Bon flemme de le refaire
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Si t'as un truc à dire, ne le dis pas

Mission Codex: Les maitres assassins de l’époque d’Ezio ont rédigés chacun un codex et les ont cachés chacun dans leurs tombeaux. Les templiers sont eux aussi à leurs recherches. Découvrez les tombeaux et récupérez les pages grâce à votre agilité.
-Les templiers fouillent les tombeaux de Constantinople, Athènes, Moscou et Vienne alors prenez les codex avant eux.
-Les tombeaux à découvrir sont à Londres, Rome, Madrid, Berlin et Lisbonne.
-(Vous devrez faire la mission en neufs parties).

Deuxième partie (Tombeau d’Athènes)

Novembre 1782

Je galopais en direction d’Athènes. Une ville mythique réputée pour ses ruines grecques. Elle appartient maintenant aux ottomans. Je mis une semaine pour y arriver. De nombreuses personnes m’ont hébergé. Au bout d‘une semaine, j‘arrivais à Athènes. La ville était splendide. Toutes ces colonnes et ces ruines rendaient la ville vraiment magnifique. Les habitants construisaient des habitations. J’avançais dans la ville et aperçus la sublime acropole.
Je ne pus résisté à l’envie de visiter l’une des places les plus connus d’Athènes.
Je partis vers la place. Elle était en surplomb sur la ville. Je marchais sur l’allée qui menait au plateau. Arrivé au bout, je contempla la beauté des sculptures. Au centre ce dressait le Parthénon. Un édifice rectangulaire entouré du superbes colonnes.
Je m’en approcha et aperçus des templiers. Probablement à la recherche du Codex d’Athènes. Ils scrutaient le sol à la recherche d’indices. Je m’éloigna de l’édifice et attendis qu’ils partent. Apres un demi-heure, les templiers s’en allèrent. Je rentra dans l’édifice et examina les colonnes. Apres plusieurs tours, je remarqua qu’il y avait quelque chose de marqué sur l’une des dalles: « Alexandre ».
Je toucha la dalle mais rien ne se passa. Je partis donc dans la ville à la recherche d’indices. J’arriva devant quatre soldats ottomans. Tout à coup, un homme s’approcha d’eux et frappa l’un des hommes.

« Vous paierez ce que vous avez fait a l’honneur de mon ancêtre! Dit-il avec colère.
-Encore toi! Cette fois tu ne nous échappera pas! »

Les hommes le prirent et l’emmenèrent avec eux. Je décida de lui porter secours. Je m’approcha deux, sortis ma lame secrète et assassina l’un d’eux avec. Deux se mirent à me foncer dessus en sortant leurs sabres. L’un me mit un coup horizontale que j’esquiva pour le finir avec ma lame. Je sortis mon sabre. Le deuxième me fit un coup d’estoc que je dévia. Son sabre partit au sol. Il essaya de sortir son couteau mais je lui enfonça mon sabre dans le ventre avant. Le dernier essayait de courir avec le civil. Je lui jeta un couteau dans la jambe. Il rampait à terre. Il me suppliait de la laisser en vie. Je le pris et le jeta dans la rivière d’a coté. L‘homme s‘approcha de moi.

« Merci de m’avoir sauver. Dit-il.
-Il n’y a pas de quoi.
-Vous vous demandez surement pourquoi je me suis frotté à eux?
-Je dois dire que cela m’intrigue.
-Venez chez moi, je vous expliquerez. »

Nous marchâmes jusqu’à sa maison. Une demeure assez récente à son aspect. A l’intérieur, nous nous assîmes sur une chaise.

