Et DQ qui continue à parler de sa "Mooony"... Cela prête à confusion que je t'ai dit.
Tu crois donc que je suis amoureux d'une transsexuelle ?
http://www.youtube.com/watch?v=iQnWBZrfnHM
Le genre de musique que je déteste.
Je trouve que cela sied parfaitement à l-orgue.
Je sais pas qui est cette Pauline, et je connais pas tes antécédents, mais là pour le coup t'étais obligé de "précipiter les choses"
Tina sent qu'elle est sur le point de lui échapper, il essaie de se rattraper comme il peut, c'est beau.
+1 FandeQ.
J'adore ta musique Gruntouf (surtout que ces temps-ci je suis dans une bonne période jazz), en lisant le dernier pavé de l-orgue en plus c'était parfait ...
Jours d'automnes sans réjouissance et d’allégresse. Cette année pas de Pauline ni Maeva. Une bouteille de champagne m’oppresse et il ne peut en être question. De rire fêter se réjouir ? Loin de moi vous êtes sentimentalement mais, pas de la Lausanne. La camisole faisant défaut vous avez dues prendre les larges sans moi. La vie est dure les jours longs. Les lacs helvétiques en cette saison si hostiles et pourtant dans la calle à la sueur de vos fronts. Pour mes passions, vous me manquez et ce n'est pas facile de décrire. Nous ne sommes pas les seuls et de loin. Beaucoup sont plus à plaindre que nous.
C'est joli.
Honnêtement c'est moche et mal écrit.
On dirait du Enzo.
Je ne suis pas assez drogué pour comprendre.
Mais c'est joli. Y a des mots.
Oui, mais c’était ironique, hein? Il n'y a pas vraiment de sens.
Hum. Le vrai rectangle au carré ne se serait jamais justifié. Tu es donc un usurpateur.
I smell black.
Le deuxième rectangle aurait utiliser des mots comme: A la base, pareillement ...
Bon, vu que ça fait un moment que j'ai plus posté sur ce topic, je vais m'y remettre. Et puis comme ça Personne regagnera légèrement (très légèrement) en activité. Pas une mauvaise chose. 'fin bref.
Bon, je pourrais vous parler de la Belgique. Mais il y a pas tant que ça de trucs à dire. Et puis faudrait que je trouve un nom pour ma Belge pour ça, déjà. Bon, tant pis. Appelons là Béatrice. Oui c'est un nom de merde. Mais tant pis. Enfin bref. Je vais reprendre ce que j'avais écrit à Pauline, tiens :
Je me demandais si j'avais déjà vu un visage aussi joli auparavant. Enfin, je dis visage, mais ça concerne aussi les cheveux qui vont avec, c'est un tout. On avait fait connaissance assez à la fin des 24 heures (quand ils cherchaient un arbitre pour un des derniers matchs, et que pendant une seconde on a envisagé de le co-arbitrer (juste parce que j'en avais déjà arbitré un pour essayer à 5h30 du mat' (une catastrophe, d'ailleurs ))) Mais elle aura traîné avec nous un peu jusqu'à la fin après ça. À « l'after » (c'est même pas moi qui ai insisté pour qu'on rentre tôt, c'est dire...)(Et pourtant je devais être celui qui avait le moins dormi et celui qui pseudo-dansait le plus sur le banc...), après un jeu de regard comme je peux en avoir avec n'importe qui, elle se tourne vers un mec de mon équipe, en lui demandant plus ou moins pourquoi je la regarde comme ça (sur le ton de la plaisanterie). Réponse de son interlocuteur ? « Il te veut » « Non c'est pas possible il a pas les pupilles dilatées ». Ah. J'avais jamais tellement entendu parler de cette histoire de pupilles. On était dans un environnement sombre en plus, elles devaient forcément être dilatées à leur max', là, mes pauvres pupilles... Mais là où j'étais le plus perplexe, c'était concernant après, quand on en était arrivé à évoquer le fait d'être ou non capable d'embrasser des gens en impro, et où on se retrouvait hyper proches, yeux dans les yeux et à portée de lèvres. Parce que je ne le réalisais que deux jours plus tard, mais pour le coup, j'avais à peu près jamais vu une fille avec des pupilles aussi dilatées, justement. Bon, ce devait être de toute façon une constante chez elle. Et quoi que j'aie pu ressentir c'était très probablement pas réciproque. Et elle était pas encore majeure, un peu trop éloignée géographiquement, et ça aurait sans aucune doute vraiment rien amené de bon. Mais d'un autre côté, j'avais une des plus belles filles que j'aie jamais croisée, là, à portée de lèvres, et j'ai rien fait. Encore. 'fin bref
Mais je parle de Béatrice, comme ça pour le ratio, mais pour le coup, j'y pensais plus tellement ces derniers jours. C'est plutôt Marlène qui commence un peu trop à hanter mes pensées. Je pourrais me contenter de donner des liens de ce que j'ai déjà dit sur elle. Mais je pense aussi aux gens qui ont une connexion de merde, un ordi qui rame ou un ratio à améliorer. C'est plus simple de charger quelques caractères en plus sur la même page que d'ouvrir un onglet. Donc je copie-colle, voilà :
« OMG ce soir en impro...
