Bonjour à tous !

DSL de mon absence, habité en campagne à des avantages (les bonnes odeur, le calme) mais aussi des inconvénients (connexion internet pourri, être obligé de prendre la voiture pour allé en ville, les insectes dans la maison). En effet, j'ai une panne téléphonique donc internet y compris !

vasseaud1 -> Tout d'abord, je suis une fille alors le "T'es un gars" tu peux le ranger ailleurs stp ! Ensuite, on arrive à supporter cette chaleur par-ce qu'on y vit depuis toujours donc on est habitué et pour les moustiques, une moustiquaire et de l'insecticide suffit. Encore, ta eu de la chance, les moustiques y'en à moins qui à 3 ans.
Tkt, je vois pas pourquoi je t'en voudrais ! Je suis allé à Paris une fois pour les vacances d'été, j'ai eu une journée de soleil, mon dieu que ça ma fait du bien ! Et je me marre quand je vois à la télé "C'est la canicule" par-ce qui fait plus de 30 au nord ! XD Chez nous la canicule c'est au dessus de 40°C !^^'

Bref, pour me faire pardonner mon inactivité, je vais écrire la meilleurs anecdote de ma vie ! ^^'

Yo Saphir

pas la peine, on est pas des dictateurs

j'attends ton texte dans la soirée

J'hésite entre une intrigue de palais et une nouvelle intrigue basée sur une opposition idéologique

Bon, je poste le chap qui attend depuis quelques temps sur Words

Contrat de confiance (partie 1) :