« Voilà. Il y à environ trois cents ans, mon ancêtre, Alexandre X, était l’une des personnalité les plus connus du pays.
-Alexandre X ?
-C’est une tradition dans ma famille. Car en réalité, je suis le descendant d’Alexandre III dit Le Grand.
-Alexandre le Grand!
-Oui, nous avons gardé le système des chiffres pour honoré la mémoire de notre ancêtre.
-Et toi, tu es Alexandre XII?
-Alexandre XIII.
-D’accord, mais pourquoi s’en prendre aux ottomans?
-En mille cinq-cents, mon ancêtre Alexandre X à rejoint un ordre secret. On les appelés les assassins. Il servait le pays en assassinant les malfrats dans l’ombre.
Mais un jour, les ottomans découvrirent ses activités et le condamnèrent à mort.
Je n’ai jamais compris pourquoi! Ses actes étaient juste. Depuis que je l’ai su, je déteste les ottomans.
-En mille cinq cents, dis-tu! Sais-tu où il à était enterré?
-Des légendes disent que le cadavre de mon ancêtre à était récupéré par les assassins et enterré dans un lieu secret. »

Ces révélations me firent un choc. Je me rappela de la dalle au Parthénon. Alexandre X était surement l’auteur du codex.

« J’aimerai admiré la Parthénon, voudrais-tu venir avec moi?
-Ce serai le moindre que je puisse faire. »

Nous partîmes en direction de l’Acropole. Apres dix minutes, nous arrivâmes sur le plateau..D’ici, nous avions une vue magnifique sur Athènes.
Je m’approcha de la dalle du Parthénon. Je l’examina une nouvelle fois est la toucha.
Il n’y avait pas de serrure comme à Constantinople. Alexandre s’approcha de la dalle.
« Je n’avais jamais remarqué qu’il y avait marqué Alexandre, ici! Dit-il surpris. »
Il posa sa main sur la dalle puis une secousse surgit. Les dalles se mirent à tremblaient puis elles s’enfoncèrent dans le sol. Incroyable! On aurait dit que la dalle avait reconnu ses empreintes. Nous descendions au fur et à mesure jusqu’à s’arrêter devant une allée semblable à celle de Constantinople. Nous la traversâmes et arrivâmes devant une salle de même style que celle de Constantinople. Au bout se trouver une statue d’Alexandre X. Il était en tenue d’assassin et avait une vrai ressemblance avec Alexandre XIII. Ce dernier était fasciné par ce spectacle. Il était encore plus admiratif de son ancêtre qu’avant. Devant la statue se trouvait la tombe d’Alexandre. Je l’ouvris et pris le codex de ses mains. Je referma la tombe et partis de la salle. Les dalles remontèrent et nous sortîmes du tombeau.
« C’était incroyable! Dit-il avec émerveillement. »
Nous rentrâmes chez lui et il me proposa de rester passer la nuit. J’accepta et nous partîmes nous coucher. Le lendemain, Je me prépara à partir et sortis de chez lui.
Il s’approcha de moi.

« J’ai était ravi de vous rencontrer!
-De même. J’essaierez de repasser si j’ai le temps.
-Ok, à la prochaine.
-A la prochaine. »

Je monta sur mon cheval et partis à Constantinople.

• Une semaine plus tard

Je frappa à la porte de Louis. Apres plusieurs coups, il m’ouvrit.

« Thomas! Quelle plaisir de te revoir!
-De même, Louis!
-Rentre, je t’en pris! »

Je m’assis sur une chaise puis il me servit une tasse de thé.

« Alors, tu l’a trouvé? »
Je lui donna le Codex.

« Incroyable! Nous en avons un deuxième!
-As-tu trouvé quelqu’un qui pourrai les déchiffré.
-Oui, durant ton absence, j’ai fait des recherches et j’ai appris qu’un musicien du nom de Mozart avait appris à déchiffré des langues anciennes.
-Mozart? J’ai déjà entendu ce nom.
-C’est possible. Mozart est connu dans toute l’Autriche.
-L’Autriche dis-tu?
-Oui. C’est là-bas qu’il vit. A Vienne plus précisément. Et c’est bien le problème.
-Au contraire! Vienne et ma prochaine destination! Il y a un codex là-bas.
-C’est génial!
-Malheureusement, les templiers y sont aussi.
-Par maintenant. Il ne faut pas que le codex tombe entre leurs mains.
-Au revoir, mon ami.
-Au revoir. »

Je sortis de la maison et partis en direction de Vienne en Autriche.

j'avais penser vite fait a une mission elle est plutôt du coter obscur lol j'aimerais savoir ce que tu en pense laflamme

une organisation secrète de patriotes américains appeler Fils de la Violence cause des troublent au britanniques éliminer leur chef

http://fr.wikipedia.org/wg/wiki/Fils_de_la_libert%C3%A9

800 pièces d'or et 2 points
J'aime bien continue
Mais le problème c'est Alexandre XIII car si son ancêtre a vécut il y a 300 ans et il se nomme Alexandre X. Ca serait son arrière grand père, c'est juste.

