Meuh t'inquiètes , je e corriges quand master est pas là

Et dire que tout sa sa a commencais quand j ai dis.que j aimais bien lenski

• Fait un calin à t-redead*

awa mieu \ /

pour passer la vague de flood

Courage , c'est fini

C'est moi ou deux kikoos viennent de débarquer ? Le mieux dans ces cas là c'est de les ignorer royalement

J'ai raté un épisode je crois?

moi un kikou ? c'est pas gentil sa. bref j'espere que se flood sera vite suprimé !

Ignorons ce kikoos

Ornito Moyen et des fautes et fait gaffe au faute de frappe comme "la tout en pierre" ou "le doigt dur la gachette" donc 400 pièces d'or et 1 point

Bon sinon je m'occupe du tableau des missions par contre il sera par MP donc verifier vos MP dans la prochaine heure

ATTENTION

Tout le monde poste sa fiche d'Assassin avant lundi 16h pour nous montrez que vous êtes toujours là
Ensuite on fera la liste des maîtres avec leurs apprentis pour savoir qui vous corrigeras
Sauf:
-Linkc
-Bilbo
-Lenski
-Ludo
-pergame
-Ginny
-supercarlu
-Jet
-t-redead
-Elyya
-Delias
-Sayanel
-Saz
-teubreuks
-ornithorynque2
-Reptilis

Tous ceux qui ne sont pas dans cette liste doivent poster leurs fiches Assassins.

Nouvelle Confrérie (partie 2) :

Shan, perché au sommet d’un toit, aux côté de William Jefferson (oui, en fait son vrai nom n’était pas Willy), observa tour à tour les nouvelles recrues de la guilde qu’il avait lui-même recruté la nuit dernière.
Elles étaient plus nombreuses qu’il ne l’aurait pensé.
Cinq. Dont le jeune Jack qui semblait maintenant vouer une véritable admiration pour Shan. Il y avait aussi deux paysans bien bâtis et grands que Shan avait trouvé en train de voir leurs champs détruits par la guerre.
Juste à côté se tenait droite une jeune femme, une courtisane, que Shan avait sauvé des mains d’un violeur dans une ruelle et enfin un homme d’allure banale mais très fin qui s’était lui-même présenté à l’auberge pour rejoindre la Confrérie.
Shan avait donné des armes et des tenues aux recrues en fonction de leurs aptitudes.
Des armures et des haches pour les deux paysans, une tenue légère et des dagues pour la jeune femme, une tenue un peu moins légère pour l’homme mais un sabre recourbé et enfin une lame courte pour Jack.
Le général Jefferson avait décidé de ne pas leur donner de lames secrètes tant qu’elles n’auraient pas prouvés leur valeur et leur loyauté.
Mais maintenant, il allait falloir les entraîner.
Shan les fit se mettre par deux et leur donna des épées en bois. Ils leurs fit s’échanger des coups lents, puis, de plus en plus rapides. Le nombre d’apprentis étant impair, Shan se mit avec un des deux paysans.
Ensuite, il leur enseigna les bases de la course libre.
Un peu d’escalade de bâtiment en ville, de la course dans les rues, des objets à aller cherche en hauteur, des parcours d’obstacles, etc…
La jeune femme se montra particulièrement douée mais un des deux paysans peinait à suivre.
Le général Jefferson s’occupa de leur apprendre les principes du tir à l’arc et aux armes à feu.
Enfin, Shan leur fit faire une simulation d’assassinat avec William Jefferson comme fausse cible. Là encore, la jeune femme fut la meilleure, suivie de très près par le jeune homme. Jack suivait loin derrière et les deux paysans encore plus loin.
« Ces deux là, je leurs donnerais comme mission de retaper le Q.G, ainsi que des surveillances de la ville, pensa l’Assassin. Ils ne sont pas doués pour la discrétion et la finesse. En revanche, ils feront des soldats parfaits. »
Il reporta son attention sur le jeune homme.
« Lui, il est doué pour le tir, surtout avec un arc. Il fera un bon tireur d’élite. Jefferson s’occupera de son entraînement. »
Puis, il tourna la tête vers la jeune femme.
« Elle, c’est la plus douée. Sa vie de courtisane l’a habituée au danger et à la discrétion. Je pense qu’après quelques cours, je pourrais lui confier de véritables missions. »
Enfin, il baissa les yeux sur Jack.
« Il n’est pas spécialement doué ou spécialement mauvais. Je demanderais à Jefferson de lui apprendre à tenir correctement un fusil et une épée et je l’enverrais faire des missions pour débutant, comme des livraisons. »
Shan donna leurs tâches aux recrues et s’approcha de la jeune femme. Elle avait enlevée sa capuche.
Brune aux yeux verts, elle était assez jolie et sa tenue d’assassin faisait ressortir ses formes. Elle devait être à peine plus jeune que Shan.
-Comment te nommes-tu ?
-Elizabeth. Elizabeth Parkwood.
-Eh bien Elizabeth, je t’annonce que ce sera moi qui me chargerai personnellement de ta formation.
-Je vous en remercie.
-Ce n’est rien. C’est nécessaire pour devenir un Assassin.
-Je parlais d’hier. Sans vous, ce fou furieux m’aurait violée et tuée. Vous savez, dans mon métier on vit dans la crainte de ces gens-là.
-Bientôt tu ne craindras plus personne.
Shan lui dit d’aller s’entraîner au tir à côté du jeune homme et s’approcha de Jefferson.
-Alors, qu’en penses-tu ?
-On peut en tirer quelque chose, répondit le général. Surtout de ces deux là, ajouta-t-il avec un geste vers le jeune homme et la jeune femme.
-Effectivement.
-Je dois te dire quelques choses. Demain, ma troupe et moi nous attaquerons un camp Anglais, au Sud, dans la forêt. Veux-tu participer ?
-C’est bien pour ça que je suis ici non ?
-Sois présent demain matin à l’entrée de la ville.
Shan hocha la tête, s’élança vers le bord du toit et exécuta un magnifique saut de la foi.

