jai trop hate de voir la suite!

C'est encore plus flippant que les souterrains
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http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=Qo00pGk8FkQ
Non à ACTA !

Vivement 17 heure

oui c'est flippant !!!

Chapitre 17: Piégés.

Je restai là, figée, tétanisée, observant avec effroi une ombre obscurcir progressivement la lumière ambiante du couloir duquel nous provenions.

"Il" venait..."Il" serait là d'un instant à l'autre...

-Bon dieu ! Nilvyn ! Réveilles-toi ! Souffla Martin Phillida à voix basse tout en m’attrapant brusquement par le bras, avant de m'entrainer vers le couloir suivant.
-Non ! Pas par là ! Murmurai-je à mon tour, l'esprit soudain ravivé, terrorisée à l'idée de m'enfoncer dans le tunnel duquel provenait la voix quelques instants plus tôt.

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-On a plus la choix ! Pesta l'Impérial, toujours à voix basse. Quoi que ce soit, ça arrive par l'autre côté !
-Mais...
-Nilvyn ! Regarde moi ! Coupa aussitôt mon interlocuteur. Je ne sais pas ce que c'est, mais de toute évidence, il a réussi à faire fuir le reste du groupe en catastrophe, ou pire encore ! Alors à partir de maintenant, tu va faire exactement ce que je te dis, tu m'as bien compris ?! Parce que là où nous en sommes, il s'agit peut-être bien d'une question de vie ou de mort !

Je ne répondis rien, et n'étais d'ailleurs même pas sûre d'avoir entièrement saisi les propos de l'officier, tant mon esprit semblait désormais incapable de réfléchir correctement, ravagé par une terreur innommable.
-Allez ! Suis moi, doucement, et surtout, plus un mot à partir de maintenant ! Conclut enfin l'Impérial avant de m'entrainer vers les couloirs suivants, qui ne tardèrent d'ailleurs pas à s'enfoncer de nouveau dans une étrange succession de cavernes glacées.

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-Non ! Stop ! Stop ! Lançai-je alors, effarée.
-Quoi encore ?! Pesta Martin Phillida en s'arrêtant à contrecoeur.
-Enfin ! Tu ne vois pas où ça nous mène ?! Vu que l'entrée principale est barrée, les premiers récupérateurs ont fait une boucle dans les cavernes pour rejoindre une entrée secondaire ! On repart droit vers le...La chose !
-Hein ?! Mais non c'est...Tu es sûre ?!

Un sifflement menaçant retentit soudain à nos oreilles, avec une telle force et une telle clarté cette fois-ci que je sentis presque mon coeur se décrocher de ma poitrine, manquant de peu d'entrainer mes jambes dans sa chute.
-Merde ! Il se rapproche ! Vite ! Siffla alors l'Impérial avant de m'entrainer de force avec lui.

A l'évidence, la chose qui nous traquait était toute proche, et avait visiblement échangé son lent cheminement contre une progression bien plus rapide au fur et à mesures que l'odeur de ses proies se rapprochait.
Il devait probablement être au coin du couloir désormais...

Fort heureusement, et bien au contraire de moi d'ailleurs, le capitaine Phillia eut néanmoins le réflexe de m'arracher de ma tétanie et de m'entrainer à toutes jambes vers une rampe de glace s'enfonçant dans les entrailles de la montagne.

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-Mais doucement ! Tu avais dit de ne pas faire de br...!
-On s'en fou du bruit maintenant ! Coupa l'Impérial d'une voix forte tout en dévalant la pente.

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-Une autre torche ! Ils sont peut-être encore en vie !
-Avance !

Nous chutâmes alors, tous deux entrainés par l'acharnement de l'officier à prendre la fuite, dévalant la rampe suivante sur le dos dans un véritable ballet de gerbes et de craquements glacées.
Du moins, jusqu'à ce que nous atterrissions dans une autre petite caverne en contrebas...
-Oh putain ! Sifflai-je dans un violent mouvement de recul avant même de m'être relevée de ma chute.

