C'est vraiment une blague ce gars...

J'ai pris deux missions car j'ai l'intention de les faire l'une après l'autre, mais je vais d'abord faire une anecdote puis les missions Silence et Esclavage:

Anecdote:

Sherwood, le repaire:
3 jours après son arrivé au repaire, Ygor rencontre son grand frère, Artur, devenu maître-assassin du repaire de Sherwood, ce dernier entame la conversation:

"Après mûre réflexion entre nous, les maître-assassins de ces lieux, nous avons décider que tu sera mon élève. Tu vas commencer ton entraînement dès aujourd'hui. Tu vas devoir venir avec moi à Liverpool où se trouve une de nos planques.
- Je ne pense pas être près à me combattre.
- Aucun souci, j'irai avec toi pour t'assister lors de cette première mission.
- Mais je ne possède les armes que tu possède.
- A toi de te débrouiller pour les récupérer. Maintenant fini de bavarder, dépêchons nous car les missions n'attendent pas."

2 jours de trajet ont été nécessaires aux frères BORRIECK pour se rendre à Liverpool. Artur commence déjà à s'équiper et lance Ygor une lame secrète et lui dit:

"Maintenant que tu es un assassin, tu es dans l'obligation de porter ceci, c'est l'arme principal de l'assassin. Tu ne t'en serviras uniquement dans le cadre de ta mission, je t'offrirai une tenue un peu plus tard, notre couturier est en train de t'en fabriquer une. Après quoi je ne pourrai plus rien t'offrir. Avant de partir je vais t'apprendre la compétence de notre repaire qui n'est autre que le crochetage.
- Cela me sera t'il nécessaire?
- Ca à été utile à plus de personne que tu ne peux l'imaginé. Aller, prépare toi, nous allons y allez pour ta première mission, je te montrerai en chemin."

Fin de l'anecdote.
Début de la mission Silence:

Ygor et Artur s'embarquent sur une petite charrette de marchand en direction du nord-ouest de la ville, Artur parle des lieux à son petit frère et fini par commencer à expliquer la mission:
"Certain de nos éclaireurs nous rapporter des messages comme quoi un de nos anciens compagnons se serait fait capturer par les Templiers et déclare qu'il veut leurs révéler l'emplacement de notre repaire. Passe incognito et charge-toi de le faire taire pour toujours.
- C'est comme si c'était fait.
- Bon état d'esprit, mais vois-tu, il se trouve dans une prison infestée de templiers et y accéder ne sera pas une partie de plaisir.
- Nous n'avons qu’à s'approprier un de leurs uniformes, non?
- C'est envisageable, en effet, mais un garde à l'entrée demande les noms des personnes qui veulent y entrer...
- Nous sommes bloqué à l'extérieur!
- Je n'ai pas fini! Il existe toutefois un passage au nord de la prison qui accède au centre de la prison. Les ne s'attendent pas à nous voir passer par là.
Nous sommes arrivés à destination continuons à pied."

Ygor descend de la charrette et aperçoit au loin une immense bâtisse. C'était la prison.
Les deux assassins décidèrent donc de ne pas hésiter un seul instant et allèrent en direction de la prison. Arrivé à leurs passage secret, Artur explique Ygor comment s'exécute le crochetage.
Ygor parvient à ouvrir un tunnel menant à la prison. L'odeur qui s'y trouve est insupportable mais il n'y a pas un rat et l'ascension vers la prison se fait sans souci.
Les frères entrent dans la cour centrale de la prison, il n'y a pas un garde. Artur se dirige en direction de l'entrée de la prison en quête d'indice sur la position de son ex-disciple, et voit sur une page écrit "l'assassin, bloc B, salle 13.". Les assassins suivent les panneaux et vont en direction du bloc B.
Soudain, deux gardes apparaissent, ils discutent au fond du couloir, ils discutent et semblent ne pas avoir aperçut les deux assassins. Les frères se ruent sur les gardes mais ces derniers aperçoivent les deux intrus et parviennent à blesser Artur à l’abdomen. Ygor plante sa lame dans le dernière du crane du premier garde, le second attaque mais Ygor parvient à s’approprier l’arme de celui-ci et abat l’épée sur le haut du crane du garde pareil à un barbare. Il prend l’armure du garde et l’enfile et part à la recherche de l’assassin en mettant Artur dans une prison en attendant qu’il revienne, Artur prend alors la parole :
« Prends cette plume et pose la sur le cadavre de notre « client » »
Ygor fait le tour des lieux et arrive au niveau de la salle 13, mais il ne voit personne, il ouvre alors la pièce en crochetant la porte comme lui a expliqué son frère et entre.
Soudain, une ombre fonce en direction de la sortie. C’est la cible d’Ygor et notre héros parvient à l’arrêter en le prenant par le col de sa tunique, et l’attache à l’aide d’une corde contre les barreaux de la fenêtre. Ygor n’hésite pas une seconde et plante sa lame dans la tempe de sa victime.
Ygor regarde le cadavre de l’assassin un court instant puis pose la plume sur le thorax de celui-ci. Il s’en va, referme la cellule, récupère son frère, et s’échappe par le souterrain au centre de la cour. Arrivés à la surface, Tout les assassins du repaire des deux frères sont présents pour féliciter la réussite de la quête d’Ygor, il reçoit sa tunique, puis un assassin s’approche d’Ygor et lui déclare :
« Tu fais officiellement partie de l’ordre des assassins de Sherwood. Mais ne compte pas te reposer sur tes lauriers nous avons une nouvelle mission pour toi mais je laisse l’honneur à toi ton frère pour t’expliquer tout ce que tu dois savoir à ce sujet »

