Je me suis deja fait coriger par flamme mais il m'a pas dis ce qui allais pas donc si tu pouvais me dire:
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-28123-531-241-0-1-0-jeu-l-ere-des-assassins.htm
j’achète le pistolet intégrer a la lame et l'arc pour 5000 et 1000
donc 6000+6400=400
donc il me reste
400 pièce d'or
langue:russe tchétchène francais
morale:quelqu un de naturellement gentil mais qu'il faut pas énerver
Mon assassins : http://hapshack.com/images/qlTSW.jpg
tenue assassins 2 : http://www.eklecty-city.fr/wp-content/uploads/2010/09/Assassins-Creed-artbook-project-06.jpg
sans la tenue assassins : http://imageshack.us/f/83/831/acbscreenshotofficer.jpg/
née en tchétchènie le 3 avril 1758 de pere et de mere musulman son pere etait un assassin. mohamed a était obliger de quitter son pays natale a 14 ans a cause de la guerre contre la russie son pere et les nombre de leur clan http://fr.wikipedia.org/wiki/Ta%C3%AFp les on protejer durant la fuite par décision de la mère ils sont partis en france avec ses 2 soeur,ses la qui'il a apris le français, après être gravement blesser son père les a rejoins et il est mort quelque annee plus tard a ses 19 ans.Mohamed est retourner en tchechenie et a rejoins les assassins après avoir fait ses preuves il fait le tour du monde pour aider ses frère.
capaciter spéciale: fureur du lion lui permet de augmentait la puissance de ses coup et leur vitesse.
arme: epee détient de son père se transmet de génération en génération http://www.mundoespadas.com/wp-content/uploads/2010/04/602-1551.jpg
deux dague http://www.mystic-gothic.ic.com/964-955-large/dague.jpg
arc
et double lame secrète avec le pistolet intégrer
Force : 4.5
Résistance: 4.5
Déviation: 4
Vitesse: 4
Escalade: 4
Discrétion: 4
Fureur du lion: 8.5
400 pièce d'or
Merd* je me suis tromper j ai pas deux lame secrete
eeh aussi lenski tu poura corriger mon texte stp je te.previens j ai fais plien de fautes sa m apprendra a pas me relire
1 points 400 d'or
Force : 4.5 +0,5=5
Résistance: 4.5
Déviation: 4
Vitesse: 4
Escalade: 4
Discrétion: 4
Fureur du lion: 8.5 +0,5=9
400+400=800 piece d or
dsl double post
Voilà
C koi le drapeau des lenski ou les assassin de la fleur de lys
Des tentatives d'images de signatures
Ca fait mal aux yeux
+1
Tant meixu alors
meixu à toi aussi
meric beaucoup
je commence a croire que Ludo a peur de moi...
mais je suis un ange moi.
J'ai pas peur j'ai l'habitude des kikoos je m'en occupe sayan.
Alors déjà:
Beaucoup de répétition. Au deuxième paragraphe tu dis trois fois templier en deux lignes.
Ensuite on dit un pas sous un carrelage mais sous un carreau ou sous le carrelage à la rigueur.
Des fois tu oublie la majuscule à sayanel mais comme tu parle à la troisième personne tu pourrais dire l'assassin à la place.
Essaye de faire des saut de lignes entre les descriptions et les dialogues c'est plus clair.
Tu répète beaucoup trop de fois sayanel. Remplace par l'assassin l'intru ou autre ce sera beaucoup mieux.
Plus une fin assez baclé j'ai trouvé. Aussi des noms assez chelou mais là je peux pas trop parler.
Anecdote : La bataille de la colline (partie 2) :
Shan talonna sa monture.
Au même moment, le général Jefferson se fit désarmer par une botte astucieuse d’un de ses adversaires, profitant d’un instant de faiblesse.
William Jefferson remarqua l’Assassin qui arrivait.
Celui-ci tendit la main ouverte.
Le général l’attrapa et fut entraîné par la vitesse. Il se hissa en un instant derrière Shan et, avec la fluidité d’un tireur aguerrie, dégaina deux revolver de sa ceinture et tira. Trois fois.
Ses trois adversaires s’écroulèrent.
-Merci l’ami ! fit Jefferson. Sans vous j’étais mort !
-Ne me remerciez pas tout de suite, répondit Shan d’une voix froide en plantant sa faux dans la nuque d’un ennemi. La moitié de nos adversaires tient encore debout. La bataille n’est pas terminée.
-Effectivement, lâcha le général en tuant deux Anglais d’une seule balle.
Shan entendit alors un sifflement. Il ne vit que trop tard le boulet de canon arriver. L’explosion survint à deux mètres des deux hommes, les projetant dans les airs. Le cheval fut instantanément tué.
Shan heurta le sol avec violence.
Il n’entendait plus rien, voyait flou, avait mal.
Il se redressa sur un coude, complètement sonné. Le monde tournait autours de lui. Le son revint peu à peu, ainsi que la vision.
Le vacarme de la bataille fit grimacer l’Assassin. Il tourna la tête et vit que sa tunique, au niveau de l’épaule et de la hanche, était déchirée et ensanglantée.
A quatre mètres de là, le général Jefferson était étendu dans la neige, la moitié du visage en sang.
Au milieu du chaos ambiant, Shan se traîna jusqu’à l’officier et posa sa main sur sa gorge. Il sentit son pouls et se surprit à être rassuré.
Il se releva, d’abord sur un genou, puis, difficilement, sur ses deux jambes, et mit le corps évanoui du général sur son épaule. Il serra sa faux, qu’il n’avait étrangement pas lâché, et vit un boulet de canon exploser à une dizaine de mètre.
