je prefaire et MAZ toi aussi je veux des excuses
sun qu'est ce vous ferez pas sans moi
Dans le château, terrible château, le lézard est mort ce soiiiiiir...
Mais bon, n'oubliez pas ce que j'ai dis
Je trouve ça bas pour le perfide. J'ai un profond respect pour ce rôle et faire ce genre de commentaires après sa mort, je trouve ça déplacé
Alors je m'excuse Assassin pour t'avoir conduit à la mort, mais je te felicite aussi pour ta clairvoyance
merci merci je n'est fait que mon boulot
Au fait, je précise que vous avez le droit de tuer kiki au vote, hein.
Je dois dire que je ne trouve pas ça fair play mais, au cas où il y aurait eu un malentendu la première fois, je vous ai en aucun cas interdit de le voter.
Très belle MAJ Francis je me demande ce que donnera la MAJ finale
C'est moi qui l'écrirai
Merci India. La MàJ finale ...
J'ai préparé un gros truc, on verra si j'arrive à le mettre en place.
+ Jersou Bah oui bien sûr.
Bon, j'ai toutes les infos de la nuit mais je ne pourrais pas MàJer avant ce soir, désolé.
Je demande à ce que tous ceux qui ont son GT xbox nous préviennent s'il allume sa xbox et le ramènent ici de force
Je t'observe Francis ~ ~
___________________________ NEUVIEME NUIT ___________________________
La fin approchait. Irrémédiablement. Et ça, le Monarque le savait pertinemment. Qui allait gagner ? Les innocents, c'est-à-dire lui-même, ou le Perfide ? Il réfléchissait, encore et encore, et dédramatisait en se disant que quand bien même ce conspirateur parviendrait à tuer tous les membres de sa cour, il lui resterait à le tuer lui, le Roi Dément de Thiercelieux, et ça ne serait pas chose aisée. Qui cet homme pouvait-il bien être pour prétendre à la Courronne ... ?
Il ferma les yeux et pensa alors aux derniers innocents qui étaient encore en vie et sur lesquels il pouvait compter. Le Bouffon, le Délateur, le Détective, et bien entendu le Bienfaiteur ainsi que l'Aristocrate. Tout ce beau monde, pour un seul et unique conspirateur ... S'ils venaient à échouer, continuer de s'entretuer et laisser demeurer le Perfide, cela serait à la fois incompréhensible et terriblement décevant. Le Monarque préféra ne pas y penser et se contenta, pour l'heure, de fermer les yeux avant de s'éclipser sous terre.
La neuvième, et peut-être la dernière nuit commençait enfin ...
Quelque part dans l'aile Est du Château, le Perfide errait, seul. Horriblement seul ... Qui allait-il tuer cette nuit ? Il hésitait entre deux personne, et c'est à pile ou face qu'il décida de les départager. L'homme s'adossa alors à un pilier en marbre, sortit une pièce de sa poche et la lança en l'air. Lorsqu'elle retomba dans la paume de sa main, il la retourna : Face. Le destin de quelqu'un venait d'être scellé, et ça avait le don de faire sourire le conspirateur. Il leva les yeux au ciel en se retenant de rire de peur d'être entendu et remarqué, puis il commença à se diriger d'un pas à la fois rapide et décidé vers la chambre de sa cible désignée.
Le conspirateur ne tarda pas à arriver devant sa porte, et se râcla la gorge.
Il dégaina son poignard qu'il dissimula dans son dos, et toqua à la porte de sa main senestre.
Un long silence s'installa, puis c'est au bout d'une trentaine de secondes que le Perfide se décida à toquer une seconde fois, un peu plus fort. Une minute passa, puis la porte s'ouvrit lentement sur le visage paniqué de l'occupant. L'homme prit alors la parole.
- Bonsoir ! Excusez-moi de vous déranger, je crois que quelqu'un me suis ... Je n'aurais jamais dû sortir de ma chambre à cette heure-ci, je sais, mais j'en suis désormais trop loin et je crains que l'on me tue sous peu si je ne me cache pas ! Je suis conscient que ça peut paraître quelque peu saugrenu, mais accepteriez-vous de me laisser entrer histoire que je puisse rester loin de ce conspirateur qui veut ma mort ? demanda-t-il en prenant un air très inquiet.
- Euh, je ... Eh bien ... Oui, il faut s'entraider entre membres de la cour et je suis conscient que la menace Conjurée est encore très dangereuse. Entrez donc, je vous en prie.
Le Perfide acquiesça de la tête en geignant quelque peu, mais il esquissa un sourire dément à l'instant même où son hôte n'avait plus de visuel sur son visage. Il inspecta ensuite la chambre en regardant les meubles, le lit, les rideaux, le miroir, tout, et l'occupant de la chambre vint à sa rencontre après avoir fermé la porte à double tour.
- Alors, ahem ... Vous l'avez vu ?
- Qui ça ? s'interrogea le Perfide en souriant.
- Eh bien, cet homme, ce conspirateur qui veut s'emparer seul de la Courronne ...
- Oh, non je ne l'ai pas vu. J'ai entendu ce bruit métallique vous savez, celui-ci.
L'homme reproduisit le bruit métallique en sortant deux poignard et en les faisant s'entrechoquer d'une manière qui lui était bien propre. "Comme ça ... Vous voyez ?" ajouta-t-il en souriant de plus belle. L'hôte fronça les sourcils et déglutit lentement.
- Mais comment ... Comment savez-vous que c'est le bruit qui annonce la venue des conspirateurs ? Je veux dire, peut-être le meurtrier a-t-il émit ce son par pur hasard ...
