Ciao saphir, et t'as raison, les études c'est le bien ;oui;

On devait pas faire les mises à jour de la rentrée?

Si

Merci Laflamme pour les règles chaud comme je réponds en retard

T'en pense quoi? ~ ~

Je lis

Mais je crois que j'aurais pas le temps de finir de lire, j'vais reprendre les cours dans 30min

Hello

Le topic se meurt, non?

Oui j'avais demandé qu'on relance le jeu en faisant les mises à jour de la rentrée mais seulement moi et Jet sont présents pour l'instant
Et puis on a plus de nouveau et même d'ancien qui écrivent

Bah moi je suis littéralement bloqué dans mont texte.

Je vais essayer de me forcer, même si je déteste ça, pour pouvoir passer à autre chose

D'ailleurs, ce "bloquage" peut être expliqué par le fait que c'est un chapitre avec un personnage que je n'utilise pas souvent: Geoffrey

Bon, au moins, j'espère que tu vas l'aimer, le texte et le personnage

Moi aussi je suis bloqué

Faudrait que je me lance, ça fait 4 mois que j'ai créé mon Assassin et j'ai toujours pas écrit, c'est galère d'écrire en plus de ma fic

Pour ceux qui se rappellent pas

https://www.jeuxvideo.com/forums/1-28123-531-529-0-1-0-jeu-l-ere-des-assassins.htm

Merci, il est très bien mon texte

Oh wait...!

Salut tout le monde !!!

Juste une question : Nous somme toujours vers 1780 ou pas ?? parce que je suis en train de vérifier mes nouveau textes

J'ai même pas pensé à mettre une époque à mon perso

Je vais vous relancer, faut juste que je relise mon chap

Contrat de confiance (partie 2) :

