"Okay, Lyrisme vient de la "Lyre" non ?" Oui. Ça devrait déjà donner une impression de ce que ça donne.
Quant à l'action, je pense que tu ne devrais pas avoir de problèmes. Peut-être un peu au début, il faut s'y habituer, se créer un style nouveau.
Et oui, rien n'empêche d'alterner lyrisme et action. Si un chapitre parle d'un personnage sentimental, alors tu peux faire du lyrique. Si le chapitre est mouvementé, alors tourne-toi vers l'action, avec plus de narration et plus de dialogue.
D'accord, finalement, ça sert les cours de Latin.
Rien que pour l'éthymologie.
Je vais essayer d'introduire un peu plus d'actions dans certains chapitres, et dans d'autre, le lyrisme.
Je te dis encore merci pour tout ses conseils avisés.
Ce fut un plaisir.
Pour moi aussi.
c'est quand la suite ?
Ta fic est bientôt fini il me semble, Kant ?
La suite est pour bientôt + minilev' pas vraiment, puisque il y aura sûrement un deuxième tome, mais pour le moment, il me reste je pense une dizaine de chapitres.
OOuuuuppss , autant pour moi, Kant, j'ai confondu avec la fic de Loupsolitaire^0^'
Je décide d’introduire des musiques d’ambiances, libre à vous de les écouter.^^
Chapitre 12 : Rencontres amicale et douloureuse.
Musique d’ambiance : http://www.youtube.com/watch?v=xVY55e7UDWM&feature=related
Roi du jour, aux couleurs ors tel une armure enflammée, dans l’azur, tu traçais ton accoutumée, et devant tes glorieux rayons, même la pâle lune, changeait d’horizon.
De l’arbre gigantesque aux fleurs les plus petites, une claire plaine parsemée de rochers spongieux croulant sous les plus petites herbes aux bouquets prestigieux, des éclats mystiques, une étendue donc féerique.
Sur cette beauté naturelle, un jeune homme fougueux habillé d’une tunique verte, une épée et un bouclier accrochés dans son dos, le torse bombé de fierté s’avançait malgré le soleil de plomb. Le jeune homme, stoppé dans son élan semblait subjugué. Subjugué par la beauté du paysage. Des reflets dorés donnaient à la forêt une couleur surnaturelle, un mélange gracieux entre entres bleu azur et vert chlorophylle parsemé de sublimes rayons dorées. Captivé par la beauté de cette merveille et en manque de fraîcheur, il se dirigea de vifs pas vers la forêt.
Dans cette merveilleuse forêt aux premiers abords, Right après sa rocambolesque chute du vaisseau s’était réfugié dans cette forêt. La forêt avait un ton lugubre, accentué par l’ombre des arbres gigantesques en abondance, ne laissant pas passer la lumière du soleil. Il marchait de pas hésitants, avec ses chevilles égratignés par les ronces et les orties logeant sur le sol boueux. Sans le savoir, assez inconscients, les deux individus se rapprochaient l’un à l’autre de plus en plus. Alors que Right allait sortir de la ténébreuse forêt, il entendit des bruits de pas. Par reflexe, il se cacha derrière un petit rocher en attendant la venue de son opposant.
L’étrange inconnu à peine eu le temps de rentrer dans l’immense forêt que déjà, le cavalier nommé Right le chargea verticalement. L’autre cavalier de vert vêtu, les cheveux blonds en bataille sous son bonnet vert démodé para sans grande difficulté en faisant serpenter son épée autour de celle du jeunot qui le désarma de sa lame. Les traits typiques d’une personne inquiète commencèrent à se dessiner sur le visage sans émotions du plus jeune des deux combattants.
Déjà Right sentait le métal gris s’abattre violemment sur son petit cou.
Mais, ce n’est pas la punition que lui affligea le cavalier vert.
_Tu es fourbe, je l’admets, mais bien irresponsable, en voulant m’attaquer comme ça, tête baissée et en plus, sans aucune raison plausible j’imagine.
_Effectivement.
_Comment t’appelles-tu ?
_Mon nom est Right.
_Je me nomme Link, alors, que fais-tu ici Right, au frontière du Royaume d’Hyrule ?
_Nous voulions partir dans l’espace mais un vaisseau à détruit le nôtre.
_Qui ça, nous ?
_Moi et mes compagnons, à bord d’un vaisseau, détruit par un autre vaisseau, mais vous, que faites-vous ici ?