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-C'est...Ils sont...
-Nilvyn ! Il arrive ! Dépêche toi ! Supplia cette fois-ci l'Impérial avant de me pousser une fois encore vers un énième couloir de glace, dans une course effrénée vers l'entrée secondaire des ruines Dwemer.

Et alors même que nous progressions à toutes jambes dans cet étroit labyrinthe de givre, j'entendis soudain notre poursuivant lancer une longue plainte macabre, abandonnant ses appels et ses sifflements menaçants au profil d'un étrange cri, bien plus inquiétant encore...
Était-ce sa manière à lui d'annoncer une charge imminente ? Allait-il nous tomber dessus d'un instant à l'autre ?
Si je décidais de me retourner maintenant, apercevrais-je enfin ses yeux au détour d'un couloir, nous lorgnant avec l'envie et la voracité d'un prédateur en pleine traque ?
-Par Thalos ! Vite ! On y est presque !

Je courus alors de toutes mes forces, abandonnant la peur au profil de la survie.
Mes jambes étaient lourdes, douloureuses. Mes poumons étaient en feu, menaçants de suffoquer d'un instant à l'autre.
Pourtant, il ne fallait pas s'arrêter.
Non, surtout pas...
-Là ! On est y est ! Lança enfin Martin Phillida tout en pointant l'entrée d'une ruine qui se rapprochait désormais de nous à toute vitesse.

Et enfin, et après un ultime sprint, nous débouchâmes finalement dans l'antichambre des ruines d'Alftand, trébuchant sur l'ultime plaque de glace recouvrant le sol, emportés par notre élan.

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Nous roulâmes par terre, épuisés, secoués dans tous les sens, avant de nous immobiliser enfin, le corps meurtri.
-Vite ! Il est juste là ! Lançai-je alors en me relevant immédiatement, cherchant à entrainer avec moi un Impérial pourtant étrangement immobile. Martin ! Debout ! Vite ! Qu'est-ce qu'il te prend ?! Il faut s'en aller !
-Pas la peine...Commenta calmement l'officier, toujours étendu au sol.

Je restai silencieuse, abasourdie, secouant mollement mon compagnon sans vraiment comprendre pourquoi il refusait ainsi de se lever.
Mais il le fallait pourtant ! La chose allait arriver d'un instant à l'autre, elle...!

Elle aurait déjà dû arriver, d'ailleurs...
-Tu vois ? Questionna enfin le capitaine Phillida, toujours étendu au sol, alors que je scrutais, à la fois effrayée et incertaine, le couloir glacé duquel nous provenions quelques instants plus tôt.

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-Il n'est plus là...Il est parti...Et tu sais ce que ça veut dire ?

Je ne répondis rien, interloquée, ne comprenant décidément pas pourquoi notre poursuivant avait si soudainement abandonné la traque...
-...Ça veut dire que nous venons de dépasser une limite que même lui n'ose pas franchir...

Ça c'est bon! Suite! <3

SWEET!

Ça sent pas bon ça...

Suite

Excellent je pense (sans faire le fayot) que tu es le meilleur écrivain du forum.

Chapitre 18: A travers les ombres.

-Donc...Ji'riska et Dar'Vassa...Ils sont morts...Commentai-je doucement, le regard rivé sur le couloir désormais interdit alors que Martin Phillida scrutait discrètement la grande pièce située au delà de l'antichambre dans laquelle nous nous trouvions désormais.
-Non mais...! T'écoutes ce que je te dis ou quoi ?! Siffla l'officier en abandonnant d'emblée son observation silencieuse pour mieux me fixer du regard. Tu ne m'as pas entendu quand j'ai dit "nous venons de dépasser une limite que même lui n'ose pas franchir" ?! Tu sais ce que ça veut dire au moins ?! On est dans la merde Nilvyn ! Les dieux eux même ne savent surement rien de ce qui nous attend ici !
-...C'était des êtres vivants Martin, doués de raison...Ils avaient surement une famille, des amis...Fis-je remarquer. Ils mériteraient peut-être qu'on leur dédie quelques minutes de notre temps non ?
-Non mais je t'arrête tout de suite ma grande ! Coupa sèchement l'officier. Ici c'est la vie, la vraie, celle où rode le danger ! On a ni le temps, ni les moyens d'honorer leur mémoire, d'accomplir leur dernière volonté, ou dieu sait quelle connerie encore ! Il faut penser à nous même maintenant !
-Mais...
-Et je préfères te prévenir tout de suite ! Si jamais tu me ralentis à partir de maintenant, je te plante là ! Hors de question de risquer ma vie pour toi !
-Ah...Donc toi...Et même malgré ton service à la légion, ton éducation militaire, l'esprit d'équipe, tout ça...Tu es de ce genre là ? A abandonner les gens pour ta propre gueule ?
-Ouai !