Les ancetre d'Alexandre XIII n'ont pas eu que des garcons

Ah ouais vu comme ça

Fécondation in vitro
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Si t'as un truc à dire, ne le dis pas

t : je crois que c'est le nom des assassins dans ac 3

Quelle sont tes sources lol

Cerveau

Ha non , erreur de ma part
J'ai confondu avec autre chose

sa na rien avoir mais je suis fan de l'epee de la fayette

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:LaFayetteMasonicSword.jpg

Quelques jours plus tard .
Demyan accepta le bol que lui tendait Dena . Celle-ci paraissait se moquer totalement de la présence de Demyan .
-Merci .
L'assassin s'attendait à une réponse mais le vent fut le seul souffle venant dans sa direction . Il l'observa un moment sans savoir quoi dire . Finalement , il retira ses bandages pour se rendre compte que ses blessures s'étaient presque refermées . Il remit ses bandages en place et observa le ciel .
-Ces terres sont si belles … Plus belles que chez moi … En plus c'est si calme …
-Si tu aimes le calme , monte tout en haut de la montagne et restes y , répondit l'indienne .
-Tu ne m'aimes pas ?
-Tu es comme ces blancs qui viennent détruire les campements des autres peuples .
-N'es-tu pas … métisse ? Demanda Demyan qui en effet lui trouvait une allure yougoslave .
-La ferme ! Répondit la femme en dégainant un couteau .
Demyan lui saisit le poignet et rapprocha la lame de son cou .
-C'est simple et rapide . Dans quelques instants , je pourrais être mort ….
-Prendre la vie est mal , quel qu’en soit la raison mais ça ton peuple l'ignore .
-Pas moi . Je sais que tuer est mal mais bon … Je fais passer mon devoir avant mon cœur .
-C'est ce que vous faîtes tous . Quand écoutez-vous donc votre cœur ?
Demyan ouvra la bouche mais ne sut quoi répondre . Il se contenta juste de répondre .
-Lorsque nous sommes face aux personnes que nous aimons . Le reste du temps , il s'agit de donner l'illusion de ce que nous avons à être .
-Quel est l'intérêt de ne pas être soi-même ?
Demyan se mit à réfléchir tout en regardant le ciel .
-Pour avoir l'air meilleur que nous le sommes . Pour vous , la politique concerne peut-être quelques centaines de personnes mais pour nous , elle en concerne des milliers . Nous n'avons pas le choix et nous devons avoir l'air plus puissants que nous le sommes . En plus de cela , comme nous sommes nombreux , pour accéder au pouvoir , nous devons paraître plus imposants que nous le sommes pour gagner des soutiens , promettre , emprunter , comploter …
-Le pouvoir est-il si important ?
-Non , répondit Demyan en soupirant .
-Alors pourquoi cherchez-vous tant à obtenir quelque chose qui n'est pas important ?
Demyan se mit à réfléchir . Finalement , il sortit une pièce d'or .
-Sais-tu ce que sait ?
-De l'or , non ? Un trappeur m'en a déjà montré .
-En effet . Ce métal n'a aucune valeur mais nous lui en donnons pour nos échanges . En réalité , ce n'est qu'une pierre un peu brillante mais comme nous lui avons donné de la valeur , les gens sont maintenant prés à tuer pour en obtenir le plus possible . C'est pour cela que nos bateaux sont arrivés sur ce continent . Pour dérober l'or qui devait s'y trouver .
-Alors pourquoi ne partez-vous pas ?
-L'or peut s'échanger contre du bois , de la terre , du métal , des animaux et plus encore . C'est la raison pour laquelle nous restons . Tout ce qui se trouve ici peut-être échangé contre de l'or .
-Tu crois réellement qu'il est possible de tout posséder avec du métal ?
-Moi non mais certains si .
-Vous voulez léguer beaucoup à vos descendants ?
-Certains oui . D'autres se contentent d'accumuler leur or de leur vivant et désirent le conserver le plus longtemps possible . C'est totalement stupide car ils n'en profitent pas et à force d'en accumuler autant , ils laissent des personnes dans la misère .
-Parce que vous avez beaucoup de métal vous êtes « riches » mais sans vous êtes « pauvres » … c'est idiot . Vous serriez plus puissants si vous étiez tous au même niveau .
-Non car notre civilisation a été bâtie sur le fait que quelques leaders devaient diriger tous les autres et ce qu'ils soient chefs de guerre ou chefs spirituels . Je fais moi même partie de ces leaders et je dois avouer que je n'aime pas vraiment cette idée comme quoi je serais d'un rang supérieur aux autres .
-Et en quoi es-tu un leader de ton peuple ?
-Je le suis né . Je n'ai rien fait . Mon frère est également un leader qui s'est contenté de lécher le fion de l'empereur et mon cousin ne vaut pas mieux …
-Tu n'aimes pas ta famille ?
-Ce n'est pas pareil que chez vous …

