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Sujet : [RP] L'héritage des Ombres

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Lenski Lenski
MP
Niveau 10
16 février 2013 à 18:43:23

ctm : je te l'ai donné :hap: /
http://rp-l-heritage-des-ombres.forumjv.com/1-105416-1403-1-0-1-0-lenski-prologue.htm#message_1404

à partir de la moitié de ce pavé :noel: /

ThePoloboss ThePoloboss
MP
Niveau 10
16 février 2013 à 18:43:51

CTM :d) ça cest pas mal comme idée!

[CTM] [CTM]
MP
Niveau 10
16 février 2013 à 18:44:32

Merci len :hap:
Flemme tu remonter les pages :hap:

Je regarderai ça quand j'aurais le temps :noel:

ThePoloboss ThePoloboss
MP
Niveau 10
16 février 2013 à 18:57:03

Voilà CTM :d) je n'étais pas du tout inspiré et perso je le trouve nul celui là ( à partir du moment ou il arrive en ville ça devient n'importe quoi... Je te promets bien mieux pour la prochaine fois :hap: )

Course truquée: Un noble Templier organise une course de chevaux truquée pour remporter le maximum. Gagnez la course sans trop tricher et en ne vous faisant pas remarquer.

Si j’allai à Toulouse, c’était pour un raison personnelle. J’avais appris, il y a maintenant plusieurs année, que le templier responsable de la mort de mes parents vivait justement à Toulouse.

Depuis que j’étais entré dans la Confrérie, je l’avais oublié. Mais le fait de me retrouver en direction de Toulouse me rappela ce souvenir. Maintenant, avant de rentrer au Quartier Général de la Confrérie, je comptais tenter de le tuer et de venger mes parents. Mais contrairement à ce que n’importe qui auraient pensé, je ne mourrais pas d’impatience de le tuer. Non pas par peur, mais car je trouvais le fait de tuer par pur haine écœurant. Mais je devais le tuer…

J’avais gardé l’épée que j’avais ramassé il y a peu : c’était plus simple de se battre avec une épée qu’avec une dague.

Je fus vite à Toulouse, et je passai le reste de la journée à essayer de trouver des renseignements sur cet homme qui s’appelait Adam Langley . J’appris qu’il avait fait fortune, mais également que toute cette fortune, il se l’était approprié en volant, en trichant et en truandant. Le maire de la ville m’informa qu’il organisait une course de chevaux à Nîmes le surlendemain.

Je partis donc en direction de Nîmes dans le but d’y être à temps pour participer à cette course sans doute truquée et pour la gagner, en trichant également, pour le battre à son propre jeu. Je galopai durant une grande partie du voyage, ignorant le paysage et les beautés de la nature qui m’entourait.

Mais je remarquai quand même que la route longeait une rivière au bout de laquelle se trouvait une cascade : dangereuse pour les baigneurs imprudents, elle était un spectacle unique pour qui prenait le temps d’admirer la nature. Je me serais volontiers arrêté pour l’admirer plus longuement, mais je n’en avais pas le temps.

Je continuai d’avancer, tout en étant bercé par les chants des oiseaux de campagnes perchés aux arbres mêlées aux bruits de la cascade. La nuit tomba vite, mais la lune était pleine. Je pus donc continuer d’avancer pendant la nuit. Et de toute façon je ne savais pas si j’aurai osé redormir aux bords de la route.

La nuit fus longue, tout comme mon voyage. Lorsque la nuit commença à faire place au jour, je n‘étais toujours pas arrivé à destination et je commençai à me sentir fatigué. Mais je commençai à distinguer une ville au loin : j’arrivais.

Une fois dans la ville, le calme de la campagne me parut bien loin. Ici, des gardes patrouillant, que l’on reconnaissait au bruit des sabots de chevaux, que l’on distinguait péniblement par-dessus celui des chocs métalliques entre les différentes pièces de leurs armures. Ailleurs, des marchands, venant des quatre coins du monde pour vendre leur produit que l’on entendait crier. Là, des bruits de portes claquant. Encore ailleurs des enfants jouant. Plus loin dans la ville, une autre patrouille. Des hommes discutant bruyamment entre eux, un ivrogne titubant dans la rue, un pauvre chantant en espérant gagner de l’argent, un autre sifflant… Tous ces bruits, je les entendis aussitôt arriver en ville, où le calme n’existait pas.

Je ne mis pas beaucoup de temps à trouver l’arène. Je me rendis au guichet et demandai à m’inscrire pour la course du lendemain. Je donnai un faux nom, Philippe Layer, qui fut marqué sur la liste. Puis je partis une nouvelle fois à la recherche d’une auberge où je passai le reste de la journée et où je dormis. Puis je me rendis de nouveau à l’arène, une heure avant le début de la course. Je rencontrai mes adversaires. Ils étaient 6 et en tout, donc, nous étions 7.

