Bonne chance /
Que dalle, j'en ai déjà 3 sur les bras
Dis toi que ctm a mes pavés sur le dos /
Mais il ma moi C'est pas rien il doit faire d'énorme effort pour lire mes textes
Ouais on a même retrouvé des bouteilles de panachay c'est pour dire à quel point il doit faire un sacré effort
Ah, je me disais bien que j'avais oublié quelque chose
Polo oui
Gyth ok
Dest Mais c'est ma mission les cochons
Len tes textes?
Heu
Oui ctm
Par contre ça va pas trop le faire
J'ai déjà gyth et polo comme élèves, et ils sont parmis les plus actifs (1 texte chacun par jour presque).
Si je prend ceux de lens, ça me fait 3 par jour!?
Bref, lenski, je veux bien lire tes textes, mais je ferai une analyse que sur l'histoire
Mais je m'occupe déjà de polo
CTM : nan pas l'histoire
CTM surtout que j'ai déjà presque fini la mission suivante
D'ailleurs, je pourrai avoir un bonus d XP pour ne pas en avoir eu autant que j'en méritai
Sinon pour la prochaine mission (donc qu'en t'auras corrigé l'anecdote et mon autre mission que je posterais une fois que t'auras corrigé l'autre) je voudrais bien un truc où il n'y a pas trop de déplacement, ou alors pas par la terre et à cheval, car ça devient répétitif. Comme tu l'as dis, je décris bien, et d'ailleurs, ça ne me dérange pas de faire des passages de descrition, mais de temps en temps, je pourrais rester sur place ou ne pas trop me déplacer (de paris à bordeaux.....) Ou alors, si tu veut que je me déplace, me donner un lieu ou je peut aller genre en bateau... Merci
+ un grand merci pour le travail de correction que tu fournit
Sinon tu peut aussi faire des corrections moins longues et ne pas donner toutes les fautes mais juste les plus importantes et celles qui gachent le plus le texte... ça peut te faire gagner du temps
Len je me ferais une joie de te démonter dessus
Polo pas de bonus XP
Je vais me mettre à ton texte
Et tkt pour les déplacements, je te ferais juste faire Madrid Pékin à cheval...
Lien des textes que je n'ai pas corrigé stp polo?
J'ai trouvé c'est bon
tiens: https://www.jeuxvideo.com/forums/1-30459-11681-38-0-1-0-rp-l-heritage-des-ombres.htm#message_19077 c'est une anecdote
CTM et estime toi heureux, je suis pas à fond dans les textes, j'en écris un petit bout de temps en temps, alors que vu mon temps libre, je pourrai en écrire 2 par jour
Rétablissement :
1250, France…
Fenn ouvrit les yeux avec difficulté. A peine eut-il repris conscience qu’une douleur aigue explosa dans son crâne et dans tout le côté droit de sa mâchoire. Il referma bien vite les yeux pour replonger dans l’obscurité de ses paupières closes.
Il tenta de respirer. Il fit un bruit étrange, et en constata que son nez était dans un sale état.
Avec sa langue, il tâta l’intérieur de sa bouche ravagée. Certaines de ses dents bougeaient et le creux de ses joues était couvert de petites blessures. Il avait un goût de sang amer, au fond de la gorge, qui lui donnait la nausée.
Fenn ouvrit de nouveau les yeux et détailla la situation dans laquelle il se trouvait.
Allongé dans un lit, des draps propres, une pièce spacieuse et bien éclairée, les rayons du soleil filtrant de l’écart entre les rideaux, à la fenêtre. Il devait être dans les environs de midi. Combien de temps était-il resté dans le coma ? Il n’en avait absolument aucune idée. Où se trouvait-il maintenant, et qui l’avait sauvé ? Là encore, il l’ignorait.
L’Assassin tenta de se redresser sur un coude.
Il gémit quand ses côtes encore brisées, sous ses bandages, touchèrent sa peau à vif.
Fenn porta sa main gauche devant ses yeux. Elle était emprisonnée dans d’épais bandages, imbibés de sang séché. Il n’arrivait pas à la remuer mais n’avait aucune sensation au-dessus du poignet.
La porte s’ouvrit brusquement sur une femme de chambre, portant un baquet plein d’eau chaude et une serviette.
-Vous êtes déjà réveillé ? Vous êtes un costaud, vous.
-Où suis-je ?
-A Lyon, dans la maison du maire. Il vous héberge le temps de votre guérison.
La femme s’approcha et posa le baquet au pied du lit.
-Vous arriverez à vous laver ou vous préférez que je vous aide ?
-Dites-moi d’abord ce qu’il s’est passé…
Fenn avait un mal fou à parler. Sa mâchoire endolorie et ses lèvres éclatées semblaient en feu.
-Les gardes vous ont ramenés ici il y a cinq jours. Vous…
-Cinq jours ?! Aïe !
-Oui, cinq jours pendant lesquels vous êtes restés plongé dans un état semi-comateux. Vous déliriez parfois et vous réveilliez en sursaut au milieu de la nuit ou du jour pour vous évanouir quelques secondes plus tard. Vous n’avez pas cessés de marmonner durant votre sommeil. Le nom de « la Belette » est notamment ressortit plusieurs fois.