Anecdote:

Après ma première mission pour la révolution américaine réussie, Louis XVI m'offrit une chambre dans le château de Versailles et quelque domestique. En échange je devais faire quelques missions pour lui en plus de celle du mentor de France, quelques jours après m'être installé au château le roi m'avait faits demander, je me rendis à la salle des croisades où il mit attendais je me suis agenouillé à ses pieds et me suis relevai aussitôt, il me dit qu'il a besoin de mon aide pour une mission il m'indiqua ensuite que je ne serai pas seul le bailli de Suffren sera mon allié il déclara ensuite que nous deviens conquérir quelques iles des Antilles puis il ajouta que le bailli m'attend au port de Paris demain à l'aube. Après mettre à nouveau agenouillé je suis rendu à ma chambre j'ordonnai à mes domestiques de préparer mes affaires et puis j'allai me coucher. Le lendemain a l'aube je suis allé au port avec mes affaires Suffren mit attendais après lui avoir serré la main je suis rendu dans le bateau mis mes affaires en sécurité et puis une heure plus tard moi et Suffren nous quittâmes la France en direction des Antilles.

Nous arrivâmes dans les Antilles à la tête d'une flotte de 12 navires de ligne et de plusieurs petits navires. A peu près au même moment, une flotte britannique conduite par l'amiral William Regis arrive aussi dans les Antilles en renfort de la flotte de Samuel Barrington déjà présente. Les Britanniques parviennent ensuite à prendre l'île française de la Sainte-Lucie malgré notre tentative de venir en aide à la colonie. Les Britanniques se servent de Sainte-Lucie comme d'une base pour contrôler nos agissements dont le quartier-général est situé sur l'île voisine de la Martinique.

La flotte britannique reçoit de nouveaux renforts avec l'arrivée de dix navires de ligne commandés par l'amiral Byron qui prend le commandement de la flotte britannique des îles Leeward. Tout au long de la première moitié de l'année, les deux flottes reçoivent des renforts et notre flotte finit par être plus importante que celle de notre adversaire. En outre, Byron quitte Sainte-Lucie pour fournir une escorte aux navires marchands britanniques se réunissant à Saint Kitts avant de partir pour l'Europe. Moi et Le bailli de Suffren en profitent alors pour mener une série d'opérations contre les possessions britanniques de la région.

Notre première cible est l'île de Saint-Vincent qui tombe entre nos mains assez rapidement.Nous dirigeâmes alors notre attention vers d'autres colonies britanniques dont la Barbade.