Si je voulais gagner la course, je devais saboter leurs équipements. Sinon, je pouvais également les bousculer pendant la course. Mais le sabotage était plus discret. J’attendis pour chacun qu’il s’éloigne de leurs chevaux et j’agis vite.

Pour le premier, je coupai, à l’aide de ma dague, le filet du cheval de façon à ce que dès que son cavalier tirera assez fort dessus, il se rompra. Pour les quatre suivant, je fis exactement la même chose, mais plus rapidement car le temps pressait.

Mais le dernier revint au moment où j’allai commencer à couper le filet. Je n’eus donc pas le temps de le couper, mais j’attrapai sa scelle et je partis avec. Une demi-heure plus tard, nous fûmes appelé à nous préparer pour la course.

Je regagnai le box de mon cheval et vérifiai si personne ne m’avais joué un mauvais tour à moi aussi. J’avais bien fait, car je vis que ma scelle avait été à moitié découpé. Je n’eus donc pas d’autres choix que celui de monter mon cheval a cru.

Je montai sur mon cheval, et me dirigea vers l’endroit où le départ devait être donné. Une dizaine de minutes plus tard, la course était lancée. A ma grande surprise, l’homme à qui j’avais caché la scelle en avait trouvé un nouvelle. Les cinq autres n’avaient visiblement rien remarqué.

Je pris un mauvais départ et je n’avais pas l’habitude de monter sans scelle. A peine deux mètres après le départ, le premier homme tomba : le filet lui était resté dans les mains et il était tombé en arrière. Je souris :

« -Plus que cinq »

Le seul homme qui avait démarré la course dans de bonnes conditions avait pris la tête. Quant à moi je prenais déjà du retard sur les autres. Comme l’arène était ronde, il y eut évidemment un virage. Etant dernier, je rentrai dans le virage après tout le monde et pus apercevoir trois hommes par terre. Mes pièges avait bien marché. Les spectateurs, qui criaient au début de la course, nous sifflait à présent, à cause de ces chutes.

A la sortie du virage, je donnai plusieurs coups de talon à mon cheval, pour le faire accélérer. Je remontai petit-à-petit mon adversaire. Lorsque je fus à sa hauteur, j’attrapai une de ses rênes et je tirai dessus. Le filet se rompit mais il ne tomba pas. Je donnai un coup de pied dans son cheval et cette fois, il tomba. Je continuai de remonter mon dernier adversaire : mon cheval était plus rapide que le sien. Mais les tours défilaient dangereusement Le fait de monter à cru réduisait mon équilibre et j’allais mon vite. Lorsque je ne fus plus qu’à deux-trois mètres de lui, il me cria :

« -Laisse tomber, tu n’as aucune chance !

Je lui répondis en criant encore plus fort :

-Je gagnerai cette course ! »

Tout en disant ça, je l’avais rattrapé. Il dégainé son épée, mais ce geste brusque lui fit perdre l’équilibre.

J’avais eu le temps de lui passer devant. Mais il ne tarda pas à revenir de nouveau à ma hauteur. C’était le dernier tour. Et cette fois, il m’attrapa le bras, me regarda, et me tira vers le sol. Je tombai, mais ne lâchais pas son bras, et l’emportai dans ma chute.

Je fus le plus rapide pour me relever et remonta à cheval. Derrière nous, arrivait l’un des autres cavaliers qui s’était remis de sa chute. Je repartis au galop, alors que mon adversaire restait par terre. Devant moi, je voyais la ligne d’arrivée. J’accélérai une dernière fois, et terminai premier.

Il y a pas de fin mais c'est fait exprès :hap: à suivre dans une anecdotes!

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
16 février 2013 à 19:02:03

ctm : si tu veux je m'occupe de poboloss :noel: /

ThePoloboss ThePoloboss
MP
Niveau 10
16 février 2013 à 19:03:22

NON je veut CTM et j'attendrais s'il le faut :hap:

[CTM] [CTM]
MP
Niveau 10
16 février 2013 à 19:21:55

Voilà j'ai commencé le topic :noel:
Pour l'instant c'est niveau CE1 mais bon... :hap:

Polo :d) tu as fait une grosse erreur, énorme :ok:
"je n'étais pas du tout inspiré et perso je le trouve nul celui là"
Il faut jamais dire qu'un texte est nul au début :non:
Tu donnes déjà un mauvais à priori :ok:
Tu le dis seulement à la fin si tu veux le dire :oui:

Je m'en occuperai en détail plus tard, j'y vais :noel:

ThePoloboss ThePoloboss
MP
Niveau 10
16 février 2013 à 19:24:58

Je le trouve nul :c'est mon avis :hap:
T'aimera peut etre

Aikru Aikru
MP
Niveau 10
16 février 2013 à 19:25:45

(Mes condoléances au correcteur qui lira :hap: )

Nom complet: Mariane La Martine.
Âge ou date de naissance: née en 1760.
Pays: France.
Époque: 18eme siècle.
Sexe: Femme.

