https://www.youtube.com/watch?v=VOygsSjSYvY&index=5&list=PLyVWVTkR0qZ7S-o_eVCNSO2gxfloamHkh
Il y a que moi qui ai de suite remarqué une similitude entre cette ost de Arrival et Wallace :
https://www.youtube.com/watch?v=NWiV_7gr3_M&list=PLKPTI04Q5voI1kc4XUOBOj5um0Ufgs7lk&index=15
J'ai du le revoir une deuxième fois pour être sûr mais la fin est étonnamment positive je trouve. Finalement, le fait est que l'enfant miracle soit la personne qui construit les rêves, qui, coupé du monde, produit des mondes idéalisés issu de son propre imaginaire. Je trouve ça lourd de sens, je l'ai interprété personnellement comme quoi l'imagination primera sur la nostalgie (après je me trompe peut être).
D'ailleurs je trouve ça assez habile l'idée du black out qui a effacé toutes les donnés car au final, on se retrouve dans un monde sans passé, un monde dont les souvenirs qu'il contenait ont été effacés, où juste des fragments subsistent.
Le 08 octobre 2017 à 23:55:13 xhugo54 a écrit :
J'ai du le revoir une deuxième fois pour être sûr mais la fin est étonnamment positive je trouve. Finalement, le fait est que l'enfant miracle soit la personne qui construit les rêves, qui, coupé du monde, produit des mondes idéalisés issu de son propre imaginaire. Je trouve ça lourd de sens, je l'ai interprété personnellement comme quoi l'imagination primera sur la nostalgie (après je me trompe peut être).
D'ailleurs je trouve ça assez habile l'idée du black out qui a effacé toutes les donnés car au final, on se retrouve dans un monde sans passé, un monde dont les souvenirs qu'il contenait ont été effacés, où juste des fragments subsistent.
Plus que l'imagination, la création. L'enfant miracle, la fille de Deckard, est d'ailleurs clairement pointée comme une artiste,
"mettant dans ses œuvres un peu d'elle-même". On a au final un film assez proche de Covenant.
Que penser par contre des ruches d'abeilles ? L'idée que la vie est toujours possible ?
Le 08 octobre 2017 à 23:59:54 Finchou a écrit :
Le 08 octobre 2017 à 23:55:13 xhugo54 a écrit :
J'ai du le revoir une deuxième fois pour être sûr mais la fin est étonnamment positive je trouve. Finalement, le fait est que l'enfant miracle soit la personne qui construit les rêves, qui, coupé du monde, produit des mondes idéalisés issu de son propre imaginaire. Je trouve ça lourd de sens, je l'ai interprété personnellement comme quoi l'imagination primera sur la nostalgie (après je me trompe peut être).
D'ailleurs je trouve ça assez habile l'idée du black out qui a effacé toutes les donnés car au final, on se retrouve dans un monde sans passé, un monde dont les souvenirs qu'il contenait ont été effacés, où juste des fragments subsistent.Plus que l'imagination, la création. L'enfant miracle, la fille de Deckard, est d'ailleurs clairement pointée comme une artiste,
"mettant dans ses œuvres un peu d'elle-même". On a au final un film assez proche de Covenant.Que penser par contre des ruches d'abeilles ? L'idée que la vie est toujours possible ?
Le film m'a fait aussi pensé à Covenant (que j'aime beaucoup) dans son traitement de la création mais en bien plus bienveillant, il n'y a pas une misanthropie totale qui parcourt le film contrairement à Covenant.
Ce que les abeilles représentent, je me le demande aussi à vrai dire. Symboliquement c'est elle qui apporte la floraison et donc la vie, donc peut être oui.
Mesa a vraiment un petit air du main theme du film le fan vous trouvez pas https://youtu.be/FJN1mS1CFhQ
Le thème principal du Fan''
C'est inspiré de Blue Response, le thème du premier.
Les abeilles pollinisent 90% des plantes donc oui, par contre un black-out est impossible, et Covenant est le moins bon des Alien, bien que le plus positif, apparemment pout conclure la saga..?
La manière dont vous évoquez le rapprochement avec Covenant me donne encore moins envie de le voir
Je ne vois pas du tout de similarité entre Mesa et Blush Response.
Le 08 octobre 2017 à 12:31:57 Directpino a écrit :
Le 08 octobre 2017 à 12:23:22 Dantelight a écrit :
Le 08 octobre 2017 à 12:14:17 Directpino a écrit :
Le film fait un véritable flop, dans la lignée du premier.
https://www.forbes.com/forbes/welcome/?toURL=https://www.forbes.com/sites/scottmendelson/2017/10/07/box-office-blade-runner-2049-bombs-with-disastrous-13m-friday/&refURL=https://www.google.fr/&referrer=https://www.google.fr/C'est vraiment dommage, il mérite d'avoir du succès
Premier contact oui, celui-ci non d'après moi
Un blockbuster maitrisé et plus intelligent que la moyenne, qui s'éloigne des canons actuels, et une suite réussie qui était hyper-casse-gueule à faire, pour moi ça mérite le succès quand même.