Fin de la mission Silence.
Début de la mission Esclavage :

Après qu’Artur se soit fait soigner par un médecin de Liverpool, Ygor s’impatiente sur le sujet de sa mission et demande à son frère :

« Vas-y, donne moi la mission que je doit faire.
- Ce ne sera pas une mission de tout repos, nous avons appris que les templiers ont fait prisonniers d’honnêtes citoyens anglais et ont décidé de les utiliser comme esclaves en Amérique. Le bateau risque de partir dans la soirée donc tu n’as plus beaucoup de temps pour les sauver.
- Y a-t-il une façon de procéder ?
- Non, tu as carte blanche. Mais je ne vais pas t’accompagner ce coup si pour savoir si tu sais gérer de telles situations. N’hésite pas engager de nouveaux assassins si tu en as la possibilité.»

Ygor part donc seul en direction du port. Il décide de grimper au sommet de l’église, qui ne se trouve non loin de sa cible, pour avoir une vue d’ensemble du port.
Il y a un énorme bateau avec à son bord, une dizaine de gardes et deux cages avec des prisonniers à l’intérieur. Ygor aperçoit juste à coté des cages une réserve d’armement. Il voit également plusieurs marchands qui transportent de la nourriture vers le bateau et décide de commencer par stopper cette marchandise. Il descend de son perchoir et fonce en direction des marchands.
Arrivé à destination, il décide de plutôt se faire passer pour un fournisseur et prends trois boites de fruits et les transporte vers le bateau, il voit à coté de lui un templier mais il se retient de l’assassiner.
Lors de son ascension vers le bateau, il entend d’une guerre qui aurait éclaté en Amérique mais n’y prête pas d’importance. Il monte à bord du bateau et se dirige en direction des cages. Les plaintes des citoyens qui s’y trouvent enfermés l’obligent à avancer plus vite. Il pose son stock d’agrumes et entame la conversation avec les prisonniers :

« Je vais vous libérer, mais je vous en pris, faites encore semblant de vous plaindre. Votre libération ne se fera pas aisément, donc je vous demande de tous vous munir d’une arme et de m’aider à écarter ses templiers de votre passage. Je donne rendez-vous à tous les survivants de ce combat à l’église que vous voyer là-bas. »

Ygor crochète la serrure de la cage et libère une quinzaines de citoyens qui, après avoir pris une arme, se ruent vers les hommes à la croix vermeille. Les coups de feu tonnent, le sang écarlate jaillit de toute part. Ygor se munie d’une hache et tranche les soldats templiers. Le combat est rapide et les pertes nombreuses. Ygor fonce vers l’église et sourit lorsqu’il voit que 6 citoyens sont présents pour lui, il les dans une ruelles désertes et monte sur un petit escalier comme pour faire un discours, il élève la voie et demande :

« Bonjour à vous, braves citoyens de Liverpool. Les templiers qui vous maltraitaient voulaient vous utiliser comme esclave en Amérique. Maintenant, je me permets de vous poser une question qui vous semblera peut-être bizarre mais la réponse devra être honnête. Etant donné le fait que nous ne soyons plus très nombreux parmi les assassins je vous demande si il y en a parmi vous qui accepterai de venir parmi nous, les assassins ?
- Moi, répondirent tout les citoyens »
Artur apparait et déclare à Ygor qu'il vient de réussir sa mission.