Description physique puis morale :

Marianne est une jeune femme de 18 ans au physique banal, le genre de personne qu'un œil non avertis scrute brièvement avant de l'oublier pour toujours. C'est cela sa force : prendre les traits de la masse et se fondre dans un anonymat total.
Taille moyenne, allure frêle, yeux châtains, teint cuivre, cheveux blond cendrés.
Pas assez belle pour attirer l'attention, mais trop pour ne pas tirer avantage dans certaines situations. Quand bien même elle s'habille en chasseur et porte en toute circonstance un gant de cuir renforcé qui met en avant ses fins bras, elle laisse toujours un doute sur sa fragilité apparente et ne révèle sa dangerosité qu'à la cible qu'elle a décidée de tuer.

En artiste de théâtre accomplis, Mariane joue constamment un rôle. Elle s'octroie celon la situation des personnalités différentes : Femme pleurnicharde ou séductrice, froide ou émotive, Intelligente ou niaise.
Elle met un point d'honneur à masquer constamment sa personnalité et ne se révèle jamais totalement. Impénétrable, elle se définit elle même comme quelqu'un de libre et un peu cynique.

Malgré tout, un homme avertis peut deviner en elle un caractère généralement gamin. Impulsive et incapable d'être sérieuse, le tout imputé d'un esprit de contradiction et d'un égo assez développé. Son comportement aura sans doute raison de la patience des pédagogues les plus acharnés.

Mais ne voyez pas en elle que des défauts, elle est d'une loyauté sans faille envers tous ceux quelle jugera digne de confiance. Elle peut faire preuve en de rares occasions d'une volonté hors norme, boostée par l'esprit de compétition.

Histoire:

Enfant de troubadours, elle fut élevé à Paris. Ses parents possédaient toute une collection de rapace et organisaient régulièrement des expositions dans les foires aux alentours de la capitale. Ses journées se résumaient à distraire les passants par des acrobaties aériennes ou des tours de dressage de son faucon affectueusement baptisé « Azir » dressé par ses soins. Distraire, oui. Mais pour mieux se livrer à l'art du vol à la tire.

Son destin changea soudainement, un jour où Mariane s'employait à ses activités les moins licites, elle eut le malheurs de sous-estimer et détrousser un homme qui regardait avec intérêt Azir. Il était riche : il sentait légèrement le parfum et ses vêtements affichaient un blason qui devait montrer son appartenance à une case de noble. Elle s'approcha avec un sourire impeccable, entama une discution.
Néanmoins, il restait méfiant. Elle l'amadoua en lui proposant alors d'enfiler son gant de fauconnerie et de porter Azir à bout de bras. Sous sa capuche, elle perçut nettement un sourire qui lui fit presque froid dans le dos, mais elle continua sur sa lancée, il était trop tard pour faire machine arrière.

Azir jouait son rôle à merveille, il se mit à bouger frénétiquement et à battre de l'aile de manière désordonné, Mariane s'excusa faussement et fit semblant de le calmer. Elle glissa sa main libre à la ceinture de l'homme et trancha discrètement le cordon de cuir qui retenait sa bourse. Le noble s'en aperçut et l'a pris en chasse et s'ensuivit une course poursuite, d'abords dans les ruelles crasseuses et étroites de Paris, puis elle de la hauteur et grimpa sur les toits.

Elle dut l'admettre : son poursuivant était coriace. A partir de là : elle se surpassa, fit des sauts plus audacieux dont l'issue périlleuse hochait entre la réussite et la mort. Mais l'homme continua de la poursuivre, sans avoir l'air essoufflé ni même effrayer par le danger. Le doute s'insinua en elle, mais elle le repoussa, elle ne s’humilierait pas pour quelques pièces.

Elle tenta le tout pour le tout. Elle atteignit rapidement un bâtiment qui l’intéressait : la cathédrale Notre Dame qui se dressait de sa hauteur. La voleuse sauta une énième fois d'un toit, son corps traça une parabole et son poignet se saisit au dernier moment d'une corniche décorée a effigie d'un Saint.

Les nombreuses décorations murale offraient des grosses prises, quoi que fragiles. Mariane estimait monter aisément les vingtaines de mètres qu'il restait a grimper. Le gars la suivait toujours avec acharnement, sans exprimer une réelle difficulté comme s'il s’agissait pour lui d'une formalité .

Pire.

Il la rattrapait.

Elle émie un sifflement strident, Azir, bien dressé, rappliqua, d'un geste, elle lui montra l'homme. Il comprit l'ordre et tenta de le distraire. Ses serres en avant entaillaient a peine son visage, à défaut de lui crever les yeux.
Elle profita de ces précieuses secondes de répit pour monter, résistant à l'envie de voir où était Azir

« Pitié, faites qu'il ne lui arrive rien »

Elle atteignit le toit. Utilisant ses dernières forces pour se hisser. L'homme monta à une vitesse surréaliste.
Une fois à sa hauteur, il s'assied juste a côté et lui tendis un objet. Son gant.