Je restai silencieuse quelques secondes, observant d'un air neutre les yeux déterminés de l'Impérial, où rodait néanmoins la peur, avant de reporter mon attention sur le couloir de glace, et de conclure:
-Et bien pas moi...

Nous nous mimes finalement en route, oubliant tant bien que mal ce qu'il venait de se passer pour mieux nous concentrer sur la suite des évènements.
Après tout, et même si ma réponse semblait avoir fait mouche dans l'esprit pourtant résolument fermé de mon compagnon, ce dernier avait pourtant raison: Il fallait penser à notre survie désormais...

Nous traversâmes donc plusieurs salles, progressant doucement, l'oreille tendue à l'affut d'un quelconque danger qui semblait pourtant avoir bien du mal à se montrer...
-Tu es sûr que cet endroit est vraiment dangereux ? Questionnai-je enfin après dix bonnes minutes de marche au travers de salles et de couloirs Dwemer presque identiques les uns aux autres.
-Tu aimerais en douter pas vrai ? Ricana Martin Phillida d'un air faussement détendu. Et bien moi aussi...N'empêche, tu entends ça ?

Je tendis aussitôt l'oreille, m'attendant à percevoir un bruit synonyme de danger d'un instant à l'autre.
Pourtant, il n'y avait absolument rien en dehors du tintamarre produit par quelques mécanismes rouillés toujours en activité...
-Exactement. Commenta l'officier en réponse à mon regard interrogateur. Pas d'araignées, pas de sphères, pas de ceinturions, de Falmers ou de bandits, ni même de ragnards ou d'insectes, alors qu'ils grouillent pourtant dans ce genre de ruines.
-Oui, et alors ? Tant mieux non ?
-Et bien justement, non...Comme on le dit toujours, c'est quand les ennemis habituels rôdent dans les parages que tout va bien. Si jamais ils viennent à disparaitre...Et bien disons que...C'est là qu'il faut vraiment commencer à s’inquiéter...
-Mais encore ?

Le capitaine ne répondit rien, continuant sa progression d'une mine concentrée, si bien que je ne tardai pas à abandonner moi même la partie, suivant mon compagnon à travers autant de couloirs et de pièces entièrement désertes.

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-Bon sang...Ce que cet endroit est sinistre...Commentai-je enfin, plus dans le but de rompre le silence déplaisant qui s'était installé que de faire connaitre mes sentiments actuels à l'Impérial.
-...Et méchamment silencieux surtout...

Je ne pris même pas la peine d'enchainer, blasée par la réponse de mon interlocuteur qui semblait s'évertuer à penser que, si il n'y avait aucune bestiole ou autre machine Dwemer ici, c'était surement parce que quelque chose de bien pire encore s'y était installé...

Ou pas...Car après tout, la principale raison d'une désertion massive, c'était souvent le manque de ressources et d'intérêt que proposait un endroit que l'on avait probablement pillé et occupé durant plusieurs centaines d'années...

Finalement, si ces ruines était désormais désertes, c'était tout simplement parce qu'elles n'avaient plus rien à offrir à qui que ce soit, même aux monstres et autres abominations...
-Tu sais où on va au moins ? Questionnai-je en apercevant le capitaine prendre à plusieurs reprises diverses bifurcations sans même hésiter le moins du monde.
-A toi de me le dire...Ce n'est pas toi la spécialiste des Dwemers ?
-Pfff...