_La princesse Zelda m’a donné la mission de retrouver par n’importe quels moyens de retrouver la princesse Peach, nous avons donc le même objectif, mais tu m’as attaqué sans raison, j’hésite à faire route avec toi.
_Je suis encore désolé, je pensais que vous étiez un ennemi et...
_Stop. Tu es téméraire, mais irresponsable, nous allons nous entraider, première étape, retrouver tes compagnons.
Right, laissa enfin place à l’émotion. De joie, il sauta dans les bras de Link en lui adressant ces mots.
_Merci beaucoup !
_De rien, mais c’est assez puérile de réagir comme ça. Sortons maintenant et dirigeons-nous vers les montagnes grises, il y a une vallée encastrée entre quatre montagnes, peut-être qu’un de tes acolytes y est.
_C’est d’accord, s’écria Right, avec un grand sourire se dessinant sur ses petites lèvres.
_En route alors !
Après avoir traversé des sentiers des plus sinueux, des plaines les plus longues, des plateaux les plus arides et surtout avoir bravi la montagne enneigée, la plus grande des montagnes où soufflait un vent cinglant sur leurs visages nus recouvertes d’une neige houleuse qui semblait ne pas vouloir les laissez partir, comme un piège, mais malgré ça, ils arrivèrent à destination de la vallée.
_Je suis impressionné, pas une fois tu as bronché et tu as traversé le chemin réputé le plus dangereux d’Hyrule.
_Merci, fit Right, de ses grands yeux de chats, un léger mais perceptible sourire aux lèvres.
Musique d’ambiance : http://www.youtube.com/watch?v=08RYp-uDpPo
La joie, fit finalement de courte durée.
Allongé, sur le sol rugueux couvert de quelques touffes d’herbes, Mario ne bougeait pas, il ne donnait strictement aucun signe de vie. Pas même un murmure ou encore un geste de main. Rien du tout.
Right le vit, et se précipita à sa rencontre, suivi de près par son compagnon, et arrivé près de lui, lui adressa c’est mots.
_M..Mario, es-tu vivant ?! Répond !
L’homme en rouge ne répondit pas.
Link, toucha brièvement sa poitrine, et avec regrets annonça.
_Il n’est plus.
Le ciel fit tomber ses trombes d’eau glacées, sur la vallée.
La pluie se mêlait aux sanglots du cavalier dépité, abattu par la mort de son ami, mais Link balbutia.
_Pleurer ne servira à rien, il est mort, c’est la vie, rien n’est éternelle.
_Je le sais mais, le mal le payera.
La rage commença à envahir le visage attristé du petit, ses yeux se noircirent, ses joues commencèrent à rougir.
_Il n’y a pas de bien ou de mal, seulement deux points de vue différents, n’ayant pas la même vision des choses, ne sombre pas dans la haine et la colère, ou bien tu finiras avec un cœur rongé par l’amertume, comme celui auteur du kidnapping.
Sur ces mots, Right secoua la tête et passa délicatement sa main pour enlever ses larmes.
_Allons à la recherche des autres, fit Link en souriant.
Mais comment pouvait-il être aussi désinvolte, si impertinent ?
Right lui posa cette question.
_Simplement, parce-que j’ai vécu bien pire, mais allons-y, la nuit va bientôt tomber.
Ils se mirent donc en route vers de nouveaux horizons, attristés pas la mort d’un personnage très célèbre.
Simplement excellent !
Le fait d'ajouter des musiques d'ambiance n'est pas une mauvaise idée, cela exploite l'ouïe. Mais je crains que certains désaprouveront ... Toujours aussi bien, la mort de Mario étant le meilleur passage, autant pour la description que pour le choix de la musique. J'ai repéré quelques fautes d'inattention, comme puérile puéril.
Merci, mais c'est simplement pour ce mettre dans l'ambiance, il n'y a pas besoin de les lancer + Désolé pour les fautes. ^^
Woah ! Rien d'autre à dire ! Magistral ! Bien trouvé la musique de Mario Bon je pars et je reviens dans 1 s'maine alors bonne continuation ! Sans hésitation une des meilleure fics du forum ! tout le monde
Merci Chopper.