je poste vu que je l'avais fini et j'ai pas envie de supprimer

Mon assassins : http://hapshack.com/images/qlTSW.jpg

[France , Paris]

Un dimanche par une journée plutôt pluvieuse, je fus convoquer dans le bureau du Mentor de France.
-Vous m'avez fait demander monsieur
-Oui, assieds-toi
Voila en faisant simple ta missions est d'aller en Amérique, la bas vous devez vous organiser, y créer un Q.G et monter une nouvelle Confrérie.
-où exactement
-dans une ville perdu un peu au milieu de nul part que les habitants du coin appels Menwood
-très bien,mais vous avez dit vous donc je ne serrez pas seul
-Non,deux assassins y sont déjà,un certain Magerlan Shan et Adcok Edward , je vous est fais préparer un navire avec trente hommes d°équipage qui serons sous vos ordres,ils vous aiderons a vous préparer quand vous serrer arriver.
Après avoir lu le dossier de mes deux équipier et mettre agenouiller au pied du mentor,je partis en direction du port de paris.Là bas je vis mes hommes qui ressemblez beaucoup plus à des mendiants et des paysans que à des matelots expérimenté.
Ensuite je vis mon navire "la Victoire" que le mentor a armé à ses frais, j'ordonnai à mes hommes de monter et nous partîmes en direction de Georgetown la ville portuaire la plus proche de Menwood.

[Quelques semaines plus tard.]

Après être arriver au port de Georgetown j'ai vendu mon navire pour acheter des chevaux a mes hommes et moi, un des hommes de Willy Jefferson qui m'attendais nous conduit à Menwood.

[Menwood 5h plus tard]

L'homme me conduit a une auberge et son alla,j'ordonnai à mes hommes de rester dehors dans le froid et en attendons j'entrai dans l'auberge dedans je vis mes deux équipier, après avoir commander une bière je les ai rejoins.

Après avoir fait connaissance avec mes deux équipier, je sorti de l°auberge du Chien de Chasse,la nuit commençait à tomber,dehors je vis mes hommes qui étaient coucher parterre " réveillez vous bande de branleurs " ils sursautèrent tous en même temps
-la prochaine fois que je vous vois entrain de dormir sans mon autorisation je vous promet que je vous tue tous un pars un
le plus grand prit la parole
-nous sommes désoler nous nous sommes assoupis pendant un instant.
-Es que je vous ai autoriser à parler , je crois bien que non alors vous allez fermer votre gueule de clochard et tous me suivre.Je les ai amenais à une plaine vide a quelque pas de l'auberge , là j'ordonnai à mes hommes d'aller chercher des tantes et du bois chez Willy Jefferson pour installer un campement.
Après que mes hommes soit revenues nous commençâmes à installer le campement, au bout d'environ 3 heures tout était prêt nous allumâmes un feu de bois au milieu de des tantes et nous allâmes tous dormir.

Le lendemain.

Je décidai d'entraîner mes hommes au combat, avec l'aide de Willy Jefferson j'ai donné des épées à chacun de mes hommes et moi et Willy commencèrent leur entrainement.
Ils apprirent vite et bien et puis au bout de quelques jours cinq hommes sur trente se sont distingué, ces cinq firent recruter comme apprenti et les autres servaient de homme de ménage pour nettoyer le camp, au bout de quelques jours plusieurs partirent et d'autres restèrent ne savons par ou aller.

