Ouais c'est vrai qu'en le lisant je remarque qu'il n'était pas si extra que ça. Bon ben tant pis
Merci du com en tout cas c'est cool. Prochain chapitre ne construction, et je vais essayer de bien le réussir celui-là
Salutation je lis ta fic depuis longtemps (j'ai jamais poster ici donc... ) et je peux te dire que ta fic est la meilleur que j'ai lu jusqu'a aujourd'hui (et pourtant j'en ai lu des fic ).
Bonne continuation
Oooh un new lecteur (pas vraiment nouveau en fait )
Basilisx
Posté le 28 octobre 2010 à 20:27:02
"et je peux te dire que ta fic est la meilleur que j'ai lu jusqu'a aujourd'hui (et pourtant j'en ai lu des fic )."
Eh ben ça fait plaisir !
Je me sens très honoré de ton com, d'autant qu'en matière de fic, celle-ci n'est pas la meilleure que j'ai faîte
Merci beaucoup en tout cas de ton soutien
Suite bientôt
Chapitre 35 : La Bataille de Cornéria (Part 2)
Je sentais mon cœur cogner contre ma poitrine. Il me faisait mal. J’avais l’impression qu’il se compressait de plus en plus à chaque seconde. J’avançais à vive allure vers ce lieu dévasté et anéanti. D’où j’étais, je pouvais voir les immeubles s’effondrer, les routes se disloquer, et les rues s’ensanglanter. Les parcelles de chair jonchaient à présent sur les bouts de murs explosés. Je voyais des silhouettes courir, pourchassés par d’autres ombres plus imposantes. Je voyais la ville s’enfumer des multiples feux des bâtiments. Les flammes avalaient tout sur leur passage. Elles engloutissaient les arbres et les mettaient en cendres. Elles fondaient le béton dans des odeurs indescriptibles. Elles rougissaient et rugissaient de leur terrible crépitement. Le verre brisé des fenêtres reflétait l’anarchie qui régnait tout autour. Des machines s’accrochaient aux murs et tiraient sur tout ce qui bougeait. Des acubateurs pleuvaient à foison sous un ciel vert scindé en cubes. Les véhicules et autres moyens de transport se faisaient infestés par ces bestioles, tout comme les citoyens qui hurlaient de leur corruption. Les soldats cornériens livraient bataille dans les airs pour repousser l’ennemi. Mais leur chasseur n’étaient pas assez résistants pour éviter de se faire à leur tour contrôler. Rarement mes mains n’avaient autant tremblées. Jamais je n’avais autant hésité. Je ne me rappelais plus avoir connu une telle sensation d’impuissance. Pour une fois, je regardais derrière moi. Je tournais la tête, je ne fixais plus l’ennemi. J’observais le vide de mon sillage, qui conduisait à l’espace. C’était si enivrant. C’était si sécurisant de savoir que je pouvais fuir et oublier cet affreux cauchemar … Fuir ? … Ca y est … je m’en souvenais … cette situation … était semblable à celle-ci …
Le bâtiment de guerre coulait sous les tirs jaunes dorés, qui percutaient férocement son dernier bouclier. Mais déjà celui-ci ne parvenait plus à absorber tous les chocs, et commençait à vaciller. Les lasers touchaient de plus en plus de parties métalliques et atteignaient désormais les circuits électriques. Privé de ses canons, le vaisseau de bataille risquait de ne pas faire long feu.
Dans la salle de contrôle, le capitaine le savait éperdument. Il avait vu son bataillon se faire anéantir par les forces cornériennes. Tous ses hommes ont été pulvérisés par la force de frappe de l’adversaire. Certains ont fuit et battus en retrait sur Venom. C’était une bonne chose. Au moins ceux-là partiront avec le souvenir d’un chef qui se sera battu jusqu’au bout. Ils pourront conter sa légende à travers Lylat, la légende de David O’Donnell. L'homme tenta d’oublier les projections et autres explosions autour de lui pour se concentrer sur l’espace. Il observait sans un mot les débris de chasseurs à partir des écrans externes encore intacts. Ils occupaient une vaste zone, laissés à la dérive par l’ennemi.
??? : Papa ! Papa !!
L’intéressé, réveillé par cet éclat de voix, se retourna et lança un regard à sa progéniture. Il s’agissait d’un loup de petite taille, âgé de 7 ou 8 ans. Les yeux humides, le garçon ne cessait de l’appeler, tentant de s’échapper de l’étreinte de trois soldats. L’enfant s’appelait Wolf.
Wolf : Papa ! Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi ces gens veulent me séparer de toi ! S’il te plaît aide moi papa !
David : Non mon fils.
Le jeune loup resta figé par cette réponse. Les larmes s’étaient arrêtées d’elles-mêmes, en attente d’une suite à cette phrase.
David : Tu dois vivre mon fils. Cette guerre n’est pas la tienne. Il est inutile que tu meures maintenant.
Wolf : Pa… papa ?
David : Reste fort et impitoyable. Et lorsque le moment sera venu, agit !
Wolf resta immobile, fixant timidement son père. Malgré la tristesse, l’image d’un personnage fort ne cessait de revenir en lui, lui faisant oublier le plus difficile à supporter. Puis, d’un geste silencieux, son père ordonna à ses hommes de main de l’emmener loin d’ici. Ce fut alors le retour des pleurs et des cris. Le jeune garçon se débattait malgré l’écart de force qu’il y avait entre lui et les soldats. Il les suppliait de rester avec son père, il leur demandait le courage de ne pas obéir à cet ordre. Mais en vain. Le loup se faisait traîner au sol comme un ver de terre, comme un sac, comme un objet qui n’aurait aucun droit de jugement. Il hurlait de chagrin, maudissait cette fatalité horrible et tout ce qui en faisait partie. Il soufflait bruyamment, s’affichant comme le seul bruit des couloirs vides et sombres du complexe. Puis, énervé, un des soldats le cogna d’un vif coup de poing sur le crâne. Wolf tomba à la renverse. Il se sentit se faire soulever puis à nouveau emmener quelque part. Dans l’infime part de conscience qu’il lui restait, il se posa une seule question « pourquoi ? ». Et dans un hoquet de sentiments, il se laissa gagner par le sommeil.
