Bilbo c'est flamme qui te corrige moi je prend delias
Bonne chance flamme
Pour?
Ah oui c'est Ludo qui te corrige maintenant Lenski
La flamme : tu peux me dire si j'ai réussi ma mission et ce que je gagne s'il-te plait ?
t : 1 points et 400 franc
Force : 4
résistance: 4
déviation:3 +0.5=3.5
vitesse: 3.5 + 0.5 =4
escalade: 3.5
discrétion : 3.5
fureur du lion : 8
4720 + 400 = 5120 pièce d'or
qui veut 20 pièce d'or ?
Lenski ta mit la main devant bouche j’espère
Mo je veux bien 20 pièces d'or
t : je supprime ces 20 pièces d'or
Bon quelqu'un peut me corriger ?
Bilbo1997__ tu vas etre corriger patience dès que ton corrigeur se co il vas te corriger
Suercalu a tout dit
Le VDD de mon VDD a tout dit
Flamme Phillipe ! T'es où espèce d'enculer !?
Quelqu'un connait ?
Le VDD du VDD de mon VDD a effectivement tout dit
Bon, bah, je poste une autre mission comme ça LaFlamme aura du boulot J'ai fais ça en une partie
Allez les Bleus ! :
Shan, assis à une table du Q.G, en train de lire un livre, tendit l’oreille pour écouter la conversation de deux assassins à la table voisine.
-Le Grand Maître envois de plus en plus d’assassins en Amérique. C’est la guerre là-bas et la Confrérie à besoin de bras. Chaque jour, je vois des amis partir du Q.G.
-J’espère juste qu’elle ne va pas me choisir pour y aller.
-Aucun risque, elle ne choisit que des assassins compétents.
L’assassin partit dans un rire bruyant. Shan grogna. Ses blessures étaient toutes guéries. Il avait racheté une épée et des flèches.
-Le Grand Maître veut te voir, fit une voix.
-Hum ?
Un assassin se trouvait derrière Shan. Sa cape était bleue et sa tunique blanche plus décorée que les autres, de plus il portait trois bagues en or à sa main gauche, signe de son haut rang dans la guilde.
-Une mission ?
-Sûrement.
Shan se leva.
Deux jours plus tard…
Shan remit sa capuche en place et regarda le ciel. Dégagé et d’un bleu magnifique. Le temps était sec et clair. Parfait.
L’assassin reporta son regard sur la trentaine d’hommes qui l’entourait. Certains étaient à cheval, d’autres à pied. Certains aiguisaient leurs sabres, d’autres nettoyaient leurs fusils, d’autres encore transportaient des caisses de poudre et d’autres encore étudiaient une grande carte de la Grande-Bretagne posée sur une table.
Shan, adossé à un mur, regardait ces guerriers vaquer à leurs occupations.
C’était lui que le Grand Maître avait choisie pour escorter cette petite armée. Il devait les conduire au Sud, dans une autre ville, où ils rejoindraient les rangs d’une armée plus grande pour partir en Amérique.
La troupe était surtout composée de mercenaires. Quelque soldats se démarquaient par leur uniforme.
L’un d’eux s’approcha de Shan.
-Je ne pensais pas que la guilde enverrait un de leurs membres aussi… jeune.
-Commandant, si mon âge ne vous convient pas je peux partir sur le champ. J’ai effectivement d’autres choses plus intéressantes à faire qu’escorter votre troupe.
-Ne vous vexez pas. Nous allons partir, nous sommes prêts.
Le commandant, un grand homme barbu nommé Harry, conduisit Shan jusqu’à une table sur laquelle était étalée une carte de la région parsemée de petits piquets rouges symbolisant les places fortes. De nombreux hommes entouraient la table et étaient plongés dans la contemplation de cette carte.
Ils discutaient bruyamment.
-Nous passerons par ici, fit le commandant Harry en posant son doigt sur un endroit de la carte. Ensuite nous longerons cette rivière et couperons par ici. Cela fait, nous prendrons cette route là pour ne pas avoir à traverser ce coin. Vous me suivez ?