Bilbo 600 pèces d'or et 1.5 poins
Excellent texte même si tu aurais pu allonger la période d'entrainement pour déterminer leurs affectations comme par exemple "une semaine plus tard", tu aurais pu aussi mettre aussi les Assassins de Ginny et de t-red et évite les parenthéses dans tes textes.
Mais je pense toujours que les ivrognes auraient fait des bons Assassins

Ah oui merde on est en 1700 et quelques.

T : 1.5 points et 500 d or

Force: 4 + 0.5 = 4.5
Résistance:4+0.5=4.5
Déviation:4
Vitesse:4
escalade:4
discrétion:4
fureur du lion 8 + 0.5 = 8.5

5900+500=6400 pièce d'or

lenski le prochaine fois si c'est toujours toi qui me corrigera tu pourrais me dire mes fautes stp

quelqu'un c'est ses à quelle page la maj du forgeron j'ai chercher mais j'ai pas trouver

Laflamme : Ah mais l'entraînement est loin, loin d'être fini

Forgeron:

La deuxième lame secrète-----3000f
Lame crochet-----------------2000f(C'est une amélioration de la première lame secrète)
Hache de lancer (Tomahawk)----4000f
Le pistolet------------------5000f(Max 6 munition pour plus allez chez "tailleur")
Le pistolet à un coup--------2000f(Max 6 munition pour plus allez chez "tailleur")
L'arc------------------------1000f(Max 10 munitions pour plus allez chez "tailleur")
L'arbalète-------------------6000f(Max 10 munitions pour plus allez chez "tailleur")
Protection en cuir amélioré----------5000f
Munition pistolet(1)---------50f
Munition d’'arbalète(1)-------25f
Couteaux de lancer(1)--------25f
Balle(1)--------------------50f (Pour le pistolet à un coup et le pistolet caché)
Poudre pour 10 balles-------100f

Médecin:

Sarbacane--------------------3000f (Remplace "Fléchette empoisonnée") (Pour l'utilisé il faut posséder des fléchettes empoisonnées)
Poison-----------------------1500f(Empoisonnez quelqu'’un mais de prés, pour les munitions allez chez "médecin")(max 10 munition pour plus allez chez "tailleur")
Remède (1)-------------------100f
Fléchette empoisonnée (1)----150f
Poison (1)-------------------150f

Tailleur:

Sacoche pistolet:10 munitions----600f (même sac pour le pistolet à un coup et le pistolet caché)
Sacoche arbalète:15 munitions----600f
Sacoche arc:15 munitions---------600f
Sacoche arbalète:20 munitions----1000f
Sacoche arc:25 munitions---------1000f
Sacoche arbalète:25 munitions----1500f
Sacoche arc:25 munitions---------1500f
Sacoche poison:15 munitions------600f
Sacoche poison:20 munitions------1000f
Parachutes (1)-------------------150f

Anecdote : La bataille sur la colline (partie 1) :

Shan sortit tôt le matin de l’auberge, alors que le soleil n’était même pas encore levé et que l’air était glacé. Hier soir, il avait eu la surprise de trouver les trois ivrognes, qui avaient agressés Jack, sur le pas de sa porte, demandant à devenir des Assassins.
Il les avait fait jurer d’être loyal au credo, puis, les avait envoyés vers l’aubergiste pour les formalités.
Aujourd’hui, il devait aller, en compagnie de William Jefferson, aller attaquer un camp Britannique. Les autres maîtres Assassins étaient partis exécuter leurs propres missions.
Quant aux apprentis de Shan, c’était ce dernier qui leur avait donné leurs tâches, en attendant de rentrer pour les entraîner.
Le jeune homme, nommé Allen, était parti dans la ville recruter des nouveaux candidats.
Les deux paysans étaient restés au Q.G provisoire pour le retaper et le rendre plus confortable.
Jack était partis la veille, à cheval, en direction de New-York, avec Elizabeth et une escorte de soldats, pour aller prévenir Lirand que Shan était arrivé à Menwood en un seul morceau et lui livrer une lettre qu’il devrait ensuite envoyer au Grand Maître.