Défenses britanniques:

La Havane est à cette date l'une des colonies britanniques les plus riches et produit une importante quantité de sucre. Le gouverneur britannique Macartney est averti de la possibilité d'une attaque française. Il réagit par des demandes répétées de renforts à l'amiral Byron et au commandant britannique de Saint Kitts mais il lui est répondu que l'île de Saint-Vincent est la cible principale des Français et que Byron lui enverrait des renforts en cas d'attaques contre La Havane.

Macartney a à sa disposition 101 soldats du 48e régiment soutenus par 24 artilleurs. En outre, 400 miliciens et volontaires peuvent venir en aide aux troupes régulières britanniques mais leur fiabilité n'est pas acquise, d'autant plus qu'un tiers de ces hommes sont d'ascendance française. Macartney ordonne la construction de fortifications sur Hospital Hill, un promontoire donnant sur la capitale Saint-Georges. Les versants pentus de cette colline sont défendus par des murs de pierre tandis qu'une palissade entourant des retranchements est dressée sur le sommet de la colline.

La Havane : http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Havane

C'est pas finis

LA SUITES :

Capture française/

nous ancrâmes nos flottes près de la capitale Saint-Georges. De là, il débarque une force de 1 400 hommes du régiment Dillon ainsi que 700 hommes provenant des régiments de Champagne, de Foix, de l'Auxerrois et de l'Hainaut. Avec l'arrivée des troupes françaises, Macartney ordonne à ses hommes de se replier sur les positions d'Hospital Hill. Suffren fait une reconnaissance des positions britanniques. Il s'inquiète alors du fait que Byron peut venir en renfort de Macartney à tout moment. Il tente dans un premier temps d'obtenir la reddition des Britanniques par la négociation mais Macartney refuse.

Nous planifiâmes alors une attaque. Trois colonnes doivent attaquer l'arrière des fortifications à la baïonnette pendant qu'un petit détachement de 200 hommes doit faire une démonstration de force là où les Britanniques s'attendent à recevoir le choc principal. La nuit, ces formations font mouvement. Les trois colonnes de 300 hommes chacune sont dirigées par Arthur Dillon, son frère Edouard et le comte de Noailles. La colonne d'Arthur Dillon est aussi accompagnée d'une avant-garde de 180 hommes dirigée par le comte de Durat. A quatre heures du matin le 4 juillet, le détachement ouvre le feu tandis que les trois colonnes chargent les positions britanniques d'Hospital Hill. Les défenseurs britanniques sont alors pris de panique et la plupart d'entre eux fuient vers le Fort George en bas de la colline.

Dans la confusion de la fuite, les Britanniques oublient de désarmer leurs canons. Ils abandonnent aussi une importante quantité d'objets de valeur entreposés sur Hospital Hill pour leur sécurité.Nous profitâmes de ces oublis et se servent des canons britanniques pour faire feu sur le Fort George. Macartney réalise alors que la situation est désespérée et lève le drapeau blanc. Nous avons perdu 36 hommes tandis que 71 sont blessés et font près de 700 prisonniers. Selon les rapports britanniques, les pertes françaises s’élèveraient à 300 hommes. En outre, les Français affirment s'être emparés de 30 navires marchands ancrés dans le port.

Nous rejetâmes rejette les termes de la capitulation tels qu'ils sont proposés par Macartney et leur substitue une liste d'articles qu'il a esquissé. Macartney trouve cette liste « pas seulement sans précédent et humiliante mais tellement incertaine dans sa nature, son étendue et son but qu'elle pourrait à tout moment être un prétexte pour s'emparer de la vie et des biens de ceux qui capitulent ». Son conseil rejette à l'unanimité nos proposition de capitulation et les Britanniques choisissent la capitulation sans conditions.