Nous marchâmes ainsi durant prêt de vingt minutes, traversant des ruines tantôt noyées sous un boucan assourdissant provoqué par les rouages et autres mécanismes Dwemer encore en état de marche, tantôt plongées dans un silence lugubre que rien ne semblait vouloir perturber, comme c'était justement le cas en cet instant précis...

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-Il commence à faire sombre, je devrais peut-être rallumer ma tor...
-Hors de question ! Souffla aussitôt l'Impérial en stoppant mon geste d'un air courroucé. Et tu te tais maintenant !

J'abandonnai donc mon idée, quoi que vexée de m'être ainsi faites rabrouer, même si je devais bien admettre qu'en y réfléchissant plus sérieusement, l'attitude du capitaine Phillida était on ne peut plus logique...
De fait, l'Impérial semblait continuellement s'adapter au contexte dans lequel nous étions plongés, adoptant une attitude moins regardante dans les zones où les machines effectuaient leur assourdissant travail, et préférant le mutisme ainsi qu'une démarche beaucoup plus silencieuse dans les endroits envahis par le silence le plus total, comme ici...

Probablement le meilleur moyen d'avancer rapidement tout en guettant un éventuel danger...
A ce propos, je ne pouvais que m'estimer heureuse d'avoir un légionnaire expérimenté à mes côtés en ce moment même, tant ses capacités et ses réflexes d'homme de terrain pouvaient se montrer utiles et rassurants en temps voulus...

Comme quoi, il ne servait peut-être pas qu'à me causer du tord après tout...

Quoi qu'il en soit, nous débarquâmes enfin dans une pièce un peu différente après plusieurs minutes de marche.
Un endroit plus spacieux cette fois-ci, et également mieux éclairé...

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-Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ? Chuchotai-je aussitôt devant la mine interdite de Martin Phillida.
-Je ne sais pas...Il y a quelque chose qui cloche ici...Murmura ce dernier, sans toutefois lâcher la pièce du regard. Restes bien derrière moi, et surtout, pas un bruit.

Nous progressâmes alors doucement, à pas feutré, l'oreille tendue et le regard attentif.
A l'évidence, et même si il ne m'avait pas expliqué comment ni pourquoi, l'Impérial avait détecté quelque chose de louche ici.
Peut-être son instinct de combattant...
-Pst ! Chuchota soudain une voix à ma gauche.

Je sursautai aussitôt, mon coeur s'emballant déjà, avant de scruter prudemment l'endroit d'où semblait venir l'appel.

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-Pst !
-Euh...Martin ?! Chuchotai-je d'emblée, alarmée, sans toutefois parvenir à détacher mes yeux de la cavité, de peur que le moindre relâchement de ma part ne précipite sur moi la chose qui semblait s'y cacher.

L'Impérial ne répondit rien, même si je l'aperçus clairement du coin de l'oeil, observant, immobile, le haut des escaliers que nous nous apprêtions à emprunter.
-Martin ! Insistai-je à voix basse.
-Pst ! Insista à son tour la voix d'un même ton furtif. Par ici !

Je fus alors prise d'une étrange conviction...
A l'évidence, la chose qui se cachait là dedans n'était pas la même que celle qui nous avait appelé dans les grottes, non...
C'était...Autre chose...Quelque chose de plus subtil, et de visiblement moins menaçant, même si j’ignorais bien la raison de cette certitude...
-Martin ! Lançai-je de nouveau.

Aucune réponse...
L'Impérial semblait figé sur place, scrutant inlassablement le haut des escaliers, même si cette tétanie ne semblait pas être le fait d'une peur quelconque, mais plutôt d'une observation minutieuse.
-Pst ! Par ici ! Insista de son côté la voix, d'une telle manière que je me surpris bientôt moi même à m'enfoncer doucement dans la petite cavité, à la recherche de cet étrange appel.

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-Oui ! Presque ! Enchaina la voix alors que je progressais doucement le long du petit couloir, d'un pas lent, quoi que décidé, la peur m'ayant subitement abandonné au profit d'une inexplicable curiosité.

