Alors cortex des pyramides, je te corrige si tu me donnes touts tes textes, ensuite taggle la flamme, et voici une carte de l'italie white pour mieux visualiser

http://www.google.fr/imgres?um=1&hl=fr&client=firefox-a&tbo=d&rls=org.mozilla:fr:official&biw=1280&bih=705&tbm=isch&tbnid=2r8O3NVSehl6KM:&imgrefurl=http://bons-plans.tgv-europe.ch/fr/voyage-Italie&docid=VBzj0Y-brnCXJM&imgurl=http://www.tgv-europe.com/sites/default/files/images/300x250_carte_italie_fr_0.jpg&w=300&h=250&ei=QW4fUYPjFoXStQbx8oC4Cg&zoom=1&iact=hc&vpx=108&vpy=133&dur=550&hovh=200&hovw=240&tx=154&ty=89&sig=106233764444746665499&page=1&tbnh=158&tbnw=190&start=0&ndsp=28&ved=1t:429,r:1,s:0,i:82

C'est qui lui?

Qui moi?

Non le cochon de la mission

On peux faire plus récent que 1820?

destroyer cherche sur le forum officiel... y a tout mes textes la-bas

tu veux que je corrige, alors tu cherche, pigé? Déjà vous avez l'honneur que je bouge mon illustre fessier, alors on me demande pas en plus de bosse sur de la recherche

Je t'ai déjà donné les liens, bigre qu'il est bête

[CTM]
Posté le 15 février 2013 à 22:26:15
Gyth Je n'ai pas de mission à te proposer, pour le moment je préfère que tu me fasses une anecdote sur l'entrainement que ton personnage va recevoir
C'est l'occasion de faire peut être de nouvelle rencontre entre autre

Après cette anecdote, tu feras la mission que je t'avais donné, sauf que tu remplaces Delphes par Knossos
Ce sera plus intéressant
Et avec un bout du trajet en bateau+l'arrivée à Knossos

Ça te va comme programme?
Ça te permet déjà de voir un peu plus loin

Ok je m'y lance

Dest pour ma ma mission je doit conter le trajet? Et je peux choisir quels mode de transport prendre?

CTM donc ce soir?

http://rp-l-heritage-des-ombres.forumjv.com/1-105416-1407-1-0-1-0-armand-gaston-felix-d-andlau.htm

Pour destroyer

Fais ce que tu veux, mais les descriptions sont toujours meilleurs quoi

Et merci cortex, je m'y mettrai après manger, promi

OK merci

Par contre je sais pas quand je la posterais parce que j'ai envie de sortir un big pavé (environ dans les 5/6 page word )

destroyer : La mission que tu viens de donner, c'est pour qui ?

Ah, okay, j'avais pas vu que c'était pour moi la première.

Ca te conviens?

Episode 1

« Confession » ; Royaume de France, 30 août 1314

La pleine lune emplissait la nuit d'une douce lumière, à la fois rassurante et craintive. Pourtant à quelques kilomètres de là, les hommes et les animaux subissaient la colère d'un orage d'été particulièrement féroce. Ce dernier progressait de plus en plus vers le petit village de campagne ou les rêves avaient emplis la tête des sujets du royaume.
Pourtant une ombre glissait lentement sur la façade des bâtisses éclairées par la pâle lumière de l'astre lunaire. L'inconnu se faufilait rapidement en s’arrêtant parfois pour vérifier qu'il n'était pas suivit. Une fois sur de cela, il reprenait alors sa marche, rapide et discrète, vers le centre du village. Il déboucha ainsi sur une placette ou le vent faisait trembler les quelques feuilles du chêne centenaire. Il fit alors face au plus gros bâtiment de la petite ville : l'église. Il l'examina dans les moindres recoins avant de s'avancer vers le presbytère. Ce dernier n'avait rien de particulier et ressemblait à tout point aux maisons voisines. Il allait frapper lorsqu'il entendit un léger bruissement dans son dos. Il exécuta alors un demi-tour prodigieux tout en dégainant une épée vieillissante.
L'homme était à cran et semblait voir des ennemis invisibles partout. Pour se rassurer, il regarda le vieux chêne. Le bruit devait sans doute venir du bruissement des branches. Il rengaina son épée et frappa enfin à la porte de la maison du curé.
Il entrevit alors de la lumière par les fenêtres, le curé était réveillé. Ce dernier ouvrit la porte en robe de nuit et dévisagea le visiteur inopportun. L'inconnu était vêtu d'un long manteau gris laminé qui couvrez la totalité de son corps, cachant ainsi sa véritable tenue. Une capuche cachait aussi son visage. Avant que le curé ne puisse prendre la parole, l'homme prit la parole :