Onch /

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Alors , quoi de neuf ?

Deux pavés arrivent, vous me direz ce que vous en pensez car c'est un peu là que commence vraiment l'histoire de mon assassin

Bandit (partie 1) :

-Et donc, ces bandits empêche les convois de marchandises d’arriver en ville ? fit Shan.
-Oui, répondit le général Jefferson, lui-aussi remit de ses blessures. Ils tuent les marchands et les pillent. Sachant que la plupart des convois qui viennent à Menwood sont remplis d’armes, ils doivent être bien équipés aujourd’hui.
-Hum, je vois… Tu ne peux pas envoyer des hommes leur régler leur compte ? Ce ne sont pas de vulgaires bandits qui vont effrayer des soldats disciplinés et entraînés.
-Nous sommes trop pris par la guerre. Les Anglais ont surgis à l’Ouest et bloquent nos troupes. Les soldats qui restent ici sont soit blessés, soit incompétents, soit occupés à surveiller le front Sud d’où pourraient arriver à tout moment des indiens.
-Et donc, tu fais appel à moi.
-C’est l’avantage d’avoir une Confrérie d’Assassin à porter de main. Alliée à nous, qui plus est.
-Très bien, ce sera vite réglé.
-Ah, au fait, je voudrais savoir qui les a engagés. Il y a forcément quelqu’un qui les contrôle.
-Et quand je l’aurais trouvé ?
-Tue-le.
-Ca a le mérite d’être clair.
Shan se leva.
-J’emmène quelqu’un avec moi.

Shan et Elizabeth galopaient vers l’Est depuis vingt minutes. Il ne neigeait plus et le sol était blanc par endroit mais surtout vert. La végétation reprenait ses droits.
-Pourquoi m’avez-vous choisie pour venir avec vous, maître ?
-Parce que ce sera normalement une mission facile, qui te permettra de te faire une idée du genre de boulot qu’on donne à un Assassin en temps de guerre et tout simplement car je veux voir ce que donne ton entraînement en situation réelle.
-Très bien.
-Ce n’est pas un exercice. Les gens qu’on va affronter ont pour unique objectif de te tuer. Ils ne se battront pas avec des épées en bois.
-Je sais.
-Bien. Je devais au moins te le dire.
Soudain, Shan vit un homme jaillirent d’un buisson, suivit de trois autres. Ils tenaient des matraques et des sabres rouillés et étaient vêtus comme des mendiants, mais ils avaient l’allure de brigands.
-Descendez d’vos chevaux et donnez-nous vot’ argent ! Et vite !
Shan s’apprêta à s’en charger quand il eut une idée.
-Elizabeth, vas-y. Je te regarde.
La jeune femme lança un regard étonné à son maître avant d’obéir. Elle descendit de sa monture et vérifia que son épée était accrochée à sa ceinture avant de fixer les bandits.
-Qu’est-ce qu’elle va faire la d’moiselle ? fit un brigand en riant. Tu veux jouer à pôpa maman ?
En réponse, elle dégaina son sabre et fouetta l’air. Le bandit s’écroula, la gorge ouverte. Dans le même mouvement, la jeune femme tira un couteau de sa ceinture et le lança sur le côté, tuant un deuxième bandit.
Les autres, surpris, mirent du temps à réagir.
Elizabeth bondit, para un coup de sabre, un second, un troisième, fit un pas sur le côté et fléchit les genoux, comme son maître lui avait appris, avant de frapper. Un coup d’estoc parfaitement maîtrisé.
La lame de l’épée –un fleuret-, transperça de part en part la gorge du troisième bandit.
La jeune femme esquiva habilement un puissant coup du dernier avant de lui enfoncer son genou dans les côtes. Le bandit se plia en deux et, une seconde plus tard, sa tête alla rebondir au sol, détachée de son cou.
Shan resta silencieux.
La jeune femme rengaina son épée, sourit à son maître et s’avança… Avant de tourner, s’appuyer contre un arbre et vomir son déjeuner.
-C’est toujours difficile de tuer quelqu’un quand on débute, lâcha Shan. J’ai longtemps perdu l’appétit et le sommeil quand j’ai commencé ma carrière d’Assassin. Tout le monde passe par là, généralement.
Elizabeth jeta un coup d’œil derrière elle et vit les quatre cadavres baignant dans leur sang. Elle vomit de nouveau.
Shan descendit de son cheval et alla lui tendre un mouchoir avant de poser sa main sur son épaule.
-Tu voulais une vraie mission ? Tu voulais savoir le quotidien des Assassins ? Le voila. Les gens s’imaginent que nous vivons tous les jours des aventures plus folles les unes que les autres, que nous combattons les méchants et les envoyions en prison à la fin mais ce n’est pas ça la réalité. La réalité c’est ça. Le meurtre et le sang dans toute sa splendeur.
La jeune femme se redressa.
-Normalement, tu vas avoir les même réactions après chaque missions, et ce pendant une bonne semaine. Après tu t’y habitueras. Mais n’oublies pas de toujours respecter tes adversaires. Même les Templiers.
Shan fit un geste de la tête et Elizabeth s’approcha des cadavres. Surmontant son dégout, elle leur ferma les yeux un par un avant de lever.
-Rest in Peace, fit elle.
-Bien, repartons. Les autres bandits ne doivent pas être très loin. Reste sur tes gardes.
Les deux Assassins remontèrent sur leurs chevaux et continuèrent leur route, tendant l’oreille pour entendre le moindre bruit suspect.
Finalement, au bout de quelques minutes, Shan fit un geste pour signifier à son apprentie qu’il avait entendu quelque chose.
-Continuons à pied, chuchota-t-il. Suis-moi de près.
Les deux Assassins descendirent de leurs montures et se baissèrent avant de reprendre leur route, caché par la végétation.
Ils arrivèrent au sommet d’un rocher.
En contrebas, une dizaine de bandits riaient et jouaient aux cartes autours d’un feu de camp. Certains nettoyaient des armes, d’autres jouaient au jeu du couteau… Dans un coin, un homme se tenait agenouillé, ligoté avec un sac sur la tête.
Il était en sous-vêtements. Visiblement, les bandits l’avaient tabassé car ses habits étaient tâchés de sang.
Shan tira lentement son arc et encocha trois flèches. Elizabeth dégaina son fleuret.
-Non, murmura Shan. Toi tu restes là. Tu as vu ta réaction tout à l’heure ? Et si tu te mets à vomir en plein combat ?
La jeune femme baissa la tête et rengaina son arme.
Shan lâcha la corde de son arc.
Les trois flèches touchèrent leurs cibles. Shan tira sa faux de sa ceinture et s’élança.