La fille pour laquelle j'ai embryon de béguin. Elle se sera assise sur nos bras puis sur mes genoux, le flanc droit de sa poitrine collée à mon épaule, et plus tard, elle m'aura dit "je t'aime"
Ah, et je l'ai portée aussi, pour un exercice où on devait tous tenir sur un nombre limité d'appuis (et j'ai fini par la lâcher (sur un pied, c'est plus difficile...))
Elle pèse son poids »
« Non plus sérieusement : elle est assez magnifique. De taille moyenne pour une fille (voire petite, mais comme il y a pas mal de petites dans mon entourage, elle m'a toujours parue assez grande...), de belles formes (quoiqu'aujourd'hui elle me donnait l'impression d'avoir tristement minci. Jusqu'à ce que j'essaie de la soulever ), Des cheveux longs, bruns, plutôt raides, secs et assez touffus. De grands yeux superbes qu'elle a toujours grand ouvert et qui font toute sa beauté. Elle porte souvent des collants épais surmontés d'une courte jupe flottante. Le tout dans des couleurs sombres. Elle dégage un certain côté "sombre", elle a souvent l'air ailleurs, comme mélancolique, même si je sais même pas au juste la définition de cet adjectif... Ce qui lui donne toute une dimension de profondeur qu'on ne retrouve pas forcément très souvent. Une peau plutôt granuleuse, et des petites mains assez parfaites : pas trop fines, pas trop grosses, avec suffisamment de chair pour ne pas paraître osseuses et rugueuses, mais sans pour autant paraître potelées... »
« Je suis extrêmement mauvais pour estimer les poids. Du fait que le mien est atypique, je suis très souvent décalé.
Pour la taille, je dirais 1m70. Je suis pas tellement meilleur pour estimer. Ce soir, elle avait des talons assez hauts, et je restais, il me semble, nettement plus grand qu'elle (mais je sais que j'ai tendance à me voir plus grand que je ne le suis).
Pour le poids, je vais dire 60-70, au petit bonheur la chance.
Je crois que Maeva en fait 60 et quelques. Maeva est un peu plus fournie mais largement plus petite. Bon, disons 70 pour... Ben Marlène, tiens. »
Un des trucs qui mériterait que je m'attarde un peu davantage dessus, c'est son côté sombre. Je sais pas très exactement à quoi ça peut tenir, ce genre d'impression. Parce que dans l'absolu, elle l'est pas forcément plus que ça. Je sais pas.
Elle a un rythme de parole assez lent, du genre à respecter chaque syllabe en lui octroyant la prononciation qu'elle mérite. Mais cela renforce aussi son côté « niveau d'énergie très bas » (je fais très fort pour ça moi aussi, IRL, de manière générale...) et l'impression qu'elle est un peu toujours assez fatiguée (ce qui est fréquemment effectivement le cas, ceci dit).
Son regard, donc, souvent ailleurs. Et d'un coup, on lui parle. Et ses yeux, qui étaient comme « normaux » jusqu'alors, s'ouvrent soudainement en grand, laissant parler leur sublime envergure, encore renforcée par un haussement de sourcils.
Un bonnet rouge qu'elle aborde avec assiduité cet hiver. Dont la forme pourrait rappeler vaguement celui du grand schtroumpf.
Mais en dessous, un corps sublime
Superbement mis en valeur par ses collants, notamment. Une poitrine qui n'est pas en reste, même si on s'en fout un peu des gros seins (on peut pas rester jeune toute sa vie...)
