lazhar décris ta compétence pour voir si elle est accepter
Le sens bestiale est une aptitude permettant à Anecus de comprendre le langage animal et de pouvoir voir ou interpréter des évènements différemment des "humains normaux" , comme une sorte de sixième sens...
Nom:Maure
Prenom:Thomas
Age:19 ans
Nationalité:Yemen(parle Français,englais,espagnol,italien et arabe)
Sexe:Homme
Description phisique puis moral:Thomas mesure 1m79 sur 67 kilos.Il a les cheveux bruns frisé et porte un bandeau avec son prenom marqué dessus. Pas tres musclé mais tres intelligent.
Tenue:Tenue d'assassin du Yemen.
Force:2,5
Resistance:2
Déviation:2
Vitesse:2,5
Escalade:2
Discrétion:2
Ducats:2900
Merci
Ah oui et il permet aussi de lui offrir une puissance et une agilité considérable...
Bonjour tout le monde
Lazhar Ok, mais si t'exagère pas trop: Genre"Une petite souris trottina vers moi, m'annonçant que l'attaque se feras à 18, près du gué" ça non.
Par contre"une souris se faufila non loi de moi. Le poil ebourrifé, elle m'indiquait du danger dans la pièce d'à coté. Je suis persuadé qu'il n'y pas de chats ici, j'en convient donc que c'est un homme."
ça ça passe (pour moi, faut voir avec les autres après)
ZeRro on a pris la peine de corriger tes fautes, la moindre des choses serait de pas refaire les même
toujours pas de nouvelles pour ma candidature ?
Je ne pensais pas à la première hypothèse mais plus effectivement à la seconde.
Sirias, reposte la en un bloc, relis pour éviter les fautes, et je verrais si c'est possible. Si ça l'est pas, je te dirais ce qui cloche, si ça va, je te le dirais et faudras attendre Lenski ou Ludo.
Je prends "et la mort fut"
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Si t'as un truc à dire, ne le dis pas
j'ai pas le temps de tout relire et corriger alors je reposterais ce soir, à tout à l'heure
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fan depuis le 1, Altaïr
Johnson, je crois que redead l'a déja prise, à vérifier
Il était une fois:
Les odeurs d'alcools en tous genre me montèrent rapidement jusqu'aux narines, me faisant faire une grimace. Je referma la porte d'entrée, me dirigea vers le comptoir et un homme -probablement le propriétaire des lieux- vint à ma rencontre :
- Alors l'étranger, qu'est-ce que j'te sers ? me demanda l'homme en exposant une dentition d'un autre âge.
- Des informations.
- Quoi ?
- Je vais être bref : un autre étranger dans le même style que moi loge dans votre auberge. Rien de bien particulier, mais je suis sûr qu'il vous a versé un somme d'argent plus ou moins importante en échange de votre silence, je me trompe ?
L'homme devint soudain nerveux :
- Je ... je ne vois pas du tout de quoi vous voulez parler. Aucun homme ne séjourne dans mon auberge en ce moment, vous devez faire erreur.
- Etrange, la façon dont vous venez subitement de changer de vocabulaire ... comme pour vous montrez sans reproche auprès de moi.
L'homme déglutit difficilement et poursuiva :
- Ecoutez, cet homme m'a l'air dangereux et si je parle je suis mor ...
Je ne lui laissa pas le temps de finir sa phrase et l'empoigna ferment par-dessus le comptoir.
- Ecoute l'ami, si tu ne me dis pas où il est, c'est moi qui deviendrais dangereux, d'accord ?
Je senti son haleine putride et le repoussa aussitôt après avoir terminé mon intimidation. Les très rares clients qui avaient assistés à la scène revinrent quant à eux très rapidement à leurs verres.
- Très ... Très bien, je vais vous dire où il est mais promettez moi de ...
Ne pouvant terminer sa phrase, je fronça les sourcils et lui pria de continuer, mais son visage était paralysé.
J'aperçu une fléchette plantée dans son bras, une fléchette empoisonnée.
L'homme tibuta et tomba sur le comptoir, renversant toutes les bouteilles à proximité, sans plainte.
Je me retoura et vis ce que je voulais voir : un homme encapuchonné sur le seuil de la porte, tenant dans sa main droite un lanceur compact de divers objets de la confrérie.
Il me regarda un instant, puis s'enfuit. Une montée d'adrénaline me parvenant, je me mis à sa poursuite.
Le son de nos pas raisonnaient sur les pavets, rythmant la course. Je le rattrapa facilement et, dans une ruelle, l'intercepta en me jetant sur lui. Cherchant à se débattre, je parvins malgré tout à l'immobiliser, puis à lui enlever sa capuche.
- Lâche moi ! hurla-t-il.
Je fis la sourde oreille et lui assena un violent coup de poing au visage pour le faire taire. Celui-ci contesta encore un moment, puis s'immobilisa.
- Tu as intêret à me donner une bonne raison pour t'être fais passé pour mort et avoir tué un citoyen, lui dis-je en me rapprochant le plus possible de son visage.
- Tu ... ne sais ... rien ...
- Et c'est pourquoi tu vas m'éclairer à ce sujet .