Bandits (partie 2) :

Menwood…

William Jefferson, dans sa tente, assis à son bureau, était plongé dans l’écriture d’une lettre. A la lumière d’une bougie, il mit le point final, une formule de politesse ainsi que son nom. Il reposa sa plume et passa sa main dans ses cheveux.
Au même instant, un déclic se fit entendre dans son dos. Le bruit d’un pistolet qu’on charge.
Le général Jefferson sentit le contact du canon d’un revolver contre sa nuque.
-L’exécuteur des Templiers, lâcha-t-il. Je savais qu’un jour ou l’autre vous viendriez, mais pas si tôt.
-Vous pensiez que ce jour là, vous seriez assez fort pour me repousser ?
Le général ne répondit pas. Il entreprit de plier soigneusement sa lettre, de l’introduire dans une enveloppe et de fermer celle-ci avant d’y apposer le sceau de la famille royale d’Angleterre.
Il l’embrassa d’un geste plein de gravité.
Le Templier ricana.
-Vous m’écœurez général. Vous le savez ?
-Vous me dégoutez plus que je ne vous dégoute. Qu’on en finisse.
Le Templier mit son index sur la gâchette. William Jefferson leva les yeux au ciel et lança :
-Pour la Grande-Bretagne… Longue vie à la Reine !
Le coup de feu retentit. Le tueur entendit des soldats se précipiter vers la tente. Il ramassa nonchalamment la lettre sur le bureau et souffla la bougie, maintenant tâché de sang.
Quand les soldats Américains pénétrèrent dans la tente, ils ne virent que leur général, assassiné d’une balle dans la nuque.
L’As de Pique était déjà loin.