« Pardonnez cette visite tardive mon père, mais je dois me confesser. » dit-il lentement
« Je pense que vous pouvez attendre demain mon fils. Non ? » répliqua le curé d'un ton qui en disait long sur l'apparition d'un inconnu devant sa port en pleine nuit
« Non, c'est urgent. Je ne serait bientôt plus et je veut partir le cœur libéré. »
« Allons mon fils, il ne faut pas penser à des choses aussi noir. Je suis.... »
« Je vous en prie mon père. »

L'homme semblait vraiment y tenir et le curé accepta sachant qu'autrement il n'aurait pas la paix. Après avoir été mettre une tenue plus professionnelle, le curé fit entrer l'inconnu dans la maison de Dieu. Il se signèrent tous les deux avant d'avancer vers le confessionnal. Dehors, l'orage s'approchait menaçant le paisible petit village de sa fureur climatique. Le vent commençait déjà à faire trembler les modeste vitraux.

« Je vous écoute mon fils, parler sans crainte. »

Dans l'autre compartiment, l'inconnu prit la parole calmement. C'est ainsi que commença un face à face douloureux pour le curé. Après avoir récité un Notre Père, l'inconnu raconta son histoire. Il ne cacha aucun détail. Lorsque l'homme eut finit, le curé n'en pouvait plus mais il restait une dernière chose. Un chose qui marquerait à jamais le pauvre homme d'église.

« Mon dernier péché remonte à hier. » il marque un temps d'arrêt, « J'ai tué le roi Philippe. »

Le curé crut s'évanouir à ces mots. Il avait accepté les paroles de cette homme mais là c'était de trop.

« Assez. »
« Non, il faut que vous sachiez tout. » Après un long silence, il reprit. « Nous étions trois, mais j'avais la lourde tache de décocher la flèche qui tuerait le roi. » Il fit une pause. « C'est par la grâce de Dieu que Philippe nous trouva dans son domaine de Vincennes. Il était à pied et semblait avoir perdu son cheval lors de la chasse qu'il organisait. Lorsqu'il nous remarqua, il s’arrêta. J'avais, déjà à ce moment, mon arc prêt. Lorsque la flèche partit, le roi voulut l'éviter mais il était trop tard. Elle le toucha de plein fouet et il tomba au sol. C'est ainsi que celui qui nous avait détruit finit. Je l'ais fait pour la mémoire de mes frères et par la main de Dieu. Voilà ce que j'avais à dire. »

Un long silence se posa alors. Le vent soufflait maintenant plus fort et la pluie frappait les vitraux avec force. Un éclair frappa non loin et fit sursauter le curé.

« Je ne peut plus rien pour toi mon fils. Tu es condamné par Dieu pour tes méfaits. Tu peut rester ici pour prier si tu le souhaites. J'espère que cette endroit pourra au moins te protéger de l'orage jusqu'à ce que tu partes. »
« Il est trop tard, personne ne pourra me protéger. Vous ne pouvez rien faire. »

La résolution de l'homme fut encore plus douloureuse à entendre. Il craignait quelque chose mais quoi ? Le curé sortit du confessionnal et regarda alors l'inconnu. Ce dernier avait ouvert son manteau laissant voir sa tunique blanche, frappé d'une croix rouge sang. Le curé n'en crut pas ses yeux et faillit s'évanouir.