-Oui…
Le commandant promena son doigt sur la carte.
-Ensuite nous couperons de nouveau par ici pour aller au plus vite. L’autre chemin serait plus sûr mais trop long. Et nous devrions alors passer par ici, ici et là, ce qui serait très embêtant. En revanche, cela nous simplifierait la tâche de remonter cette rivière là, juste après cet endroit. Mais d’autres préfèreraient aller tout droit, à cet endroit là, histoire de tout passer d’une traite. Qu’en pensez-vous ?
-Hum ? fit Shan, perdu dans ses pensées. Eh bien… Je dirais que passer par là serait plus rapide.
-Très bien, vous pensez comme moi. Il suffira, après tout, de se dépêcher un peu. Le voyage ne devrait nous prendre que deux ou trois jours.
Trois heures plus tard…
Shan, guidant son cheval avec dextérité à travers les arbres, se trouvait à la tête de la troupe, juste derrière le commandant Harry. Celui-ci faisait régulièrement demi-tour pour vérifier que tout le monde suivait.
Shan fit passer l’armée par un chemin de campagne.
La troupe longea une rivière et s’arrêta dans un bois où elle fit son campement. Shan passa toute la soirée dans la tente des officiers pour étudier le chemin le plus court et sûr.
Le lendemain, ils repartirent. Ils allèrent plus vite que prévu et, en fin d’après-midi, un éclaireur annonça qu’une petite bourgade était en vue. Et que cette bourgade, ils auraient du l’atteindre le lendemain soir. Le but était donc tout proche.
Le commandant Harry talonna son cheval pour se hisser au niveau de Shan. Celui-ci faisait trottiner tranquillement son cheval sur la route.
-Alors ?
-Alors quoi ?
-Comment vous trouvez cette vie ? Cette vie faites de voyage, de combat et de nuit à la belle étoile ?
-Eh bien, commandant, cette « vie », c’est ma « vie » actuelle.
-Hum, je vois. Vous êtes toujours aussi froid ?
-Toujours.
-Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Eh bien dans ce cas, que diriez-vous de…
Le commandant ne termina pas sa phrase. Shan entendit les bruits de galop une demi-seconde avant l’officier. Il tourna la tête pour voir une troupe de soldat Britanniques à cheval jaillirent des bois, sabres au clair, et se diriger vers la troupe.
Shan dégaine son arc et décocha une flèche. Le soldat la plus proche –à quarante mètres pour info- s’écroula. Les mercenaires hurlèrent en sortant leurs armes et accueillirent violemment les soldats.
-Merde ! fit le commandant Harry en sortant un pistolet de sa ceinture et en le prenant dans sa main droite tout en dégainant un sabre de sa main gauche.
Des coups de feu retentirent. Des bruits de lames, d’acier, des cris. Les hennissements des chevaux blessés, les hurlements des hommes transpercés par des épées ou des balles.
Shan talonna sa monture et s’éloigna légèrement de la bataille avant de gravir une petit colline pour avoir une vue d’ensemble.
Les soldats étaient supérieurs en nombres. Une quarantaine environ de leur côté, une trentaine du sien. Il allait falloir jouer serré.
En bas, le commandant menait ses hommes avec courage. Ceux-ci se défendaient plutôt bien, malgré la surprise.
Leur effet ayant échoué, les soldats Anglais optèrent pour une autre tactique.
Ils séparèrent leur cavalerie en deux groupes qui s’écartèrent brusquement pour entourer la troupe et frapper sur les côtés. Quelques soldats armés de fusils, placés à l’arrière, forçaient les mercenaires à avancer et leur coupait la retraite.
« Ils veulent une victoire nette, pensa Shan. Pas juste nous faire fuir. »
Le commandant Harry tira deux coups de feu précis avant de fouetter l’air de son sabre. Il faisait galoper son cheval avec une grande habilité, sans même tenir les rênes, faisant zigzaguer sa monture entre ses adversaires, dans le chaos ambiant, sans prendre un seul coup.
-Avec moi ! cria-t-il à un groupe d’hommes.