Elizabeth regarda avec admiration son maître essuyer le sang sur sa faux, entouré des cadavres des dix bandits. Tuer la rendait malade, mais voir tuer la laissait indifférente. Très étrange.
Shan tourna la tête vers elle et lui fit signe de venir.
-Fouille-les pour voir s’ils n’ont pas quelque chose sur eux qui pourraient nous indiquer le nom de leur maître.
La jeune femme se mit au travail. Les deux Assassins inspectèrent chaque poche de chaque cadavre. Finalement, Elizabeth s’écria : « Là ! »
Shan la rejoignit.
Elle tenait un papier dans sa main.
-Je l’ai pris dans la tunique d’un des plus armés d’entre eux, sûrement leur chef. Tenez.
Shan prit le papier, le déplia et le parcouru des yeux. C’était une courte missive ordonnant aux bandits de bloquer tous les convois de marchandises passant par la route de Menwood, de les piller et surtout de tuer tous les marchands.
Une partie du message était caché par des tâches de sang mais la signature était parfaitement lisible : L’As de Pique.
Shan écarquilla les yeux et serra les dents.
Lui…
-Ca va ? demanda Elizabeth.
-Oui, oui… Ne t’en occupe pas. Rentrons.
-Hummmmm ! fit une voix étouffée.
Les deux Assassins se tournèrent vers l’homme attaché et avec un sac sur la tête, derrière eux. Ils avaient faillis l’oublier. Il faut dire qu’il était resté très silencieux pendant la bataille.
Shan défit ses liens et lui retira son sac d’un coup sec, dévoilant un visage plein d’hématomes et couvert de sang. L’homme se redressa, s’épousseta et se tourna vers Shan.
-Monsieur, je vous remercie de m’avoir sauvé. Sans ça, ces bandits m’auraient torturé encore longtemps avant de finalement me tuer. J’ai une dette envers vous ! Je jure que tant que je ne vous aurais pas sauvé la vie trois fois, je serais lié à vous et je vous suivrais à la trace ! Foi de Lucien Malroy !
Shan hésita entre le rire, la colère et les larmes. Il opta pour un sobre « Quoi ? », avec une voix étonnée.
Lucien hocha la tête, compréhensif.
-C’est une tradition dans ma famille. Si un homme te sauve la vie, tu dois lui rendre la pareille par trois fois. S’il te sauve deux fois, tu dois le sauver six fois, et ainsi de suite. A partir d’aujourd’hui, je ne vous quitte plus ! Sur mes ancêtres, je saurais rembourser ma dette !
Elizabeth étouffa un éclat de rire, avec peine. Shan, dépité, considéra l’homme qui lui faisait face.
-Eh bien la prochaine fois que vous serez en danger de mort, je me chargerais de vous achever. Bref, je n’ai pas le temps de rire. Je ne sais pas qui vous êtes et ce qui ne va pas bien chez vous mais je craints de devoir vous laisser là. Au revoir.
Shan se détourna et alla reprendre son cheval. Elizabeth l’imita.
-Hop ! Hop ! Hop ! Vous m’oubliez ! Attendez-moi, enfin ! Eh !
Le dénommé Lucien s’élança et, d’un bond, enfourcha le cheval d’Elizabeth, se plaçant derrière elle.
-Allez, en route ! fit Lucien.
Shan le fixa avec un air du genre : « Mais qui est cet handicapé ? »
-Et, vous allez où au fait ? demanda Lucien.
Shan descendit de son cheval et attrapa Lucien par le col avant de tirer d’un coup sec, le projetant au sol. Là, il le redressa en le tenant fermement par le bras.
-Je n’ai pas de temps à perdre, alors soit vous restez là, soit je…
-Vous êtes un Assassin ? le coupa Lucien.
-Hein ? Euh… Oui.
-Dans ce cas, nous faisons méprise tous les deux !
Lucien se dégagea de la prise de Shan avec une facilité qui étonna ce dernier. Il se recoiffa légèrement avec sa main et s’inclina avec une allure de dandy.
-Lucien Alfred Edouard Malroy, Assassin de la Confrérie de France, enchanté.
Shan haussa un sourcil.
-Vous, un… Assassin ?
-Lucien Alfred Edouard Malroy, Assassin de la Con…
-Oui, oui, j’ai compris ! En ce cas je suis désolé, il y a effectivement eu méprise. Un Assassin n’a pas de dette envers un autre Assassin, donc vous n’avez pas à me sauver la vie trois fois.
Lucien eut une moue désabusée.
-Vous êtes Britannique ?
-Oui.
-Chez vous, les Assassins n’ont peut-être pas de dette entre eux mais en France, si un Assassin sauva la vie d’un Malroy, le Malroy doit lui sauver la vie cinq fois.
Shan se frappa le front avec la paume de sa main avec de baisser les bras, fatalistes.
-Pourquoi je dois sauver le pire cinglé de la région ? Il y avait plein de gens à sauver, alors pourquoi lui ?
-Il a l’air inoffensif, lança Elizabeth. On n’a qu’à l’emmener avec nous à Menwood.
-Inoffensif ? répondit Lucien en souriant et en allant rejoindre le cheval de l’apprentie. Holà, jeune femme, tu ne sais pas de qui tu parles !
-Je parle à quelqu’un qui s’est fait capturer par dix malheureux bandits, même pas entraînés. Ca la fout mal pour un Assassin.
-La vérité c’est qu’ils ont profité d’un instant d’inattention, grommela Lucien. J’avais une poussière dans l’œil…
-Si vous le dites, conclut Elizabeth en éclatant de rire, visiblement très à l’aise avec le Français.
Shan du se résigner à accompagner Lucien à Menwood. Après tout, ce dernier était bien blessé et avait besoin de se faire soigner. « Mais dès qu’on arrive, je le largue. »