« Il y a un homme qui doit sûrement m'attendre dehors. Il n'a rien d'un homme ordinaire et il ne jure que par la justice. Il sait ce que j'ai fait et à déjà tuer mes compagnons pour cela. Cette homme fait partie d'une confrérie qui a toujours combattu les miens de par les âges. Ils agissent dans l'ombre et frappe comme l'éclair. Vous ne pouvez plus rien mon père et je part le cœur léger. »

L'inconnu quitta alors le curé encore sous le choc pour sortir de l'église. Dehors, sous la pluie et le vent, attendait une silhouette. Un éclair vint illuminer un instant la scène. Le templier enleva son manteau gris qui retomba sur les marches de la maison de Dieu. Il défit aussi son ceinturon laissant choir son épée sur le sol. Il s'avança les bras en croix, attendant sa sentence avec rigueur. Il n'avait pas peur de la mort. La silhouette s'avança elle aussi, d'un pas léger. La pluie rendait le sol glissant mais aucun des deux ne fit un mauvais pas. Une fois face à face, le son d'une lame se fit entendre. Le templier ferma les yeux et un sourire se dessina sur son visage. La lame entra doucement dans le ventre du templier. La douleur fut fulgurante et glaça le corps tout entier du moine guerrier. Alors que l'acier rentrait toujours un peu plus, le deuxième inconnu avança sa tête et chuchota à l'oreille du templier :

« Ton ordre disparaît, nous renaissons. Nothing is true, everithing is permitted. »

Le templier ouvrit alors les yeux en entendant ses mots anglais. Il voulut parler mais il était trop tard. L'inconnu de la tempête fit ressortir sa lame maculée de sang et le corps sans vie du templier s'écroula sur les pavés de la placette.
La porte de l'église s'ouvrit alors et le curé essaya de voir quelque chose dans la noirceur de l'orage. Il remarqua une silhouette au milieu de la placette debout tandis qu'un corps blanc gisait au sol. Un autre éclair vint fendre la nuit de son aura lumineuse. Le curé eut le temps de voir quelques détails du second inconnu. Il portait un manteau à capuche bleu foncé avec des tâches de blanc répartit symétriquement et ses bottes étaient noirs.
Lorsque la nuit revint, il n'y avait plus personne de vivant à part lui dans ce déluge. Il descendit les marches d'un pas mal assuré et récupéra les affaires du templier. Après les avoir amené dans l'église il revint dehors au pied du moine guerrier. Il s'agenouilla et ferma les yeux du mort.

L'orage prit fin peu de temps après, et bien que la nuit soit bien avancée, le curé entreprit de déplacer le corps pour ne pas choquer les habitants du village au matin. Une fois le corps du templier bien à l'abri des regards, le curé par curiosité commença à le fouiller. Il trouva ainsi une bourse bien remplit et un petit carnet de cuir sans intérêt. Fatigué et las des péripéties de la nuit, l'homme d'église retourna se coucher.
A l'entrée de la ville, le deuxième inconnu continuait sa route. Il était fier de lui et venait de faire briller toute une lignée. Les Mac Carthery venait de porter le coup fatal à l'Ordre des Templiers et il ne doutait pas une seconde que le Monde allait enfin pouvoir vivre libre de toute main mise. Plus rien ne pourrait maintenant empêcher les Assassins de mettre en place leurs idées et leurs idéologies dans un monde libéré des templiers. Son nom resterait à jamais marqué dans l'histoire de la Confrérie : William Mac Carthery.
Il s’arrêta un moment et leva les yeux au ciel. Là haut, son père et son oncle devait être fier de lui. Il allait enfin pouvoir vivre tranquillement maintenant, là-bas en Ecosse. Cela faisiat tellement longtemps qu'il n'y était pas retourné. Ses yeux se fermèrent et les souvenirs vinrent se bousculer derrière les paupières closes.

Pfff, qui s'en occupe?

Toi vas-y