ok !!!!! trop cool !!!!!
bon je suprime mes persos alors

Le Fantôme (partie 1) :

1942, Océan Atlantique…

Peter regarda le ciel. Il faisait gris. Le petit bateau à moteur sur lequel il se trouvait fusait à toute vitesse à travers les vagues. Le cargo n’était qu’un point noir à l’horizon. Peter allait devoir le rejoindre à la nage.
Il enfila sa tenue de plongée et stoppa son véhicule. Il tira trois coups de feu dans le moteur et bondit dans l’eau. Le bateau se mit à fumer et explosa. Mais Peter était déjà loin.
Il traversa la distance qui le séparait du cargo en une demi-heure.
L’Assassin arriva en-dessous de la coque. Il alluma une torche et examina ce qui l’entourait avant d’apercevoir une petite trappe en acier. Peter s’en approcha et sortit un chalumeau de sa ceinture. Il appuya sur la gâchette et passa la flamme, assez puissante pour ne pas s’éteindre dans l’eau, sur les bords de la trappe.
Au bout d’un moment, il lâcha son outil, le laissant couler, et prit une petite bombe qu’il colla à la trappe. Là, il s’éloigna rapidement et attendit.
La bombe explosa. Le bruit fut étouffé par l’eau mais la trappe sauta comme un bouchon de champagne. Peter s’engouffra dans l’ouverture et tira son pistolet de sa ceinture. Il en pointa le canon devant lui et tourna la tête dans tous les sens.
Il se trouvait dans une salle remplie de machine permettant au cargo de fonctionner.
Quand il fut sûr d’être seul, Peter rangea son arme et enleva rapidement sa tenue de plongée qu’il jeta dans l’eau. « Je n’en aurais plus besoin, pensa-t-il. Je ne repartirais pas. » Ensuite, il replaça la trappe à sa place et sortit une petite fiole remplie à ras-bord d’un liquide transparent. De l’azote liquide.
Peter en versa le contenu sur les bords de la trappe pour faire refroidir le métal qui se souda à la trappe.
« Ca devrait tenir le temps que je trouve le gaz. Sinon, le bateau coulera de toute façon. »
Peter fit le compte de son matériel.
Un couteau, deux pistolets, quelques grenades fumigènes, une lame secrète et une petite bombe activable à distance dont il servirait pour faire exploser le missile contenant le gaz, ce qui permettrait de le répandre dans tout le cargo.
Peter soupira.
En vérité il n’avait rien. Mais il n’avait pas besoin de beaucoup. Juste de son corps, de sa discrétion et de son talent. Il se rappela ce que lui avait dit le mentor quelques jours plus tôt.
« N’oublie pas Peter, tu seras seul face à une armée, là-bas. Les soldats qui seront dans le cargo ne plaisanteront pas. Ils ne te captureront pas s’ils t’attrapent. Ils te tueront sans hésitation. Et tu n’as tout simplement pas le droit d’échouer. Alors sois discret, silencieux. Il suffit qu’un garde te repère et déclenche l’alarme pour que la mission tombe à l’eau. Le résultat de la guerre dépend de toi. »
Peter inspira et expira.
Il avait l’habitude d’exécuter des missions à l’enjeu important. Mais là, ça faisait beaucoup pour un seul homme. Le résultat de la guerre, carrément.
Peter se mit en marche, accroupi, aussi silencieux qu’une ombre.
Il traversa toute la salle et arriva jusqu’à une échelle. Si Peter se souvenait bien du plan, elle le mènerait sur le pont.
Le jeune Assassin l’emprunta et arriva effectivement à l’extérieur, entre deux containers en acier. Peter escalada l’un d’eux et jeta un regard autours de lui.
Une douzaine de soldats Allemands déambulaient entre les containers, sur le pont. Ils étaient bien armés et observaient régulièrement la surface de l’eau avec des jumelles. Les autres tenaient des torches et promenaient le faisceau dans les allées.
A leurs mouvements, Peter devina qu’ils étaient très entraînés. Sans exagérer, chacun d’entre eux pourrait donner du mal à Peter en combat singulier, alors tous ensembles. Evidemment, Hitler n’aurait pas laissé la surveillance de son arme la plus mortelle à de simples militaires. C’étaient des mercenaires.
La furtivité serait le seul outil efficace de Peter.
Le jeune homme lâcha le rebord du container et retomba sur le pont, sans un bruit. La pluie s’était mise à tomber et le soleil se couchait.
Peter sortit de sa cachette et, dans l’ombre, se faufila jusqu’à un soldat lui tournant le dos, un fusil d’assaut dans les mains. Le mercenaire sifflotait et jetait des coups d’œil à droite et à gauche.
Avant de mourir, il eut à peine le temps de sentir une main se refermer sur sa nuque et un bras entourer sa gorge.