Passes de bonnes vacances, profites-bien, j'attends la suite jusqu'à ton retour.
vivement la suite tu décris tellement bien qu'on ne fait plus attention au faute et sinon pour Mario ça existe dans le royaume champignon les 1 up
Chapitre 13 : Pendant ce temps dans l’espace…
http://www.youtube.com/watch?v=UZYTLUk7Nwk&safe_search=on
Dans ce monde où le temps oublie d’allonger les heures, au rythme entêtant des battements de cœurs, myriades d’étoiles, luisantes sous un épais voile. Dans ce « système » vaste, sur une planète constituée uniquement de rochers noires salis dont l’irrégularité empêchait tout points de repères quelconques, se dressait l’impitoyable château de Bowser tel un immense bloque noir réputé infranchissable.
Des murailles grises lisse avec tous les dix mètres, un creux où était encastré un archer. Des pics noircis s’élevant à des centaines de mètres au-dessus du sol, en crachant en continue leurs fumées âcres et nocives. Les seules et très rares fenêtres étaient toutes grillagées. Une douve d’eau croupie était construite au tour de ce sobre château et de sa senteur nauséabond empestant tout le château. Il y avait aussi une prison au sous-sol dans laquelle était prisonnier tout les pires rebelles vivant dans la puanteur considérés au même niveau que les rats. Mais pourtant, malgré les apparences trompe-l’œil dont les multiples tâches d’usures difformes sur les façades respectives, l’immense bâtiment noir venait d’être érigé. La preuve était la seule touche de couleur dans cet univers morose, la chambre donnant sur le merveilleux jardin de la princesse Peach.
Déjà, des milliers de gardes affluaient partout dans les entrailles du château et toute les quinze- minutes exactement, les portes s’ouvrirent pour permettre aux gardes, vêtu d’une armure noire de faire leur ronde. Dans une des salles principales de la plus haute tour noircie par les fumées, Bowser et son plus fidèle acolyte, le responsable des armées prénommé Kamek discutaillaient dans une salle où seule l’intense lueur d’une bougie presque totalement consumée émanait avec pour seul mobilier une table et deux chaises.
_ Félicitations Kamek, l’opération a été accomplie avec succès. _ Merci, au moins cela retardera l’échéance de leur arrivé et nous permettra de mettre la main sur…
_ Silence, interrompit brusquement Bowser ! Tu ne dois pas oublier que même dans cette salle insonorisée, les murs ont des oreilles !
_ Veuillez excuser mon ignorance,maître. _ Soit. Tu es pardonné. Par contre, je n’ai pas réussi à faire parler la princesse, il faudra bientôt la torturer.
_ C’est comme bon vous semble maître, mais cela ma paraît un peu excessif quand même.
_Certes, mais c’est le seul moyen cohérent.
_ Vous avez sans doute raison, comme toujours, ajouta-t-il.
Les amadouements de Kamek sur son supérieur n’eurent pas d’impact sur celui-ci qui semblait être en train de réfléchir. _ Quelconques informations sur les résistants toujours en vie ? Demanda Bowser, curieux.
_ Effectivement, il semblerait que le groupuscule soit actuellement dans le royaume d’Hyrule et dans celui de Sword, je l’affirme de source sûre.
_ Très bien, envois l’unité d’élite dans les plus brefs délais et imposes leurs de ratisser la zone au peigne fin, je veux instaurer mon régime totalitaire sans la menace rebelle !
_ C’est d’accord, j’y vais de ce pas. Kamek sortit rapidement de la salle laissant Bowser proie à réfléchir et traversa le sombre couloir où la seule source de lumière était les points rouges des caméras exécutant un mouvement elliptique pour scruter l’allée. Par chance, il tomba sur le chef de cette grande équipe de prestige.
Un homme ou bien un animal, possédant un blaster accroché à sa taille ainsi qu’une multitude de gadgets électroniques en tout genre, le visage caché par un épais voile noir sur toute la largeur de son visage, masquant totalement sont identité. _ A justement je vous cherchais,fit le bras droit de Bowser, Kamek. _Pourquoi ? _ Vous allez toi et ton équipe éliminez le groupe de rebelle sur les terres respectives d’Hyrule et celle de Sword.
_Mais... _ Pas de mais. Ce sont les grandes paroles du maître.
_ Sauf que votre maître n’est pas le mien, fit Wolf, un sourire narquois aux lèvres. _ Exécution, où je résigne votre contrat. _ C’est bon, moi et mon équipe nous nous en chargeons.
