Léon : Bill ?
Bill : On a découvert votre base ! Vous êtes finis !
Merde !! C'est chiant ça ! Sans Wolf, ça risque d'être dur. Le chien commença à se battre contre moi. Il était très fort. Mais j'avais un bon avantage sur lui : La vitesse !
Bill sortit une grande épée, je sortis deux poignards. Le combat commenca. C'était Bill qui lança l'assaut. Ses coups d'épée étaient puissants, mais mes poignards étaient plus tranchants. Je bloquai chacun de ses coups, mais mes poignards commençaient peu à peu à se fissurer. Je le renversai par terre, rigolant presque de sa tête.
Bill : Arrête de te moquer de moi !!
Il me donna un coup de poing dans la face ... mais à côté, plus précisement sur le mur de la base.
Bill : Argh !!
Léon : Ha ha ! Tu t'es fait mal le cabot ?
C'est alors que j'entendis dérrière moi un craquement. C'était le mur ... il se fissurait de toutes parts ... et c'était pile à l'endroit où le chiot avait frappé ... il n'était pas bon à l'épée, mais si jamais je me prenais un de ses coups dans la face, ça allait faire mal.
Bill : Echec et mat le lézard !
Je me retournai. Bill me donna un coup d'épée dans le ventre.
Léon : Humpf !!
Je l'esquivai de justesse, mais le coup me rasa de près, emportant une partie de mon ventre avec.
Léon : Grraa !
Bill : C'est pas vrai ! A cette distance, j'aurais dû l'embrocher !
Léon : Théoriquement, oui ... mais qui t'as dit cela ? Un cabot ? Un minable ourson ? Un poisson ? Tu vois, peu de personnes au monde connaissent réellement les capacités d'un lézard ... Il existe trois étapes pour tuer une proie ... toi, tu seras mort à la deuxième !
Bill : Qu ... ?
Bill sortit un blaster de son uniforme et voulut tirer sur moi.
Léon : Trop lent !
Je le désarmai en lui lançant un poignard.
Léon : 1ère étape : Le camouflage !
Je donnai un coup de pied au sol, envoyant du sable dans les yeux de ce chien débile.
Bill : Merde ! ... Où ... Où es-tu ?
Il n'arrivait plus à me voir, pourtant moi, je le voyais très bien. J'avais adapté mon corps avec les couleurs du paysage.
Léon : Je vais être sympa avec toi ! Je vais te montrer les capacités du lézard ... malheureusement, tu ne vivras pas assez longtemps pour t'en vanter !
Bill : Grr ! Zut ! Il peut se camoufler !
Léon : Commençons la leçon !
Bill : La ferme !
Léon : Le lézard est un prédateur né. Quand il voie une proie à sa mesure, il établit d'abord une stratégie ...
Bill : Où es-tu bon sang ?!
Léon : Il utilise quelque chose d'essentiel pour l'approche furtif : Le camouflage ! Grâce à sa vision de 360°, son corps inodore et sa couche écailleuse changeante de couleur, le lézard peut survivre et s'adapter à n'importer quelle situation, et il est quasi impossible à sa proie de savoir où il est ...
Bill : Je vois ! Tu t'es dissimulé soit par terre, soit sur les murs de ta base et tu en as prit la couleur très rapidement. Pas mal ! Mais si je me réfère à ta voix, je pourrai te tuer facilement.
Léon : C'est là où tu te trompes ! 2ème étape : L'attaque furtif !
Bill : Qu'est que ... ARRRRRRRGGGHHHH !!!!
Je fonçai sur Bill à pleine vitesse et lui plantai mes poignards dans tous les membres de son corps, avant de redevenir camouflé. Bill tomba à terre.
Bill : Je ... Je ne peux plus bouger ! ARGH !!
Léon : Contrairement aux apparences, le lézard est très rapide quand il s'agit d'attaquer, puis de se recacher. Dans notre race, on appele ça l'attaque à petit feu. Chaque coup donné sur l'adversaire nous donne du plaisir, énormément de plaisir ...