Bon, j'arrive pas du tout à retranscrire la profondeur que je lui trouve. Tant pis. Sinon je sais qu'elle est politiquement très à gauche. Tant mieux (parce que ce qu'il y a de cool avec les gens très à gauche, c'est qu'il y a en général assez peu de mauvaises surprises qui peuvent se greffer par après...)
Je crois que la première fois que je l'ai vue, ce devait être lors d'un match en auditoire. Le premier du genre. Cela doit donc faire deux ans, peut-être même jour pour jour (ou peut-être pas). Forcément, on la voyait d'assez loin, en vareuse, le truc qui met pas forcément en valeur... Mais déjà, j'avais l'impression que c'était la plus jolie du groupe. Et qu'elle osait pas beaucoup rentrer, aussi. Je l'aurais recroisée une fois dans le métro il me semble. Elle était belle. C'est fou comme le rouge à lèvres ça peut faire un effet de malade, en fait. Et elle m'avait dit bonjour. Ce qui me fait réaliser qu'on avait dû se croiser entre temps. Enfin bon. Après ça, elle est partie un an en échange. Ainsi, quand j'ai intégré l'équipe un an plus tard (enfin, intégré... j'étais pas intégré du tout, mais bref), elle était pas encore revenue.
Il y a de nombreuses fois où on se sera retrouvé, dans le tumulte des « afters » de l'équipe, à converser un peu. Cela tient surtout à l'équilibre des forces au sein de l'équipe, il y a pas mal de petits groupes assez forts (et pas mal de groupes qui rentrent très vite chez eux, aussi). Et nous sommes un peu marginaux de ce côté là. Bon, il y a aussi le gay de l'équipe qui est un peu électron libre lui aussi, qu'elle côtoie très souvent. D'ailleurs, au dernier entraînement, à un moment, alors qu'on ne jouait pas, il l'enlaçait complètement. J'étais complètement jaloux. Alors qu'il est gay. Je suis jaloux d'un gay (d'ailleurs, c'est peut-être un des hommes les plus séduisants que j'aie jamais croisé, soit dit en passant). C'est grave ?
Enfin, tout ceci pour dire, que parmi toutes ces bribes d'instant passés à la côtoyer, il est néanmoins deux souvenirs assez agréables qui me reviennent.
C'était cet automne. Je sais plus à quelle occasion on avait été quelques uns à aller manger une pizza en ville. Et au moment de rentrer « Il y a personne qui rentre dans ma direction ? » Les gens répondent que non en donnant quelques détails. Je suppose que j'avais dû préciser que je prenais le m2. Elle lance, plutôt en rigolant : « Bah tu peux m'accompagner et tu le prends depuis chez moi » « Bon ben ok ». Et donc on avait fait tout un petit bout de chemin, ensemble, seuls
Je me souviens pas forcément de beaucoup de trucs pour autant. Juste que c'était cool. Et qu'on avait vu (et entendu, surtout) le crieur de Lausanne. Et que c'était la première fois qu'elle l'entendait (moi aussi en fait) alors que ça faisait un moment déjà qu'elle habitait ici (moi aussi en fait)(la différence, c'est surtout que moi je m'en foutais un peu, dans l'absolu. Ou presque. Parce que bon, j'ai quand même été à côté de Marlène quand elle a entendu le crieur de Lausanne pour la première fois. C'est pas rien )
Si j'avais dit deux souvenirs, c'était parce qu'un scénario très similaire c'était produit une seconde fois. Le crieur en moins. Peu de temps après.
Cela fait un moment que je l'ai plus accompagnée, par contre. C'est triste. Enfin bon. J'ai l'impression paradoxalement, même si on est forcément plus proches maintenant qu'à l'époque (sans être particulièrement proches non plus, ceci dit...) ; que ça ferait moins naturel, maintenant... Enfin, la différence, c'est surtout qu'avant, c'était elle qui proposait. Les dernières fois elle l'a pas fait. Proposer à quelqu'un de l'accompagner, c'est plus compliqué, au fond...
'fin bref.
J'ai l'impression qu'au fil du pavé, j'écris de plus en plus comme un cochon. Il est peut-être temps que j'arrête alors...
Héhé, j'ai fait fort là, hein ?
Ou alors vous en avez rien à foutre en fait.
Ouais, c'est plutôt ça. Bah tant pis
Si j'ai lu, mais je suis resté sans voix devant tant de beauté.