" Quel rebelle ce Wolf, vivement que mon maître atteigne son apogée. Héhéhé. "
suite!!! c'est tellement bien
Chapitre 14 : Pendant ce temps sur la Terre.
http://www.youtube.com/watch?v=2SjauAqR8aI&safe_search=on
Luigi ouvrit les yeux. Il se souvenait que d’une seule et unique chose. Le sol se rapprochant a une vitesse vertigineuse puis le vide. En se relevant, il ne sentit que de légères douleurs abdominales, à priori rien de casser, seulement quelques blessures partielles. Il sentit, sur ses bras égratignés, une douce sensation. Cette sensation s’avérait être du sable fin. En effet, il se trouvait sur une plage qui s’étendait à perte de vue.
Des algues vertes se perdaient sur la terre ferme amenées par l’Océan de Sword. Le doux chuchotis du vent caressait l’écume des vagues qui venaient s’abattre de plus en plus loin, sur le sable. Le silence, Luigi trouvait ça très relaxant. C’était un peu comme le calme avant la tempête. L’Océan avait un teint turquoise parsemé de rayons blancs. Exactement la même couleur que le ciel, clément en cette belle fin de journée.
Il balaya du regard l’étendue sableuse, afin de pouvoir trouver un quelconque signe de vie. Il n’en vit nulle part. Il jugea bon de marcher un peu, afin de se remettre les idées en place. La princesse enlevée, aucune nouvelle de ses compagnons. Un bilan lourd, mais il ne se laissa pas abattre par la cruelle mais véritable réalité. Devant lui, imposant, fascinant, il aperçut un pont suspendu au-dessus d’un ravin et de l’autre côté une belle forêt. Un pari, un dilemme, que malgré son tempérament peureux qui lui vaut aujourd’hui sa célébrité, il le releva. Les marches du bois croulaient sous la moisissure donnant un aspect non rassurant. Luigi, anxieux continua, et très vite, les marches de bois commencèrent à se fendre. S’en suivit une enjambé endiablé avec à chaque pas une marche disparaissant sous le poids du plombier. Les cordes s’étirèrent de plus en plus, jusqu’à lâcher. D’une cabriole splendide dont lui-même a le secret, il pu tant bien que mal échapper au pont suspendu qui lui, sombra au plus profond de la crevasse.
Dans la forêt, l’air était chargé de l’arôme sucré des fruits, le gazouillement des oiseaux, le bourdonnement des abeilles, une forêt bucolique, idyllique en somme. Sans difficulté perceptible, mise à part les hautes fougères et les autres végétaux omniprésents, se développant dans la pénombre, Luigi était malgré tout fasciné par toute cette verdure. Devant lui, après encore une petite marche, une clairière encerclée d’arbres sombres contrastant avec la luminosité de l’herbe. Sa « méditation » fut de courte durée car des bruits de pas émanaient de la forêt frontalière en se rapprochant à un rythme régulier. Luigi aux aguets cria.
_ Qui va là ? Amis ou ennemis ?
_ Du calme, ce n’est que moi, nous avons le même but, c'est Skelerex. _ Skelerex ?! Enfin quelqu’un ! S’écria Luigi avec une touche de gaieté dans sa voix.
_C'est vrai qu'il n'y a pas grand monde, dans ce milieu hostile, très dangereux.
" milieu hostile très dangereux… Quel pléonasme douteux " _ Si nous partions à la recherche des autres, ici, nous sommes proies à toutes éventualités des plus éventuelles.
" Encore un pléonasme..."
Après un court moment de réflexion, voir d’hésitation, Luigi avança. _ Tu n’es pas Skelerex, ce n’est pas possible ! possible.
_ Comment ça je ne suis pas Skelerex et puis, as-tu une preuve ?
_ Skelerex est quelqu’un de concis, jamais il n’utiliserait de pléonasme comme celui-ci ! J’en suis sûr, ajouta-t-il. _ Brillante déduction, tu es quelqu’un de très intelligent, ton frère lui, est tombé dans le panneau.
_ Comment ça ? mon frère...
_ Tu le sauras en temps voulu, je te dis à plus tard.
Soudainement, le corps de Skelerex disparu, et un léger scintillement bleu s’envola vers le firmament, une voix grave,résonna. _ Nous nous reverrons, sois-en certain...
T'as cassé mon effet.
je savais pas que tu voulais en faire un et je trouve que le vrai Skelerex est un peu manquant sinon bizarre Luigi et Skelerex ne se sont pas rencontré