- T'éclairer sur quoi ? Sur le fait que je me sois fais passer pour mort aux yeux de la confrérie ? C'est ça que tu veux ? C'est très simple, la paresse. Les Assassins, depuis très longtemps laissent passer devant eux toute la vérité. Ils restent aveugles aux plaintes du peuple, ils ne sont là que pour arbitrer à leurs façons la manière dont doit se dérouler les choses sans pour autant les comprendres !
- Mensonge ! Les Assassins sont là pour libérer le monde du joug des Templiers. Et en parlant d'eux, t'es-tu allié à nos ennemis ?
Son visage prit l'air d'un enfant amusé, d'un enfant qui rit de voir à quel point les autres ne peuvent comprendre son univers, LE comprendre.
- Mais bien sûr que non pauvre imbécile ! J'ai juste disparu pour mieux réapparaitre.
- J'en ai assez de cette comédie ! Repends-toi et alors peut être que tu sera accueillis à bras ouverts par la mort §
- Il n'y a aucune mort. Il n'y a rien. Mais ça, je ne l'ai appris que bien plus tard : rien n'est vrai ...
A l'écoute de ces paroles, je sortis ma lame secrète de son abri et elle vint se planter dans le cou du déserteur, immaculant rapidement ses vêtements de sang.
- Dommage, parvint-il à articuler,je t'ai reconnu ... et j'aurais pu t'apprendre tant de choses sur ... tes parents.
Cette dernière phrase m'interpella, et sans m'en rendre compte, je m'était mis debout à une vitesse fulgurante.
- Qu'as-tu dis ? Qu'as-tu dis sur mes parents ?
Mais la vie avait déjà abandonnée l'homme, s'écoulant dans le sang répandu sur les pavets.
Rien n'est vrai ...
~ Et la mort fut ~
J'arrivais au port de Marseille, qui était rempli de bateaux. Celui que je cherchais était anglais, mais il y en avait tellement que je ne pouvais le trouver.
Je décidais donc d'aller interroger un matelot.
"-Excusez-moi, auriez-vous vu un bateau anglais suspect?
-Ouaip, il était rempli de gardes, ché pas ques'ki font là mais ils sont bien là. C'est le troisième à droite du deuxième pont.
-Très bien, merci beaucoup.
-De rien l'ami.
Je me dirigeais donc vers le bateau, mais il y avait une quinzaine de soldats. Je ne pouvais pas entrer et tuer tout le monde, il fallait que je m'infiltre.
J'attendis donc l'obscurité de la nuit. La plupart des soldats étaient allés à la taverne, mais ils restaient deux gradés et trois soldats.
Je décidais donc de passer par la mer. Après quelques minutes passés dans l'eau, j'arrivais enfin à l'embarcation. Je montai prudemment et m'accrocha à la barrière du bateau. Mais un soldat venait de s'accouder sur celle-ci et admirait le paysage.
Je ne pouvais pas le tuer, ma mission aurait été compromise, car, si les gardes s'en rendaient compte. Ils détruiraient les documents.
Je lui fis donc un croche-patte, et me glissa dans une caisse ouverte. Le soldat dégaina son épée, mais il ne voyait personne, il dût donc se résigner à croire qu'il avait glissé. Et reprit sa position.
Je sortis prudemment de la caisse et me dirigea vers la cabine du capitaine. J'entrai à l'intérieur mais les deux gardes y étaient aussi, heureusement, ils ne m'avaient pas vu.
La cabine était composé de deux salle, une chambre, et la salle des commandes. J'étais dans la chambre, et je mis sous le lit.
Les gradés sirotaient du vin, et conversaient en anglais. Je ne comprenais pas grand-chose mais j'arrivais à discerner quelques mots.D'après leur conversation, le capitaine serait également parti à la taverne. Et leur prochaine destination serait l'Afrique pour prendre quelques esclaves, ce qui explique pourquoi ils ont fait un si grand détour.
Après quelques dizaines de minutes de conversation, ils décidèrent enfin de quitter la cabine. Je sortis donc de ma cachette, et m'approche du bureau sur lequel était posé trois enveloppes. Je les pris donc, et les remplaça par les fausses.
N'écoutant que ma curiosité, je décidais s'ouvris une des enveloppes. Elle contenait une carte de l'Amérique avec quelques flèches dessinées.
A ce moment là, la porte s'ouvrit, je rangeai l'enveloppe, mais il était trop tard. C'était le capitaine qui me fixait, je ne savais pas quoi faire. Il me regardait mais ne bougeait pas d'un pouce. Mais après quelques secondes, il pointa son doigt vers moi et commença à crier, mais il s'écroula.
Il avait certainement trop bu. Je sortis donc de la cabine, et par chance, le bateau était désert. Je sortis donc sans problème de la zone. Et me dirigea vers le courrier, et je mis les enveloppes dans la boite.
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Si t'as un truc à dire, ne le dis pas
Jet_lag j'avais bien l’intention de prendre et la mort fut mais c pas très grave et en plus c ma faute j'aurais du être plus clair
et en plus je l'avais pas finis le texte(avec les cours les devoirs et la copine pas trop le temps surtout avec la copine lol)
Marine si tu vois se message c'est pas moi qui la ecrit
T'inquiète redead, on te couvre
je ne vois pas de quoi tu parle
Si ta copine venait à lire ce message
lol sa m'étonnerait un peu vu quelle aime pas trop les jeux vidéo
désole je suis mauvais au orthographe