L’Assassin traversa le champ de bataille enneigée et couvert de cadavres et de sang, d’un pas hésitant et douloureux.
Son épaule lui faisait mal. Sa hanche beaucoup moins. Il boitait d’une jambe et saignait abondement de plusieurs blessures.
Les balles fusaient dans tous les sens, les combattants échangeaient des coups d’épée. Des explosions, de la fumée, du sang, des cris. La guerre dans toute sa splendeur. La Liberté valait-elle un tel prix ?
Une idée aussi vague qu’abstraite valait-elle cette boucherie, ce carnage ? Les Templiers et les Assassins devaient-ils s’entretuer au nom de cette même Liberté ? Le monde devait-il brûler pour cela ?
« C’est bien le moment de penser philosophie, tiens, pensa Shan en souriant malgré la situation. »
L’Assassin, portant le général Jefferson, parvint à s’éloigner un peu de la zone la plus violente de la bataille. Mais un soldat Anglais s’élança vers lui, fusil en main.
Un coup de feu retentit et il s’écroula, abattu par une balle perdue.
Shan ne s’en préoccupa pas.
Il continua à avancer, alors que la neige se mettait à tomber.
-Les renforts arrivent ! hurla un Américain.
Une trentaine de soldats Américains à cheval déferla sur le camp, dépassant Shan en le recouvrant de poussière et de neige rouge.
L’Assassin, épuisé, posa un genou à terre. La fatigue, la douleur… Son épaule le brûlait atrocement, il ne pouvait plus la remuer sans avoir l’impression qu’on y collait du métal brûlant. Sa jambe, il ne la sentait même plus et la remuait sans s’en rendre compte.
Mais il n’en pouvait plus.
Le corps du général bascula lentement et tomba dans la neige.
Shan vit les flocons, tout autours de lui. Un soldat Anglais jaillit et, sans prévenir, lui asséna un coup de crosse à la tempe qui cloua l’assassin au sol. Shan vit du coin de l’œil son adversaire s’apprêter à l’achever avant qu’une lame d’épée ne ressorte de sa poitrine.
Un Américain s’agenouilla à côté de Shan.
-Eh ! Vous m’entendez ?
-Je vous entends, répondit l’Assassin en tentant de se redresser, haletant et grimaçant de douleur.
Du sang éclaboussa les deux hommes. Un Américain venait d’être pulvérisé par un tir de canon, quinze mètres plus loin, et ses boyaux retombaient comme de la pluie.
-Je vais vous aider, fit l’Américain en aidant Shan à se relever.
Un autre soldat portait Jefferson.
-La bataille n’est pas finie, répondit Shan en serrant sa faux.
-J’ai rarement vu un homme avoir autant envie de combattre mais… fit l’Américain avant que Shan ne s’évanouisse sur place, n’entendit plus qu’un profond silence.
Shan ouvrit lentement les yeux. Il vit un plafond, sombre, en bois. Il entendait autours de lui un silence total. Il tenta de se redresser et grimaça de douleur. Puis, il remarqua qu’il ne portait qu’un simple pantalon ainsi que des bandages autours de l’épaule et du ventre.
Il se trouvait sur un vieux lit, dans une petite pièce remplie d’autres lits sur lesquels étaient allongés des blessés.
Une femme vêtu de blanc entra dans la pièce et remarqua que Shan était réveillé.
-Vous, vous êtes quelqu’un. Mettre si peu de temps à se réveiller…
-Où sommes-nous ?
-Dans un bâtiment de la ville réaménagé en hôpital pour les blessés de guerre.
-Quand sommes-nous ?
-La bataille est terminée depuis cinq bonnes heures. Ce sont des soldats Américains qui vous ont transportés ici, en sang et évanoui.
-Le général Jefferson… Il…
-…est vivant. Il a été placé dans un autre bâtiment car celui-là était complet mais sa vie n’est pas en danger. Ceci dit, il a été touché à la tempe. Il risque d’avoir de bonnes migraines en se réveillant.
Shan soupira et pose sa main sur son front.
Il avait rarement vécu une aussi périlleuse aventure. Il était vraiment passé à deux doigts de la mort.
-Où sont ma tunique et mes armes, madame ?
-Mademoiselle. Nous avons brûlé la tunique car elle était en lambeau et totalement ensanglantée mais nous avons stockés vos armes à l’auberge du Chien de Chasse. C’est là que vivent les Assassins non ?
-Exact.
-Si je peux vous poser une question… Je connais les Assassins et leur cause car mon mari était Assassin en Espagne autrefois. Il me mettait dans la confidence et me racontait ses missions. Un jour il a été tué par des Templiers lors d’une embuscade mais je suis resté fidèle à ce qu’il défendait. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, demandez-moi.
-Merci.
Shan sourit. Visiblement, les Assassins commençaient à se faire des alliés dans la ville. Bien. La Confrérie accueillerait sûrement bientôt de nouveaux membres.
L’Assassin se leva et s’étira. Sa blessure à l’épaule le faisait grimacer quand il la remuait mais sa hanche et sa jambe ne le faisait plus souffrir.
-J’y vais.
L’infirmière salua Shan et le laissa sortir après lui avoir donné une nouvelle tunique blanche d’assassin.
alors pourquoi tu disparé quand j'arrive ? ou alors c'est un hasard ?
et déjà je suis pas un kikoo...
et déjà sa veux dire quoi kikoo !
bref...
pour mon perso il est débutant !
voilà.