Les trois Assassins arrivèrent au camp du général Jefferson une heure plus tard.
Shan avait rangé le papier du bandit dans sa poche et s’apprêtait à le donner à William Jefferson. Si l’As de Pique était dans l’affaire, Jefferson devait en être informé.
Mais il comprit tout de suite que quelque chose n’allait pas quand deux soldats leur barrèrent la route en les mettant en joue.
-Déclinez votre identité et vos intentions !
-Je suis Shan Magerlan, répondit Shan en haussant un sourcil. Et je viens prévenir le général que j’ai accomplie la mission qu’il m’a donné. Je dois m’entretenir avec lui.
Les soldats baissèrent leurs fusils.
-Oh, excusez-nous. Mais… Enfin…
-Quoi ? Parlez ! ordonna Shan, inquiet par le ton des soldats.
-Le général s’est fait assassiner, fit un soldat. Il y a moins d’une heure. Un coup de feu a retentit dans sa tente. Nous n’avons pas retrouvé le tueur. La ville est sur le pied de guerre. Nous soupçonnons les Anglais d’avoir voulu…
Shan avait bondit de son cheval et s’était élancé vers la tente de l’officier.
Le cadavre avait été évacué mais on voyait encore une flaque de sang sur le bureau. Le liquide rouge avait éclaboussé tout le sol. Shan s’approcha du bureau et se rendit compte que la chaise était légèrement repoussée.
Jefferson était donc installé à son bureau quand il avait été tué.
Un plume pleine d’encre était encore posée à côté. Le général écrivait vraisemblablement quelque chose avant de mourir. Quelque chose qui n’était plus là…
Shan sortit de la tente, sous le regard d’Elizabeth et Lucien, qui devinaient tous les deux qu’il venait de se passer quelque chose de grave.
Shan traversa le camp et rejoignit l’officier le plus gradé, en-dessous de Jefferson.
-Où est le corps ?
-Vous êtes un Assassin ? Le cadavre a été transporté à un camp voisin, à huit kilomètres. La balle était encore fichée dans la nuque du général. Si je tenais l’enfoiré qui a fait ça…
-Dans la nuque ? Une balle ?
-Euh, oui. Un très petit calibre peu puissant. Tiré à bout portant.
-Avez-vous retrouvé un journal, un papier ou une lettre sur le bureau ?
-Non, juste une plume. Pourquoi ?
Shan s’était détourné.
Il rejoignit Elizabeth et Lucien. Là, il se tourna vers son apprentie. Lucien ne dit rien. Il sentait que ce n’était pas le moment de plaisanter.
-Elizabeth, va au Q.G et rassemble tes affaires. Préviens les autres maîtres Assassins que nous nous en allons.
-Euh, très bien. Mais pourquoi ? Où allons-n…
-Obéis !
La jeune femme recula d’un pas, hocha la tête et s’élança vers la ville. Lucien fronça les sourcils et fixa Shan.
-Vous avez une idée de qui est le tueur ? demanda-t-il avec un ton sérieux n’ayant plus rien avoir avec tout à l’heure.
-L’As de Pique. Vous devez avoir entendu parler de lui.
-Comme tout les Assassins. Qui a été tué ?
-Le général William Jefferson. Le chef du camp. C’était un Assassin Britannique.
-Pourquoi les Templiers pouvaient lui en vouloir ? Parce qu’il se battait aux côtés des Américains ?
-Peut-être. Mais il était en train d’écrire quelque chose quand il a été assassiné. Quelque chose que le tueur a dérobé.
C’était maintenant deux maîtres Assassins qui parlaient. Avec un ton grave et sérieux. Le ton de vrais Assassins ayant l’intuition que l’affaire était plus grave qu’elle n’en avait l’air.
-Où allez-vous aller ?
-A New-York, répondit Shan. Prévenir un ami. Ensuite je vais mener mon enquête. Je vais entrer en contact avec la Confrérie Américaine.
-Dans ce cas je vous accompagne, c’est justement là-bas que je me rendais.
-A la Confrérie ?
-Oui.
-Vous savez où elle se trouve ?
-A Boston.

