Chapitre 7 : La vie, simple formalitée ?
La pâle lune se jouait sur les flots encres.
Un voile écumeux était brodé sur l’immensité noircie.
Il faisait froid, très froid, tel un âpre hiver sans effroi.
Une âme pure et innocente fusillait du regard les eaux noires.
Une âme, de vert vêtu.
Il semblait troublé, seul, sur la pointe la plus reculée du Royaume Champi, meurtri par l’enlèvement de sa princesse bien aimée.
L’ombre s’éteint, l’aurore s’allume.
Les couleurs criardes du levant luisaient dans le ciel écarlate.
Luigi était couché sur un banc, un banc frontalier à l’endroit où il songeait.
Les voluptés de l’air, les bruits d’ailes, voilà ce qui est venus le tirer de son léger sommeil.
Soudain, tout s’animait.
La mer grondaient, le vent chuchotait, les animaux gazouillaient, une belle journée s’annonçait donc.
Il repensa à l’enlèvement de Peach, une petite larme coula sur ses joues rouges.
Une âme, pourtant fidèle, tendre.
Balayée par un coup de vent.
Il pencha son front assombri, et vit une bouteille, échouée sur la plage de sable fin.
Il la prit, enleva le capuchon vaseux, un message était glissé à l’intérieur.
« S..V. ..I »
Un message, explicite, très explicite.
Luigi, d’une perspicacité vive acquiesça.
« Sauve Moi »
Il s’agissait peut-être d’un message de la princesse. Mais à quoi bon, il était tellement abattu.
La vie, une chose, si monotone.
L’aube et ses clartés obstruées.
Le crépuscule et ses enclumes ombragées.
Encore et toujours.
De toute façon, nous finiront tous comme des spectres disloqués par l’eau.
Malgré ses cruelles vérités, il se mit en route du royaume voisin, le royaume Sword.
Après une heure de marche éprouvante, le paysage avait bien changé.
En face de l’eau, le front des montagnes argentées.
Il se coucha, la nuit arrivé à son apogée, dans un petit creux rocailleux, en pleine ascension de la montagne servant de frontière naturelle.
Ouah... C'est énorme... J'adore de plus en plus ton style d'écriture. C'est si mélodieux ! Avec Luigi en plus... ROOOHLALALALA !! C'est formidable Je le vois de la même manière !
EUH, Non ! j'ai rien dit Continue.
Merci.
C'est gentil.
Suite demain, là j'suis fatigué.
ton point fort c'est bien la description et la on inmagine bien se qu'il se passe c'est assez dur de te trouver des points faible
Merci, mais il y en a, comme dans toutes les fictions.
Ahaha j'e crois que j'ai trouvé un tout petit petit petit point faible !
C'est un tout petit petit petit peu répétitif mais vraiment rien qu'un tout petit petit peu
Mais personne vient voir ma fic
J'ai comme l'impression qu'elle va couler...
Adieu ô, monde cruel
Merci Chopper + Moi, j'attends la suite.^^
J'ai au moins Un fidèle
je risque d'avoir un peu de retard pout poster, désolé kant.
Pas grave. ^^
J'attends d'autres avis.
Suite cette après'm.
tu as posté l'après midi mais sinon c'est cool quelle arrive bientôt
Chapitre 8 : Dans l’espace, sur la terre.
Du bouleau immense aux fleurs les plus petites.
Un beau jardin, des rochers spongieux où siégeaient lys, roseaux, iris.
Des pâquerettes pâlissantes aux arbres énamourés de mythes.
Un ciel cristal aux reflets gris métalliques, se miroitait, sur un petit piédestal, ornés de sveltes basiliques.
Sur le balcon fait de granit, la princesse regardait ce spectacle, toute mélancolique.
Un château, au beau milieu de nulle part, perdu dans l’immensité noire.
Enlevé par un tyrannique, elle attend qu’on vienne la sauver.
***
Dans une grotte immense, stalactites tombant de la voûte, stalagmites montant du sol, partout ces orgueilleux glaçons, semblaient fébriles, en voyant les volutes de chaleur qui émanait de l’horizon.
Dans ce vaste baume, trois voyageurs en quête de nouveaux horizons, semblaient exténués.
Ils essuyèrent les gouttes de sueurs sur leurs fronts fiévreux.
Ils s’endormirent, proies à de nouveaux ennuis.
Sur la plaine aux épaisses ombres funèbres, sous les étoiles du grand nord, marchaient deux inconnus, grand et petit aux premiers abords.
Sous les astres autrefois ternit, ils marchaient d’un pas bienveillant malgré les voluptés de l’air, sur leurs visages éclatants.
Ils semblaient rechercher, un être dont la vétusté n’avait égal ses conseils avisés.
Un être sage, un doyen, le doyen d’un royaume commun à celui, qui était en déclin.
Ils passèrent sans grande difficulté, les frontières obstruées pour se rendre, devant une autre immensité.
Une immensité herbeuse, où des traces de pas, prouvée par l’herbe écrasé résidaient.
Ils en conclurent sans grande difficultés que déjà, ce chemin fut arpenté.
Ils se couchèrent, bienveillants, sur l’herbe en abondance.
C'est court, la suite sera plus longue.
petit défaut pour se chapitre du change vite de lieu et la voilà tout le monde qui la cherche
Mario, Skelerex, Right, Waluigi, Boo et Luigi il faudrait qu'ils se croisent tous sinon ça va être dur pour toi de tout décrire
sinon tu es super fort
Même avis que Bowser, à part ça, toujours génial et poétique en plus!
Merci.
petit
J'aime pas trop ce chapitre... On apprend juste que Peach est dans un jardin et que Mario et sa bande continuent leurs quêtes. Mais à part ça y a pas trop d'action ni de dialogue ^^" Sinon l'écriture est toujours aussi agréable à lire, alors continue vite !
Merci.
Suite cet aprè'm voir dans la soirée.