Le 08 octobre 2017 à 15:01:15 pouette7 a écrit :
Je parle de n'importe qui DANS SA SITUATION
Sans déconner t'as fait exprès de pas comprendre ou
c'est pas "la situation" qui fait qu'il résoud son enquête, c'est ses capacités physique et intellectuelle, et ses souvenirs.
je crois que c'est toi qui ne sait pas t'exprimer en fait
Trop évident comme troll,6/20
Le 08 octobre 2017 à 22:49:58 Lt-Schaffer a écrit :
Quand le film devient une réflexion sur l'immatériel et l'induplicable de la nostalgie, monde illusoire, il est passionnant et c'est permis par Harrison Ford, par le traitement que fait Villeneuve de Deckard, devenu différent (au grand dam de ceux qui ne l'acceptent pas d'ailleurs), et offrant par ailleurs quelques très beaux moments de jeu qui m'ont surpris. Notamment parce que le film prend le temps de construire un nouveau personnage, ou tout du moins, une nouvelle évolution. Et Deckard a une des plus belles et importantes séquences du film, justement à propos de la nostalgie, manière qu'a Denis Villeneuve de détourner, voire de contredire ce courant du fan-service, sciemment déconstruit par une explication plus que claire. Car on ne peut pas recréer le sentiment originel de découverte de Blade Runner, comme on ne peut pas dupliquer le premier échange entre Deckard et Rachel, qui n'appartient désormais qu'à l'intime de Deckard, à son être (réplicant ou non), à sa mémoire. Et voilà qui boucle avec le monologue final de Roy Batty. C'est très intelligent.
On est d'accord que le dialogue entre Deckard et Wallace peut donc être vu comme un discours sur la vague des remake, des reboot et des suites improbables qui caractérisent le Hollywood actuel ?
(Le "Elle a les yeux verts" serait ainsi particulièrement révélateur )
Bon bah je l'ai finalement vu, bien supérieur a son prédécesseur. J'ai toujours eu du mal avec le premier Blade Runner, un chef d'oeuvre esthétique et d'ambiance de façon générale d'ailleurs, mais trop long, trop chiant, avec des problèmes qui plombent un peu le film.
Et ce Blade Runner 2049 dure 45 minutes de plus, et lui n'est jamais chiant. Beaucoup plus maitrise au niveau de l'histoire, du rythme donc, mais surtout ca fourmille d'elements intéressants et mieux amenés.
Ca reste quand meme encore un poil long, et la partie avec Harrison Ford est pas dans le ton du reste, mais ca reste excellent
La scene de combat finale, putain, c'est géant cette ambiance.
Ah ouais, je trouve l'ambiance de 2049 bien plus mémorable que celle de BR
Le 09 octobre 2017 à 20:13:08 Hecate-SpartaN a écrit :
Ah ouais, je trouve l'ambiance de 2049 bien plus mémorable que celle de BR
Surtout que Villeneuve et compagnie ont eu la bonne idée de varier les environnements. Ils sont quasiment tous marquants, mais a chaque fois tu te reprends une claque parce que c'est jamais la meme chose.
Je suis le seul à trouver que le combat final fait beaucoup trop studio?
Il y a que moi qui ai vu des similitudes avec le conte de Pinocchio ? La question de l'identité, de vouloir être une chose rééle, de vouloir exister.
Le côté d'être tirer par des ficelles comme une marionette et de vouloir s'en débarrasser.
Le fait que K ce fasse appeler souvent "boy" aussi. Petit garçon.
Après pour le visuel la scene avec JOI a la fin un grande femme avec des cheveux bleu (la fée bleu) devant un homme qui voulait être un vrai petit garçon et qui grâce à elle a connu l'amour qui était réel pour lui malgrès qu'il sait qu'elle reste un programme. Elle l'a fait devenir plus humain comme la fée bleu dans Pinocchio. C'est elle qui lui disais qu'elle était un vrai petit garçon.
Voilà
Exact j'avais fait le rapprochement avec A.I. aussi.
Pour moi, Joe représente l'archétype des suites de films cultes qu'on se tape actuellement. Il pense être le digne héritier du premier opus (le fils de Deckard ) en étant très similaire à celui-ci. En effet, Joe est un personnage très proche de celui de Deckard dans le premier Blade Runner. Sauf qu'une vision artistique "extérieure" à l'œuvre originale vient changer cet archétype, tel est l'objectif de Denis Villeneuve avec ce film (les souvenirs de la fille de Deckard implantés dans K représentent une vision d'artiste ).
Joe a toujours pensé être quelqu'un de spécial et donc le fils de Rick, c'est ce que Joi veut lui faire croire : "Tout ce que vous voulez voir et tout ce que vous voulez entendre". C'est clairement une critique des suites sans ambition qui tentent de singer des films cultes à la lettre (Star Wars 7). Le fait que Deckard refuse d'aimer une Rachel sans yeux verts vient ajouter un élément de plus à cette réflexion jusqu'au-boutiste.
Sinon en quoi le combat final fait studio ? Je comprend ce qu'il veut dire
Après les acrobatie de Luv c'est un peu un rappel de Pris qui fait de la gym sur Deckard
Sinon on peut parler du malin plaisir qu'on les protagonistes (ou réalisateur par extension ) de Blade Runner à defoncer tout les murs qu'ils croisent
J'ai aussi remarqué que Denis Villeneuve aimait beaucoup faire des effets de "tremblement" de caméra aux moments où il y a un choc (même en hors-champ).