- Non non, je vous assure que ça n'est pas du hasard, c'est toujours comme ça qu'on a fait.
- P ... Pardon ?
L'occupant de la chambre, un tant soit peu mou du bulbe, venait finalement de comprendre la situation. Le Perfide pencha alors la tête sur la droite en esquissant un sourire toujours aussi malsain que d'habitude, puis il tapa à nouveau ses deux poignards l'un contre l'autre.
Le conspirateur se rua alors sur sa cible, mais celle-ci esquivit l'attaque et le poussa contre la porte d'entrée, contre laquelle le Perfide vint s'écraser lamentablement. L'hôte alla se coller au mur qui se situait à l'opposé strict de la porte en hurlant. "Un psychopathe en liberté !"
Alors que le meurtrier se secouait la tête pour se remettre les idées en place, l'imposante armoire qui se situait à gauche de la porte s'ouvrit en grinçant, et un homme en sortit.
- Du calme, je suis là.
- Mais qui ... Qui êtes-vous ? balbutia l'hôte, les yeux grand ouverts.
- Moi ? Je suis le Bienfaiteur, et je suis la pour ... Faire le bien.
- Ah je vois.
- Non ... Pas encore toi ! hurla le Perfide.
Le nouveau venu tourna lentement la tête vers son interlocuteur et le regarda de haut en bas. Il haussa les sourcils et se tourna complètement face à lui, et donc face à la porte d'entrée.
- Excusez-moi ... Nous sommes nous déjà rencontrés ?
- Bien sûr que oui, imbécile ! T'as toujours été dans nos pattes !
- Plait-il ?
Le Perfide baissa sa garde et toisa le Bienfaiteur, incrédule.
Cet homme était-il stupide ? Ou se moquait-il ouvertement de lui ?
- Eh bien, quand nous avons essayé de te tuer, tu nous as fait quelque chose de bizarre, tu as dit ... "Hadoken" et puis on est tous tombés dans les vappes. Après, on a essayé d'en finir avec Ramirez, le Fakir, et là c'était pire ! T'as dit quelque chose comme "Kaméhaméha", je ne sais plus, mais ça nous a vraiment mis mal Lelezard et moi, expliqua-t-il naïvement.
- Oh je vois, oui ça me ressemble bien. Et pourquoi êtes vous là, au fait ?
- C'est simple, je suis venu pour tuer l'occupant de cette chambre, dit-il en le poitant du doigt.
- Vraiment ?
Le Bienfaiteur inspira bruyamment et ferma les yeux pour se concentrer. Comprenant ce qu'il se tramait, le Perfide se remit rapidement en garde, mais cela ne servait à rien.
- ( http://www.youtube.com/watch?v=XV8m_NF15VY ) FUS RO DAH !
Le conspirateur fut littéralement projeté. Il passa à travers la porte en l'arrachant, ni plus ni moins, et alla s'écraser sur le mur d'en face dans un bruit sourd, formant un trou béant dans lequel il était encastré. Le Bienfaiteur se râcla la gorge et regarda l'hôte de la chambre du coin de l'oeil. "Et c'est gratuit ! " s'exclama-t-il. Il sortit alors de la pièce, attrapa le meurtrier par le pied et le traîna jusqu'à la salle du trône, où il l'abandonna avant de retourner lui-même dans sa chambre. ça n'est que trois heures plus tard environ que le Perfide se réveilla, seul et dans la pénombre ambiante de la salle. Il n'avait aucune idée de l'heure qu'il était mais tout ce qu'il savait c'est qu'il avait encore une fois échoué à cause de ce foutu Bienfaiteur ! Il tapa rageusement du pied. "Décidément, c'est un coriace celui-là ..." se dit-il à lui-même. Il s'empressa de retourner dans sa chambre avant que quelqu'un d'autre ne le remarque ...
Le lendemain, peu de dégâts avaient été recensés, si ce n'était ce trou à forme humanoïde formé dans le mur d'un des nombreux couloirs de l'aile Est. Le Roi se contenta de soupirer exagérément fort pour montrer à quel point il était agaçé, mais il ne releva pas. Alors que l'audience allait commencer, le Délateur fit son intervention quotidienne.
- Et il est là, à violer vos enfants, à les dépecer vivants et à manger leur peau ! Oui, c'est bien de MAZ que je parle ! Ce fou furieux sans foi ni loi qui tue incessament sans le moindre état d'âme ! Une ordure, c'est moi qui vous le dit ! s'exclama-t-il énergiquement en toisant l'assemblée.
Le Roi se contenta de hocher la tête et déclara finalement les votes ouverts.
Personne n'est mort cette nuit ; MAZ a deux voix contre lui ... A vos votes !
Je commence à en avoir marre de devoir, à chaque MàJ, te dire à quel point c'est bien écrit. Sérieux, tu pourrais pas pas faire une mauvaise MàJ, pour changer un peu ?
Oh merci Flashounet. Pourtant sur celle-ci j'étais un peu moins convaincu du résultat, alors j'ai essayé de faire un peu d'humour pour rattraper le coup. Enfin merci beaucoup !
+ Si tu veux je fais une MàJ finale de merde mais ça serait un peu dommage.
Mon chien fait mieux en marchant sur le clavier
Màj la plus drôle
Toujours aussi bien
Ah ba c'était bien un Fus Ro Dah finalement, pas un Genkidama
Je vote Maz en confirmant les dires du délateur. Quatre voix, mathématiquement imparable