Peter serra d’un coup sec et tordit le cou de sa victime, grâce à sa main libre. Le soldat s’écroula. Peter retint son cadavre et le posa silencieusement par terre. Personne ne l’avait entendu. Bien. Pénétrer dans à l’intérieur de la deuxième partie du cargo, là où était cachée la bombe à gaz, ne serait sans doute pas un problème. En revanche, le nombre de garde irait croissant à mesure que l’Assassin se rapprocherait de sa cible.
Peter se mit à ramper entre les containers en métal.
Il passa sous un escalier et un pont en fer, où patrouillait deux soldats, contourna un mercenaire occupé à balayer le sol avec la lumière de sa torche, en dépassa un quatrième, tourné vers la mer et le regard fixé sur l’horizon, et arriva jusque devant une porte en acier trempé.
Elle s’ouvrait grâce à une écoutille. Peter la fit coulisser et ouvrit lentement la porte, entra et la referma derrière lui.
Il s’accroupit et traversa un couloir mal éclairé avant d’entendre des bruits. Le jeune homme se plaqua à un mur avec la vitesse d’un serpent et retenu sa respiration, la main prête à saisir son couteau à sa ceinture.
Deux soldats remontaient un autre couloir, en discutant.
-…Et là je lui dis que s’il est si fort, il n’a qu’à…
-Non, sérieux ? Ha ! Ha ! Et après il n’a quand même pas…
-Si, mais je l’ai attrapé et je l’ai regardé droit dans les yeux, et il a commencé à flipper comme…
Peter jaillit du tournant, un couteau dans sa main gauche et une lame secrète sortant de sa manche droite. Les deux hommes, prit par surprise, réagirent avec une vivacité et des réflexes impressionnants, ce qui acheva de convaincre Peter qu’il n’avait aucune chance en les affrontant de face.
Ils fléchirent leurs genoux, levèrent les canons de leurs fusils, et… tombèrent à genoux, la gorge tranchée.
Peter rangea ses armes et traîna rapidement les deux corps dans un coin avant de se plaquer de nouveau au mur et tendre l’oreille pour savoir si le bruit n’avait attiré personne.
Après vingt secondes, il soupira avec soulagement.
Les mercenaires étaient très forts. Si Peter ne les avait pas pris par surprise, il n’aurait eu aucune chance à deux contre un. Chacun de ces soldats était aussi doué qu’un Assassin haut-gradé. Ou à peine moins, mais s’ils rejoignaient la guilde, ils obtiendraient très vite le titre de maître Assassin.
Peter jeta un coup d’œil derrière lui et se remit en route.
« Bordel, j’ai faillis me faire repérer ! Je dois être plus vigilant ! A quoi m’a servi mon entraînement ! »
Peter regarda ses mains et se stoppa. Elles tremblaient. Le jeune homme n’arrivait pas à y croire.
Mais il comprit. Il avait peur.
Peter avait risqué sa vie des centaines de fois auparavant et avait affronté des situations autrement plus précaires, mais il s’en était toujours sorti. Là, il n’y avait aucune échappatoire. Il mourrait obligatoirement, qu’il échoue ou qu’il réussisse.
« Reprend-toi Peter, merde ! Tu es un Malroy, tu as été préparé depuis ta naissance à donner ta vie pour les Assassins ! Alors arrête de flipper et réussis ta mission ! Meurs pour ta cause ! »
Le jeune homme reprit sa route.
Il s’arrêta devant une porte et l’entrouvrit avant de jeter un coup d’œil à l’intérieur.
Un scientifique portant un brassard nazi étudiait des documents. Visiblement, il n’y avait pas que des mercenaires dans le bateau.
Peter entra et égorgea silencieusement le savant, puis, il regarda les documents.
La plupart ne montrait rien d’intéressant. Peter les abandonna, inspecta la pièce et continua. Il s’apprêtait à ouvrir une autre porte quand le canon d’un fusil se posa sur sa nuque. Il entendit un ricanement.
-Salut mec. Laisse-moi deviner, tu cherches les toilettes ?
-C’est à peu près ça, oui, répondit Peter.
Le jeune homme fit volte-face à une vitesse hallucinante et asséna un atémis sur le poignet du mercenaire. Celui-ci grogna et recula en lâchant son fusil. Peter lança deux regards, l’un vers la porte par où il était entré et l’autre vers la seconde porte de la pièce.
Aucun bruit, il n’y avait personne alentours.
Peter inspira et sortit son couteau. Il allait devoir se débarrasser du soldat, silencieusement et rapidement. Ca allait être compliqué.
Le mercenaire se redressa et ferma les poings avant d’adopter une garde typique de la boxe.
Les deux hommes se fixèrent et bondirent.