« Tu ne crois pas que cela était un peu disproportionné pour un gant ? »

Malgré la précarité de sa situation, elle ne pouvait pas s'empêcher d'ironiser. Il ne répondit pas.
Un instant, elle songea à sauter et à tenter de se rattraper et désescalade la façade de la cathédrale. Fatiguée ou non, c'était du suicide et rien de disait qu'elle arriverait à le semer avec la maigre avance qu'elle gagnerait. Presque imperceptiblement, elle modifia sa position et plaça le poids de son corps sur une arête de pierre.

« Tu ne crois pas que cela était un peu disproportionné pour une poignée de pièce ? »

Elle serra les dents, mais ne modifia pas sa posture.

« Ce serait du gâchis de te tuer aussi bêtement, tu as du potentiel. Entraînée tu pourrais faire bien plus... »

Elle jaugea la sincérité de son interlocuteur, malgré sa voix indifférente, son instinct lui dictait qu'elle pouvait lui faire confiance, que s'il avait voulu la tué, il en avait eu déjà de multiples l'occasion.

«  T'as t-on déjà parlé des Assassins ? »

Compétence

Force: 1/10
Résistance: 1/10
Déviation (combat, riposte mortelle): 1/10
Vitesse (aussi bien en combat qu'en course): 1/10
Escalade: 1/10
Discrétion: 1/10
Armes à distance (couteaux de lancer, pistolet, arbalètes…):1/10
Fauconnerie : 1/10

Nahtar Nahtar
MP
Niveau 7
16 février 2013 à 19:29:04

Y a un nombre maximum de parties pour faire une mission ? :hap:

CortexBat15-18 CortexBat15-18
MP
Niveau 10
16 février 2013 à 19:37:21

Destroyer! c'est de l'abus de confiance, mon coeur se brise, corrige mon texte! :hap:

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
16 février 2013 à 19:40:07

aikru : je lis :noel: /

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
16 février 2013 à 19:45:28

aikru : c'pas mal du tout juste
"celon" je crois que ça s'écrit avec un S :hap: /

Nahtar Nahtar
MP
Niveau 7
16 février 2013 à 19:58:34

Bon j'ai toujours pas fini ma mission, mais comme elle est très longue et que je pars, autant que je poste les premières parties maintenant :hap:
Ca laissera le temps à Jet de les lire, vu que c'est long, et que de toute façon je pourrai pas voir son avis (et correction ? :hap: ) avant un temps :ok:
Donc je vais mettre les premières parties, vous aurez la suite plus tard :oui:

Sinon Pell :d) J'ai rattrapé mon retard, j'ai tout lu. Bah pour changer, c'est encore trop cool, y pas d'autres trucs à dire :noel: J'adore ce que t'écris ! :-)

Aikru Aikru
MP
Niveau 10
16 février 2013 à 20:01:21

Lenski Voir le profil de Lenski
Posté le 16 février 2013 à 19:45:28 Avertir un administrateur
aikru : c'pas mal du tout juste
"celon" je crois que ça s'écrit avec un S :hap: /

Cela fait des années que je fait cette faute :noel:

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
16 février 2013 à 20:02:23

Aikru : veux tu une mission ou faire un texte toi même pour commencer ? :hap:

Lenski Lenski
MP
Niveau 10
16 février 2013 à 20:08:07

Suite et fin ( quoique :hap: ) de l'histoire de Loras postée :noel: /

Nahtar Nahtar
MP
Niveau 7
16 février 2013 à 20:17:17

~ Mission : Insertion Tactique, Partie 1 ~

Nouvelle-Zélande, mars 1795

A la lueur d’une chandelle posée sur une petite table, Liam était confortablement assis dans un fauteuil. Le garçon lisait un des vieux grimoires dont était remplie l’arrière boutique de la bibliothèque, qui servait de repère aux Assassins. La salle où se trouvait le jeune homme était vide, jusqu’à ce qu’un vieil homme qui marchait le dos courbé passe devant le garçon. C’était Matthew.
- Eh, bonsoir petit, lança l’ancien Assassin. Comment vas-tu mon garçon ?
- Tout va bien merci, répondit Liam. Et toi ?
- Oh, je me porte plutôt bien je pense, déclara Matthew, un sourire aux lèvres. Désolé de te déranger dans ta lecture petit, mais Matahi veut te voir je crois. Il est à côté, il discute avec Sam. Passe le voir quand tu auras le temps. Allez, bonne soirée à toi !
Le vieil Assassin continua son chemin. Dans le même temps, Liam posa son livre et se leva. Si Matahi voulait le voir, il se devait d’y aller au plus vite. Il sortit de la petite pièce, et arriva dans une seconde, bien plus grande. De nombreuses torches accrochées au mur éclairaient la salle, et une longue tapisserie était suspendue au mur d’en face, portant le symbole de l’Ordre des Assassins. Cependant Liam n’alla pas jusqu’au fond de la pièce, mais tourna à droite, dans une plus petite salle. Des bruits de voix qu’il connaissait lui parvinrent. Il traversa rapidement cette autre pièce, puis dévala quelques marches. Deux hommes se tenaient l’un assis en face de l’autre, autour d’une petite table ronde. Celui qui se trouvait face à Liam s’interrompit et releva la tête.
- Liam ! Ca me fait plaisir de te voir gamin ! lança-t-il.
Le jeune homme avança vers Matahi et le serra dans ses bras. Il aurait pu considérer l’Assassin qui lui avait tant appris comme un père, mais il y en avait déjà trop dans sa vie. Aussi, tout ce que le garçon savait, c’était qu’il admirait et respectait Matahi, et qu’il l’aimait beaucoup. Le second Assassin, un homme grand et musclé aux cheveux noir de jais, qui s’était tenu à l’écart jusque là, prit la parole :
- Bonjour à toi Liam.
- Bonjour Sam, répondit l’intéressé en se tournant vers lui.
Sam était le chef des Assassins présents en Nouvelle-Zélande. Il était celui qui avait le plus d’expérience, et aussi le plus doué. Malgré son âge déjà avancé, il gardait la forme et se battait toujours avec autant de vigueur.
- J’espère que tu vas bien, poursuivit-il. Tu es rentré il y a longtemps ?
- Quelques heures, oui. Mais je ne voulais pas vous déranger. Matthew m’a dit que vous vouliez me voir ?
- Effectivement, nous devons te parler de quelque chose d’important.
- Comment ça ? questionna le jeune homme, curieux.
- Eh bien, voilà maintenant plusieurs mois que tu es un Assassin à part entière Liam, poursuivit Matahi. Je t’ai entraîné pendant presque deux années, avant que tu ne deviennes véritablement capable de te débrouiller. Mais depuis, nous ne t’avons confié que quelques petites missions sans véritable importance. Il est temps à présent que tu joues vraiment ton rôle dans notre lutte contre les Templiers.
- Nous avons besoin d’une personne qui soit capable de discrétion. D’une personne qui puisse observer, et être stratégique. Or, tu possèdes ces qualités, Liam, déclara Sam.
Le jeune garçon se retourna vers Matahi, qui hochait déjà la tête. Liam savait qu’il avait les qualités que Sam venait d’énoncer, mais il ne se sentait déjà pas à la hauteur.
- Je… Je ne sais pas si je suis vraiment prêt pour faire quelque chose d’important…
- Oh que si tu es prêt gamin ! s’exclama Matahi. Je ne t’ai pas entraîné pour rien. Et tu es le plus apte à cette mission, crois moi. Tu joues toujours du Kôauau – flûte maorie – n’est-ce pas ?
- Euh, oui, c’est exact, répondit le garçon en hésitant, ne sachant pas où Matahi voulait en venir.
- Parfait. Que dirais-tu de faire le ménestrel et de jouer dans un groupe ?
- Pardon ?
- Nous allons bientôt lancer une grande attaque sur une ville dirigée par les Templiers, commença Sam, avec l’aide d’autres Assassins et de soldats alliés à notre cause. Cependant c’est une ville fortifiée, et un poste important pour les Templiers, elle est donc bien gardée. Même les habitants sont contrôlés. Grâce à ta couverture, qui serait ce groupe de musique, puisque les ménestrels sont toujours appréciés et acceptés dans les villes, tu serais chargé de préparer le terrain.
- Préparer le terrain ? s’exclama Liam. Non, non, je n’en suis pas capable, confiez cela à un autre que moi.
- Tu en es tout à fait capable, Liam, déclara Sam, et il est tant que tu montres ce que tu sais faire à ces Templiers. Tu partiras demain, dès l’aube. La ville se trouve dans les montagnes, mais en basse altitude. Tu ferais mieux d’aller te coucher maintenant, il faut que tu sois en forme pour mener cette mission à bien.

Liam resserra les sangles de la selle de son cheval. Il avait mis pied à terre afin de dire au revoir à son mentor. Matahi le regarda droit dans les yeux. « Je sais que tu en es capable, gamin. J’en suis sur, déclara-t-il. » Liam lui sourit, lui serra la main et se retourna pour monter sur son cheval. Les deux autres membres de son « groupe » étaient habillés de façon basique, comme n’importe quel vagabond qui allait de ville en ville pour faire partager sa musique. La tenue d’Assassin du jeune homme se trouvait bien en sécurité dans son sac de selle. Liam passa les pieds dans les étriers, et, après un dernier regard à Matahi, il s’élança, ses trois compagnons derrière lui.