1942, France…

Les cinq hommes assis autours de la table se regardaient fixement. Finalement, Clyde retourna ses cartes avec un grognement.
-Je me couche.
Le mentor suivit, son voisin se coucha, les deux autres suivirent sans relancer. La main se termina sur un jeu minable. Le mentor gagne grâce à une double paire. Résultat peu glorieux. Clyde commença à distribuer les cartes pour la main suivante.
-Je commence à reprendre espoir, fit l’un des hommes, un moustachu d’une quarantaine d’année, un Assassin haut-gradé ayant la confiance du mentor depuis très longtemps et s’étant illustré par de nombreux exploits.
-La victoire des Américains à Pearl Harbor nous laissait déjà présager d’un brusque tournant dans la guerre, fit Clyde, mais le fait que les Anglais repoussent les Allemands en Egypte… Moi aussi, je vais finir par reprendre espoir.
-Pas de précipitation, dit un homme avec un chapeau et des lunettes de soleil, un autre Assassin haut-gradé, chef de l’unité de sabotage de la guilde. Cela fait trois ans que l’Allemagne enchaîne les victoires. Depuis le début de cette année, ils ont connus quelques défaites mais rien ne nous dit qu’ils ne vont pas se relever.
-Les Russes tiennent bon en tout cas, intervint le dernier homme, un Assassin très maigre avec un cigare dans la bouche et plusieurs pistolets à la ceinture, membre de l’unité de protection du mentor, ami du mentor de longue date. S’ils parvenaient eux aussi à repousser l’offensive Allemande…
-C’est plutôt bien partit, lâcha le mentor en regardant ses cartes. Il parait que les nazis ont du mal avec l’hiver rude de la Russie. Si je devais parier sur un des deux camps, je miserais sur l’U.R.S.S.
-Qu’importe le résultat, fit le moustachu. N’oublions pas qu’une fois la guerre finie, nous devrons nous occuper du cas Staline. Il est un obstacle pour la guilde.
-Pour l’instant il est de notre côté, le coupa l’Assassin au chapeau. Et tant qu’il se battra contre les nazis, nous lui apporteront notre aide. L’éliminer maintenant, ce serait tendre le bâton pour nous faire battre.
-Il a raison, approuva Clyde. Il serait stupide de tenter quoi que ce soit contre Staline, tout dictateur qu’il soit, alors que nous avons besoin du plus d’alliés possible.
-J’espère que l’U.R.S.S. ne nous joueras pas un mauvais tour et ne se retirera pas de la guerre à l’improviste, grogna le maigre en se couchant. Je n’ai pas oublié leur sale coup en 1917.
-A cette époque, l’U.R.S.S était fragilisée par les révolutions, secouée par Lenine qui gagnait en prestige et avait beaucoup plus de problèmes internes qu’aujourd’hui, dit le mentor. Ce serait une mauvaise tactique que d’abandonner maintenant. Hitler ne laisserait pas passer ça. Il les envahirait en un rien de temps.
-Ah, Hitler, soupira l’Assassin au chapeau en se couchant à son tour à cause de son jeu médiocre. Si ce crétin n’était pas arrivé au pouvoir, le parti nazi ne serait encore qu’un rassemblement inoffensif de fou furieux. Et dire qu’au départ, même nous, nous étions de son côté.
-Il faut dire qu’il a bien redressé l’Allemagne, dit le moustachu.
-Au prix de combiens de millions de vie ? demanda Clyde d’un ton calme. Tu as déjà vu des clichés des camps de concentration ? Pire, des camps d’extermination ? Les enfants abattus à bout portant par les généraux nazis, les hommes et les femmes squelettiques n’ayant même plus assez de force pour se lever, les dizaines de cadavres entassés dans les « douches » ? Quand la guerre sera finie, la priorité ne sera pas de tuer Staline mais d’en finir avec Hitler.
-Pour l’instant il est intouchable, coupa le mentor. Trop protégé. Aucun des attentats qui n’a été tenté contre de lui de notre part n’a fonctionné.
-Eh, on dirait que vous m’accusez, se défendit l’Assassin au chapeau.
-C’est bien toi le chef de l’unité de sabotage ? fit le maigre. C’est tes hommes et toi qui êtes responsables des attentats.
-La bombe sous le bureau, c’était ton idée, non ?!
-Que… Moi ?! fit le maigre. N’importe quoi !
-Si !
-Et alors ? lâcha Clyde. Il a survécu, ça ne sert à rien d’en reparler. Le poison dans sa nourriture n’a pas fonctionné non plus. L’infiltré que nous avons envoyé a été démasqué et les multiples colis piégés ont tous été ouverts par les secrétaires d’Hitler. Cette enflure a un bon ange gardien.
-Qui semble l’avoir abandonné, si l’on en croit ses défaites successives, ricana le moustachu.
-Peut-être bien. Je l’espère.
Il y eut un silence pendant lequel les cinq hommes jouèrent sans parler. Finalement, ce fut le maigre qui rompit le silence.
-Et le petit Magerlan, comment il s’en sort ?
Tous les regards se tournèrent vers Clyde. Celui-ci haussa un sourcil.
-Quoi ? Ce n’est pas moi son maître. Je me suis simplement occupé de le ramener au Q.G. Demandez à Peter.
-Allez, tu dois bien garder un œil sur lui non ? Tu as jadis été le commandant de l’unité d’espionnage. Un espion reste un espion toute sa vie.
-Eh bien… Il a l’air de bien s’intégrer. Il a fait sa première mission il y a quelques jours. J’ai entendu dire que ça c’était plutôt bien passé. Peter est un bon tuteur, quoiqu’on en dise.
-C’est un Malroy, cracha le moustachu.
Le maigre et l’Assassin au chapeau approuvèrent et eurent une expression de dégoût en entendant ce nom.
Clyde serra les dents.
-Tous les Malroy ne sont pas Franz Malroy.
-Peuh…
-Il fut un temps où les Malroy étaient la famille d’Assassin de France la plus respectée et la plus crainte après les Magerlan, intervint le mentor d’une voix grave. Et Edouard Malroy, un des ancêtres de Peter, a été le bras droit du mentor de l’époque. Un des plus grands Assassins du siècle, aussi. J’ai une profonde affection pour les Malroy, et quand on insulte cette famille, on m’insulte moi, moi qui ait grandi à côté d’eux et qui me soit battu sur le front, dos à dos avec le père de Peter. Je n’accepterais pas des remarques déplacées sur les Malroy tant que je serais à cette table, est-ce clair ?
Le maigre, le moustachu et l’Assassin au chapeau hochèrent la tête. Mais leurs regards semblèrent dire qu’ils n’étaient pas d’accord avec les paroles de leur mentor.
Clyde grogna et se coucha.
Franz. Cet homme n’avait apporté que des malheurs. Déjà enfant, il causait des soucis à toute la famille et on pouvait facilement deviner que le chemin qu’il prendrait ne serait pas celui de ses frères et de ses sœurs, ni celui de ses parents avant lui.
Très tôt, le mentor avait détecté l’ombre tapissée dans l’esprit de Franz, et qui ne demandait qu’à sortir. Il s’était acharné à dire au père de Franz que la meilleure solution était de tuer le petit, et tout le monde était d’accord, mais au lieu de cela, il a reçu un des meilleurs entraînement qui en a fait une véritable arme.
Et il était maintenant dans la nature depuis plusieurs années, affiché sur la liste noire des personnes les plus recherchées par la guilde des Assassins.
C’était un vrai gâchis, quand on voyait le potentiel gigantesque de Franz. Il aurait pu devenir le plus grand Assassin de l’époque. Mais non, il avait choisit une route… plus sombre. Plus difficile.
-Brelan de dix, s’exclama l’Assassin au chapeau. Je gagne.
-Rêves pas, intervint le moustachu en montrant ses cartes. Brelan de dame. T’aurais du te coucher.
-Merde.

le poker c'est le maaaal :pf

mais je préfère quand même la trame avec john