... Il était hors de question que je fuis. Cette guerre, je me devais de la gagner !
Je slalomais entre les bâtiments et les routes aériennes, à la recherche de mon rival. Puis une nouvelle explosion attira mon attention. Un vaisseau venait de se faire sauter sur le toit d’un immeuble, et une vague d’ennemi était apparu soudainement tout autour, délaissant étrangement les cieux. En m’approchant, je pus discerner Fox au milieu des bestioles. Ce dernier semblait choqué. Il avait dû assister à la destruction de son Arwing et ça l’a rendu triste. Pauvre chou.
Fox : Mince ! J’ai baissé ma garde !
Wolf : T’as l’air pitoyable comme ça.
Fox : Hein ? Wolf, c’est toi ?
A ce moment, une douce envie parcourut mon corps. Dans l’axe idéal, je rechargeais une boule d’énergie, le sourire aux lèvres.
Fox : Mais qu’est-ce que … aaaaahh !
Je le vis courir entre les aparoïdes qui étaient sur le coup très intrigués par mon apparition. Parfait. La boule larguée arracha le haut du bâtiment avec les monstres, tandis que mon rival, qui avait échappé au traitement, chutait inexorablement vers le sol.
Fox : YAAAAAAAAHH !!
Wolf : Aller crèves enfoiré ! Mouhahahahahaha !!
Bien entendu, j’avais coupé mon télécommunicateur. Conscient que le voir mourir de cette façon était vraiment indigne, je préférais accélérer pour réussir à le rattraper. Fox tomba sur l’aile gauche de mon vaisseau en laissant échapper un léger cri. Puis, constatant qu’il souffrait juste d’un mal d’épaule, je pris de l’altitude et m’envola dans le ciel.
Fox : Haa … haa … Wolf … haa … que fais-tu ici ?
Wolf : Tu es celui qui a débarqué à l’improviste.
Fox : Hein ? Tu veux parler de l’histoire à Sargasso ?
Wolf : Ouais. De plus, je suis le seul autorisé à te tanner le cuir !
Panther : Corrrrect !
Leon : Pff …
Je constatai avec joie que mes coéquipiers avaient rempli leurs objectifs. J’étais également content et rassuré de les voir toujours en vie. Slippy, Falco et Krystal se dirigeaient également vers nous. Les deux teams étaient là, réunies sur Cornéria. Puis, je vis à ma grande surprise Fox émettre un sourire soulagé.
Fox : Wolf …
Wolf : Efface ce stupide sourire de ton visage ! Je n’en ai pas fini avec toi …
Cela le fit sourire une nouvelle fois. Quel crétin … D’un échange de regard, nous comprîmes tous les deux que la mission ne faisait que commencer. Le renard s’agrippa plus fermement entre l’aile et le cockpit de mon vaisseau, me permettant alors d’effectuer un boost, à la recherche du prochain ennemi …
Fin du Chapitre 35/2 !
Si je lis tout, j'ai un cadeau ?
Oui, une dédicace perso dans la suite de ma fic
Nan mais lis pas tout, ça va te prendre trois semaines
A ben ce chapitre est mieux ^^
J'espére que tu ne compte pas faire tué Fox aprés cette bataille, ce serait vraiment indigne de toi ...(quoique ... ).
Bon allez je vais lire le Pacte, je laisserais un com là bas.
Arf ! Faudra que je pense à poster la dernière partie moi
Merci du com' en passant, ça fait toujours plaisir. Je vais profiter des vacances de Noël (si vacances j'ai) pour terminer cette fiction qui n'a que trop perduré ( bien que j'en sois très flatté )
Suite donc dans deux semaines
C'est bien mais il y a des fautes vraiment grotesques dans la première partie.
Lesquelles
Tu as confondu guerre et guère et dans la 2ème partie pas de s à l'impératif à le 2ème personne du singulier.
Raptor, tu vas nous faire la suite bientôt ? (ça fera 2 semaines demain ). Et est-ce que tu finiras ton autre fic ?
peppy Oh oui merci j'avais pas vu
Des erreurs vraiment bêtes, je l'avoue
yoshi Peut-être pendant les vacances de Noël puisque je serais totalement libre, y a des chances pour que cette fic avance. Sinon, Le Pacte est temporairement mis en suspens pour les mêmes raisons que j'ai cité sur le topic dans le forum SSBB
"Errare humanum est"
L'errreur est humaine (c'est du latin).
Salut !
Finalement il risque de ne pas y avoir de suite de StarWolf avant l'année prochaine (Janvier 2011), puisque je pars en vacances dans le Nord et il n'y aura pas d'ordinateur à l'endroit où je vais !hum:
Voilà, désolé pour ça mais soyez patients, vous aurez votre suite tôt ou tard
Bonnes fêtes de fin d'année
Bonne fête alors
pas de suite ?? Bon c'est pas grave on pourra attendre jusqu'à janvier (mais pas plus tard ). bonne fêtes
Joyeuses fêtes de fin d'année à tous.
Bonne fête du nouvelle an tous l'monde (malgré le retard ) et gloire à la fic.
Bon eh bien, bonne année à toi aussi Basilix (le Gaulois).