Conséquences:

L'amiral Byron apprend la prise de Saint-Vincent et alors qu'il fait route vers cette île dans le but de la reprendre, il est informé de l'attaque contre La Havane. Il décide alors de faire voile vers cette dernière et arrive le matin.Moi et Suffren fûmes alerté de l'arrivée de Byron , il a fait rembarqué la majeure partie de ses troupes avant de lever l'ancre à 4 heures du matin . Nos trois flottes s'affrontent au large de la havane et nous parvînmes à vaincre l'attaque désorganisée de Byron. A la suite de ces évènements, il n'y a plus d'actions majeures dans les Indes Occidentales avant notre départ vers la France

Grâce à la prise de la Havane et à la victoire sur la flotte de Byron, nous bénéficions d'une immense popularité en France.

Au cours de leur occupation de l'île, les Français entament la construction d'une série de fortifications sur Richmond Hill. Elles sont destinées à défendre l'île contre une attaque similaire à la notre. Ainsi, les canons sont pointés vers l'intérieur des terres plus que vers la mer.

Presision inutile quand je fais des anecdote c est des mission pour le roi et les mission normal c est pour le mentor

Séquence 2:
Mémoire 2: "L'habit ne fait pas le moine" (1ère partie) (ceci est une anecdote d'Achille , elle est en deux partis , la deuxième partie se fera plus tard)

Après avoir parlez avec Velázquez, Achille partis discuter avec l’évêque St Juan.
-Señor !
-Bonjour Achille que veut tu aujourd'hui ?
-Je veux juste vous mettre en garde que vous pourriez être en danger .
-Pourquoi serai-je en danger ?
-Un groupe de musulmans tue tout les chrétiens des environs il ont tué le prêtre du quartier ouest et ils vont peut être vouloir vous tuer .
-Dieu me protège mon enfants, il veille sur nous et il punira ces musulmans qui essayent de tuer les chrétiens .
-Oui mais ils ont déjà tué tant de chrétiens .
-Tous les chrétiens qu'il a tué sont désormais a coté de Dieu, au paradis et veillent sur le gens qu'ils aiment .
-Oui mais je préfère pas prendre de risque, faites très attention .

Je partis alors de la cathédrale pour aller retrouvez Velázquez .
Je traversé quelque rues quand un Templier musulmans arriva vers moi . Il sortis son épée et a bien failli me trancher la tête . Je dégaina alors mes deux épées, contra son coup et lui donna un coup dans la jambe, j'allais l'achevez quand je vois l'homme a la capuche qui cria :"Tuez-le" .
Je ne sais combien de Templier ont foncé vers moi épée à la main. D'autre Templier me tirais dessus a l'aide de fusils .
Aucune balle de fusil me toucha, je courais alors de rue en rue pour échappée a ces brutes. Ils me suivaient encore et j'été désormais coincé dans une cour, l'affrontement été la seule solution .

Je dégaina mes deux épées et enfourcha le premier templier venant vers moi , deux templiers arrivaient vers moi , je saisi alors le premier et le plaça devant moi pour qu'il me sers de "bouclier" . L'autre templier coupa cruellement la tête au templier qui été censé être son ami. Je lutter contre les autres Templiers venant vers moi mais je voyait que mon corps allait me lâcher désespérément . J'allais bientôt lâcher quand soudain un groupe d'assassin même un grand groupe d'assassin arriva m'aider, Velázquez été parmi eux .
Pendants que les assassins tuer les templiers, je discuter avec Velázquez .
-Achille a tu parlé avec St Juan ?
-Oui mais il dit que Dieu le protégera .
-As-tu réfléchis à qui le templier pouvait t-il parlait quand il a dit que quelqu'un se faisait passé pour une personnes qu'il n'était pas .
-Oui mais je ne vois pas qui cela pourrait être mais la personnes n'est pas une personnes de l'autorité, les gardes espagnol sont tous chrétiens et chassent tous les musulmans.
-La personne n'est donc pas une personnes de l'autorité .
-Je continu mes recherches mentor et je vous dit comment ils avancent .

Salut

@ Plus

Thomas Maure:

Force:3,5
Resistance:3
Déviation:3
Vitesse:4
Escalade:3,5
Discrétion:3

Francs:6100

t : 2 points et 600
on commence un peu à s'y habituer
essaye de trouver un new truc
une attaque de fort , par exemple