Bill : Gouh !
Léon : Impressionant ! Tu es encore vivant ! Dans ce càs ... 3ème étape : La décapitation ! L'attaque qui tue en un coup !
Je fonçai à nouveau sur le misérable chose qui me faisait peine à voir. J'allai le tuer cette fois-ci, quand soudain ... je crachai du sang ...
Léon : ARFFFF !!!
Une balle s'était logée dans mon ventre. Je levai ma tête vers Bill. Il tenait son blaster à la main.
Léon : Comment as-tu fait pour me repérer, sale cabot !!?
Bill : Tu est trop sur de toi ! Regarde ton ventre !
Je regardai partout sur mon ventre. Il y avait une petite fissure sur le côté de mon torse ...
Bill : C'est en te rasant le ventre avec mon épée que j'ai sû ta position. Tu ne peux pas changer la couleur de ton sang, imbécile !
Léon : Gouh !
Bill : Je me répète ... échec et mat !
Bill tira pleins de balle dans mon ventre. Comment ce cabot avait-il pu faire une telle stratégie ? Pour ... pour la première fois dans un duel au sol, j'étais vaincu. Je giclai dans les airs, atterit au sol avec fracas, et repensai à tout ce que j'avais vécu, avant de m'évanuir ...
( Je refait Wolf ^^ )
Un " TIT " se fit dans ma tête ... j'avais une drôle d'impression ... quelque chose ne tournait pas rond à la base. Il fallait vite en finir. Mon combat avec cette chatte était très sérré, mais j'avais un bon avantage sur elle : La puissance !
Wolf : Prend ça !
Je lui fit un croche-pieds, suivi d'un cou de coude dans le ventre, pour finir sur une belle manchette. Elle gicla quelque métres plus loin. Elle saignait de la bouche.
Wolf : Tu es vraiment stupide ! Tu aurais pû me rejoindre, et tu aurais même pu me tuer il y a un instant. Tu n'es qu'une sale garce qui croit qu'on peu tout obtenir en suivant la justice. Le seul problème ... c'est que la justice n'existe pas !
Katt : Grr !
Wolf : Est-ce que tu crois que Cornéra, malgré tout ce qu'elle t'as fait, est vraiment du côté des gentils ? Et si c'était eux les méchants, hein ?
Katt : La ferme ...
Wolf : Tu n'y a jamais réflechis, pas vrai ?
Katt : La ferme !
Wolf : Qu'est ce qui te fait croire qu'il ne vont pas t'arrêter quand tu me délivrera à eux, HEIN ?!!
Katt : La ferme !!!!!
Wolf : ...
Katt : StarFox est avec Cornéria. Si StarFox défend le bien, Cornéria aussi ! Les membres de la StarFox représente l'espoir de tous les habitants de Lylat. Chaque habitant veut un système sans violence et sans guerre !! StarFox et Cornéria sont là pour ça !! C'est pour cela que je vais t'arrêter, Wolf !!
Wolf : Tss tss tss ! Ma pauvre petite ! Le bien et le mal sont deux choses totalement stupides ! Ce que chaque être humain rêve, c'est le pouvoir !
Katt : La ferme !!!
Katt fonca sur moi à nouveau. Elle avait perdu son sang froid.
Wolf : Imbécile !
Je fonçai sur elle à mon tour. Etant plus rapide qu'elle, elle n'aperçut pas le coup que je lui asseignai. J'enchaînai les coups à pleine puissance, sans qu'elle puisse faire grand-chose. Elle tomba à terre, épuisée.
Wolf : Ca fait 10 minutes que l'on se bat, et tu es déja par terre. Tu vois, je pense que ce que tu as dit n'est que du vent. Si tu croyais vraiment à tes paroles, tu m'aurais montrer bien plus de volonté et de force dans le combat. Tu n'es qu'une idiote, bonne à jeter aux ordures. Tu ne mérites même pas que je te tue ! Tu as raison ! Tu es une lâche ! L'estime que j'avais envers toi n'était qu'éphmère ! Tu es une raté !