Il talonna son cheval pour le faire accélérer. Dix hommes s’élancèrent à sa suite. Shan rengaina son arc et tira son épée avant de rejoindre le chemin de campagne transformé en champ de bataille.
A coup de lame secrète et de sabre, il se fraya un chemin entre les soldats et se dirigea vers un officier se battant un sabre dans chaque main mais au visage ensanglanté.
-Dites à vos hommes de me suivre ! Nous allons prendre ces enfoirés à leur propre jeu !
L’officier, contenant les attaques de deux soldats enragés, hocha la tête. Il égorgea le premier soldat, évita un coup et contre-attaqua, tuant le deuxième.
Shan fit cabrer son cheval et leva son épée d’un geste très théâtrale.
-Allez ! En avant !
Dix autres hommes suivirent Shan alors que la troisième dizaine contenait les assauts des soldats avec difficulté.
Shan vit que la troupe du commandant Harry avait dépassé les soldats ennemis et étaient maintenant passés sur le côté gauche. Ils assaillaient les soldats Anglais sans leur laisser de répit. Shan fit de même mais en se plaçant du côté droit.
Les soldats remarquèrent avec stupéfaction qu’ils étaient complètement pris en tenaille. Par la droite, par la gauche, par le milieu, par derrière et par devant, aucune issue possible.
Les mercenaires, menés par le commandant Harry et Shan, avaient complètement retournés la situation.
Le champ de bataille ressemblait maintenant à un gigantesque sandwich avec au centre des mercenaires jouant le rôle de la tranche de viande, de chaque côté les soldats Anglais représentant les feuilles de salades et enfin, encore de chaque côtés, englobant la bataille, les deux tranches de pains incarnées par les hommes de Shan et d’Harry.
Les soldats Anglais, ne pouvant pas se défendre de chaque côté, se firent vite laminer, malgré leur armement, leur discipline et leur supériorité numérique.
Le commandant Harry se battant comme un diable, les mercenaires de son côté furent galvanisés et se dépassèrent si bien qu’ils tuèrent tous les soldats de leur zone avant que les hommes de Shan n’aient éliminés les leurs.
En un instant, aux coups de sabres, aux explosions et aux hurlements succédèrent le silence et le calme.
Les mercenaires n’étaient plus que quinze. Ils firent le tour du carnage en achevant d’un coup de pistolet les soldats survivants. Le commandant Harry, l’uniforme déchiré et un bandage imbibé de sang autours de l’épaule, se dirigea à pied vers Shan sur son cheval.
L’assassin descendit de sa monture, lui caressa le museau et reporta son attention vers l’officier.
-Ca c’est ce que j’appelle de l’aventure, s’exclama Harry en souriant.
Shan garda le silence.
-Eh bien, pas une émotion, pas une exclamation, rien… Vous faites très « assassin ».
Shan jeta un coup d’œil autours de lui. Les mercenaires se félicitaient, riaient entre eux et buvaient de l’alcool.
-Ce que vous appelez une « aventure », commandant, n’est que mon quotidien. Mon quotidien ne me surprend pas, ne m’émeut pas. Ca c’est que je vis tous les jours. Vous êtes surpris de ma froideur mais en fait c’est moi qui suis surpris de vous voir rendu tant heureux pour une simple petite victoire.
-Mais enfin, je…
-Inutile d’en discuter. Remettons-nous en route.
La troupe atteignit la côté deux heures plus tard et prit un bateau pour l’Amérique. Shan, quant à lui, disparut dans la nuit.
Alors ?
Ah si tu me donnes plus de boulot, c'est à tes risques et péril
Mais ça commence à m'emmerder cette connexion de merde, je peux même pas ouvrir une page
J'avais la même hier
Je peux faire la mission ou j'attends une confirmation ?
bon bai Lenski a prit les 20 pièce d'or c'est vrai que sa serai mieux de laisser a un nouveau vu que toi ils te sert pas a grand chose mai bon
le plus fort fait la loi ou le plus ancien
Ou les deux
Je les ai pas prises , je les ai supprimé
'foiré