• très long bip* comme j'ai hate de passer en Amérique.

Pourquoi ?

Pace que j'ai 1 milions d'idée mais je veux pas laisser mon perso en plan

J'en profite pour mettre l'apparence des persos principaux de mon histoire.

Shan Magerlan :

Elizabeth :

L'As de Pique :

Lucien Malroy :

Le général William Jefferson :

Vous en pensez quoi ?

C'est pas mal

Mais vous faites sur quelle logiciel/site ces petites reconstitution de personnage ?

C'est pas un logiciel, c'est un site ( Hero Machine 2.5 : http://www.ugo.com/games/superhero-generator-heromachine-2-5 )

On peut vraiment faire de tout.

Moi je l'ai trouvé sur internet

Image de base :

Retouché par moi :

Moi mon perso ira dans le monde entier
Mais la flemme de commencer ma mission perso

J'essayerais d'écrire ma mission demain, j'ai la flemme ce soir aussi.

Courage reptilonch'

Séquence 3:
Mémoire 3: Maison de plaisirs

Moi, Sophia ma soeur et Alejandro Vegas nous rendons vers la France . J'avais déjà eu la chance d'allez en France car mon oncle Antonio Valez y vivait, c'était lui aussi un assassin .
Il se déplacez partout en France et nous devons le retrouvé a Bordeaux . Mais pour l'instant nous devons quittés l'Espagne . Cela me faisait bizarre de quitté l'Espagne en sachant que les Templiers me recherché, en plus j'allais resté longtemps loin de L'Espagne . Pour aller en France nous devons traversée les Pyrénées, une grande montagne , mais c'était un meilleur moyen que de la contourné et de se faire attraper par les Templiers qui nous recherché activement .

Nous commençons alors a gravir la montagne . Mon crochet m'aura bien servi, et heureusement que Alejandro avait penser a prendre un grappin . Nous escaladons la montagne lorsque l'ont aperçois un "ours des Pyrénées" ( vrai ours !!! ) .
Il y avait pas que un ours mais bien 2, ils étaient de même taille , marron foncé . IL foncèrent sur nous , on avaient froid puis il fallait en plus que l'on affronte des ours, heureusement qu'on été en été, sinon nous n'aurions pas survécus . Les deux bêtes foncent sur nous, trop tard pour s'en échapper, ils faillaient les combattre . Les bêtes avaient l'air très féroce , il recherchaient peut être a mangé . Nous les humains étaient des cibles parfaites pour ces ours, mais s'étaient sans compter sur nos armes et sur notre volonté a les tués . Je sortis mes deux épées, Alejandro sortis une hachette et un pistolet, tandis que ma soeur, Sophia sortis une épée . Les deux ourses se dressent devant nous , sur leur pattes arrières de la même façon qu'il se dresse pour attraper du miel ou autres chose dans un arbre. Je voulu planter mon épée dans le corps de l'ours mais il m'envoya valser avec un coup de patte dans mon corps . Sophia fonça sur l'ours qui m'avait attaquer . L'ours lui donna aussi un coup de patte mais elle l'évita parfaitement en effectuant une magnifique roulade sur le sol avant d'arriver derrière et de plantait sa dague dans le dos de l'ours qui cria . Pendant se temps, Alejandro se battait contre l'autre ours , la bête l'avait plaqué au sol et avait désormais le sort de l'assassin entre ses mains . Je me releva et lança un couteau qui arriva directement dans l'oeil de l'ours . Je ramassa mes deux épées qui été planter dans le sol . L'ours enleva donc sa patte d'Alejandro qui pouvait désormais se relevés pour reprendre le combat . Il reprit son hachette tombait au sol et la planta directement dans le deuxième oeil de l'ours qui ne s'avait plus de trop se qui faisait après ces coups a la tête . Sophia, après avoir planté sa dague dans le dos de l'ours monta dessus et planta son épée au centre de la tête de l'ours . Il tomba au sol avant de monté au ciel ! Le deuxième ours se battait encore, mais sa fin était proche a lui aussi car il ne s'avait plus se qu'il faisait et il été aveugle . Je lui planta mes deux épées dans sa tête et il était enfin foutu , il tomba au sol et se vida de son sang qui créa rapidement une grande flaque de sang .