-John
-Peter
-Franz
-As et Pique

Vous préférez l'intrigue avec quel personnage ?

Enfin, l'intrigue DE quel personnage préférez-vous ?

Perso j'ai kiffé l'intrigue lors de la seconde guerre mondial continu
J'adore les lire c'est enrichissant
Ah aussi ..................................................
.....c'est
inspirant pour moi
Mais poste aussi les autre je verrais

Peter car pour l'instant tu nous laisses en suspens mais sinon j'aime bien Frantz et sa personnalité

Franz mais moi ce qui m'interresse c'est le viel as de pique
Je suppose qu'il va essayer de rallier à lui toutes les grandes lignées de tarés schyzophrénes pour buter le magerlan , non ?

Lenski : En fait, l'intrigue du vieil As de Pique sera mêlé à celle de Franz et je ne peux pas dire ce qu'il va encore sinon ce ne serait pas marrant

J'ai un petit problème j'ai fais des recherche sur les comte de renne en 1781 mais j'ai appris
qu'il n'existais plus après 12.. et des poussières puis sur le duché de bretagne en 1780
je ne trouve pas après 1712 ça serais pour en faire un bout de mon anecdote
je lance un appel a l'aide pour savoir qui gouvernais en 1781 en bratgne s'il vous plais

Oui je sais je dois avoir honte de ne pas savoir l'histoire de ma région

Ça fait chier le mien c'était une histoire de vengeance je l'ai créer sur un autre topic ( créer un assassin pour le plaisir à la page 6) tu peux faire une exeption ( dsl pour les fautes d'orthographe ) ?

Les histoires de vengeance c'est trop limité comme intrigue /

Ouais, un peu trop limité

Je viens de lire les règles c'est plutôt sympa tous les ajouts par contre je trouve que l'arc est pas très cher par rapport aux autres armes à distance

Ma première anecdote ^^ C'est pas trop tôt ………

En l'année 1781 , le 8 du mois d'Avril .

Ancêtre : Ryhan Stones .
Au petit matin ...
INTRODUCTION

la domestique entra dans la chambre du seigneur Stones .Puis la domestique se dirigea vers les rideaux en contemplant les peinture familiales accrocher sur les différent mur qui contenait la pièce .Ensuite la servant atteint les rideaux et les tire brusquement à obtenir les sursaut de de son maitre en demandent les raisons de ce vacarme !

Ryhan ce réveilla en sursaut au cause de la domestique , il sentit tout de suite l'odeur de la crasse et la boue des pavés et les chemins alentours .En s'approchent de sa fenêtre en entendant les marchand de poisson et de fruits crier pour vendre leurs produit divers et variés .
-Ahhhh le jour du marché …..
La servant se dirigea vers la chambre de Ryhan en crient dans tous la Bâtisse !

-Seigneur ! seigneur ! vous avez un message du Duc de Bretagne !
-Bien sûr Eden et en quoi consiste ce message ? en remontant mes boutons de manchettes .
-Messieurs le comte voudrais vous voir en personne pour discuté d'affaire politique et
voudrais vous retrouver derrière derrière l'hôtel de ville dans la rue des cordier !
cordialement le duc de Bretagne
-Quand veut il me voir ?
- le Dix de ce mois !
- Très bien je mis rendrais ,Eden envoyer ma réponse au Duc .

Ensuite la servant quitte la chambre ainsi que Ryhan .
Peu de temps après Ryhan quitta sa demeure pour aller se promener ,mais en revanche le temps n'était pas des plus favorable les nuages était gris et nombreux le vent se levait les stand de marchands qui pour certain avait des toit en toile s'envolais , les rue déserte ou presque on entendais plus que les chien qui aboyais dans l'ombre signe de mauvais temps .
Soudain un homme interpelle L'assassin , il appelle à l'aide ; il était habillé de noir et marron avec un tablier et un couteau de boucher touts couvert de sang , un visage en larmes , le crâne rasé ,des dents mal entretenue il en faisais peur rien qu'au visage , les vêtement n'avais plus leurs couleur d'origine le haut déchiré au coude et au ventre où l'on aperçois une grand entaille recouvrent tous la parti bas du ventre .
Une de ses mais sur mon torse et l'autre sur sa blessures qui semble profonde , il tiens à peine debout !
- s'il vous plais ,chers messieurs aidé moi je suis blessé on ma volé puis attaquer .
Rhyan qui a pité decide de l'aidé en demande …
- Qui est le coupable ? où est il ? quand et pourquoi vous a t-il fait cela ?
l'individu effrayer répond sans hésiter au question .
- En réalité il sont quatre ,il mon pris par surprise dans la petit rue sur la droite de messieurs , il y as peu de temps vous pouvez les rattraper vite .
Je me dirigeais vers la place de la ville par les petit rue car je voulais être couvert du vent qui se levais et soudain je me suis fais surprendre par les quatre gens .
Bizarrement quand Ryhan se retourne il aperçoit deux garde le regardant d'un oeil inamical .
contrairement au garde l'individus se dirigea vers lui c'est très intriguant ? peut être que la victime était rechercher par les garde ? et même cela ce peut qu'il ce soit des garde les agresseur ?
Mais malheureusement quant l'homme commence la description des agresseur petit à petit il s'enfoncer dans mes bras et succombe à ses nombreuse blessures ...