Ils chevauchèrent pendant une journée entière. Après avoir traversé des routes sinueuses et escarpées dans les montagnes, ils avaient rejoint une large route qui se déroulait dans la vallée. Enfin, Liam et ses compagnons aperçurent au loin la ville dirigée secrètement par les Templiers. Les habitants vivaient là-bas paisiblement, sans se douter qu’une organisation secrète dirigeait leur cité d’une main de fer. Bien sûr, l’entrée s’effectuait par une grande porte encadrée de tours de garde, où des soldats Templiers contrôlaient chaque nouvel arrivant, mais les villageois voyaient cela comme une sécurité pour éviter les brigands, fréquents dans les montagnes. Aussi, n’importe qui ne pouvait pas entrer dans la ville, car les Templiers examinaient et filaient tout le monde. D’où la couverture de musiciens ambulants.

Alors qu’une charrette se faisait fouiller de fond en comble devant eux, les trois compagnons attendaient leur tour, au pied de l’immense porte de pierre. Les deux battants en bois étaient ouverts, mais une petite garnison de quatre soldats était présente, en plus des deux autres qui vérifiaient les arrivants. « Un premier détail à prendre en compte, pensa Liam. » Au bout d’un moment, un garde leur fit signe de s’approcher.
- Vous êtes qui ? demanda-t-il brusquement.
- Nous sommes des musiciens, répondit Liam. Nous voyageons de villes en villes afin de faire partager notre musique et d’égayer les tavernes, Sir.
Comme Liam l’escomptait, le soldat parut flatté. Peu de gens devaient se montrer courtois avec lui, vu la rudesse qu’il exprimait lui-même aux voyageurs qui passaient ici.
- Eh, les gars, c’est des musiciens pour la Taverne du Grizzly ! Ah, un peu de bonne musique fera pas de mal dans cette ville !
Liam le savait, ces hommes avaient beau être affiliés aux Templiers, ils aiment tous la musique. Il montra, peut-être avec un peu trop d’insistance, leurs instruments. Les yeux des gardes s’agrandirent.
- Allez, entrez !
- Non, attends, interrompit un soldat. Ce n’est pas parce qu’ils sont musiciens qu’on ne doit pas les contrôler.
Liam le regarda. Il paraissait beaucoup plus sur de lui et sévère que les autres. Il pensa tout d’abord à le fixer, mais il s’arrêta. Il n’était qu’un simple musicien vagabond, qui devait se laisser faire après tout.
- Aucun problème mon ami, déclara-t-il d’un ton enjoué. Mais nous n’avons sur nous que nos instruments et nos vêtements, car nous espérons que les auberges nous fournirons la nourriture et le couvert en remerciement de nos services.
- Et ces sacs de selle ? Ils ne m’ont pas l’air vide, interrogea le garde d’un regard suspect.
- Hélas, pour notre plus grand malheur, si, répondit Liam en ouvrant le sac à côté duquel il se trouvait, qui, par chance, était celui qui était vide. J’aimerai qu’ils soient pleins, vous savez.
- Allez, c’est bon, passez, on a d’autres choses plus urgentes à faire, s’impatienta un troisième garde. Ils sont pas suspects, Jack, dit-il à l’adresse du deuxième garde. T’as déjà vu des musiciens soldats ?
Le deuxième garde les regarda de travers, mais accepta finalement de les faire passer, avisant la petite file qui se pressait aux portes de la ville. Les trois compagnons s’avancèrent, alors que le jeune homme se disait qu’il l’avait échappée belle. Il lui faudrait se méfier et être plus discret. En passant près des deux tours qui encadraient la porte, Liam observa discrètement les hommes présents. Deux dans chaque tour, plus la garnison à la porte. Cela faisait déjà dix soldats, rien que pour l’entrée. Il allait avoir du travail.

Nahtar Nahtar
MP
Niveau 7
16 février 2013 à 20:29:11

~ Mission : Insertion Tactique, Partie 2 ~

Les trois compagnons se dirigèrent vers la plus grosse auberge de la cité. Après avoir discuté avec le tavernier, ils obtinrent le droit de pouvoir passer quelques nuits et prendre quelques repas gratuitement, à condition qu’ils attirent du monde grâce à leur musique. Ce qui réussit sans trop de mal. En effet, l’ambiance de la ville était pour le moins maussade, et personne ne résista à un peu de bonne musique. L’auberge était déjà bondée en temps normal, mais les habitués restèrent plus longtemps et se resservirent plus qu’à l’accoutumée, afin d’écouter Liam et ses amis les distraire.

Alors que minuit était passé depuis maintenant quelque temps, la vaste salle se vidait peu à peu, pendant que l’aubergiste essuyait machinalement ses chopes anciennement remplies de bière. Lorsqu’il ne resta que quelques ivrognes qui n’écoutaient même plus les instrumentistes, Liam et ses compagnons s’arrêtèrent de jouer. En adressant un coup de tête au tavernier, ils prirent congé et montèrent dans la chambre qui leur avait été attribuée. Mais Liam laissa ses amis continuer seuls, et s’éclipsa alors qu’ils continuaient leur conversation, faisant mine de n’avoir rien vu pour que le tavernier n’ai aucun soupçon.