Katt : Ha ha ha ha ! C'est toi qui es pitoyable !
Wolf : Pardon !?
Katt : Si je suis à terre, c'est pour une bonne raison !
Soudain, un obus explosa dérrière mon dos, me faisant gicler loin, très loin de Katt. Je réussis à contrôler ma chute et à me remettre sur pieds rapidement. Katt se releva. Un aligator avec une sorte de bazooka vint près d'elle. Elle s'était donc abaisser pour ça ...
Katt : Tu as vraiment cru que j'allai me laisser faire comme ça ? Tes attaques étaient fortes, mais pas inévitables. J'ai voulu attirer ton attention. Ensuite, mon ami en à profiter pour te toucher le dos ! Bien joué mon gars !
Aligator : Merci, hé hé hé !
Wolf : Grr ... Pff ! Tu m'a eu une fois, mais pas deux !
Katt : Ca, c'est que l'on va voir !
Wolf : Qu ... !
Des mains sortant du sol attrapèrent mes jambes. Je ne parvenais plus à m'échapper. Un rat sortit de sa cachette et vint devant moi. Il avait deux machin guns dans ses mains. Il n'hésita pas une seconde et me tira toutes ses balles dans le ventre. J'étais sonné. La personne qui me tenait les jambes sortit du sol pour se mettre devant moi. C'était un chat bleu.
Chat : Bien joué comme plan Katt !
Katt : Merci !
Aligator : C'est donc ça le fameux Wolf ? Pas terrible !
Rat : T'as mal le louveteau ? Hé hé hé hé !
Chat : Désolé, mais c'est la fin de la StarWolf !
Le chat m'injecta un produit dans le sang avec une seringue. Ma tête commenca à tourner, puis soudain, plus rien ... le néant absolu ...
Fin du Chapitre 27 !
Que va t-il se passer?(Même si je connait la suite)
Que va t-il se passer?(Même si je connait la suite)
vivement la suite
Une suite mais c'est petit ^^' :
Chapitre 28/1 : StarWolf en prison !
3 jours plus tard ; Cornéria ; Prison Metallisée " Delta " ; 8 h 24 ...
? : Wolf ...
Wolf : Mmh ...
? : Wolf ...
Wolf : Mmh ?
? : Wooolf !
Wolf : Raah ! Je dors ! ... et j'ai mal à la tête ...
? : WOLF !!!
Wolf : AAAAH !!!
Je me réveillai en sursaut. J'avais une de ces migraine.
Wolf : Ah c'est toi Léon ! Pourquoi tu me réveilles ?
Léon : Ben regarde autour de toi ...
Je regardai partout. Les murs étaient gris ... les fenêtres avaient des barreaux. Le toit fuyait, et quelques gouttes d'eau tombaient par-ci, par-là ...
Wolf : ... T'as refait la déco de ma chambre ?
Léon : Nooon ! On est en prison !!
Wolf : QUOI !!!!?
Je me levai et regarda à nouveau partout. Je vis quatres lits au sol ... de misérables lits tous déchirés. Puis, je vis une énorme grille en fer, gardée par des soldats cornériens. On était bien en prison ... Je m'approchai de Léon, et lui dis :
Wolf : MAIS QU'EST CE QU'ON FOUT LA !!!?
Léon : On s'est fait avoir ... L'armée cornérienne nous a tendu un piège ...
Wolf : ... Attends ... ma mémoire se débloque ... oui ... j'y suis ... Katt s'était alliée avec Cornéria ... et ce chat bleu qui m'avait injecté un produit ... j'en subi encore les effets ... Argh ! Mon corps me fait mal ! Et toi ? T'as eu quoi ?
Léon : Ben je me suis pris pleins de balles dans le ventre, mais ces abrutis de toubib cornériens m'ont guéri. Quels idiots !