Toute la scène revint à l’esprit de Fenn, en un instant. Comme un flash. Il revécu en accéléré son humiliation et son passage à tabac. Il vit le poing de la Belette lui heurter l’arcade, puis son pied le frapper à plusieurs reprises. Il sentit la pluie de coups de ceinturons qui s’étaient abattus sur lui, jusqu’à ce qu’il perde connaissance.
La femme de chambre ouvrit les rideaux en grand et la pièce fut plongée dans une lumière intense qui aveugla l’Assassin pendant un instant.
-Je dois dire que vous étiez bien amoché, fit la femme. La main gauche brisée, quatre côtes fracturées, dont une ressortait de votre flanc, l’arcade sourcilière en miette, le nez cassé, la mâchoire désarticulée, de multiples hématomes sur le visage et le corps, et un nombre incalculable d’hémorragies internes… Vous avez bien dérouillé, mon pauvre.
-Qui êtes-vous ?
Fenn avait mis du temps pour le remarquer, mais les mouvements de la femme étaient agiles, maîtrisés, précis, et sa démarche semblable à celle d’un chat.
Et ses vêtements n’étaient pas ordinaires. Ils avaient été conçus pour le combat, cela se voyait au premier coup d’œil.
-Je m’appelle Emma Erbenoza, et je fais parti de l’Ordre des Assassins, comme vous. J’ai été envoyé ici par le mentor de France pour vous surveiller et m’occuper de vous le temps de votre rétablissement. Ne vous faites pas d’illusion. Une fois remis sur pied, nous ne nous reverrons plus.
-Je comprends.
-Vous avez échoué dans votre mission. La Belette a fuit la région, il y a deux jours. Une troupe de soldat a été envoyé au Repaire de l’Agneau. La Belette a disparu dans la nature à dos de cheval, après avoir tailladé six gars qui se dressaient sur son chemin. Un sacré bonhomme. Le maire de Lyon s’interroge encore sur le fait qu’il vous a épargné.
-Et merde…
-Vous avez été sacrément blessé dans votre amour-propre et votre honneur, pas vrai ? Je connais les hommes.
Fenn écarquilla les yeux.
-Amour propre ? Honneur ? Jamais entendu parler. Non, je pensais à la prime qui vient de me passer sous le nez.
Emma éclata de rire et s’assit nonchalamment sur une chaise.
-J’avais déjà entendu parler de vous, sieur Jalmar, mais les rumeurs sont loin de la vérité.
Fenn ne prit même pas la peine de demander quel genre de rumeurs couraient sur lui. Il s’enfonça dans son lit en grognant.
-Je vais mettre du temps à guérir ?
-Oh, oh. Vu votre état, sans doute.
-Et vous allez rester à mes côtés jusqu’à ma guérison ?
-Eh bien, oui.
Fenn jaugea les courbes attirantes et le visage fin d’Emma.
-On peut dire que dans mon malheur, j’ai de la chance, hein ?
S’ensuivit deux semaines durant lesquelles Fenn ne put pas poser un pied à terre sans s’effondrer. Il dut attendre que ses côtes se ressoudent et que ses jambes cessent de trembler pour qu’on l’autorise à sortir dehors avec des béquilles en bois.
Fenn prit des cours de rééducation avec Emma.
Après un mois de repos, il pouvait recommencer à se battre, du moins avec sa main droite, car il n’avait aucune force dans la gauche et rien que l’action de plier ses doigts le faisait grimacer.
Cependant, il s’essoufflait vite. Ses duels à l’épée en bois avec Emma ne duraient guère longtemps et le laissaient complètement épuisés.
Il dut attendre un mois encore pour que la plupart de ses blessures guérissent, et que sa main gauche accepte de réagir à ses ordres.
Fenn avait encore du mal à manier l’épée et à déployer sa force dans ses coups. Il ne bougeait plus aussi vite qu’avant et ses pirouettes lui semblaient lourdes et lentes, prévisibles et inefficaces. Emma lui expliqua qu’il se passerait sans doute encore plusieurs mois avant qu’il puisse se mouvoir aussi souplement qu’avant, et qu’il devrait oublier la course libre et l’escalade pendant un certains temps.
L’Assassin remarqua également que ses réflexes en avaient pris un coup. Il n’était plus que l’ombre du guerrier qu’il avait été dans le passé.
-Rassurez-vous, lui avait dit Emma un soir. Vos capacités reviendront. Mais laissez le temps à votre organisme de se reconstituer. Votre corps a subit une épreuve dont peu de personnes se relèveraient. Vous avez déjà de la chance de ne pas être paralysé à vie, ou pire.
-Je ne vois rien de pire.
-Mort.
Fenn fit ses adieux à Emma une semaine plus tard. Elle avait été appelée dans l’Ouest de la France pour recevoir ses ordres, et elle jugeait que Fenn s’était assez rétabli. Lui ne partirait pour Paris que dans quinze jours.
C’était le délai que lui avaient imposé ses médecins.
Il profita des derniers jours pour un dernier entraînement dans la cours de la demeure du maire de Lyon. Il sentit bien qu’il était rouillé. Mais il n’avait pas le choix.
Il avait reçu une missive un peu plus tôt, du mentor lui-même. Il ne rentrait pas à Paris tout de suite.
Fenn Jalmar repartait en mission.
Simple anecdote pour raconter le rétablissement de Fenn.
Bah fais-le Polo mais n'en poste pas 2 par jour c'est tout
Flamme c'est pas toi qui corrige