Liam emprunta un petit escalier qui donnait dans l’arrière salle de la grande pièce où se trouvaient les tables pour les clients. Il avait observé comment était faite l’auberge dans ce but. Comme il l’avait déjà remarqué, il y avait une petite porte au fond de cette arrière salle, qui donnait dans une étroite ruelle derrière la taverne. En se déplaçant avec discrétion, Liam ouvrit la porte et sortit.

Le vent soufflait dehors, et l’air était froid. L’obscurité avait envahi la ville depuis maintenant des heures, déformant la réalité. A l’altitude où se trouvait la cité, une fine couche de neige avait recouvert les pavés des rues. Liam observa les alentours, qui étaient déserts. Il avait bien choisi son heure pour effectuer sa mission. Mais peut-être n’aurait-il pas le temps de tout faire ce soir, il verrait bien. Faisant crisser la neige sous ses bottes, le jeune homme s’avança vers l’écurie de l’auberge, qui se trouvait quelques mètres plus loin. Il y pénétra et trouva aisément son cheval, car les voyageurs qui en disposaient n’étaient pas nombreux. Quelques minutes plus tard, ce n’était pas le troubadour habillé simplement qui sortit de l’écurie, mais un homme vêtu d’une tunique blanche, armé de deux couteaux, masqué par une capuche : un Assassin.

Liam se sentait déjà bien plus en sécurité. Le visage caché sous sa rassurante capuche dont il ne pouvait plus se passer, sa dague à son côté, son couteau de lancer derrière l’épaule, il se sentait lui-même. Mais par-dessus tout, il avait sa lame secrète. Ce bracelet qui paraissait presque ordinaire, mais qui cachait en réalité une petite lame, était l’un de ses plus gros atouts. Encore une fois, Liam observa ce qui se trouvait près de lui. Il lui fallait tout d’abord commencer par repérer où se situaient les rondes de gardes, pour éviter de se faire surprendre. Le jeune homme se dirigea vers un bâtiment et entreprit de l’escalader. Heureusement pour lui, après des années à avoir escaladé seul des petites falaises dans sa jeunesse, l’escalade était, avec la discrétion, l’un de ses points forts qui compensaient avec son manque de force et de puissance au combat. Il grimpa agilement, s’agrippant à tout ce qui pouvait servir de prises. Après quelques minutes, Liam se trouvait au sommet du bâtiment. Il scruta les alentours en plissant les yeux pour mieux distinguer les formes dans la pénombre. De là où il se trouvait, dans la partie supérieure de la ville, il avait une vue dégagée sur son ensemble, bien qu’il ne se trouvait évidemment pas sur le bâtiment le plus haut.

Il lui fallait trouver la ronde des gardes, où mieux, le plan de leurs patrouilles. Mais cela ne serait pas aisé, compte tenu du fait que les plans se trouvaient dans les baraquements des gardes. Liam analysa encore quelques instants la situation. La ville était presque totalement endormie. On n’entendait que les conversations des gardes en faible écho. Liam se concentra sur ce petit indice, et tourna la tête dans la direction d’où provenait le son. C’est alors qu’il vit un premier groupe de gardes. Deux d’entre eux se trouvaient au pied d’un petit échafaudage, et troisième était dessus, surplombant la petite muraille de pierre qui entourait la ville. Liam jaugea la distance qui le séparait du bâtiment d’en face, prit son élan et sauta.

Le jeune Assassin atterrit sur le rebord même de l’édifice, manquant de peu de tomber. Il continua sa course en direction de l’échafaudage où il avait aperçu les gardes. Lorsqu’il arriva au bout du toit où il se trouvait, il sauta au sol quelques mètres plus bas, se rétablissant avec agilité. Le garçon continua à trottiner, en prenant soin de ne pas faire trop de bruit tout de même. Si il pouvait éviter les combats, c’était mieux, car il savait mieux se déplacer en ville que combattre. Pour Liam, tout ce qui représentait un obstacle pour un citoyen ordinaire était un moyen plus rapide de se déplacer.

Le jeune homme sauta par-dessus un petit muret, et arriva à un croisement. Il s’arrêta pour vérifier que personne ne se trouvait dans les parages. Lorsqu’il fut sur d’être seul, il continua tout droit vers un mur, et l’escalada, avec toujours autant de fluidité dans ses mouvements. Il se hissa à l’aide de ses pieds et se retrouva dans une rue plus haute que la précédente. Liam entendait à présent plus distinctement les conversations des gardes, qui devaient se trouver à quelques mètres maintenant. Il prit un détour, afin de ne pas arriver de front face aux soldats.