1942, France…

La voiture s’arrêta brusquement. Franz, un sac sur la tête, entendit la portière s’ouvrir. Il sentit la main du conducteur se poser sur son épaule et le tirer hors du véhicule.
Le sac ne l’empêcha pas de respirer avec son nez. Il parvint à sentir des odeurs de lavandes, de thym et de diverses fleurs. Franz devina, de la chaleur sur sa peau, que le soleil brillait fort et qu’il était environs midi. Pourtant, il régnait une certaine humidité dans l’air lui faisant penser qu’il avait plu récemment.
Franz déduisit de toutes ces informations qu’il se trouvait assez loin de chez lui, à plusieurs dizaines de kilomètres en tout cas, car les senteurs aux environs de sa demeure correspondait à l’odeur de l’herbe fraiche, du sapin et de plantes différentes de celles qui poussaient là où il se trouvait.
Et il n’avait pas plus chez lui depuis une semaine.
Une main poussa Franz à avancer. Une autre, sur son avant-bras, le guida à travers une allée en pierre – Franz le devina au son de ses pas sur le sol – jusqu’à le stopper. Là, le sac fut brutalement retiré de sa tête, l’éblouissant, et la main dans son dos le força à avancer avant qu’il ne puisse s’habituer à la lumière.
Franz pénétra dans un grand hall luxueux au mur en marbre couverts de tableaux et au plafond parsemé de lustres en or. Le jeune homme entendit la porte d’entrée se refermer derrière lui.
Franz sourit et s’aventura dans un dédale de couloir. C’était une galerie magnifique, illuminée et au sol tellement propre qu’on pouvait y voir son reflet avec une netteté incroyable. L’As de Pique avait toujours eu le goût du luxe et de la richesse.
Finalement, au détour d’un couloir, un homme en costume, avec un nœud papillon au cou et un pistolet à la ceinture, se présenta devant Franz et le salue en s’inclinant légèrement.
-Monsieur vous attend, dit-il. Suivez-moi je vous prie.
Franz se mit en marche derrière le majordome. Celui-ci devait avoir la cinquantaine et ses cheveux étaient parsemés de mèches blanches.
Il conduisit Franz jusqu’à une porte en bois et se retourna vers lui.
-Monsieur se trouve derrière cette porte, dans son bureau. Je dois vous prévenir que nous avons l’œil sur vous et que si vous tentez la moindre chose contre Monsieur… Eh bien, je ne vous conseille pas d’essayer. Nous connaissons votre caractère impulsif et nous sommes équipés en conséquence.
-Vous êtes plusieurs ?
-Veuillez entrer, dit le majordome en ignorant la question de Franz.
Le majordome poussa les battants de la porte et se décala pour laisser Franz passer. Une fois qu’il fut entré dans la pièce, la porte se referma et un cliquetis informa le Malroy que le majordome l’avait verrouillée.
Franz regarda autours de lui. Il se trouvait dans une vaste pièce chauffée par une cheminée, remplie d’étagères, elles-mêmes remplies de livres en tout genre. Dans un fauteuil en cuir rouge, un homme était confortablement installé et fumait la pipe.
Il était très vieux, sûrement octogénaire. Néanmoins, son allure et ses gestes fluides et maîtrisés semblaient appartenir à un homme de vingt ans. Il avait des cheveux longs et blancs ainsi qu’une moustache. Les lunettes sur son nez prouvait que sa vue n’était plus ce qu’elle était autrefois.
L’homme était vêtu très simplement. Aucune arme n’était visible sur lui. Il fit signe à Franz de s’asseoir en face de lui. Le jeune homme s’exécuta. L’As de Pique savait toujours se faire obéir, malgré les années.
L’aura de puissance et de respect qui l’entourait n’avait jamais disparue. Au contraire, elle semblait s’être renforcée et il émanait de lui une impression de sagesse profonde mais de cruauté sans limite, si on l’y poussait.
-Belle demeure, fit Franz Malroy.
-Merci. Ce manoir a toujours été le siège des As de Pique, depuis plusieurs siècles. Malgré leurs recherches, les Assassins ne l’ont jamais trouvé. Nous tenons à ce que cela reste ainsi, que ce lieu soit pour toujours un lieu de sécurité et de paix pour les gens de ma lignée. Un endroit où ils peuvent se cacher sans crainte et reprendre des forces, hors d’atteinte de leurs ennemis.
-Je ne risque pas d’en révéler l’emplacement, répondit Franz. On m’a endormi pendant toute la première partie du voyage, et ensuite on m’a mis un sac sur la tête.
-Prudence est mère de sûreté.
-C’est vrai. Il parait que vous allez… Mal.
-Vous le savez aussi bien que moi. Ce n’est pas un secret pour quelqu’un comme vous, Franz Malroy. Je suis stérile depuis ma naissance. Je ne peux pas enfanter. Ma lignée est condamnée à s’éteindre après ma mort, et celle-ci ne devrait pas tarder, si j’en crois les douleurs dans mes articulation ainsi que ma vue et mon ouïe qui baissent chaque jour. Sans compter les quelques pertes de mémoires dont je suis victime, parfois. Eh oui, Franz, la vieillesse n’épargne personne, même ceux qu’on surnomme les « Immortels », les As de Pique.
-Je vois ça. Mais il me semble que vous avez deux fils.
-As et Pique… Je les ai adoptés alors qu’ils n’avaient que quatre ans. Deux jumeaux, fils d’un chef mafieux. Je l’ai tué et je me suis retrouvé avec deux gamins sur les bras. J’aurais pu les abandonner mais j’en ai fait mes disciples. Je les ai entraînés et élevés comme mes propres enfants. Malgré tout…
Le vieil As de Pique souffla un nuage de fumée et remit sa pipe dans sa bouche.
-Malgré tout, il n’y a pas une goutte de sang d’As de Pique en eux. Pas une seule. Ils ne porteront jamais en eux la volonté de ma lignée. Non, Franz, je suis bel et bien le dernier As de Pique, c’est ainsi, il ne sert à rien de se le cacher. Et je suis vieux, proche de ma fin. Faible, aussi. Mes ennemis n’auraient aucun mal à me tuer, s’ils me trouvaient. C’est pour cela que je ne sors jamais d’ici. Trop dangereux.
Franz se taisait, concentré sur les paroles du vieillard qui lui faisait face.
-Ah, Franz, comme je regrette l’existence que j’ai mené. Toute ma vie, j’ai traqué Lize Magerlan. J’ai tué et torturé dans ce seul but et, quand je l’ai enfin trouvé, que j’ai posé mon canon sur son front, elle m’a dit qu’elle avait déjà un enfant, en sécurité. Que les graines d’Arcus continuaient à germer. Je l’ai tué mais à ce moment là, j’étais déjà vieux. Et j’ai eu beau rechercher son fils, je ne suis jamais parvenu à lui mettre la main dessus. Je ne peux pas perdre de temps Franz, je dois mettre un terme à la lignée des Magerlan, et vite. Avant ma mort. J’ai trop perdu de temps, notre guerre millénaire ne peut pas se terminer de cette façon, par la victoire des Magerlan. Si les As de Pique doivent disparaître, ils entraîneront leurs ennemis avec eux.
-C’est triste, vraiment. Qu’un simple… accident de la nature mette fin à un tel conflit. Ca va faire un vide quand on saura qu’il n’y aura plus jamais d’As de Pique. Ni de Magerlan, si vous réussissez à le tuer.
L’As de Pique s’enfonça dans son fauteuil et reposa sa pipe. Il se servit un verre d’alcool et en but quelques gorgées.
-J’ai besoin de vous, Franz Malroy. Je suis plus faible et plus vulnérable que jamais. Il me faut un soutien puissant, tel que celui de votre famille. Nos deux lignées n’ont jamais été en très bon terme mais… Mais j’ai espoir que vous, vous comprendrez.
-Je ne comprends rien. Si je suis là, c’est uniquement pour le Livre des Magerlan, que ce soit clair.
L’As de Pique hocha la tête et ricana.
-Je vous aime bien, Franz. Vous auriez pu être mon fils, à vrai dire. Ou mon petit-fils. Vous en avez l’âge, l’esprit et la force. Vous pensez comme un As de Pique, vous agissez comme un As de Pique, vous…
-Moi je me fous des Magerlan et de votre guerre, elle ne m’intéresse pas le moins du monde. Elle est amusante à regarder, mais elle ne m’intéresse pas. Il n’y a que le Livre que je veux. Où est-il ?
L’As de Pique plissa les yeux et sourit.
-Ah, le Livre. Un artefact aussi recherché qu’un Fragment d’Eden, voire plus. Ce vieux roublard d’Arcus a bien joué son coup en le créant. Il savait tout ce qu’allait entraîner sa traque. Enfin… Je sais où il se trouve, oui. Je connais un moyen de me le procurer, aussi. Vous vous doutez que ce ne sera pas gratuit.
-Que souhaitez-vous, As de Pique ?
-Un contrat. Un contrat d’aide mutuelle entre nos deux familles, et le serment que vous ferez tout ce qui est en votre pouvoir pour m’aider à tuer le dernier Magerlan.
-Je ne peux pas signer un tel contrat sans en avoir au préalable discuté avec ma famille.
-Ha ! Ha ! Depuis quand vous souciez-vous de ce que pense votre famille ? Franz, vous êtes le « Démon des Malroy », ne l’oubliez pas. C’est comme ça qu’on vous appelle, dans le milieu. Je…
Franz stoppa les paroles de l’As de Pique.
-D’accord. Mais père va être mécontent.
-Ca vaut le coup, si vous pouvez mettre la main sur le Livre.
-Oui, ça vaut le coup. Apportez-moi du papier et de l’encre, nous allons mettre ça par écrit.
L’As de Pique finit son verre. Un sourire satisfait s’élargit sur son visage.