Wolf : On est depuis combien de temps ici ? Et au fait, on est où ?
Léon : Ben, depuis que je me suis réveillé, ça va faire 1 jour ... Et je crois qu'on se trouve à quelques kilomètres de Cornéria City.
Wolf : * Snif * ... y a comme une drôle d'odeur ...
Léon : Ah ben ça ... c'est parce que ... ils nous ont enlevé nos vêtements ... et nous ont mis ces ... loques ...
Je regardai ma combinaison ... elle était toute jaune, avec des raillures ... et elle sentait la merde ... Je remarquai aussi que je n'avais plus mon talki, mon blaster, mes affaires personnels, plus rien ... Je fonçai vers la grille et voulus attraper un de ces ******** de soldats cornériens. Mais les soldats se dégagèrent aussitôt de là ...
Wolf : Revenez face de rats !!! Vous allez nous libérer sur le champ !!
Soldat : Ah la ferme !
Un des soldats sortit une drôle d'arme, et déclencha un tir laser sur moi. Je fus totalement éléctrocuté. Je tombai au sol. Je sentais une énorme douleur à travers tout mon corps ...
Soldat : Rayon paralysant. Ca marche bien pour calmer les têtes brûlées dans ton genre !
Wolf : ARF !! Enfoirés ... vendus ... trou du c ...
Soldat : T'arrives encore à parler ?
Soldat 2 : T'es vraiment pittoyable ! T'es pas un loup, mais un agneau, ha ha ha !
Un autre soldat sortit une de ces armes. Cette fois, ils se mirent à deux pour me mettre définitevement KO ...
Soldat : Ha ha ha ! Tiens toi tranquille la prochaine fois !
Soldat 2 : Ouais ! Ha ha ha !!
Rigolez, rigolez, mais attendez quand je serais libre ! Je vous le ferez payer au prix le plus élevée tas de bouseux ! Léon voulut m'aider à me relever, mais je le repoussai d'un bras, avant de tomber lourdement sur un des lits ... StarWolf était prise au piège du filet cornérien et ne pouvait plus se débattre ... il fallait attendre l'arrivée du couteau pour pouvoir se libérer ...
Les jours passaient lentement dans cette maudite prison.
Le premier jour, on avait été au tribunal pour se faire juger. Tout le monde était là : Le Général Pepper, les juges, le président, les autres dirigeants cornériens, les soldats hauts gradés, les médias, et les paparazzi. Tout le monde était présent pour " fêter " la défaite de StarWolf, sauf ... StarFox ... Pourquoi tu n'ais pas venu, Fox ? Pourquoi ? Tu aurais pu savourer ta victoire ... tu aurais pu m'humilier en public ... à moins que tu ne portes pas grande importance à mon arrestation ... je te hais !
Suite à cela, moi et Léon, on écoppa d'une prison à vie pour avoir commis plusieurs délits sur Cornéria, et pour avoir travaillait avec Andross. Et comme nous n'avions presque plus d'argent, les dommages et intérêts seront versés en faisant des travaux manuels.
Le deuxième jour, on commenca nos travaux forcés. Les détenus étaient très surpris de nous voir ici, et Léon n'hésitai pas à lâcher des phrases comme : " T'as avalé une mouche ?! " ou bien encore : " T'en veux une !!? " bien sur, à force de crier comme un dingue, les services de sécurité ne mirent pas longtemps à le remarquer. Les travaux forcés constituaient à casser des cailloux, à fabriquer des vêtements, à réparer des chaussures, à nettoyer des armes sans balles, bref, des activités très très énervantes. Le pire, c'est que quand on n'arrivait pas à faire une de ces activités, des soldats cornériens emmenaient les " incapables " dans une pièce que les prisonniers avaient surnommés : " Le bastion des gardes " Les quelques personnes que j'avais pu voir y entrer, en sortir quelques minutes plus tard, avec des traces de brûlures et de coups sur le corps, sans vêtements. M'étonnes pas que cette prison était une des plus dures de Cornéria. Les systèmes de défense n'étaient pas mal non plus : 2 groupes de 20 soldats autour de la prison, 3 groupes de 10 soldats à l'intérieur, systèmes lançe-missiles et lançe-flammes, armes bourrées de plasma ou de neutrons, barrières éléctriques, barbelés, bouclier de protection ... Impossible d'y entrer ou de s'échapper ...