Alors qu’il longeait une maison et allait se cacher derrière un mur juste à côté duquel se trouvait l’un des soldats au sol, Liam aperçut du coin de l’œil trois personnes qui venaient sur sa gauche, par la rue perpendiculaire à la sienne. Sans se poser de questions, le garçon se laissa tomber au sol et se plaqua contre les pavés. Les trois nouveaux arrivants, qui se trouvaient être des soldats, passèrent à cinq mètres de lui sans distinguer sa silhouette sombre plaquée au sol dans l’obscurité. C’était l’une des leçons que Matahi lui avait enseignée : « Si une personne ne s’attend pas à te voir et que tu ne lui donne aucun signe de ta présence, elle ne t’apercevra pas. » Et en effet, les soldats se dirigèrent vers leurs compagnons sans se douter qu’il était là, tout près.
- Salut les gars ! lança un des arrivants. Ca s’est bien passé ?
- Parle pas si fort ! Les gens dorment à c’t’heure !
- Oh ça va hein, répliqua le premier. On les protège, et ils nous remercient jamais, alors c’est pas très grave si on les réveille.
- C’est pas vraiment eux qu’on protège, chuchota le deuxième soldat de la première garde. Enfin, nous on va pouvoir aller se réchauffer, c’est votre tour maintenant ! Bonne chance les gars hein ! Blake, lança-t-il à l’adresse du garde posté sur l’échafaudage, la relève est là, on se tire !

Alors que l’intéressé se mettait à descendre et que la relève commençait à s’installer, Liam se leva doucement. C’était le meilleur moment pour se cacher, car tous étaient occupés. Alors que l’Assassin s’apprêtait à sortir de la pénombre que lui conférait la maison, se faisant tout d’un coup éclairer par les rayons de la Lune, il se dit que le blanc n’était peut-être pas la couleur appropriée dans ce genre de situation. Avisant les gardes qui discutaient, penchés autour du petit feu allumé ou au-dessus de leurs affaires respectives, Liam se dépêcha d’aller se cacher juste derrière eux, à l’abris d’un petit muret d’une hauteur d’environ un mètre. Se déplaçant en prenant en compte le mouvement des ombres sur le sol, le jeune homme arriva sans se faire voir, et s’adossa au muret, à présent à l’abri.

Les soldats se lancèrent un adieu assez brutal, puis ils s’éloignèrent, laissant leurs camarades seuls. Liam avait eu de la chance, car il était tombé pile à l’heure de la relève et aurait pu se faire repérer. Il entendit l’un d’eux gravir les marches de bois qui menaient au sommet de l’échafaudage, et les deux autres s’asseoir autour du feu. Comme il l’espérait, les hommes se mirent à discuter entre eux.
- Je vois vraiment pas ce qu’on fout ici, commença l’un des deux. On se les gèle et il se passe jamais rien !
- Calme-toi. Tu sais aussi bien que nous tous à quoi nous servons, alors tais-toi.
- Ah oui ? Ici ? Encore, que l’on assigne des gardes au poste B, j’veux bien, là y une entrée à garder, mais là…
- Tais-toi bon sang ! Et si un citoyen nous entend ? gronda le deuxième garde.
- Tu parles ! Ils dorment tous ! Et puis personne n’est au courant toute façon ! La preuve sinon on s’ennuierait pas et y aurait moins de boulot pour ceux de l’entrée !
- Bon, arrêtes ! Tu as trop bu, ça se voit. Tiens, mange ça, ça te fera du bien !
Le premier garde, qui devait donc être un peu soul, se tut. Ainsi, c’était ça. Il existait dans cette ville plusieurs points gardés par des soldats, mais ces derniers surveillaient en fait des failles de la ville. L’échafaudage de ce poste ci devait sûrement renforcer la muraille contre laquelle il était appuyé. Mais ce qui intéressait surtout Liam était qu’il existait une autre entrée à la ville…

Le jeune Assassin se mit à plat ventre et s’éloigna du poste de garde. Même en se déplaçant dans l’ombre, il était repérable à cause de sa tunique blanche, néanmoins Liam savait que les soldats avaient peu de chances de le repérer. En effet, ils ne se doutaient absolument pas de sa présence et de plus, il leur aurait été difficile de discerner une silhouette dans la pénombre, à cause du contre-jour que leur faisait le feu allumé tout près d’eux. Ils voyaient mieux juste autour d’eux, cependant les flammes rougeoyantes les empêchaient de voir plus loin dans l’obscurité. S’aidant de ses coudes et de ses genoux, Liam rampa au sol. Lorsqu’il se fut éloigné de plusieurs mètres, il jugea qu’il pouvait se relever. Sa mission était maintenant de s’introduire dans les baraquements des gardes pour trouver les emplacements des patrouilles.

_destroyers_ _destroyers_
MP
Niveau 10
16 février 2013 à 20:48:21

Bon, je te donne rien pell cte fois là, t'as rien branler :noel:

Bon, le grand destro accepte votre requête, immonde vermine d'écrivains :hap:

Je vais de ce pas prendre mon temps pour chercher où est le récapitulatif :noel:

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