Nous continuons notre ascension après avoir tué les bêtes . Un groupe de Templier se déplacés , on les suivis et je les écouta de loin .
-Nous devons donner cette lettre au "maître des Pyrénées" .
-pourquoi est il haut dans les Pyrénées avec sa maison de plaisirs .
-Il doit faire pour que les templiers contrôlent la frontière française/espagnol et il doit se mettre en l'air pour que ...
enfaîte je ne sais pas .
-Super , bon continuons cela n'est pas importants !
-Oui mais cela pourrez nous faire gagner du temps car montée a la montagne, c'est assez compliqué et physique .
-Il faut co-même le faire donc tu te la ferme et t'avance avant que je t'éventre la tête .
-Calme toi !!!

Nous voyons désormais de loin le bâtiments qu'ils appelés maison de plaisirs , comme nous voyons la maison, nous pouvons désormais tué les templiers que l'on suivait . Alejandro , a l'aide de son pistolet tira sur 3 des 4 gardes . Le 4ème se prend un couteau dans le dos pars ma magnifique soeur . Ma soeur m’impressionne si on m'aurai dit que ma soeur aurait été comme sa il y a 10/15 ans j'aurais rigoler mais la j'été "sur le cul", elle aurait pus se marier avec les plus beau homme de la planète mais elle préfère se joindre aux assassins .

Nous avançons dans la brume vers la maison des plaisir . Je décida d'escaladais la maisons alors que Sophia allé passé par derrière et Alejandro allé rentrait doucement dans le bâtiment par les pièces les moi importantes et le plus éloignés de la grande porte d'entrée .
Achille montas alors sur deux caisse empilés puis il s'accrocha à une fenêtre , l'escalade était compliqués, car il y avait plusieurs étage et peu de chose pour s'accrocher . Il finis tant bien que mal en haut de la maison .Il'observa depuis le toit les templiers qui ne pouvait pas me voir ou presque puisqu'il y avait beaucoup de brume puis avec la tenue blanche de l'assassin, ils arrivaient beaucoup moins a le dissimuler . Il y avait une trappe sur le toit qui était fermées a clé, l'assassin tira alors a l'aide de son pistolet dans la serrure pour pouvoir briser le verrou , il pouvait désormais entré dans la trappe . La trappe menait a une pièces petite, très petite et je prit la première porte pour arriver dans l'un des couloirs de la maison .
Après avoir longé le couloir , je pris une porte au hasard qui m'amena dans la cuisine . Le cuisinier se retourna mais je le tua avant d'un coup de lame dans la tête . Pour pas me faire remarque je mis le corps du cuisinier dans un placard.
Je continua jusqu’à arriver dans un bureau, peut être le bureau du chef templier . J'entendit alors un bruit au loin, je me précipita pour me caché derrière un objet, le seul objet que je trouva était une bibliothèque , je me cacha derrière car il y avait un petit creux dans le mur donc je pus me caché . Le chef Templier entra, avec l'un de ses alliés , j'écouta leur conversation.
-Comment ?
-Oui, il y a un très gros problèmes a l'endroit du barrages, il faut le résoudre .
-Bien alors si des personnes sont passés par autre part que part le barrages , ils faut laisser plus personnes passé . Il faut qu'ils meurent tous .
-Vous êtes vraiment sur que ...
-Oui !!!

Alejandro rentra a ce moment dans le bureau par une autre porte . Il lança sa hachette dans la tête du templier.
Je fis tombait la bibliothèque et alla tué le chef templier à l'aide de ma lame .
-Pourquoi fait tu cela ???
-Tu viens de dire que t souhaite tué toutes les personnes passant a la frontière .
-Oui, les assassins ne doivent pas passer , ils doivent tous mourirent et comme des assassins sont passés incognito, nous allons tués tout le monde .
-Oui mais sa ne se fera pas .
-Tu es Achille Valez et on dois te tuer car t...
il mourra avant la fin de cette phrase . Voila une question que j'allais désormais me posée en plus . Après avoir retrouver Sophia et tués les autres templiers de la maisons nous partons pour terminé notre route vers la France .
Après plusieurs heure . Nous aperçûmes le bout de la montagne et aperçûmes les premières terres françaises .