Mais il y avait quelques points positifs dans cette vie misérable. Déja, on avait 2 pauses par jour entre le travail : A 10 h et à 15 h. La pause durait 20 minutes. Mais le plus marrant, c'est qu'on pouvait faire ce qu'on veut sauf dégrader les lieux ou la sécurité. On pouvait faire pleins de trucs marrant comme jouer au foot. La cour était très grande, presque aussi grande que le centre ville de Cornéria City si c'est pour dire. On pouvait aussi se bastonner. Les soldats cornériens s'en fichaient complétement, et n'hésitaient jamais à parier sur les combattants. Léon adopta très vite ces moments de " détente " de la journée, et eût même le surnom de " Casse-Noisette " ... allez savoir pourquoi ...
Un autre point cool de cette prison, c'était la bouffe. Le self était petit et la nourriture infecte, mais on pouvait la balançer dans toute la cantine et sur les autres, à condition de ne pas toucher les soldats ou bien encore les cuisiniers. Au menu : C'était tout le temps purée liquide et brocolies. Les cuistos et les soldats s'en foutaient qu'on lançe ces plats infâmes sur la gueule des autres. Pour eux, si on ne mangeait pas, on travaillera moins, et donc, on ira plus vite au bastion. Mais nous, on s'en foutait complétement. On ne pensait qu'à s'amuser.
Le troisième jour, on refit tous les boulots qu'on avait fait le jour précédent, mais le soir, il y avait quelque chose en plus : Le samedi soir, on nous proposait trois choix : Soit on regardait la télé, soit on allait boire au bar réservé aux soldats, soit on se faisait des parties de billard, de baby-foot ou de cartes. C'était certainement le meilleur moment de la semaine, c'était vraiment le délire complet. Bien sur, comme on allait se coucher très tard, le réveil était difficile. Dormir de 1h à 6h du matin, c'était peu ...
Bref, Léon et moi, on s'habitua très vite à l'endroit, mais on voulait toujours sortir de ce merdier. La rage de libertée et de victoire était toujours dans nos coeurs. StarWolf est comme le phoenix : Une fois mort, on renaît aussitôt ... il suffisait juste d'attendre le bon moment ...
Fin du Chapitre 28/1 !
Quelle suite! Et ptdr à ce passage:
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Wolf : ... T'as refait la déco de ma chambre ?
Léon : Nooon ! On est en prison !!
Wolf : QUOI !!!!?
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coooooooool la suite la suite la suite
la
suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
ouf j'ai tout lu c'est super
romain d ou aucun rapport?
nan oublie ma question
rien compris
sauf que je veux la chuite
laaaa suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeee
pitiéééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééé
é.
HAHAHA!!!
J'AVAIS RAISON! Le Boss du Secteur Y c'est bien Shogun.
Shogun Warlord en fait, mais Shogun quand même.
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Ah
C'est aussi Warlord, j'avais donc raison aussi
Sinon c'est sympa de faire remonter mon topic pour dire ça
Oui et c'est bien Goras aussi, et non Golas
J'ai le Player's Guide avec les nom de tous les ennemis (et bien plus ) donc bon.
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Ah euh merde, c'est moi Troll. ^^
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Etant donné que j'ai vécu sur un site officiel de StarFox en France, je maintiens sans trop m'avancer que le nom " français " reste et restera Golas
Les éditeurs du livre doivent être Japonais, ctoobligay
Y a pas de nom Français, seuls les répliques des personnages ont été traduites, et ils ne font jamais mention du Goras.
Toute autre traductions sont non-officieles.
Puis toute façon les non Français c'est nul
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