Je poste pour dire que je suis encore vivant

Stylé non ? C'est moi qui l'ait fait

Bof, tu met Superman c'est pareil

Euh... bilbo, pas d'accord, tu lui fout des spermatozoïdes dans les bourse et tu les fait fonctionner!

sinon saphir, sympa. Mais dit moi, tu parle japonnais, tu fais du judo, ou quelque chose comme ça? car je suis impressionné par tes connaissance

Ben je regard beaucoup d'anime (VOSTFR bien sur) et je lit beaucoup de manga du genre de DBZ, donc j'ai un vocabulaire japonais asse martial. Sinon, je me suis acheter un livre pour apprendre les bases du japonais ainsi que la culture japonaise.
En bref, je suis fan de manga, de dessin et du Japon !^^'

PS : Je suis aussi fan de Michael Jackson, soit dit en passant !

Ok, c'est cool, ça veut dire que tu t'y interresse :- )

d'ailleurs, peut tu mettre le liens de ton derniers texte, avec l'apothicaire? Je compte te donner une mission en rapport

Je te l'ai envoyé en MP !

Donne moi une mission un peux différente stp ! ^^'

Voila

Munis de ses informations, Aoi doit aller fouiller le manoir du "sensei", sans se faire repérée, ou ni même être vue. Elle devra voir jusqu'où s'étendent les pouvoirs de cet homme, et ce dans quoi il trempe.

Bien, il y a de l'amélioration, Saphir

Et j'ai même l'impression que tu te relis!

Par contre, fait gaffe aux verbes. Outres les participe passé à la place de l'imparfait, tu conjugue mal le passé simple

Ceci dit, j'ai hâte de voir ce qui se passera avec ce Sensei

Ah et j'oubliais. Je suis lent de base pour écrire, mais comme j'ai déjà commencé l'école, ce sera d'autant plus lent
Donc je m'excuse d'avance.

Mais bon, j'aime à croire que les plus grands sont lents... Kubrick, R.R. Martin...

Alors je fais partis des grands /

Faut croire

Mais faut connaître la différence entre être lent et ne rien faire...

Aujourd'hui, j'ai écris 18 lignes

CaptainBad -> Pour être franche avec toi, je ne me relie que deux fois depuis toujours. Une fois pour la tournure de phrase et l'histoire en elle même, une autre fois pour les fautes.

Peut être qu'à force d'écrire régulièrement je plus attention instinctivement ! ^^'

Au faiteJet_lag, tu ne m'as pas notée sur ma dernière anecdote !

Exact

2points et 350pieces

En fait moi pour les Lenski je me suis inspiré d'une description d'Andrei Bolkonsky de "guerre et paix"

« Elevé dans la foi de la mère patrie par un ancien général un peu fou, le prince André a appris à toujours placer la Russie avant son bonheur, sa famille et sa vie de couple... et ce, quoi qu’il en pense”, explique Alessio Boni. André, ce brillant aristocrate trentenaire, militaire de carrière, uni par convenance à Lise qu’il n’a jamais aimée, semble indifférent au bonheur et à l’amour. Décrit comme un homme bravant le danger et prêt à mourir au combat, il rentre néanmoins marqué par sa première expérience à Austerlitz allant même jusqu’à avouer à son père, qu’il ne ressent que “peu d’enthousiasme pour la vie militaire ».