A SUIVRE …..
Dématérialisation de la machine …

Bon c'est peut être nul ou classique mais j'espère que j'aurais des réponse positive

Ok je vien de me relire c'est pas du tout captivent contrairement a vous

Seigneur ! seigneur ! vous avez un message du Duc de Bretagne

Cette phrase je l'ai lu comme un répondeur de téléphone genre "Vous-avez-1-nouveau-message "

Le nom: Lithium
Le prénom: Curt
L’âge: 27 ans
Le pays: Américains, originaire d’Angleterre
Langue parlée: Anglais, français.
Le sexe: Homme
La description physique puis morale: Curt a les cheveux blonds, presque bruns et plus foncé sur le dessus. Sa taille est dans les normes et il est mince, voir maigre.
Il est très solitaire. Il a une vision du monde et des Hommes très péjorative. Dans sa jeunesse il a fait plusieurs tentatives de suicide.

L'histoire: Curt Lithium est né le 20 février 1767 La vie de Curt ne comporte aucun évènement marquant avant ses 10 ans. C’est seulement après que ça devient intéressant : le 13 juillet 1777, c’est lui qui retrouve le corps de sa mère, pendu dans la cuisine. Eprouvant une haine irraisonnée envers son père, Curt fuit sa maison et se retrouve à la rue. On dispose de très peu d’informations sur cette période de sa vie, mais il est plus que probable qu’il est fréquenté des voleurs, des bandits et des assassins (je ne parle pas des assassins de notre Guilde mais bien de gens sans scrupules payés pour tuer des personnes sans se poser de questions). Quoiqu’il en soit, à 17 ans, à l’époque où il était le chef d’une bande de voleurs, Curt montrait déjà des capacités très élevés. C’est à l’âge de 22 ans qu’il est repéré par un templier qui l’engage comme tueur en échange de très grosses sommes d’argent. Mais le templier ne versa jamais la somme convenue. Très rancunier, Curt le lui fit payer en s’infiltrant chez lui et en le pendant à l’arbre qui se trouvait dans le jardin du templier. Les templiers lancèrent alors un avis de recherche contre lui. Il fuit l’Angleterre pour l’Amérique. Mais il n’était pas le seul : dans le même bateau que lui se trouvait un Assassin : David Leroy, l’un des descendants de Philipe Leroy (KOM PAR ASAR )*. Impressionné par les performances de Curt, il tenta de le convaincre de rejoindre la Guilde des Assassins. Curt accepta, plus intéressé par les sommes d’argent perçu à la fin de chaque mission que par l’avenir de l’Humanité, qu’il méprisait plus que tout. Arrivés en Amérique, ils se rendirent à Boston où Curt intégra la Guilde de la ville. Il y suivit un apprentissage long et éreintant mais réussit toutes les épreuves qu’on lui imposa. Durant les quatre ans que durèrent son entraînement, son maître finit par le convaincre de la justesse de leur cause, même si l’argent reste et restera toujours son principal motivateur. Pour pouvoir être considéré comme un véritable Assassin, il ne lui reste plus qu’à accomplir sa première vraie mission…

Compétence:

Force: 1/10
Résistance: 1/10
Déviation (combat, riposte mortelle): 1/10
Vitesse (aussi bien en combat qu'en course): 1/10
Escalade: 1/10
Discrétion: 1/10
Armes à distance (couteaux de lancées, pistolet, arbalètes…):1/10
Compétence spéciale (une compétence que vous inventerez de toute pièce et à laquelle vous donnerez un nom mais elle ne sera débloqué qu’au moment où vous aurez toutes les compétences à dix): 1/10

Et NON mon personnage n'est pas DU TOUT inspiré de Kurt Cobain
'fin un p'tit peu quand même

Je poste, ça bide. Coincidence ? Non, je ne crois pas.