Et après quelques secondes d'une prudente avancée, j'aperçus enfin l'origine de cette invitation, même si pour être tout à fait honnête, ce n'était pas vraiment ce à quoi je m'étais attendue...

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A l'évidence, il était mort depuis bien longtemps déjà...
Mais alors, comment expliquer...
Comment avait-il réussi à m'appeler ? A me communiquer sa position ?
A moins que...

Je me raidis soudain, sentant d'ors et déjà l'épouvante m’envahir à une vitesse alarmante.
Était-ce vraiment lui qui m'avait appelé ?

Je fus brusquement saisie par derrière, arrachée de ma contemplation effarée par une force supérieure qui me tira violemment en arrière avant de me couvrir la bouche pour m'empêcher de crier.
J'avais beau me débattre, gesticuler dans tous les sens et tenter de donner des coups à mon agresseur, rien n'y faisait, il m'avait pris au piège...
-Chut ! Murmura soudain la voix de martin Phillida à mon oreille, stoppant net mes mouvements acharnés.

Martin ? Mais comment ? Pourquoi ?

Je n'eus pas vraiment à me poser la question plus longtemps à vrai dire, car sans même prendre la peine d'enlever sa main de ma bouche, l'Impérial me montra soudain le plafond d'un index tremblant, cherchant visiblement à me désigner quelque chose que je ne pouvais voir d'ici.

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Et je perçus enfin la raison de tout cette agitation...

En vérité, et à mon plus grand désarroi d'ailleurs, des bruits de pleurs et de rire mêlées se faisaient désormais entendre à l'étage supérieur, juste au dessus de notre tête, là où le capitaine Phillida lui même avait scruté la pénombre durant quelques instants...

Le son était tellement subtil, tellement diffus que j'aurais presque pu le confondre avec le bruit de ma propre respiration...
Pourtant, il était bien là, juste là, quelques centimètres au dessus de ma tête...

Visiblement, la chose que j'avais brièvement entendue lors de ma lecture du journal était revenue, riant et pleurant en même temps, arpentant l'étage supérieur dans un étrange bruit de chaines.
D'ailleurs, peut-être même n'était-elle jamais partie...Peut-être nous avait-elle suivi depuis le début...

L'individu, du moins si l'on pouvait l'appeler ainsi, sillonna la pièce située juste au dessus de nous pendant de longues minutes, perturbant à peine le silence ambiant de ses plaintes macabres, trainant derrière lui ce qui devait bel et bien être des chaines, à en juger le bruit métallique que faisait chacun de ses déplacements...

Martin Phillida de son côté, me maintins ainsi durant autant de temps, même si à vrai dire, l'idée de produire le moindre son ou même de me débattre était bien la dernière chose qui ma traversait l'esprit en ce moment même...
Nous restâmes donc silencieux durant quelques instants, scrutant le plafond d'un regard attentif, tentant tant bien que mal d'apercevoir la chose qui semblait s'y promener, même si pour être tout à fait honnête, je préférais tout simplement ne jamais voir de quoi il s'agissait...

Enfin, et après quelques minutes d'un profond mutisme, l'Impérial lâcha finalement d'une voix presque inaudible la question que l'on semblait se poser tous les deux depuis prêt d'une bonne heure déjà:
-Par les dieux, où sommes-nous tombés...

Mon dieu je frissone exactement comme quand je lisais les tomes de l'épouvanteur !
Tu es vraiment bon ^^

Sweet !!
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Non à ACTA !

Toujours aussi bien

Une vrai tuerie cette fic.

Need Sweet

Mon pseudo HeartlessMan étant banni , je poste avec celui ci

+ SWEET

Pas de sweet ce soir ?

SWEET demain alors ?

Demain.

Le lundi c'est soirée full de chez full.

Travail de baudet + rentrer et à peine le temps de me laver avant d'aller à mon entrainement + re-mini douche + manger = OMG il est déjà 22h30

Bon bah tu as le temps de nous pondre une suite pour 00h00