Shan arriva devant l’entrée de la ville. Le général Jefferson l’attendait, sur son cheval, en habit militaire, entouré d’une cinquantaine d’hommes armés portant les couleurs Américaines.
La bataille allait être sanglante.
Shan monta sur son propre cheval, un étalon à la robe noire, très vif et très endurant, offert par Jefferson à son arrivée.
-Leur camp est à deux kilomètres au Sud-est, entre deux collines, fit Jefferson en direction de ses hommes. Ils sont aussi, voire plus nombreux que nous. Mais nous n’avons point peur. C’est un sentiment qui nous est étranger. Il nous est étranger car nous nous battons pour nos femmes et nos enfants, pour nos villages et notre patrie. Pour notre liberté !
Les soldats approuvèrent, certains levèrent le poing et crièrent.
-Que nous mourrons ou que nous survivons aujourd’hui, dans les deux cas nous serons des héros ! Pour l’Amérique ! Pour la Liberté ! Et fuck aux Anglais !
Les soldats levèrent leurs armes, firent cabrer leurs cheveux et hurlèrent pour acclamer leur général.
Shan effleura le manche de sa faux, vérifia que sa sacoche était pleine de couteaux de lancer, et talonna son cheval.
La troupe partit au galop.
D’ici, on pouvait apercevoir au loin des petits points noirs s’agitant dans tous les sens. Les Britanniques savaient qu’ils allaient être attaqués et étaient sur le pied de guerre.
La vue perçante de Shan lui permit de voir qu’ils montaient leurs chevaux. Et qu’ils s’élançaient dans leur direction.
Le général, en tête, tourna la tête vers ses hommes, se dressa sur son cheval et leva son sabre bien haut.
-Pour l’Amérique ! répéta-t-il.
-Pour la Liberté ! répondirent ses hommes.
-Et fuck aux Anglais, compléta un soldat, mortellement sérieux.
Les deux camps se rapprochaient. Cinquante mètres les séparaient maintenant. Ils se rapprochaient à une vitesse ahurissante. Le choc allait être violent.
Trente mètres, vingt mètres, dix mètres…
Les deux troupes se percutèrent avec tant de violence que certains hommes furent désarçonnés et se firent piétiner par les sabots des chevaux en furie.
Shan tira sa faux et, dans un même mouvement, libéra sa chaîne qu’il attrapa et qu’il lança.
L’extrémité alla s’enrouler autours du poignet d’un soldat Britannique qui fonçait sur lui. Shan tira d’un coup sec et le soldat partit à le renverse avant de se rompre le cou dans la neige. Le revolver qu’il tenait tourbillonna dans les airs et alla rejoindre la main libre de Shan.
L’Assassin, une faux dans la main droite et un pistolet dans la main gauche, était parfaitement à son aise dans la bataille.
Il tirait d’un côté, décapitait de l’autre.
Bientôt, les combattants qui au départ étaient tous massés au milieu dans un véritable chaos, s’espacèrent un peu.
Certains, tombés de leur monture, poursuivaient la guerre au sol.
Shan, toujours sur son cheval, appuya sur la gâchette de son revolver. Un soldat Britannique fut projeté hors de ses étriers, un trou fumant entre les deux yeux.
L’Assassin pivota et fouetta l’air de sa faux. Un adversaire au sol s’écroula, égorgé.
Quelques mètres plus loin, le général Jefferson se battait comme un diable, sur le dos de sa monture. Il avait lui-aussi un pistolet dans sa main gauche mais un sabre dans la main droite. Et il affrontait un officier du camp adverse.
Shan jeta son revolver complètement déchargé et déploya de nouveau sa chaîne. Il vit du coin de l’œil un soldat ennemi le viser avec un fusil, dix mètres plus loin.
L’Assassin fit tourbillonner sa chaîne et l’envoya en avant. Elle alla s’enrouler autours d’une branche d’arbre. Shan rétracta brusquement la chaîne, se tirant vers la branche en quittant le dos de sa monture comme un flèche.
Il entendit un coup de feu derrière lui et son cheval s’écroula en hennissant.
Shan se balança à la branche et la quitta pour atterrir sur le dos d’un autre cheval, monté par un Anglais. Il fit jaillir se lame secrète et la planta entre les deux omoplates du soldat.
Le cadavre partit à la renverse et fut piétiné.
Shan tira les rennes pour faire exécuter un demi-tour au cheval et galopa vers le tireur. Celui-ci avait lâché son fusil et brandissait une épée.
Les deux chevaux se croisèrent, les lames se frôlèrent en projetant des étincelles.
Shan continua sa route alors que la tête du soldat Britannique tombait au sol dans une pluie de sang.
Soudain, il vit dans la mêlée que le général Jefferson, après s’être débarrassé de son adversaire, était tombé de sa monture et combattait simultanément trois soldats ennemis.
Shan talonna sa monture.